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The Astrophysical Journal; T. XVII (suite)

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00240851

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240851

Submitted on 1 Jan 1903

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

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The Astrophysical Journal; T. XVII (suite)

J. Baillaud

To cite this version:

J. Baillaud. The Astrophysical Journal; T. XVII (suite). J. Phys. Theor. Appl., 1903, 2 (1), pp.937-

940. �10.1051/jphystap:019030020093701�. �jpa-00240851�

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937 est rouge brun (couleur de viande) avec tous les sulfures de cal-

cium, rouge cerise avec les sulfures de strontium, verte avec ceux

de baryum ; il semble donc que ce soit la couleur réelle des sulfures purs et denses, et que ces derniers ne puissent servir de substratum à la phosphorescence qu’après avoir passé à l’une des modifications moins denses, incolores, qui se produisent à température élevée.

La trituration des plaiinocyanures modifie également leur phos-

phorescence. P. LUGOL.

THE ASTROPHYSICAL JOURNAL;

T. XVII (suite).

KARL l’OSTERS1TZ. - On a new objective method for the measurement of

spectrograms (Sur une nouvelle méthode objective pour la mesure des spec-

trogrammes). - P. 262-26~. (Extrait d’un mémoire de l’auteur.)

C’est une méthode employée il y a quelques années par Exner et Ilascheck dans leur travail sur le spectre ultra-violet de l’étincelle (~;.

La photographie du spectre est projetée sur un écran portant une

fine division millimétrique. Le papier est parfaitement tendu sur son support, et des dévidoirs font glisser sur sa surface une bande de papier sur laquelle on a tracé avec soin un millier de raies-étalons, et indiqué leurs longueurs d’onde Une centaine de U. A.

recouvrent 1 mètre de l’écran, et la position des raies projetées peut

être déterminée au dixième de millimètre près.

D’après l’auteur, l’erreur moyenne des mesures ne dépasse

pas 0,015 U. A., et elle pourrait être réduite encore en employant

des glaces de verre pour plaques photographiques. Les avantages de cette méthode seraient une très grande rapidité, puisqu’elle n’exige pas de calcul, et beaucoup moins de fatigue pour les yeux et d’erreurs systématiques que dans les mesures micrométriques.

B. HASSELBERG. - Researches on the arc spectra of the metals. VI. Spectrum

of lllolybdenunl (Recherches sur les spectres de l’arc des métaux. M. Spectre

du molybdène). - P. 300-319; et janv. 1903, p. 20-~~3.

Ce mémoire contient la table des longueurs d’onde des raies du spectre de l’arc du molybdène et la discussion qui a permis d’en

(1. k. Akacl, Zll IVien, 1895, p. 913.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019030020093701

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.

extraire les raies étrangères. C’est la suite des recherches entre-

prises par l’auteur sur les spectres des métaux et publiées dans l’As- trophysical Journal.

ARTHUR SCHUSTER. - The solar atmosphere (L’atmosphére solaire).

-

P. 320-327.

En se basant sur les mesures de M. Fr. Very j’), M. Schuster trouve que la variation du rayonnement solaire du centre au bord

peut être aisément expliquée en supposant la couche absorbante

suffisamment rapprochée de la photosphère et en tenant compte du rayonnement que cette couche doit émettre elle-même à cause de sa

haute température. La moitié seulement du rayonnement total vien- drait de la photosphère, le reste de la couche absorbante. Pour que le rayonnement vienne presque complètement de cette couche, il

suffirait que, par suite d’une augmentation de densité ou d’épais-

seur, son absorption fîit augmentée dans un rapport égal à 4 ou 5.

C’est ce qui doit arriver pour la partie ombrée des taches solaires,

dont le rayonnement reste à peu près constant sur tout le disque.

THEODORE LYMAN. - On the prolongation of spectral lines (Sur la prolongation des raies spectrales). - P. 328-331.

L’auteur explique pourquoi les raies les plus intenses des spectres obtenus avec des réseaux concaves sont prolongées par des pointes

très nettes et ressortent sur un fond lumineux continu.

-

En examinant l’image principale donnée, par son réseau, d’un

trou d’épingle bien éclairé, il a trouvé qu’elle était formée d’un

disque et de deux rayons rectangulaires, l’un parallèle, l’autre perpendiculaire aux traits du réseau, le rayon horizontal étant le

plus long et le plus intense. En recouvrant la surface rayée du

réseau avec un écran rectangulaire disposé obliquement, le système

des deux rayons s’incline comme l’écran, mais on aperçoit un nou-

veau rayon horizontal plus faible, qui demeure immobile. D’après l’auteur, la croix mobile est due à la diffraction de la lumière par l’ouverture rectangulaire de l’écran; le rayon horizontal fixe, aux (i) t. XVI, p. l13 ~902 ; - mémoire analysé dans le J. de

p. 712 de ce vol.

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irrégularités du tracé du réseau. La surface rectangulaire formée

par les traits du réseau produisant les mêmes phénomènes de dif-

fraction sur les raies du spectre, c’est sa forme qui leur donne leur

apparence. Les prolongements verticaux ne sont pas gênants, mais

il n’en est pas de même du fond brillant, qui, avec les longues poses,

fait disparaître les raies faibles. On peut diminuer beaucoup son

intensité en convertissant, avec des morceaux de papier de forme convenable, la surface du réseau en un parallélogramme.

E. BARNARD. - The south polar cap of Mars (La calotte polaire sud de

-

P. 2~9-27.

_

La surface des calottes polaires de Mars varie avec les saisons de la planète; les mesures de l’auteur montrent qu’elle continue à

diminuer pendant plusieurs mois après le solstice d’été. Il semble donc que le maximum de température ne se produise que longtemps après le maximum de la radiation solaire : c’est une confirmation de l’existence d’une atmosphère assez importante sur cette planète.

PERCIVAL LE WIS. - Cathodo-luminescence and the ;negative pole spectruni

of nitrogen (La luminescence cathodique et le spectre de l’azote au pôle négatif).

-

XVII ; p. 258-269.

L’auteur recherche si la gaine lumineuse entourant la cathode dans des tubes à vide renfermant certains gaz, notamment de l’azote,

est une manifestation de l’énergie provenant du choc des rayons

cathodiques, ou de celle produite par le passage du courant. Il com-

pare pour cela à l’aide d’un spectrophotomètre de Glan, ou d’un grand

spectroscope à prisme les parties de la gaine à travers lesquelles ne passent que peu ou point de courant à celles il est le plus

intense. Voici ses conclusions :

Il Le spectre du pôle négatif de l’azote est dîi aux rayons catho-

diques ; l’intensité des bandes négatives dans la décharge simple dépend seulement de la distance à la cathode, elle est indépendante

des variations de potentiel dans le tube ;

~?° Les bandes positives se retrouvent dans le spectre de toutes les parties du tube ; mais leur intensité est variable, et semble dépendre surtout de la distribution du potentiel ;

3° La présence des bandes négatives dans le spectre de toutes

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les parties du tube, quand on emploie de fortes décharges, est due

aux rayons caihodiques provenant des parois ;

41 Le renforcement des bandes négatives par la self-induction est dû à la vitesse plus lente des oscillations, qui permet une décharge plus complète de l’électricité négative.

NORTON A. KE1TT. - On the effect of circuit conditions upon the wave-lengths,

of spark lines (Effet des diver ses conditions de circuit sur les longueur s

d’ondes des raies de l’étincelle), p. 286-299.

Hascheck C) avait trouvé que, dans certains cas, les raies de l’étin- celle du titane sont déplacées vers le rouge, par rapport aux raies correspondantes de l’arc, d’une quantité dépassant 0.14 U. A. L’auteur n’a pas trouvé de déplacements aussi grands ; mais ses recherches, quoique faites avec un instrument de dispersion insuffisante, montrent

que l’on doit noter avec soin les conditions dans lesquelles sont

obtenues les spectres d’étincelle, car la position des raies est altérée

d’une quantité atteignant 0,05 U. A. par des variations dans les capa-

cités, self-induction, résistances, impédances. De plus les différentes

parties de l’étincelle donnent des spectres dans lesquels les raies

diffèrent non seulement en intensité, mais en longueur d’onde.

J. BAILLAUD.

ERRATUM.

P. 324, 4e ligne en montant, au lieu de LEHINAMA, lire

P. 461, 5e ligne en montrant, après les mots les équations déduites du p1’incipe

d’Ostwal(l coïncident, ajouter : seulement dans le cas cl’un mouvement rectiligne.

(l) Astuopla. Jour°n., XIV ; ’1901.

Références

Documents relatifs

(1999) proposent également le processus suivant afin d’identifier systématiquement les parties prenantes: 1) identifier tous les rôles spécifiques au sein du groupe

Cette vitesse énorme, incomparablemént plus grande que celle de toute autre matière cosmique, oblige à chercher, pour ces appa- rences, d’autre explication que celle

tirer de ce fait des données sur la température des étoiles, cette.. 441 raie étant une raie de l’étincelle, mais Ilartmann et d’autres ont montré que l’on

On aperçoit alors en effet dans le spectre fluorescent des radiations de même longueur d’onde que la lumière incidente et des radiations plus intenses de plus grandes

est beaucoup plus faible que dans les spectres que l’on avait photo- graphiés auparavant ; que plusieurs raies de Fraunhofer sont très. affaiblies, tandis que d’autres

La seule hypothèse nécessaire à la réduction, c’est que les raies ont la même longueur d’onde dans le spectre des étoiles et dans celui du Soleil. C’est très

(Notes sur la cause des phénomènes caractéristiques des taches sulaires.) Dans les taches solaires, certaines raies du spectre d’un élément sontrenforcées par

ron 600 fois plus faible que ce qu’on devrait attendre d’après l’effet Doppler des rayons-canaux dans l’hydrogène.. Dans l’étude de la polarisation de la