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Les industries africaines de matériaux de construction

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(1)

i

IONS UNIES

NSEIL

)NOMIOUE social

ET LA FONDATION ALLEMANDE POUR LES PATS

EN VOIE DE DEVELOPPEMENT

Reunion sur les problemes -techniques et

sociaux de I1 urbanisation

(en particulier le financement du logement Addis-Abeba, 8-23 Janvier 1969

Distr.

LIMITEE

E/CN.14/HOU/34

9 janvier 19^8

PRANCAIS

Original : ANGLAIS

INDUSTRIES AFRICAINES DE MATERIAUX IB CONSTRUCTION

TABLE DEO MATIERES

LES INDUSTRIES AFRICAINES DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION PRODUCTION ET CONSOMMATION DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION DEVELOPFEMENT : PROBLEMES ET POSSIBILITIES

PROJECTIONS POUR LE DEVELOPPEMENT

ANNEXES

I. Production interieure d3S industries de materiaux d«.

construction et des industries connexes

II. Consommation de ciment par habitant en Afrique et dans

le raonde x

III. Consommation africaine d'artioles en bois et leur con

tribution a la construction

TV Ciment - Ouvrages prefabriques en ciment -

Set g^avifr, agregat,, pierres - Produito s

1

2

8

12

M68-1855

(2)

U35 INDUSTRIES AFRICAINES DE MATCRIAUX DE CONSTRUCTIO

II est admis que 1'industrie des materiaux de

N^

un r5le

gement.

nn Petime cm'en 1965 le produit interieur "brut du continent africain 2/

zieme de ce chiffre, soit pres de

de

;

tres -travaux.

noli™. On

«» ■""

mmmmm primes d1assurance pour oouvrir les dommages, les pertes, etc.

Si les defenses courages de construction etaient r«?

grace a 1-utilisation de materiaux produits sur place, «* V

production actuelle pourrait se trouver amelioree par une telle 2

^conomique, par rapport au maintien du niveau actuel.de production.

Les chiffres de la colonne de droite montrent qu/

pour 100 des depenses de construction aurait pour r^sultat au

Le epargne des investiesements de construction de 6 milliards ^e dollars

environ, soit presque le double du montant necessaire a une production na- tionale de 3,6 milliards de dollars.

1/ Redige pour le Cycle d'etudes interregional de 1'ONUDI sur les materiaux de construction, Moscou, septembre-octotre i960.

2/ L'Afrique du Sud exceptee

(3)

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Page 2

1-980 8.800

valeur des importations

la

1.100 600

4.800

4.300

Depenses pour construction

valeur des importations

1-980 :8.000

On trouvera a 1'

en

c

que sont

Chiffres cumulee

pendant cette

8O.850

44.250 36.750

74.850

eat evalue a

«b i965

alors

B. S££ucture_actueiie

Ciment

la plupart de c

ces

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(4)

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(5)

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(6)

de la Rhodesie, la valeur ajoutee etait de 61 et 56 pour 100 respective- ment. Les traitements tres eleves des employes extra-africams et les

■benefices considerables sent deux des elements iinportants qui sont a l'ori-

gine de cette situation..

Si la valeur ajoutee etait ramenee au taux prevalant normalement dans les pays developpes, soit 40 pour 100, il serait possible, sans changer les prix des. facteurs de production intermediaires, de ramener le prix du ciment actuellement de 30 dollars des Etats-Unis la tonne, a 20 dollars environ.

Exemple : Facteurs de production intermediaires (40$) 12$ ou (6ofo) 12$

Valeur ajoutee (60%) 18$. ou (40$) J8|

30$ ou 201:

La production et la consommation de ciment de I1Afrique ont progress^

mais pas au rythme de la consommation moyenne mondiale. On trouvera a I1annexe II une eomparaison de la oonsommation de ciment par habitant en Afrique et du chiffre mondial correspondant depuis 1950. En 1950, la con- /.

sommation par habitant de toutes les sous-regions de 1!Afrique etait infe- rieure a celle du monde, tout en atteignant toutefois 55 pour 100 dela con- eommation mondiale, Entre les annees 1950 et 1966 la consommation par habi tant de I1Afrique a augmente mais pas aussi rapidement que celle du monde.

II en est result un elargissement de l'ecart entre la consommation africaine et la consommation mondiale, et en 1966 la consommation de ciment par habitant en Afrique n'etait que de 34 pour IOC de la consoinmation mondiale. Mais comme 1'utilisation des materia?jx en beton se repand de plus en plus alors que le climat des investissements s'amclicre., cet ecart pourrait diminuer dans un

avenir rapproche-

Ouvra^es en ciment

La plupart des pays d1Afrique produisent du ciment et des ouvrages en beton. L'importance de ces industries et le degre de mecanisation varient

d'un pays. ;a; l'autre.

En Afrique du nord, les parpaings ds beton remplaoent de plus en plus les materiaux de construction traditionnels,generalement aseez peu durables.

Us sont dans une large mesure fabriques par de petites entreprises et par les entrepreneurs de construction eux-memes qui utilisent un materiel mobile sur le chantier. Outre les parpaings de ciment, il y a toute une gamme d'autres

ouvrages en ciment, allant de 1'amiante-ciment aux elements de construction

prefabriques et preoontraints. En raison de 1'existence de ciment local, les articles a base de ciment sont largement utilises. Une situation semblable

se rencontre dans la sous-region de 1!Afrique de I1est, mais pas en Afrique de

l'ouest et du centre. Les principal materiaux en beton utilises sont les parpaings et autres articles on beton dont la production n'exige pas des in vestissements eleves. Les parpaings de beton sont fort apprecies des entre-—-

preneurs parce qu'ils peuvent etre fabriques sur le chantier meme avec un

materiel mobile. Sien que les materiaiix trad.itionnels? tels que les briques

d'argile, soient souvent moans onereux et souvent mieux adaptes aux conditions,

(7)

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Page 6

cette situation prevent payee que, en I1absence d'un controle offioiel de la qualite, des materiaux de construction, les entrepreneurs ont ten-, dance a s'ecarter des cahiers des charges et a utiliser le ciraeni;' pour s'as surer une plus grandc marge oeneficiaire.

L1 evolution future de cette industrie devrait etre orientee vers 1'ins tallation d'usines d'amiante-ciment et 1'elargissement des unites fabri- quant des materiaux de construction priraaires tels que parpaings, carreaux et tubes, afin de faire diminuer les prix de facon substantielle, au be-:

nefice des vastes programmes de logement et de construction que la plupart des pays envisagent. UVfce'rieureraent, il faudrait orienter les efforts vers la production d'elements de construction prefabriques et normalis.es de

grandes dimensions en vue d'augmenter la productivite du secteur de la cons

truction.

Sables*, graviers, agrt%ats et pierres taillees

On trouve des carrieres de sables et d'agregats dans tous les pays d^Afriquef il s'agit generalement d'un assez grand nombre de petites car- ; riferes dans les centres de population ou a leur proximite. Si les carrieres existent dans les aones agricoles, on peut utiliser certaines des terres dans de meilleures conditions pour 1'agriculture en concentrant 1'extraction

a quelques grandes carrieres-

Dans les regions ou 1'on trcuve de la pierre a chaux ou tout autre pierre facile a travailler, les pierres taillees sont utilisees pour les maisons et autres constructions, en general elles ne peuvent concurrencer

les parpaings de beton. :

Ouvrages en ar^ile et en oeramique

L'industrie la plus repandue dans le domaine de la fabrication des materiaux de construction est celle de la brique (voir annexe i). Dans de nombreux pays africains,. la fabrication des briques, en particulier des briques pleinesaune origine traditionnelle tres ancienne et les vieilles methodes artisanales sont encore vivaces,. meme apres 1'introduction des methodes industrielles modernes. Les briques artisanales sont de qualite tres variable allant du mediocre a I'acceptable, mais elles sont de toute fagon t,res bon marchs, en sorte qu'elles soutiennent la concurrence des materiaux de construction plus durables tels que les blocs de beton et les briques industrielles. Ellss sont generalement utilisees en milieu rural

et pour les habitations economiques, :

Les meilleures briqueteries se trouvent en Afrique du nord ou elles suffisent a la demande .locale, L'Afrique de l'est a une Industrie de 1'ar-' gile cuite tres bien organisee produisant a pleine capacite.

Le bo.is , ■ ,

Les hautes futaies denses soirt.nombreuses en Afriqu«, plus de 75 pour 100 du total revenant a 1'Afrique de 1'ouest et a l'Afrique du centre a elles seules.

Pour certains pays de l'Afrique du centre les exportations de bois comptent

(8)

pour 70 a 80 pour 100 de leurs exportations totales; ce sont generalement les "bois precieux utilises pour les placages, etc- qui font l'objet de la plus forte demande. Toutefois la plus grande partie du bois est exportee en grumes, ce qui laisse a penser qu'il serait possible de creer des indus tries renta.bles pour la transformation d'une grande partie des vastes res- sources de bois d'oeuvre de 1'Afrique- L'industrie de la construction lo cale utilise en guise de matieres premieres les branches des grumes expor- tees et un certain nombre d'especes de bois legers. Seule l'Afrique du nord importe d^Burope presque tous les sciages dont elle a besoin«

On trouvera en annexe le graphique 3a) qui recapitule la consommation

de bois des differentes soxis-regions - II montre qu'en Afrique du nord la

consommation comprend surtout des bois transforraes (sciages et panneaux)

tandis qu'en Afrique de l'ouest, du centre et de l'est ce sont les bois ronds qui constituent l'essentiel de la consommation..

L'Afrique est a l'heure actuelle un exportateur net de bois d'oeuvre, mais cette situation peut changer dans un avenir rapproche. Pour qu'il soit possible de soutenir le volume d'exportation actuel et de satisfaire a la demande en augmentation rapide du secteur de la construction, il faudrait

importer du bois de conifere bon marche (dont le prix CAF est d1environ la moitie du prix FAB des especes exportees) pour remplacer dans certains cas

les especes precieuses utilisees.

II existe en Afrique plusieurs especes de bois dont on ne sait pas encore s'ils conviennent a la construction- II est probable que plusieurs de ces especes pourraient etre utilisees, si bien qu'il pourrait ne plus Stre necessaire d1importer. II faut done identifier les especes utilisa- bles et formuler les politiques qui permettront d'en encourager l'emploi

(et de faire disparaitre les prejuges qui s'y opposent).

Produits de la siderurgie

Seuls trois pays africains possedent des usines integrees produisaat de l'acier a partir du minerai de fer. La production annuelle de la Tunisie est de 80.000 tonnes environ. Celle de la RAU d'environ 500.000 tonnes, la capacite devant etre prochainement elevee a. 1 million de tonnes. La Bhodesie produit 100-000 tonnes d'acier et 150-000 ^tonnes de fonte pour 1'exportation..

Leurs productions conibinees correspondent a 20 pour 100 de ]a consommation to-

tale de l'Afrique, l'Afrique du Sud exceptee- II y a au Ghana, au Nigeria, en Ouganda et en Ethiopie de petites usines de fonderie de ferrailles et de relaminage.

La construction absorbe environ 75 pour 100 de la consommation, les fers a, beton venant en tete. Le beton arme est l'un des principaux mate- riaux de construction utilises en Afrique. Les aciers de construction, tels que les toles lourdes et les profiles ne sont utilises que pour les ponts de grande portee et les batiments importants, les reservoirs pour liquide's^

cereales, etc. Un grand nombre d'elements en acier tels que clous, clotures,

grillages et autres accessoires (tubes, tuyaux, articles sanitaires) sont

utilises dans la construction en Afrique.

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Page 8

La production locale, qui utilise generalement des produits finis ou des demi-prbduits importes, est orientee vers la fabrication d'elements

tels que cadres de fene*tres etde portes, barrieres, accessoires pour lre"cou- lement des eaux, etc., plutot que vers des elements tels que baguettes, pro- fils et tSles ondulees qiii sont egalement tres demandes.■ :

Seuls quelques pays ont pris des mesures en vue de la production de quelques-uns des articles en fer et en acier les plus necessaires. Quelques petites usines de relaminage fonctionnent dans certains pays, ce qui prepare la voie a 1'extension de la production siderurgique.

En 1964j sur les 2-5CO.OOO tonnes utilisees seulement 565,000 prove-

naient de la production locale. Les importations de fer et d'acier qui se sont elevees la m§me annee a 233 millions de dollars des Etats-Unis ont ete le double de celles de ciraent.

DEVELOPFEMENT : PROBLEMES ET POSSIBILITY

a) Matieres premieres

En Afrique les prinoipales matieres premieres entrant dans la

fabrication des materiaux de construction ne manquent pas. En fait l'Afrique exporte une grande partie de ces matieres premieres qui sont transformers et utiliseesdans d'autres parties du monde. Le tableau 2 donne des indications sur

la production de ces matieres premieres en Afrique. Toutefois, il se peut queees indications ne representent pas la totalite des ressources disponi—

bles, etant donne qu'une grande partie des ressources connues rie sont pas encore exploitees.

En ce qui cohcerne les autres ressources minerales non m^talliques servant a la fabrication d'articles ceramiques et du verre, il n'existe . presque pas de donnee3 sur la production. Des gisementsde sables-riches en silices utilisables pour la fabrication de verre et d'argilesrpour la cera- mique sont signales dans des pays de toutes les sous-regions mais il,serait necessaire d'etudier 1 Jimpo::':ance et la qualite de ces gisements, ainsi que la r^entabilite de leur exploitation.

Aussi abondantes soient-elles, ces ressources ne sont pas equitablement

reparties entre les pays' du continent. Le tableau ,ci^-apres montre une pro

duction de 24 millions de m3 de bois rond pour la soua-region de ,1'Afrique du nord dont 22 millions pour le seul Soudan. l)e merae la sous-region de l'Afrique du centre est relativement moins riche en pierre a chaux-

Les matieres brutes (Section 2 de la CTCl) constituent une grande partie

des exportations de l'Afrique.. Par exemple, elles comptent pour 35 pour 100 de la val,'eur des exportations de l'Afrique du centre. Si 1'on .compare la valeur des importations regionales de certains produits finis avec celle des exportations de matieres premi5r.es dont ils sont issus on constaxe un desequi- libre. Par exemple, en 19^4, les importations de produits finis en acier

(1,9 million de tonnes) se sont elevees a 233 millions de dollars des Etats-

Unis alors que les exportations de minerai de fer (I4j7 millions de tonnes

d'equivalent en fer) 3'elevaient a environ 150 millions de dollars.

(10)

Tableau 2 : Production afrioaine des matiferes premieres utilisees pour

la.fabrication des materiaux de construction, 1965

Unite

.Sous-region

Autres

pays

afri-

Nord Quest Centre Est cains Total

Amiante : Gypse ,

Mineral'de; fer

(Equivalent en fer)

Kaolin

Pierre a chaux Bois rond ■

milliers de

tonnes

3

696

3083 15524

48 -

782c£/ 1200-

millions de m3 24 57

16O» 256 419 42. 318 1058

824 . 5146' 24577

P

40 11

25

II84

61

855? . 19O63J

14 213

Sourceg : Annuair& statistique des Nafions Unie.s' 1965 et 1966.

■■,v- ■■,.-. .Mineral Yearbook, vol. IV, Etats-Unis, Bureau des Mines.

a/ La Ebodesie'seulement, b/ Estimations.

Uhe cooperation interregionale pu multinationale permettrait sans doute la, creation d'un nombre suffisant d'industries pour traiter la plus grande partie des matieres trutes extraites et contribuer ainsi a I'etablissement , d'un equilibre entre.les elements du commerce exterieur de l'Afrique.

*b) Capacit^s requires pour les usines .

i -....■■■

Dans la plupart des pays afrioains la consommation totale de mate"riaux

de construction est superieure a la capacite minimale de toute fabrique mo- derne de materiaux de construction. Les r^seaux de distribution ^tan.t le plus, souvent insuffisants, la centralisation de la production dans une ou = quelques fabriques donnerait lieu a d'enormes difficultes pour I'approvision-

nement des regions eloignees. ' ' .

Certes le probleme est tres complexe et le choix del'emplacement et de la capacite d'un^e nouvelle usine implique l'examen de nombreux fact.eurs.

Des conditions speciales existent dans les pays sans littoral, ou le prxx de;

vente des materiaux de.construction est tellement eleve que de petites usines pourraient soutenir la concurrence, malgre des frais generaux assez importants.

Cette possibilite ne devrait Dependant pas emp§cher les gouvernements des pays interesses de tendre vers les solutions optimales. grace a une cooperation

sous-regionale.. . . .

(11)

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et

Prix de revient et prix de venta

leB indications

„■„„,

per,nettant de

f?.

•*

: "ut

l!res Premieres et de pieces de

,

" ■

(12)

Tableau 3

Pays

Ethiopia Kenya

Madagascar

Malawi He Maurice Rwanda Ouganda Zarabie

Ville

Addis-Abeba Mombassa Nairobi Tananarive Ambeanio Zomba Port-Louis Kigali Tororo Lusaka

Prix en dollars E.U0 la tonne

40,25 26,46 33,74

■: :5i,65

35,49 36,64

21,28

63,00 34,86

19,60

■—"■■ -' — -

Depart usine

Franco depositaire

'i it

Importe de Prance

Depart usine

ti n

CAF importe du Kenya

Importe de 1'Ouganda

Depart usine

Deux des pnncipaux domaines ou lea efforts tendus vers la reduction des ooflts porteraient immediatement des fruits sont la main-d■oeuvre et les investissement s dans 1 • ecruipement. Des mesures urgentes s'iniposent Dour la formation d'un personnel local afin d'eviter, ou tout au moins de reduire au

f^^^T"™1' re°°UrS aUX exper4:s extra-africains et de diminuer le nombre

.manoeuvref employes dans beaucoup d'usines. L-installation des

Z^™' d01t etre Pr6o«d«e i1 etudes et de reoherbhes approfondies permettant de ohoisir en toute oonnaissance de cause le materiel et les pro-

^maied^^^ *"■/!rmettrfent d'*ta»tiP a un rendement d'exploitation

maximal dans les conditions afneaines. II serait possible de lancer la fa-

^rt8"latlTWBt siraPles P°want «» incorpores aux unites

^f^i°°- Ces possiMlites doivent faire faudrait encourager la production locale des Elements

1:^"*11* des briques-des

, - L'intervention de l'Etat en vue de garantir la libre concurrence en vue

de-la, aiminixtioh des prix serait aussi necessaire. Seul ce moyen permettra

au consommateur de profiter des mesures particulieres telles qu•exemptions de

droits de douane et d'impots acoordees aux nouvelles usines en Afrique.

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PROJECTIONS POUR LE SEVELOPPMENT

... . L'industrie' de la construction joue un role important dans les activates economiques de tout pays. Les investissements dans la construction represen- tent une fraction quasi constantg de la formation de capital fixe quel que soit 1'ordre de priorite national fixe pour le developpement. Cette fraction varie suivant les pays de 50 a. 70 pour 100 de la formation "brute de capital fixe interieur et bend a diminuer a mesure que le rapport entre la formation brute de capital fixe interieur et le produit interieur brut augmente, etant donne que le taux de remplacement des maisons et autres constructions est tres bas compare a. ceiui des machines et de 1'equipement. Lee investissements dans la construction «j i-epcrcirx.t.n.t en quati-e racteurs, a savoir :

1. Investissements pour le logementj

2. Investissements dans les batiments non residentiels en faveur du secteur productifj

3» Investissements dans les batiments non residentiels en faveur du secteur social;

4. Investissements d1infrastructure.

La repartition des investissements entre ces differents secteurs depend largement des politiques gouvernementales et des sources de financement; elle est par consequent ociisr.ble a tout changement politique et economique dans le pays. Les bailleurs do fonde nationeux du secteur prive ont tendance a inves-

tir surtout dans les logements et les batiments commerciaux (boutiques, usines, hStels, etc.), tandis que les investisscmentg du secteur public sont en grande partie consacres aiuc travaux d1infrastructure (routes^ services essentiels, chemin de fer, etc.) et aux batimonts residcntiels de nature sociale et publi-

que, tels que les etablissements d'enseigneraent,de sante publique et d'adminis- tration.

Le besoin generalise de logemertt a bon marche qui se fait sentir dans presque tous le.s pays d'Afrique ect d.u a 1'accroissement rapide de la popula tion et a sa migration vers les grandes villes, associes au fait que les bailleurs de fonds particuliera ont tendanco a c'interesser surtout aux ca tegories d'habitatioas p?uus couteuses succeptiblen de rapporter des loyers sieves. II importe done que les gouveraements se mettent a favoriser de vastes programmes de logements a bon marchs, soit au moyen de projets de logements a 1'echelon national, eoit en prevoyant des fonds pour de tels programmes.

Certains pays ont deja. commence a, agir ds.ns ce sens mais le mouvement est encore trop limite.

En se fondant sur 1'hypothese que de 50 a 70 pour 100 de la formation de capital fixe seront investis dans la construction, on a etabli une projection

(14)

de 1'investissement dans la construction en Afrique pour 198O l/, qui est

exposee dans le tableau 4 ci-aprest en m§me temps que les chiffres compa-

rables pour 1965-

Tableau 4 : Formation interieure brute de capital fixe dans la construc

tion et sa contribution au PIB, 1965-1980"

(en millions de dollars EU)

PIB

1

1965

PGF dans la construction

2

2

pour a 1

100

3

PIE

4

1980

FCP dans la cons truction

5

5 a 4

pour

100

6

Nord Ouest Centre Est

4 sous-regions

7.370 9.550 2.522

3.534 22.976

591

788 173

424 1.976

8,0 8,2

6,9

12,0 8,6

18,800 22♦530

6.689 8.4IO 56.429

2.644 3.461 804

1.171 8.080

14 15

12 13

14

,1 ,4

,0

,9

,3

D'apres ces projections, on peut envisager pour l'industrie de la cons truction en Afrique d'enormes possibilites de developpement qui ne se concre- tiseront que si certaines mesures sont adoptees. Tout d'abord, il faudrait que les politiques gouvernementales tendent a creer des conditions favorables aux entrepreneurs locaux et a assurer a l'industrie de la construction une organisation et une gestion efficaces. Ensuite, aucun effort ne devrait e*tre epargne pour ameliorer la production de l'industrie africaine des mate"riaux de construction, tant du point de vue de la qualite que de celui de la quan- tite, ce qui implique le lancement de projets multinationaux et sous-regionaux.

II faudrait, en troisieme lieu, s'efforcer d'abaisser les prix de revient de la construction, non seulement en reduisant le prix des materiaux, mais aussi

l/ Les projections sont fondees sur des taux d'accroissement qui sont plus

eleves que les taux atteints par les sous-regions pendant la periode

I96O-I965. Cependant, eu egard a la necessite urgente d'accelerer le

developpement africain, ils ne sont pas deraisonnables, Les taux de croissance du PIB par habitant dans chaque sous-region pour la periode

1964-1980, a partir desquels on a etabli les projections sont : Afrique

du nord, 3,1 pour 100; Afrique de 1'est, 3,0 pour 100; Afrique de I1ouest 3,4 pour 100 et Afrique centrale, 3,5 pour 100.

(15)

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Page 14

en augmeiitant la productivity de la main-d'oeuvre, et en normalisant les

elements de construction et la fabrication eh seVie;. Enfin, (il serait tres utile de creer un institut africain de geologie, charge d'^tablir un reperw toxre detains des matieres premieres utilises par l'industrie de la cons truction., qui. existent .en Afrique-.-et-«ne carets-geol^ogicniedu continent, et

d'organiser au niveau. des pa3cs--d!ee- laboratoi^e&'d1 experimentation.

(16)

Production interieure des industries de materiaux de construction

et des industries connexes -'

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34567

9 10 11 12 13 14 15 16

Afrique du nord Algerie

Libye Iferoc Soudan Tunisie RAU

X

X X X X

X X ..

X.

X X.

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X

X X

V

. x

X X X ■

-

_

X X

xxx-xxx

xxxxx-x x

XXX--X- X

xxx-xxx..

6 _ Totaux partiels 5 6 4. 6 A £

1 3 3 ^ 0

Afrimie.de lTouos- Dahomey

Gambie Ghana Guinee

GSte-d1Ivoire

~* .• • .

- X - ■ X ■

* X - X

- X

— X

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— X - X

• •

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X X X X X

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X - - -

2/ Existence de materiaux de construction X

■ Absence de materiaux de construction -

Pas de renseignement ..

(17)

01 8

4 H-P ORH-

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Nom"bredepaysparregionet nom^retotaldeppys m ,-Ciraent Ouyragcsenciicent;

Oavrages en amiante-oinent

, Articlesenterrecuite*

Usines siderurgiqrtes

*

(integrees)

Produitssiderurgiques Hetauxnonferreux Boistravailles

Contre-plaques

:

Peintures et vernis (malaxage et production)

Verresavitres

Equipement pour la distribu

tiond'electricite

Apparsils sanitaires

Accessoiressanitaires

(ftB ©Q M ro<o

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8

(18)

Production interieure des industries de materiaux de construction

ot des industries connexos (suite) -> l/

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•H Oto CQ 0O O

Pays

3 4 5 6 7

9 10 11 12 13 14 15 16

AfriquQ oentrale Republique du

Congo

Republique demo- .cratique du

Congo Gabon

- X X - X X X X X

X X .» X - a. - X

A AA A A "~ • • as a

__xx---

7 Totaux partiels 4 0 45 00 0

Afxicrue de l'est

Burundi X - X

Ethiopie X X - X

Kenya X XX X

Madagascar X X . • X

lie Ilaurice x - X

Mozambique X X .. X

Nyassaland (Malawi) X X .. X

Rhodesie du nord X X X X

X - X X ^ - X

X X X - X - X

aa *• A ~* •• "™ ™"

a. .a A A .. aa

aa aa A • • ""* ■"*

A XXaa aa "" A X

\J Existence de materiaux do construction X

Absence de materiaux de construction - Pas de renseignement

(19)

E/CN.14/HCU/34

Annexe I Page 4

Production interieure des industries de materiaux da construction

et des industries connexes fsuite)!/

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a-

..1™. -

3 -4567

10 11 12 -13 14 15

Africrue de lfest (suite)

Rwanda

Somalie

Rhodesie du sud Tanganyika

Ouganda .

-

X

_

X X X X X X

-

X

.-

X

X -

• • -

X X X - X -

t •

-

X

-

X

a .

-

X X

a •

X X X X

-

* *.

X

-

-

X X

. —

• ■ A A. . .

13 Totaux partieIs

8 13 4 12 1

4 10 0 4 2 0

40 Total general 17 32 9 37 3 17 14 30 12 11

4 .1

Existence de materiaux- de- construction X Absence de materiaux de construction - Pas de renseignements .»

(20)

ANNEXEII ConsommationdecimentparhabitantenAfriqueetdans1g AFRIQUEDUNORDAFRIQUEDEL'OUESTAFRIQUECENTRALE Kgpar habitantIndiceKgpar habitantIndiceKgpar habitantIndice 1950

1955 1957 1958 1959

196O

1961 1962 1963 1964 1965

1966

43

55 46

52

56

66 60 58 70 70

65 69

0,78 0,68 0,53 0,57 0,57 0,63 0,55 * 0,55

0,60 0,56 0,50 o»50

11

'14

16 18

19

22 22 22 23

25

26 28

0,20

0,17

0,18 0,20

0,19

0,21 0,20

0,19

0,20 0,20 0f20 0,20

32 33 33 31 24 15 12 16 16 18 16 17

0,42 0,41 0,40

0,34

0,24 O14 0,11 0,14 0,14 0,15 0,12 0,12

(21)

ANNEXE II (suite)

ConsommationdecimentparhabitantenAfrigueetdanslemonde

a

APRIQUEDEL'ESTENSEMBLEDEL'APRIQUEMONDE Kgpar habitantIndiceKgpar habitantIndiceKgpar habitantIndice 1950

1955 "■■ 1957 1958 1959

1960 1961 1962

1963 1964 1965

1966

18 ""'21 21

\22

23 21 21 18 17 17 16 16

0,33 0,26" 0,24 0,24 0.23 0,20

0,19

0,16 0,15

0,14

0,12 0,12

30 42 41 43

44

40 42 40 41

44 45 47

0,55 "■0,52 0,47 [ 0,47 0,45 0,38 0,38 0,34 0,35 0,35 0,34

0,34

55

81

87

92 98 104 110 116 116 124 131

137

1,0 1,0

1.0 1.0

1,0 1,0 1,0 1.0 1,0 1.0 1.0 1,0

(22)

Consommation africaine d'articles en bois et leur

Produits en

"bois

Sciages

Bois en

panneaux

Bois en grumes

Articles en bois

Total

contribution

a la construction (en millions 1959/1961

Consommation Contribution a la Sous-region

Ouest et centrale Est Nord

4 sous-regions Ouest et

centrale Est Nord

4 sous-regions Ouest et

centrale Est Nord

4 sous-regions Ouest et

centrale Est Nord

4 sous—regions

totale

1,10 0,82 1,00 2,92

0,06 0,07 0,11 0,24

4,86 4,80 0,43 10,09

6,02

5,69

1f54

13,25

construction

0,800 0,520 0,520 1,840

0,030

0,035 0,055

0,120

3,500 3,500 0,100 7,100

4.330

4.055 0,675

9,060

de metres cubes)

1975

Consommation Contrib, a la totale

2,400 1,600 1,700 5-700

0,154 0,199 0,327 0,680

6,610 6,630

0,660 13,900

9,164 8,429 2,687

20,280

construction

1,700 1,000 0,900 3.600

0,077

0,100 0,160

0,337

4,500 4,500 0f200 9,200

6,277

5,600

1,260

13,137

(23)

SOUS-REGIONS NORD Quantite*

Milliers de tonnes

Quantite

Milliers de tonnes

I"*TT^TntL>ftTTJi Quantite

Milliers de tonnes

SST- Quantite Mlliers

de tonnes nOUTES LES SOUS-REGIONS

Quantite Milliersdetonnes

Production

4.745 965 1

250 792

6.752 2

1964

Imp.- Exp,0

415 5

.4222 207

79

.1238.OilSt

. •160

.387 457 871 ,875

ANNEXEIV Ciment -

Const./Cap, ■ (kg) ■-.-.;-

72 25 18 13 34 ....

Prod.Imp.-

1980

Const• 13.500 12.390 3,030 4.460

33.380

Const./cap. (kg)

121

84

82

47 85 fi ?

(24)

SOUS-REGIONS NORD Valeurmilliers dedollars Quantitemilliers

de tonnes 2/

OUEST Valeurmilliers dedollars Quantitymilliers detonnes CENIRALE'• Valeurmilliers dedollars

Quantite milliers

detonnes EST Valeurmilliers

de dollars Quantite milliers

detonnes TOTALITE Valeur

milliers

dedollars

Quantite milliers

detonnes

Prod. 22

882

50 2.000

noi/ 200^ 80

3.192

1964

Const. 22

882

50 2.000 3 110

5

200

80

3.192

Ou

Const./cap. t» kg

0,50 20 0,52 21 0,12

4 0,08

3

0,35

14

vrasesnrefabricruenen Prod. 70

2.823 -

186 7.500

23 923 13 ■

520 292

11.766

1975

Const. 70

2.823

186 500 3 3

13

520 292 11.766

cimetrt

Const./cap. • - kg 1,18 48 1,44 58

0,70

28 0,15 7 0,95 :. 39

Prod. 110

4.287

470

16.610

40

1.642

20

800 640 23-339

1980 Const. 110

4.287

470

16.610

40 1.642 20

800 640 23.339 age

ro

Const ./cap. » - kg

1,61

63 3,18

112

1,08 44

0,21 8

1,84 67 -

<

of

2/ Non compris la RAU.

(25)

Sableetgravier,agregats.pierres SOUS-REGIONS.<Const.

1-964 ='

>

Const ./cap.

Const.

1975 Const ./dap.

"Const.

1980

' Gonst./cap.'

NORD Valeur.milliersdedollars50 ^uantitemilliersdetonnes36,1 OUEST Valeur.milliersdedollars'23 Quantitemilliersdetonnes16,7 4,4 3,2 Q,6 6,1

Valeurmilliersdedollars

Quantise milliers de tonnes

3ST,■■■

Valeur milliers de dollars

Quantitemi-lliersdetonnes Vaiovirrdlliorodedollars86 Quaii-jivomilliersdotonnesr.62,1

kg 500

174

126

93

72

51,5 13

9,0 26 18,8

.19?

400

273

222 240207 147,8430

13,2 94,0 12,1

86,7

30 21,2 43 31- 326

232,9

kg 840 587 573

325

595

©<oS CO 4

(26)

Produits siderurgiques (non compris 1'equipement pour le chauffage, l'electricite et la plomberie) 1964 1975

1980

50US-HEGIONS Prod. ImpI Const. Const./cap. Prod.Imp.Const.Const./cap.Prod. Imp, Const. Const./cap,

NORD Valeur Milliers Quantite Milliers OUEST Valeur Milliers Quantite Milliers CENTRALE Valeur Milliers Quantite Milliers EST Valeur Milliers Quantite Itfilliers

* t. $ t. $ t. ft t.

46 385

2 20 1 10 18 150

105 880 70 580 16 130 42 350

151 1.265

72 600

17

140 60 500

enkg

17,9

6,2 5,6

7,4

288 2.400

144

1.200

53

440 127 1.060 612 5.100

127 1.060 72 600 12 100

24

200

235

1.960

4.515

3.460 216 1.800

65

540 151 1.260

847 7.060

enkg

398 139 537 35,5 3.320 1.160 4.480

20473277

14,0 1.700 610 2.310 16,4

82 4 86 685

35

720

17220192

14,9 1.435 165 1.600

TOTALITE Valeur

Milliers

$

67 233 300

Quantite Millierst.5651-9402.5059,4

856 236 1.092 20,5 1.140 1.970 9.110

Remarque:lesexportationssontnegligeables.

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