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De nouveaux desseins pour des agricultures ? Le risque climatique-les enjeux du sommet de Copenhague. Quels enjeux et responsabilités pour l'agriculture de demain ? Diaporama

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: hal-02814328

https://hal.inrae.fr/hal-02814328

Submitted on 6 Jun 2020

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De nouveaux desseins pour des agricultures ? Le risque climatique-les enjeux du sommet de Copenhague. Quels

enjeux et responsabilités pour l’agriculture de demain ? Diaporama

Stephane Bellon

To cite this version:

Stephane Bellon. De nouveaux desseins pour des agricultures ? Le risque climatique-les enjeux du sommet de Copenhague. Quels enjeux et responsabilités pour l’agriculture de demain ? Diaporama.

39. Assemblée Générale de la Confédération Internationale du Crédit Agricole (CICA), Oct 2009, Lisbonne, Portugal. 37 p. �hal-02814328�

(2)

De nouveaux desseins pour des agricultures?

Le Risque Climatique – Les enjeux du sommet de Copenhague.

Quels enjeux et responsabilités pour l’agriculture de demain?

XXXIX AG de la C.I.C.A.

Lisbonne le 9/10/09

S. Bellon, Inra, UR 767 Ecodéveloppement, Avignon, France

(3)

Plan

• Nouveau centrage des questions agraires

• Diversité des agricultures: vers un re-design?

• Agriculture bio et changement climatique

• Quelques voies adaptatives

(4)

Nouveau centrage des

questions agraires

(5)

Facteurs de production

L’agriculture dépend par essence du climat

• Pour une partie de ses ressources (rayonnement solaire, eau)

• Certains évènements climatiques peuvent compromettre la production (sécheresses, épisodes de gel…)

Le sol, puits de carbone et émetteur de CO 2 L’agriculture contribue à 20% environ des

émissions de gaz à effet de serre (GES)

(6)

Global GHG emissions of agriculture

Biomass burning CH4 and N2O

12%

Paddy rice CH4 11%

Enteric fermentation CH4

32%

Manure handling CH4 and N2O

7%

Fertilisers N2O 38%

5.1 - 6.1 Gt CO2-eq yr-1

Emissions of the agricultural sector (Smith et al., 2007)

(7)

Impact de nos habitudes alimentaires

• La production d’une tonne de lait émet environ 1 tonne de GES, alors que celle d’une tonne de « lait végétal », à base de soja, en émet 10 fois moins,

• La production d’un kg de frites surgelées émet 5,7kg d’eq CO2,

• Nos déplacements en voiture pour faire nos courses alimentaires représentent, selon l’Ifen, 11% des

émissions de GES de la chaîne agro-alimentaire

(8)

Emissions de GES dans la chaîne de production alimentaire

Source : IFEN

(9)

Un regard rétrospectif 1960-2003

• Population mondiale x 2

• Population urbaine x 3

• Population agricole x 0,6 (de 3,6 à 4.7 h/actif agricole) = 1 milliard en Asie, 200 millions en Afrique

• Production/ha : + 53%

• Production/actif agricole : + 123%

• Surface / actif agricole : de 1,45 à 1 ha

(20% LAM, SSA – 50 à 60% OCDE, FSU – 80% Asie – 90% MENA)

• Mécanisation :

- OCDE :72 tracteurs/100 actifs; 4,1/100ha

- LAM: 4 et 1,1 - Asie: 0,4 et 0,9 - Afrique: 0,1 et 0,1

• Commerce international : de 1500 à 7000 Gkcal/j !

(10)

Une évolution du centrage de la question agraire en quarante ans (Mormont, 2008)

DDu paysan/agriculteur : la production

un groupe social/changement technique/traitement spécialisé de chaque question

agronomie, sociologie, agro-économie

À l’espace rural: l’habiter

un groupe social en mutation et en interaction avec ses voisins/enchevêtrement des pratiques et des intérêts

aménagement du territoire, sociologie, sciences politiques, droit

Aux questions d’environnement : les ressources, les pollutions, les impacts …

un groupe social local confronté à des enjeux globaux

Complexification/interdépendances, local/global, temps court/long écologie, biotechnologies, sciences de l’univers …

Et maintenant pourquoi pas le Développement durable !

(11)

LE TETRAEDRE DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Gouvernance

Environnemental Économique

Social

Temps

Principes:

Précaution

Équité-solidarité Responsabilité Transparence Participation Concertation

Intégration préventive Anticipation

Prospective Evaluation

Culture

IDD

Global Compact

normes

vivable équitable viable

(d’après Brégeon, 2008)

(12)

Des grands enjeux globaux imbriqués

• Réchauffement climatique

• Energie : croissance économique/

énergie; fin de l’économie pétrole

• Démographie vs Développement

• Dégradation de la biodiversité (biotope

de l’humanité, valeur économique)

(13)

• Insécurité alimentaire

(FAO, 2006)

• Demande alimentaire croissante

(Evans, 2009, ...)

• Multiplication des attentes par rapport aux objectifs de production (food, feed, fuel, fiber, fish..)

• Usage non durable de certains facteurs de production tels que sols, biodiversité, eau

(Pimentel et al., 1995; FAO, 2003)

• 60 % des services écosystémiques sont dégradés

(Millennium Ecosystem Assessment, 2005)

• L’agriculture intensive dépend fortement d’énergie externe

mais elle pourrait être plus autonome et réduire fortement les émisssions de GES

(Smith et al., 2007)

• L’agriculture n’est pas assez préparée à de l’imprévisibilité et à l’adaptation au changement climatique

(Lobell et al., 2008)

Les enjeux multi-dimensionnels du développement

de la production et de systèmes agri-alimentaires

(14)

Diversité des agricultures:

quels éléments d’un re-design?

(15)

Diversification des agricultures ..

Alternative, Appropriée, Artificielle, Autarcique, Autonome,

Biodynamique, Biologique, Bocagère,

Capitaliste, Chimique, Citoyenne, Classique, Commerciale, Commercialisée, Compétitive, Conservation (de), Contingentée, Conventionnelle, Courante,

Demain (de), Différente, Diversifiée, Dominante, Duale, Durable,

Ecologique, Econome, Entreprise (de), Environnementale, Extensive,

Faible intrants (à), Familiale, Fermentaire, Fermière, Forestière, Holistique,

Identitaire, Industrialisée, Industrielle, Intégrée, Intensive, Internationale, Interstitielle,

Marchande, Ménagère, Méthodique, Moderne, Montagne (de), Multifonctionnelle, Nouvelle,

Ordinaire, Organique, Organo-biologique,

Pacifique, Participative, Patrimoniale, Paysanne, Pérenne, Péri-urbaine, Permanente, Physique, Plurielle, Précision (de), Productiviste,

Qualité (de), Quatrième type (du),

Radicale, Raisonnable, Raisonnée, Régénératrice, Renouvelable, Rente (de), Ressource efficient, Rurale,

Sauvage, Services (de), Solidaire, Soutenable, Subsistance (de), Synergétique,

Systématique, Temps partiel (à), Territoriale, Traditionnelle, Troisième, Troisième type (du),

Urbaine,

Vivrière, Vieille, ..

(d’après Pervanchon et Blouet, 2002. Lexique des qualificatifs de l'agriculture.

Courrier de l’Environnement de l’Inra). http://www.inra.fr/dpenv/pervac45.htm

(16)

Approche multi-niveaux en matière de protection et de production

Niveau 1: Accroître l’efficience de pratiques conventionnelles afin de réduire l’usage et la consommation d’intrants coûteux, rares et dommageables pour l’environnement

Niveau 2 : substituer les intrants et pratiques conventionnelles par des pratiques alternatives

Niveau 3: reconcevoir l’agroécosytème de façon à ce qu’il fonctionne sur la base d’un nouvel ensemble de processus écologiques

Niveau 4: Ré-établir une relation plus directe entre ceux qui

produisent la nourriture et ceux qui la consomment

(17)

Quelques pistes pour aller plus loin (1)

La recherche agronomique ne peut plus ignorer les questions de nutrition humaine

• Pas plus que les procédés de transformation et les circuits de distribution

• Et leurs conséquences sur les produits agricoles et leurs modalités de production

• e.g.: les scenarios Agrimonde GO (avec une moyenne de 3600 kcal/h/j) vs Agrimonde 1 (3000 kcal/h/j, avec moins de 15%

d’origine animale) débouchent sur des effets très différents sur les productions dans les différentes régions (rendements,

surfaces …)

(d’après Hubert 2009)

(18)

Quelques pistes pour aller plus loin (2)

Maintenir voir augmenter les rendements agricoles

• A partir de techniques moins polluantes

• Moins dangereuses pour les travailleurs, la flore et la faune

• Fondées sur:

- une meilleure valorisation des services des écosystèmes (pollinisation, IP, …)

- de nouvelles technologies (informatique, génétique, monitoring …)

- mobilisant ensemble à la fois les connaissances scientifiques et locales par des processus

d’apprentissages croisés (recommandations de l’IIASTD)

Main challenge (IAASTD): ”increased productivity of

agriculture in a sustainable manner”

(19)

Un enjeu pour la R&D

Concevoir une gestion intégrée des ressources naturelles sur la base d’une fertilisation croisée entre les méthodes et concepts de l’agronomie, de l’écologie et des sciences sociales ainsi que des savoirs locaux

Afin de surmonter l’opposition production vs. conservation

(20)

Quelques pistes pour aller plus loin (3)

Dépasser les frontières habituelles entre

l’urbain, la campagne et les espaces naturels:

- agriculture urbaine & péri-urbaine … - agroforesterie, agro-écologie …

- gestion des zones humides … pas seulement par le drainage

- complémentarités entre des espaces différenciés

… sans marginalisation des territoires ‘peu productifs’

(21)

Un nouveau dilemme

• Repenser la vision courante de ségrégation

entre les espaces productifs et ceux à protéger (comme des sanctuaires)

• En concevant des mosaïques d’écosystèmes

fournissant une multiplicité de fonctions et de

services

(22)

Dilemme production/conservation

Segrégation vs Intégration

(23)

Quelques pistes pour aller plus loin (4)

Maintenir une diversité de systèmes de production et de comportements alimentaires, avec un souci de

réversibilité

• Indispensable pour créer des mosaïques paysagères et réduire la pauvreté des formes familiales de petits

exploitations dans différentes régions du monde

• A partir de coopérations avec les différentes parties prenantes afin d’élaborer:

- un ensemble de critères de performance (emploi rural, environnement, qualité & sécurité des aliments … et leurs cross over !)

- de nouvelles formes d’organisation sociale au sein des secteurs et filières comme au niveau des ensembles

territoriaux

(24)

Agriculture biologique Agriculture biologique et changement climatique et changement climatique

Quelques enseignements d

Quelques enseignements d’’un colloqueun colloque (Clermont

(Clermont--Ferrand, 17Ferrand, 17--18 avril 2008)18 avril 2008)

(25)

L’agriculture biologique contribue-t-elle moins à l’effet de serre que l’agriculture conventionnelle ?

(émissions de CO

2

+ N

2

O +CH

4

)

La contribution par ha est plus faible (-20% à - 50%)

en bio qu’en conventionnel : moins de CO

2

(pas

d’engrais azotés de synthèse), moins de N

2

O (moins d’azote apporté, davantage de fixation biologique), davantage de C séquestré,

La contribution par kg produit est inférieure, égale ou supérieure au conventionnel selon les productions : souvent inférieure en productions animales (ex: lait) et

supérieure pour les productions végétales (ex. céréales) pour lesquelles les différences de rendement sont importantes,

Si on tient compte du carbone séquestré , le bilan

devient plus favorable au bio, mais on manque souvent de

données,

(26)

Consommation d’énergie et émissions de CO 2

• Le diagnostic est sensiblement le même que pour

l’ensemble des émissions : moins d’émissions en bio par surface, très variable par quantité produite,

• En conventionnel intensif, la moitié, voire davantage, de la consommation d’énergie est celle qui a servi à fabriquer les intrants, principalement les engrais

azotés,

• La production de biogaz constitue une piste

intéressante pour réduire à la fois la consommation

d’énergie fossile et les émissions de CO2

(27)

Emissions de CH 4 : peu de différences entre bio et conventionnel, mais des réductions possibles

• Pas de différences significatives d’émissions de CH4 par litre de lait au-delà d’environ 5000 litres par vache et par an,

• Forte réduction des émissions par le compostage,

non compensée par l’augmentation des émissions de N2O, donc un bilan favorable à cette technique,

• Des possibilités de réduction par une modification de l’alimentation et par une plus grande longévité des vaches,

• Mais l’essentiel du potentiel de réduction est dans la réduction de la consommation des produits de

l’élevage et en particulier de la viande de ruminants !

(28)

Emissions de N 2 O

• Elles dépendent de très nombreux facteurs et restent difficiles à évaluer,

• Elles augmentent avec les apports d’azote et avec les excès d’azote par rapport aux besoins des

plantes,

• D’autres études ont confirmé que l’azote fixé

biologiquement contribue beaucoup moins aux

émissions de N2O que celui apporté, qu’il soit

minéral ou organique.

(29)

Séquestration de C dans le sol

‰ Dans la majorité des cas, l’ AB séquestre davantage de carbone que l’Ag. Conv. : + 100 à + 1000kg/an, la moyenne semblant s’établir autour de + 400.

Mais dans certains systèmes d’exploitation sans bétail, cet avantage peut disparaître et on peut même avoir, en AB, déséquestration,

‰ Les comparaisons restent difficiles car il n’est pas toujours mentionné jusqu’à quelle profondeur ont été pris les échantillons,

‰ Le plus gros potentiel de séquestration est, et de

loin, le changement d’utilisation du sol (vers la forêt

ou la prairie). Un enjeu de la conversion?

(30)

Les légumineuses, une des clés de la réduction des émissions de GES par l’agriculture

(biologique et conventionnelle)

• L’azote fixé biologiquement émet beaucoup moins de GES que celui apporté,

• La diminution des apports d’azote minéral permise par les légumineuses réduit les

émissions de CO2 et de N2O liées à la synthèse des engrais azotés,

• Les légumineuses pluriannuelles séquestrent du carbone dans le sol et augmentent les

rendements, notamment en bio.

(31)

Le rendement,….

une question qui reste posée

• L’obtention de rendements élevés permet – en théorie - de libérer des surfaces qui pourraient être reboisées, avec

séquestration de quantités importantes de carbone,

• De tels rendements peuvent-ils être obtenus avec des

techniques écologiques ? Cela semble possible, par exemple avec des rotations à base de luzerne,

• Libérer de la surface pour reboiser ? Ou bien pratiquer l’agroforesterie, planter des haies, enherber les vergers,

nourrir les animaux à l’herbe pour augmenter les surfaces en prairie ?

Revisiter les critères d’évaluation des performances

(32)

L’adaptation de l’agriculture

biologique au changement climatique

• Le petit nombre d’interventions sur ce thème a confirmé que peu de données sont disponibles à ce jour,

• Si l ’agriculture biologique a des atouts face à la sécheresse (teneur en matière organique du sol plus élevée), elle doit aussi trouver des solutions propres pour s’adapter à

l’apparition de nouveaux ravageurs et aux conséquences de la sècheresse sur la production (fourragère…),

• En maraîchage, la fidélisation des consommateurs (AMAP) peut constituer une réponse aux aléas de production

résultants d’accidents climatiques plus fréquents.

Renforcer spécificités et complémentarités régionales

(33)

Conclusions

L’ AB intensifie les processus internes à l’exploitation, comme activité

biologique des sols, régulation des populations d’insectes, recyclage des déchets animaux et végétaux, biodiversité et fixation d’azote accrues…

Moins de dépendance sut intrants externes coûteux en énergie et moins d’externalités négatives.

Diversification dans l’organisation des exploitations avec des usages du sol différents et des rotations culturales plus complexes, davantage d’activités agricoles et de connaissances déployées.

Transitions pouvant conduire à des gains de productivité, stabilisation des outputs et moindre vulnérabilité

Amélioration de la fertilité du sol et conservation de la matière organique

Vers une meilleurs synchronisation de l’offre et de la demande en nutrients, Conservation des ressources environnementales, séquestration.

(34)

Quelques voies adaptatives

(35)

Voies de réduction des impacts

Greenhouse gas mitigation in agriculture (Smith et al., 2008)

Mesure Exemples Effets de réduction Réduction nette

CO

2

CH

4

N

2

O

accord preuve

Gestion des cultures

Entretien du

sol

+ +/- ** **

Changement

usage sols

+ + + *** ***

Gestion de pâtures

Introduction

d’espèces

+ +/- * **

Gestion sols

ZH Eviter

drainage

+ - +/- ** **

Gestion élevage

Pratiques d’

alimentation

+ *** ***

Gestion fumier

Stockage et

manutention

+ +/- *** **

Bioénergies Cultures

energétiques

+ +/- *** **

(36)

Planifier et diversifier les modes

d’utilisation pour sécuriser le pâturage

Pâturage complet à une autre saison Une période de pâturage

De base été De base été De base arrière saison

3 parcs spécialisés :

Parc de sécurité

Parc de sécurité

Un exemple pour mieux coupler : Production et reproduction des

ressources (pâturées) Production et protection (des

individus ou des groupes) Technique et économique (coût

des intrants et du foncier)

(37)

Vers des systèmes adaptatifs

Renforcer la capacité d’adaptation de modèles de production

• Apprentissages au travers d’essais et de suivis (faire face aux “surprises”)

• Flexibilité pour accroître les options de réponse

• Diversité comme atout pour faire face à la variabilité (territoires hétérogènes,

successions écologiques..)

(38)

Merci de votre attention

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