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E. VILLARI. — Ricerche sperimentali intorno alcune proprietà fisiche del legno tagliato parallelamente e perpendicolarmente alle sue fibre ( Recherches expérimentales sur quelques propriétés physiques du bois taillé parallèlement et perpendiculairement au

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00236994

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236994

Submitted on 1 Jan 1874

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E. VILLARI. - Ricerche sperimentali intorno alcune proprietà fisiche del legno tagliato parallelamente e

perpendicolarmente alle sue fibre ( Recherches expérimentales sur quelques propriétés physiques du

bois taillé parallèlement et perpendiculairement aux fibres ); Atti della R. Accademia delle Scienze fisiche e

matematiche di Napoli, t. I II ; 1867

J. Lissajous

To cite this version:

J. Lissajous. E. VILLARI. - Ricerche sperimentali intorno alcune proprietà fisiche del legno tagliato

parallelamente e perpendicolarmente alle sue fibre ( Recherches expérimentales sur quelques propriétés

physiques du bois taillé parallèlement et perpendiculairement aux fibres ); Atti della R. Accademia

delle Scienze fisiche e matematiche di Napoli, t. I II ; 1867. J. Phys. Theor. Appl., 1874, 3 (1),

pp.356-360. �10.1051/jphystap:018740030035601�. �jpa-00236994�

(2)

d’après

les

nombres,

que, pour la réflexion

normale,

il y aura

pré-

dominance de la

lumière jaune

et verte, et que l’inv erse devra se

produire

pour une incidence voisine de 80

degrés .

On

peut

ainsi

prévoir

les colorations diverses que

présentent

les rayons réfléchis sur la fuchsine

lorsquela

lumière incidente est de la lumière blanche.

Ces

expériences

de 31.

Lundquist, déjà

si

intéressantes,

ne pa- raissent d ailleurs

qu’une

sorte de

préambule

à des recherches

plus

étendues.

E. MASCART.

E. VILLARI. 2014 Ricerche sperimentali intorno alcune proprietà fisiche del legno ta- gliato parallelamente e perpendicolarmente alle sue fibre ( Recherches expérimen-

tales sur quelques propriétés physiques du bois taillé parallèlement et perpendicu-

Iairement aux fibres ); Atti della R. Accademia delle Scienze fisiche e matematiche di Napoli, t. I II ; I867.

Les corps

qui

ne

présentent

pas la même élasticité suivant les diverses directions autour d’un même

point

offrent dans leurs pro-

priétés physiques

des différences

correspondantes

suivant ces mêmes

directions. M.

Villari,

dans une série intéressante

d’expériences,

a étudié à ce

point

de vue diverses variétés de bois.

Quoique

ces

expériences

soient

déjà anciennes,

ellcs ne nous semblent pas être très-connues dcs

physiciens :

nous croyons devoir les leur

signaler.

L’auteur s’est

occupé :

1 ° De la dilatation du bois par la

chaleur;

20 De la dilatation du bois par

l’action

de l’eau dont on l’im-

bibe ;

3° De la conductibilité du bois pour l’électricité

statique;

De la conductibilité du bois pour l’électricité

voltaïque.

La

première

série de recherches a été faite au moyen d’un appa- reil dont voici le

principe.

La barre à étudier est

placée

verticalement dans une étuve à va-

peur d’eau

analogue à

celle de

l’appareil

des chaleurs

spécifiques

de

1B1.

Regnault.

Au

voisinage

est une barre verticale de fer entourée d eau a

telnpérature

constante. Cette seconde barre

porte

un

pla-

teau

susceptible

de se fixer à diverses

hauteurs,

et

qui

sert de sup-

port

a une

espèce

de fléau de balance en verre muni d’un couteau

dont l’un des bras est

décuple

de l’autre. Le bras le

plus

court est

terminé par une

pointe

en bois

qui appuie

sur le bout de la barre

que l’on

étudie ;

un

poids suspendu

au fléau du mème côté du cou-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018740030035601

(3)

357

teau assure le contact; l’autre bras est terminé par un index dont

on observe les

déplacements

au cathétomètre: bien entendu que

tout

l’appareil

est

porté

par des supports absolument fixes et sous- trait à l’action de la chaleur par

1 interposition

de

pièces

non con-

ductrices en verre.

Au moyen de cet

appareil,

M. Villeri a

comparé

la dilatation de divers

bois

suivant la direction des fibres et suivant une direction

perpendiculaire,

et il a obtenu les résultats suivants :

Ces coefficients ont été déterminés entre 2 et

34 degrés

environ.

M. Villari a reconnu

qu’ilnc

fallait pas

opérer

il des

températures plus

élevées pour éviter les erreurs résultant de la dessiccation du bois. De

plus,

les résultats sont d’autant

plus concordants q’on opère plus

vite.

Le coefficient de dilatation transversal est

supérieur

pour tous les bois à celui des autres corps

solides,

et le cocthcicnt longitude d

inférieur,

cn laissant de cùlé

quelques

cas

exceptionnels

ou certains coctriciciits sont

négatifs.

En

effet, le plus

dilatable

parmi

les corps usuels est le

zinc,

dont le coefficient est

égal

à 0.000031 et le moins

dilatable est le verre, dont le coefficient est

égal

à

0,000008.

La différence considérable de dilatation du bois dans les deux

sens

peut

être montrée a tout uii .1I1 moyen d’un

appareil

très-simple,

dans

lequel l’inégal allongement

des deux barres fait incliner uii miroir sur

lequel

on f ait réfléchir un faisceau de lu- mière.

(4)

L’étude de la dilatation du bois par imbibition s’est faite en me-

surant, à l’aide d’une échelle munie d’un

vernier,

la

longueur

de

règles prises

d’abord à l’état sec,

puis immergées pendant plusieurs jours

dans

l’eau,

ensuite desséchées à nouveau. Les résultats sont

compris

dans le tableau suivant :

Ces

expériences

montrent que

l’imbibition

du bois le

dilate

beaucoup

moins dans le sens des fibres que dans le sens

perpendi-

culaire.

Pour étudier la conductibilité du bois pour l’électricité de ten- sion suivant diverses

directions,

M. Vil1ari met le conducteur de la machine en communication avec le sol par l’intermédiaire de

tiges

de même

longueur

et de même section

qu’il

veut

expérimenter.

Pendant que

l’électricité

se

perd

en

partie

par le

bois,

il mesure la

distance

explosive

des étincelles fournies par la machine

incomplé-

telllellt

déchargée

et obtient les résultats suivants :

La machine seule donne des étincelles de 22 à

24

millimètres.

On

voit, d’après cela,

que la résistance à la

propagation

de

l’é-

lectricité

statique

est variable dans les

bois,

et

plus grande

perpen-

diculairement

aux fibres que

parallèlement.

M. Villari a fait

également

une série

d’expériences

dans

laquelle

(5)

359

il mesurait le telnps que la machine,

communiquant

avec le sol par

une

tige

dc

bois,

mettait 1

perdre

à l’électromètre due

Henley

un

nombre déterminé de

degrés.

Les résultats obtenus par cette mé- tode sont de même sens que dans la

série précédente.

dant

présenter

une concordance adsolument

rigoureux.

Les bois

employés

étaient dessécliés a chaull et maintenus dans l’intervalle des

expériences

dans un vase renfermant du chlorure de

M. N illari a donné à

l’expérience

une forme saisissante pour un

cours : il a fait tailler une croix d’un seul morceau à brandies

égales

dans

laquelle

les fibres du bois éLneut exactement

dirigées

suivant

une des brandies de la croix, et par suite

perpendiculairement

à

l’autre. La croix étant

posée

sur le conductur de la machine et luise

en communi cation avec le sol par sa

partie supérieure, la

machine ne

se

charge

pas

quand

la branche

qui

réunit le conducteur au

doigt

de

l’opérateur

est taillée suivant la direction des nbres : die se

charge,

au

contraire, lorsque

cette branche est taillée 1H perepondiculaire lairement aux fIbres.

L’auteur attribue cette différence de conductibilité à la résis- tance offerte

par lcs

stratifications du bois au passage de l’électricité,

et en

enét,

un

parallélépipède

dont la hauteur

égale

la

largeur,

et

qui

est formé de cartons

superposés, présente

les mêmes

phéno-

mènes. Pour maintenir ces cartons, on les serre avec un lien de

soie,

et l’oii trouve que la différence de conductibilité, dans le sens

parallèles et perpendiculaire

aux

stratification, est

d’autant moindre cluc le serrage est

plus énergique.

La diilërcnce de conductibilité dans les deux sens. pour le bois n’est pas due à

l’inégale

faculté que

possèdent

le bois de fil et le

bois

perpendiculaire

aux

fibres,

de

prendre

un d’abandonner

midité;

en

l’flet,

l’auteur a

remarqué

que des bois bien desséches et abandonnés ensuite à l’air

pendant plusieurs jours

soit

toujours plus

conducteurs dans le sens des fibres que dans le sens perpen- diculaire.

M. Villari a

également

étudié le passage de l’électricité voltrique dans le bois numide. A cet

l’net,

il a

pris

une

plaque

entrede bois

mouillé, dans

laquelle

les libres étaient

parallèles

à un des

côtés,

et il a fait passer le courant

de plusieurs

éléments du hunsem à tra- vers une niiiice

longueur

de bois

prise

dans les deux directions

(6)

déjà expérimentées.

Un

galvanomètre placé

dans le circuit mesu-

rait l’intensité du courant, et il a reconnu que la résistance au pas- sage du courant était moindre dans la direction des fibres que dans la direction

perpendiculaire.

- _

J. LISSAJOUS.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE

Annales de Chimie et de

Physique.

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