G ERGONNE
Géométrie. Recherche du cercle qui en touche trois autres sur une sphère
Annales de Mathématiques pures et appliquées, tome 4 (1813-1814), p. 349-359
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349
GÉOMÉTRIE.
Recherche du cercle qui
entouche trois
autres surune
sphère ;
Par M. G E R G O N N E.
CERCLES SPHÈRE.
DANS
un mémoire adresse il y aquelques temps a
l’académiede
Turin, j’ai
déduit d’une analise très-courte ettrès-simple
lesdeux
propositions
suivantes :I.° Trois cercles
C , C’ ,
C’’ étant donnés d’une manièrequel-
conque sur un même
plan,
soient menées lestangentes
extérieurescommunes à C et
C’ ,
à C etC’’ ;
cestangentes
détermineront sur C deux cordes de contact, secoupant
enquelque point M ;
ellesdétermineront
aussi sur les cercles CI et C’’ deux autres cordes decontact
lesquelles prolongées
s’il estnécessaire ,
secouperont
en unautre
point N ;
or , si l’onjoint
cespoints
M et N par unedroite ,
les intersections
P , Q
de cette droite avec C seront lespoints
où ce cerclesera touché par deux cercles touchant à la fois les trois cercles
C , C’ , Cil ,
et les touchant tous trois de la mêmemanière ; c’est-à-dire ,
les en-veloppant
toustrois ,
ou les touchant tous trois extérieurement.2.0
Quatre sphères S , S’, S’’,
S’’’ étant données d’une manièreTom. IV, n.° XII , I.er juin I8I4. 47
350
CONTACT
quelconque
dansl’espace ,
soient circonscrits extérieurement des cônesaux
sphères
S etS’ ,
S etS’’ ,
S etS’’’;
ces cônes déterminerontsur la
sphère
S troislignes
de contact dont lesplans
secouperont
en un certain
point M ;
ces mêmes cônes détermineront aussi surS’ , S’’ ,
S’’’ trois autreslignes
de contact dont lesplans , prolongés
s’il est
nécessaire ,
secoupeiont
en un autrepoint N ;
or , si l’onjoint
cespoints
M et N par unedroite ,
les intersectionsP, Q
decette droite avec la
sphère
S seront lespoints
où cettesphère
seratouchée par deux
sphères
touchant à la fois lesquatre sphères S,
SI, S’’ ,
S’’’ et les touchant toutesquatre
de la mêmemanière ; c’est-à-dire ,
lesenveloppant
toutesquatre
ou les touchant toutesquatre
extérieurement.Il est clair que ces
propositions
donnent la solution directe desproblèmes
où ils’agit
de décrire un cerclequi
touche trois cerclesdonnés ,
ou de décrire unesphère qui
touchequatre sphères données,
du moins
lorsqu’on exige
que les trois cercles ou lesquatre sphères
donnés soient touchés de la même manière par le cercle ou par la
sphère cherchés ;
maisj’ai
faitvoir,
dans le mémoirecité , qu’en
faisant une combinaison convenable des
angles
et cônes. cir-conscrits intérieurement avec les
angles
et cônes circonscrits exté-rieurement,
onpouvait obtenir ,
par un semblableprocédé ,
les huitcercles
qui peuvent
toucher à la fois trois cercles donnés et lesseize
sphères qui peuvent
toucher à la foisquatre sphères
données.J’ai cherché en outre ce que devenaient les cordes de contact et
les
plans
delignes
de contact ,lorsque
les rayons dequelques-uns
des cercles ou de
quelques-unes
dessphères
donnés devenaient nulsou
infinis,
etj’ai
ainsi établi le moyen de ramener à des pro- cédésuniformes ,
et faciles àretenir ,
tous lesproblèmes
de Viètesur le contact des
cercles ,
et ceux de Fermat sur le contact dessphères.
L’élégante simplicité
de cessolutions. indiquées
tout naturellement parl’analise ,
m’avait fait désirer que cellesqui
sont relatives àtrois cercles donnés sur un
plan s’appliquassent également
à troiscercles donnés sur une
sphère (*) ; l’analogie
m’avait même faitsoupçonner fortement
qu’il
devait en être ainsi. Le calcul m’a montréque j’étais
dans l’erreur à cetégard ;
mais enrevanche ,
il m’afourni
, pour trois cercles donnés sur unesphère ,
des constructionsqui peuvent
facilement êtretransportées
à trois cercles donnés surun
plan ,
et même àquatre sphères
données dansl’espace,
etqui
ne sont pasplus compliquées
que celles queje
viensd’indiquer
sommairement ;
de manière quej’ai
enfin obtenupour les problèmes
de l’une et de l’autre sorte cette
parfaite
uniformité àlaquelle j’avais principalement aspiré.
Avant d’entrer dans le détail des modifications que
j’ai
fait subir a mespremières constructions ,
pour les rendreapplicables
à troiscercles donnés sur une
sphère , je
doisprésenter
d’abordquelques
remarques propres à en faciliter
l’intelligence.
On sait que rien n’est
plus
facile que d’obtenirl’équation
de lacorde commune à deux cercles dont les
équations
sont données :cette
équation
étantrationnelle ,
il s’ensuit que la droite àlaquelle
elle
appartient
estréelle,
lors même que les deuxpoints qui
doiventen déterminer la situation sont
Imaginaires ; c’est-à-dire ,
que deuxcercles tracés sur un même
plan
ont encore une corde commune, lors mêmequ’ils
ne secoupent
pas ; c’est cette corde que 1B1. Gaultier de Tours a dénommée l’Axe radical des deux cercles(**)
On démontre aussi bien
facilement,
parl’analise ,
etpresque
sanscalcul ,
que , trois cercles étant tracés sur un mêmeplan ,
soitqu’ils
secoupent
ouqu’ils
ne secoupent
pas , leurs axes radicaux oncordes communes deux à deux concourent en un même
point
que M. Gaultier a nommé leur Centre radical.
(***)
(4) 1B1. Carnot, à La page 4I5 de sa Géométrie de position, a donne l’ébauche d’ime solution
analitique
de ce problème. On peut aussi consulter la Correspondancesur l’école
polyechnique ,
tome e , n.° 1 , janvier I8I4 , pag. I0.(**) Voyez le x, 1.t; cahier du Journal de l’école
polytechnique.
(**) Même ouvrage.
CONTACT
Rien n’est
plus aisé ,
comme on levoit ,
que de déterminer l’axe radical ou corde commune de deux cerclesqui
secoupent. Lorsqu’au
contraire les deux cercles ne se
coupent
pas , la chose n’estguère plus
difficile. Si en effet on décrit arbitrairement un troisième cerclequi
coupe à la fois cesdeux-là ,
il aura avec eux deux cordes communes, et il résulte de ce que nous venons de dire sur lecentre
radical ,
que lepoint
de concours de ces deux cordes est unpoint
de l’axe radical des deux cerclesdonnés ;
et , comme on sait d’ailleurs que cet axe doit êtreperpendiculaire
à la droitequi joint
les centres, il se trouvera entièrement déterminé. Au
surplus,
ontrouvera
peut-être plus commode ,
dans lapratique ,
de chercherun second
point
de cet axe , par unprocédé pareil
à celuiqui
aura fait trouver le
premier.
Sachant ainsi trouver l’axe radical de deux
cercles,
lors mêmequ’ils
ne secoupent
pas , la recherche du centre radical de troiscercles,
dans le cas même où ils ne secouperont
pas , nepré-
sentera
plus
aucune difficulté.Tout ceci
peut
facilement être étendu à dessphères
dans l’es- pace. Ainsi leplan
du cercle commun à deuxsphères, lequel plan
existe encore
lorsque
cessphères
ne secoupent
pas, est leur Plan radical.On détermine une droite
appartenant
à ceplan ,
en construisant unesphère qui
coupe à la fois les deuxsphères
données etprolongeant
les
plans
des intersectionsjusqu’à
cequ’ils
secoupent.
Pour déter- miner entièrement ceplan ,
onpeut indifféremment ,
ou déterminerune nouvelle droite
qui y
soitsituée ,
ou conduirepar l’un quel-
conque des
points
de lapremière
unplan perpendiculaire
à la droitequi joint
les centres.Si trois
sphères
coexistent dansl’espace ,
ellesdonneront ,
en les considérant deux àdeux ,
troisplans
radicauxlesquels
se couperont suivant une même droitequ’on appellera
leur Axeradical ,
et dontla construction l’offrira
point
dedifficulté , d’après
cequi
vientd’étre dit.
SUR LA SPHÈRE.
Si , enfin , quatre sphères
coexistent dansl’espace ,
ellesdonneront,
étant
prises
trois àtrois, quatre
axesradicaux , lesquels
concourront en un mêmepoint qui
sera le Centre radical de cesquatre sphères.
Ce centre pourra donc être déterminé par ce
qui précède.
Cela
posé,
soient i.,,C , C’ ,
C’’ trois cercles donnés sur unplan ;
et soit 0 leur centre radical. Soient menées à cescercles , pris
deux àdeux ,
destangentes
communesextérieures ;
ces tan-gentes
détermineront surchaque
cercle deux cordes de contact secoupant
en unpoint; soient,
pour les trois cerclesrespectivement, P , P’ ,
P’’ cespoints
d’intersection. Si alors on mène les droitesOP , OP’ , OP’’ ,
elles détermineront surC , C’ ,
C’’respectivement
les
points
où ils devront être touchés par deux cercles les touchant tous trois et les touchant tous de la même manière.2.° Soient
S , S’ , S’’ ,
S’’’quatre sphères
données dans l’es- pace ; et soit 0 leur centre radical. Soient menés à cessphères , prises
deux àdeux,
des cônes circonscritsextérieurs ;
ces cônesdétermineront sur
chaque sphère
troislignes
de contact dont lesplans
secouperont
en unpoint ; soient ,
pour lesquatre sphères respectivement P , pl, P’’ ,
P’’’ cespoints
d’intersection. Si alorson mène les droites
OP , OPI, OP’’ , OP’’’ ,
elles déterminerontsur
S , SI, S’’ ,
S’’’respectivement
lespoints
où elles devront êtretouchées par deux
sphères qui
les toucheront toutesquatre ,
et les toucheront toutes de la même manière.En faisant encore ici une
convenable
combinaison desangles
etcônes circonscrits intérieurement avec les
angles
et cônes circonscritsextérieurement ,
on déduit de cesconstructions ,
comme de cellesqui
ont étéprécédemment indiquées,
la détermination des huit cerclesqui peuvent
toucher à la fois trois cercles donnés et celle des seizesphères qui peuvent
toucher à la foisquatre sphères
données. De
plus ,
en faisant à ces constructions les modificationsqui
conviennent au cas où les rayons dequelques-uns
des cerclesou de
quelques-unes
dessphères
donnés deviennent nuls ou in-finis ,
on ramène encore , comme dans lepremier
cas , à desprocédés
354
uniformes la solution de tous les
problèmes
de Viète sur le contactdes cercles et de ceux de Fermat sur le contact des
sphères.
Je ne
prétends
pas décider si cesprocédés
ont en eux-mêmesquelque avantage
sur lespremiers
quej’inclinerais
même à regar- der commeplus simples ;
mais c’est sous cette forme seulement que la constructionqui
fait trouver les cerclesqui
touchent à la foistrois cercles donnés sur un
plan ,
donneaussi ,
sans aucune mo-dification,
les cerclesqui
touchent à la fois trois cercles donnéssur une
sphère.
C’est à prouver cette assertion que
je
consacreprincipalement
cetarticle. Le
problème
revient évidemment à celui - ci : Trois cônes de même sommet étantdonnés ;
construire unquatrième cône ,
de même sommet
qu’eux, qui
les touche tous trois? et c’est sous cepoint
de vue queje
vaisl’envisager.
Soient
C , C’ ,
CIl trois cônesdonnés ,
de même sommet, dontles
angles générateurs
soientrespectivement
r ,r’ ,
rll. Soitpris
leur sommet commun pour
origine
des coordonnées que nous sup- posonsrectangulaires ;
et supposons que l’axe du dernier soit l’axe des z.Représentons
en outre para, b, c, a’ , b’ , c’ respectivement
les cosinus des
angles
que forment les axes dupremier
et du secondavec les axes des
coordonnées ;
cequi ,
comme l’onsait,
donneralieu aux relations
Désignons
ensuite parA , B ,
C les cosinus desangles
que forme l’axe du cône cherché avec les axes descoordonnées ,
cequi
donnera.pareillement
SUR LA SPHÈRE.
et soit R son
angle générateur.
Si l’on veutque
ce cône touche extérieuremennt les trois cônesdonnés,
il faudra quel’angle
quefera son axe avec l’axe de chacun d’eux soit
égal
à la sommede leurs
angles générateurs ;
cequi
donnera .Telles sont les
équations qu’il
faudraitcombiner
avecl’équation (3),
pour obtenir
l’angle générateur R
du cônecherché ,
et les cosinusA, B ,
C desangles
que forme son axe avec les axes des coor-données ;
et l’on voit évidemment que leproblème
aurait deuxsolutions.
Il y a donc deux cônes cherchés dont chacun a une
ligne
decontact avec l’un
quelconque
des cônesdonnés,
avec C’’ parexemple ;
et il est
clair, d’après cela ,
que la recherche duplan qui
contientces deux droites doit être un
problème
dupremier degré
seulement.Soient donc x , y, z les coordonnées de la
ligne
de contact deC/ avec le cône
cherché ;
nous connaissonsdéjà
un lieu de cetteligne ,
et c’est le cône C’’lui-même ,
dontl’équation
estil n’est donc
plus question
que d’en chercher un second.Or ,
cetteligne
devant être dans un mêmeplan
avec les axedes deux
cônes ,
il s’ensuitqu’on
doit avoiret
conséquemment ,
en éliminantA , B , C,
R entre lescinq équa-
356 CONTACT
tions
(3), (4) , (5) , (6) , (8) , l’équation résultante, en x ; y,
sera celle du second lieu
demandé.
Mais on sait
qu’une ligne
donnée par l’intersection de deux surfaces est aussi sur toute surface dontl’équation
serait une com-binaison des
équations
de cesdeux -là ;
d’où il suit que, dansl’élimination,
nous pouvons nous aider del’équation (7)
pour sim-plifier
nos résultats. Nous ne ferons ainsi que, substituer au lieu cherchéquelque
autre lieuplus simple , coupant
le cône ensuivant lamême droite.
A l’aide de cette
attention ,
l’élimination devient très-facile. On tiredes équations (3) , (6) , (8),
enayant égard
àl’équation (7) ,
ces
valeurs étant substituées
dans leséquations (4)
et(5) , elles
deviendront
Mais
onpeut
remarquer queon aura
donc ,
en substituant et divisant parCos.(R+r’’);
SPHÈRE.
d’où l’on
conclura ,
par l"élimination deTang.(R+r’’)
équation
d’unplan
dont l’intersection avec C’’ doit déterminer surce cône la droite suivant
laquelle
il doit être touché par le cône cherché. Cetteéquation
restant la mêmelorsqu’on
ychange
simul-tancnlent les
signes
de r , r’ ,r’’ ,
il s’ensuit qne , pour les huit combinaisons dont lessignes
de cesangles
sontsusceptibles
, c’est-à-dire,
pour les huit solutions duproblème,
cetteéquation
neprend
que
quatre
formesdistinctes,
à chacunedesquelles répondent
consé-quemment
deux de ces solutions.Pour construire le
p!an exprime
parl’équation (9) ,
il est nd-cessaire et il suffit de connaitre deux droites
qui
y soient contenues;c’est-à-dire
, de trouver deuxsystèmes
de deuxéquations
en x ,r, z
qui jouissent
de lapropriété
de rendrel’équation (9) identique.
Et
réciproquement
deux manières distinctesquelconques
de rendrel’équation (9) identique,
sans établir entre x, y , z des relationsqui
excèdent lepremier degré,
conduiront à la connaissance de deux droitesqui
détermineront leplan
cherché.Entre les diverses manières de rendre cette
équation identique ,
lesquelles
sont en nombreinfini,
nous choisirons lesdeux
suivantes : I.° nous poseronsséparément
les deux membresde-l’équation (g)
égaux
à zSin.2r’’ Cos.r’’; 2.° nous poserons les mêmes membreségaux
à-yCos.r’’.
Celadonnera ,
toutes réductionsfaites ,
les deuxsystèmes
d’équations
358
CONTACT
Ainsi,
en construisant la droiteexprimée
par leséquations (10), puis
la droiteexprimée
par leséquations (11)?
leplan
conduit parces deux droites sera celui
qu’exprime l’équation (9).
Ce
qu’il
y a- de mieux afaire ,
pour construire les droites(10)
et
(II) ,
c’est de construire lesplans
dont ces droites sont les inter- sections.Or,
avec un peu(attention,
on reconnaitles plans (10)
pour ceux des
lignes
de contact du cône C’’ avec lesplans tangens
communs extérieurs tant a ce cône et au cône C
qu’au
même côneet au cône
C’ ,
et on reconnaît lesplans (11)
pour ceux suivantlesquels
les cônesC ,
CIcoupent respectivement
le côneC’’ ,
ou ,en d’autres termes , pour les
plans
radicaux tant à C et C’’qu’à
CIet Cil
(*) ;
cequi indique
pour le cône cherche une construction(*)
Supposons,
en effet , quel’équation
duplan
tangent commun aux cônes C et C’’soit
avec la condition
si l’on veut que ce
plan
tangent soitextérieur ,
c’est-à-dire , si l’on veut que ceplan
laisse les deux cônes d’un même côté , D ,
E,
F seront détermines parl’équation
(13)
jointe
auxéquations
et l’on voit que le
problème
est du seconddegré,
de manièrequ’il
y a deuxplans
tan-gens.
Or , si l’on suppose que x, y , z
désignent
les coordonnées de l’une ou de l’autreligne
de contact avec CI, , leséquations
(12) , (I3) , (I4) , (I5) devant avoir lieu enmème temps pour ces droites, le résultat de l’élimination de
D ,
E , F entre elles seral’équation
d’une surface contenant ces mêmes droites.Ce résultat est facile à obtenir. On tire des
équations
(I2) , (I4) , (I5)qui , appliquée
ensuite à la recherche du cerclequi
en touche troisautres sur une
sphère ,
revient a cellequi
a etéenseignée plus haut,
Celle-ci se trouve même établie par ce
qui précède , puisquun plan
n’est autre chosequ’une sphère
dont le rayon est infini.valeurs
qui
substituées dansl’équation
(13) donnenttelle est donc
l’équation
d’une surface dont les intersections avec le cône C’’ détermi-neront ses
lignes
de contact avec les deuxplans qui
touchent à la fois extérieurement les cônes C’’ et C.Or en
développant
cetteéquation,
lamultipliant
par Cos.2r’’ , et ayantégard a
larelation (I) , elle peut être mise sous cette forme
or en la combinant avec celle de C’’
qui
estelle se réduit