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Bibliotheque Municipale. Saint-Georges-du-Bois. nouveautes. partie. Résumés des romans en fin de livret

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nouveautes

Bibliotheque Municipale

Saint-Georges-du-Bois

RoM ans aDu Ltes

achats DeceMBRe 2021

partie 2

e

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Ro Ma ns aDu Ltes

Ro Ma ns jeun esse

caRacte

GRoS

RomanRes

Ro Ma ns poLi cieRs

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Ro Ma ns aDu Ltes

Ro Ma ns jeun esse

Ro Ma ns poLi cieRs

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Ro Ma ns aDo s

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apa.C’est le premier mot que j’aie su prononcer.

Un mot tout bête, qui sort sans qu’on y pense, sans demander la permission. Un mot comme un automatisme, comme une respiration.

Un mot d’enfant, un mot d’amour. »

Juliane n’aime pas les surprises. Quand son père fantasque vient s’installer chez elle, à la suite

de l’incendie de sa maison, son quotidien parfaitement huilé connaît quelques turbulences.

Jean dépense sa retraite au téléachat, écoute du hard rock à fond, tapisse les murs de posters d’Indiens, égare ses affaires, cherche son chemin.

Juliane veut croire que l’originalité de son père s’est épanouie avec l’âge, mais elle doit se rendre à l’évidence : il déraille.

Face aux lendemains qui s’évaporent, elle va apprendre à décou- vrir l’homme sous le costume de père, ses valeurs, ses failles, et surtout ses rêves.

Tant que la partie n’est pas finie, il est encore l’heure de tous les possibles.

RoMans aDuLtes

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L

e coeur a ses raisons qu’on aimerait par- fois ignorer. « Voilà, je me présente : Ro- main Piveteau, 42 ans, Niçois d’origine qui-a-gardé-des-O-un-peu-ouverts, restaura- teur sympa, père solo qui-fait-ce-qu’il-peut, ex drôle. Ça tient en peu de mots. Il n’y a pas de quoi charmer une comédienne aux allures de déesse romaine.

Quand j’y pense… Alba, déesse romaine… ça

aurait pu être un signe pour un Romain comme moi… Il paraît que les couples se fondent toujours sur une espèce de légende originelle... »

Dans un bus, Romain rencontre Alba. Transporté par le charme éclatant de cette inconnue, il ne résiste pas à l’irrépressible en- vie de la revoir. Mais osera-t-il faire le premier pas ? Et surtout : a-t-il seulement droit à cette histoire ?

L

’éternité n’empêche pas l’impatience : Noam cherche fougueusement celle qu’il aime, en- levée dans de mystérieuses conditions.

L’enquête le mène au Pays des Eaux douces la Mésopotamie où se produisent des événements inouïs, rien de moins que la domestication des fleuves, l’irrigation des terres, la création des premières villes, l’invention de l’écriture, de l’astronomie. Noam débarque à Babel où le ty-

ran Nemrod, en recourant à l’esclavage, construit la plus haute tour jamais conçue. Tout en symbolisant la grandeur de la cité, cette Tour permettra de découvrir les astres et d’accéder aux Dieux, offrant une véritable « porte du ciel «.

Grâce à sa fonction de guérisseur, Noam s’introduit dans tous les milieux, auprès des ouvriers, chez la reine Kubaba, le roi Nemrod et son architecte, son astrologue, jusqu’aux pasteurs nomades qui dénoncent et fuient ce monde en train de s’édifier.

Que choisira Noam ? Son bonheur personnel ou les conquêtes de la civilisation ?

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’est l’histoire d’un enfant aux yeux noirs qui flottent, et s’échappent dans le vague, un en- fant toujours allongé, aux joues douces et re- bondies, aux jambes translucides et veinées de bleu, au filet de voix haut, aux pieds recourbés et au palais creux, un bébé éternel, un enfant ina- dapté qui trace une frontière invisible entre sa famille et les autres. C’est l’histoire de sa place dans la maison cévenole où il naît, au milieu de

la nature puissante et des montagnes protectrices ; de sa place dans la fratrie et dans les enfances bouleversées. Celle de l’aîné qui fusionne avec l’enfant, qui, joue contre joue, attentionné et presque siamois, s’y attache, s’y abandonne et s’y perd. Celle de la cadette, en qui s’implante le dégoût et la colère, le rejet de l’enfant qui aspire la joie de ses parents et l’énergie de l’aîné.

Celle du petit dernier qui vit dans l’ombre des fantômes familiaux tout en portant la renaissance d’un présent hors de la mémoire.

Comme dans un conte, les pierres de la cour témoignent. Comme dans les contes, la force vient des enfants, de l’amour fou de l’aîné qui protège, de la cadette révoltée qui rejettera le chagrin pour sauver la famille à la dérive. Du dernier qui saura réconcilier les histoires. La naissance d’un enfant handicapé racontée par sa fratrie. Un livre magnifique et lumineux.

Prix Fémina du roman français 2021.

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1

4 août 2018. Tess part vers la Toscane, où elle doit rejoindre pour les vacances sa fille Sienna et l’oncle de celle-ci, Sacha. Mais alors qu’elle fait étape chez sa meilleure amie à Gênes, un ef- froyable grondement ébranle la maison, et tout s’écroule au-dessus d’elle. Une longue portion du pont de Gênes vient de s’effondrer, enfouissant toute la zone. Tess est portée disparue.

Lorsque Sacha apprend la catastrophe, c’est tout

leur univers commun qui vole en éclats. Tous leurs mensonges aussi. Car Sacha n’est pas vraiment l’oncle de cette petite fille de neuf ans : il est un acteur, engagé pour jouer ce rôle particulier quelques jours par mois, depuis trois ans. Un rôle qu’il n’a même plus l’impression de jouer tant il s’est attaché à Sienna et à sa mère. Alors que de dangereux secrets refont surface, Sacha sait qu’il n’a que quelques heures pour décider ce qu’il veut faire si Tess ne sort pas vivante des décombres : perdre pour toujours cette enfant avec laquelle il n’a aucun lien légal… ou écouter son coeur et s’enfuir avec elle pour de bon ?

En attendant, il décide de cacher la vérité à la petite fille, et de la protéger coûte que coûte..

L

e domaine Marchère lui apparaîtrait comme un paysage après la brume. Jamais elle n’au- rait vu un lieu pareil, jamais elle n’aurait pen- sé y vivre. «C’est un mariage arrangé comme il en existait tant au XIXe siècle. À dix-huit ans, Aimée se plie au charme froid d’un riche pro- priétaire du Jura. Mais très vite, elle se heurte à ses silences et découvre avec effroi que sa première épouse est morte peu de temps après

les noces. Tout devient menaçant, les murs hantés, les cris d’oi- seaux la nuit, l’emprise d’Henria la servante. Jusqu’au jour où apparaît Émeline. Le domaine se transforme alors en un théâtre de non-dits, de désirs et de secrets enchâssés, « car ici les âmes enterrent leurs fautes sous les feuilles et les branches, dans la terre et les ronces, et cela pour des siècles «.

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ans le refuge que représente pour eux le vieux chalet du vallon des loups, Soline et Benjamin attendent patiemment le prin- temps qui verra la naissance de leur fille. Mais l’ombre menaçante du tueur les obsède et, comme son ami l’inspecteur Lambert, la jeune femme pressent que l’homme qui l’a harcelée peut réapparaître et lui nuire à nouveau, en se- mant la mort autour d’elle.

Guidée par son intuition, Soline commence aus-

si à douter de la sincérité de Benjamin. Son compagnon semble lui cacher une terrible vérité sur leur enfance et malgré sa pro- messe, il refuse d’en parler. Soline, partagée entre le doute et la colère, trouve du réconfort dans les visions de plus en plus pré- cises qu’elle a de Louise, cette belle inconnue d’un autre siècle et le lien puissant qui unit les deux femmes au-delà du temps est découvert par le plus grand des hasards.

Un dernier tome riche en suspense et en émotion qui lève enfin le voile sur le « mystère Soline ».

L

a jeune et fougueuse Julie vit auprès de son père dans la demeure ancestrale des Ségu- rat, maîtres faïenciers à Moustiers- Sainte- Marie en Haute-Provence. La perte de sa mère, Livia, lors de l’épidémie de peste de 1720, reste une blessure inguérissable qui se ravive lorsqu’on lui remet, le jour de ses vingt-ans, le récit que celle-ci a laissé de sa courte existence.

Livia, une orpheline, y révèle avoir été manipu- lée par des aristocrates aixois qui ont fait d’elle

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axence, fils d’un bijoutier de la banlieue de Clermont-Ferrand, est un jeune homme in- souciant, avide de plaisirs et de conquêtes en cette époque des années folles. À la mort de sa mère, son père renoue avec son vice de jeu- nesse : le jeu. Et lorsque ce dernier décède à son tour, Maxence se retrouve sans un sou, son père ayant dilapidé toute la fortune familiale. Il va lui falloir gagner sa vie alors qu’il ne sait abso-

lument rien faire. D’expériences malheureuses en expériences

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n club de vacances sur la côte basque.

Quatre solitudes qui n’auraient jamais dû se rencontrer.

Une histoire d’amitié et de rédemption.

Anglet, fin juillet. À la réception du Club Océan, Germain accueille comme chaque semaine les nouveaux arrivants, avec un mélange de plaisir et d’appréhension...

Au milieu des habitués, certains clients goûtent pour la première fois aux « joies du club ». Chan-

tal, qui débarque sans grand enthousiasme avec ses petits-en- fants, Matthias, papa solo ayant cédé à l’appel de l’option « mi- ni-club », et Fanny, venue en famille pour tenter de resserrer les liens, vont plonger dans ce huis clos aussi enjoué qu’inquiétant, dont la feuille de route est claire : faites connaissance et a-mu- sez-vous !

Mais qu’a-t-on à partager avec des êtres si différents ? Entre tournois de tir à l’arc, plaisirs du self et jeux apéro, ces vacan- ciers contraints de cohabiter parviendront-ils à rompre la glace malgré les secrets qu’ils ont emportés dans leurs bagages ? Peut-on réparer ce qui a été brisé ? Faut-il se lever à l’aube pour avoir un transat à la piscine ? Autant de questions à la fois pro- fondes et légères qui portent ce roman solaire, plein d’humour, d’émotion et d’humanité.

caRacte

GRoS

RomanRes

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L

es morts se retournent dans leur tombe, et leurs secrets refont surface...

Depuis la mort de son mari, Rose tente de préserver l’unité de la famille en réunissant ses filles autour d’un repas dominical. Mais la rela- tion entre les deux soeurs est tendue ; Kate es- saie désespérément de tomber enceinte tandis que Lauren, mère de trois enfants, semble avoir tout ce que désire sa soeur : une vie familiale épanouie. Pourtant, les apparences sont trom-

peuses, et personne n’a idée du calvaire que lui fait vivre son mari.

Leur fragile équilibre vole en éclats le jour où Jess, 21 ans, vient frapper à leur porte, test ADN en main. Elle affirme être leur demi- soeur. Leur père aurait-il eu une double vie ? Dans cette famille où chacun cache bien son jeu, qui est prêt à prendre le risque de briser le mythe familial pour faire éclater la vérité ?

c

’est blanc. Partout.

Un champ de neige immense, sous un ciel in- croyablement lumineux.

Je flotte à quelques centimètres du sol.

Des sons assourdis me parviennent comme à travers un mur. À un moment j’ai senti que je quittais mon corps. Je ne sais plus quand c’était.

Il y a deux secondes. Deux heures. Deux jours.

Deux mois. Je me suis élevé. Antoine était dans le coma. Il s’était fait renverser par une bagnole

et on l’avait emmené aux urgences alors qu’il avait perdu connais- sance. Physiquement, il n’y avait pas trop de dégâts. Deux côtes cassées. Le poignet fracturé. Des hématomes et des contusions un peu partout. Mais pour le moment il était dans les limbes. J’ai mis

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epuis l’enfance, une question torture le narrateur :

- Qu’as-tu fait sous l’occupation ? Mais il n’a jamais osé la poser à son père.

Parce qu’il est imprévisible, ce père. Violent, fantasque. Certains même, le disent fou. Long- temps, il a bercé son fils de ses exploits de Ré- sistant, jusqu’au jour où le grand-père de l’en- fant s’est emporté : «Ton père portait l’uniforme allemand. Tu es un enfant de salaud ! »

En mai 1987, alors que s’ouvre à Lyon le procès du criminel nazi Klaus Barbie, le fils apprend que le dossier judiciaire de son père sommeille aux archives départementales du Nord. Trois ans de la vie d’un « collabo », racontée par les procès-verbaux de police, les interrogatoires de justice, son procès et sa condamnation.

Le narrateur croyait tomber sur la piteuse histoire d’un « Lacombe Lucien » mais il se retrouve face à l’épopée d’un Zelig. L’aventure rocambolesque d’un gamin de 18 ans, sans instruction ni convic- tion, menteur, faussaire et manipulateur, qui a traversé la guerre comme on joue au petit soldat. Un sale gosse, inconscient du danger, qui a porté cinq uniformes en quatre ans. Quatre fois déserteur de quatre armées différentes. Traître un jour, portant le brassard à croix gammée, puis patriote le lendemain, arborant fièrement la croix de Lorraine.

En décembre 1944, recherché par tous les camps, il a continué de berner la terre entière.

Mais aussi son propre fils, devenu journaliste.

Lorsque Klaus Barbie entre dans le box, ce fils est assis dans les rangs de la presse et son père, attentif au milieu du public.

Ce n’est pas un procès qui vient de s’ouvrir, mais deux. Barbie va devoir répondre de ses crimes. Le père va devoir s’expliquer sur ses mensonges.

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ne crise internationale va-t-elle déclen- cher une troisième guerre mondiale ? De nos jours, dans le désert du Sahara, deux agents secrets sont sur la piste d’un groupe de terroristes trafiquants de drogue et risquent leur vie à chaque instant. Non loin, une jeune veuve se bat contre des passeurs tout en voyageant illégalement pour rejoindre l’Europe. Elle est aidée par un homme mysté- rieux qui cache sa véritable identité.

En Chine, un membre du gouvernement à

l’ambition démesurée pour lui et son pays lutte contre les vieux faucons communistes de l’administration qui poussent leur pays – et la Corée du Nord, son alliée militaire – vers un point de non- retour.

Aux États-Unis, Pauline Green, la première femme présidente, tente de gouverner avec adresse et diplomatie entre attaques terroristes, commerce d’armes illégales et les bassesses de son opposant politique. Elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour éviter une guerre inutile.

Mais lorsque des actes d’agression se succèdent, les grandes puissances sont prises dans un réseau complexe d’alliances dont elles ne peuvent s’échapper. Une fois que les pièces du sinistre puzzle sont en place, pourront-elles – même avec les meilleures intentions, des diplomates hors pair et des agents d’élite – empêcher l’inévitable ?

En espérant que ce qu’a imaginé Ken Follett n’arrive pour rien au monde…

Lorsque l’auteur de la saga Kingsbridge faisait des recherches

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RoMans poLicieRs aDuLtes

j

e suis un idiot, un imbécile, un crétin. Je n’ai pas de cervelle»

Léonard se répète ce refrain chaque jour et chaque nuit, une suite de mots cruels qu’il en- tend dans la cour, dans la rue. Son quotidien.

«Léo le triso. Léonard le bâtard.»

Léo n’est pas comme les autres et il a compris que le monde n’aime pas ceux qui sont diffé- rents. Alors ce qu’il aimerait lui, parfois, c’est disparaître. Être ailleurs. Loin d’ici. À Glen Affric.

Y rejoindre son frère qui est parti en Ecosse et n’en est jamais re- venu. Un jour, lui aussi ira voir les cascades, les lacs, les vallées plantées de grands pins majestueux. En attendant, il accepte, et subit ce que ses harceleurs lui infligent. Mais jusqu’à quand ? Car si Léonard est une proie facile et résignée, tout être humain a ses propres limites

t

rilogie 93, l’édition collector suivie de Ultra Noir, trois nouvelles d’Olivier Norek pour la première fois réunies.

Vous allez vivre à travers ces pages ce que d’autres, flics, criminels, victimes, ont vécu en réalité. Vous allez découvrir un univers dont vous n’imaginiez pas la violence. Vous n’êtes pas un simple lecteur, vous êtes un membre de l’équipe.

TROIS ENQUÊTES ULTRARÉALISTES, PARFOIS RÉELLES,

ÉCRITES PAR UN CAPITAINE DE LA PJ.

UNE IMMERSION TOTALE DOPÉE À L’ADRÉNALINE.

Suivie de ULTRA NOIR, trois nouvelles pour la première fois réu- nies.

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L

e Petit Prince», dont on fête les 75 ans de l’édition française, est la fiction la plus traduite au monde, dans 318 langues se- lon les ayants droit d’Antoine de Saint-Exu- péry.

Le livre de Michel Bussi «passe en revue hy- pothèses, coupables et mobiles pour mettre en lumière la profondeur de cette œuvre et révéler les secrets d’Antoine de Saint-Exu- péry, et de son double de papier», a expliqué l’éditeur.

«Depuis son adolescence, Michel Bussi cherche les clés du mys- tère qui lie la mort du Petit Prince à celle de son auteur. L’en- fance, la quête d’identité, l’absence, le désir de liberté contrarié par la responsabilité sont autant de thèmes de ce conte philoso- phique», a-t-il ajouté.

Saint-Exupéry, aviateur mort en juillet 1944 lors d’une mission en Méditerranée dans des circonstances qui restent inconnues, n’a pas eu l’occasion de voir le succès planétaire de son conte, inspiré à l’origine par un accident en Libye en décembre 1935.

Michel Bussi reversera ses droits d’auteur à la Fondation Antoine de Saint-Exupéry pour la jeunesse, qui finance des projets dans l’éducation et l’environnement.

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n jour de janvier, un jeune enfant disparaît dans les vagues. Quel horrible secret se cache l’eau? Martin, sa femme Alexandra et leurs deux jeunes enfants viennent d’em- ménager dans l’ancienne résidence d’été de la famille sur une île isolée au large des côtes suédoises. Lorsque Martin perd de vue son fils Adam, âgé de trois ans, pendant quelques minutes pour répondre au téléphone, le gar- çon a disparu. Tout ce qu’il trouve, c’est le petit seau rouge avec lequel Adam jouait, flot-

tant dans la mer. La police conclut qu’Adam s’est noyé et clôt l’enquête. Martin tombe dans une profonde dépression, aban- donne la mytiliculture et devient de plus en plus isolé de sa fa- mille, rongé par la culpabilité. Puis, dans le grenier de la maison, il trouve un mystérieux journal qui mentionne d’autres enfants qui vivaient dans la maison et ont été tués dans la mer. Tous le même jour en janvier, mais avec des décennies d’intervalle. L’es- poir de Martin qu’Adam est toujours en vie est suscité et il fouille

L

A MORT OSE TOUT

Après un enlèvement qui l’a terrifiée, Deli- lah Metcalfe tente de retrouver ses esprits.

Or les ennuis ne font que commencer : elle a découvert qu’une menace pesait aussi sur son coéquipier et prétendant Samson O’Brien. Pour le protéger d’une mort certaine, elle va devoir prendre ses distances avec lui alors même qu’elle vient de propulser les émotions de son partenaire à des sommets étourdissants… Et

convaincre les habitants de Bruncliffe de l’aider ! Hélas, nom- breux sont celles et ceux qui ont des griefs envers Samson. Car qui fait du tort à un seul en menace beaucoup…

Le septième tome de la série best-seller Les Détectives du York- shire

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RoMans aDos

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dix-neuf ans, Lastyanax termine sa forma- tion de mage et s’attend à devoir gravir un à un les échelons du pouvoir, quand le mystérieux meurtre de son mentor le propulse au plus haut niveau d’Hyperborée.

Son chemin, semé d’embûches politiques, va croiser celui d ‘Arka, une jeune guerrière à peine arrivée en ville et dotée d’un certain ta- lent pour se sortir de situations périlleuses. Ca tombe bien, elle a tendance à les déclencher…

Lui recherche l’assassin de son maître, elle le père qu’elle n’a jamais connu.

Lui a un avenir. Elle un passé.

Pour déjouer les complots qui menacent la ville sans vent, ils vont devoir s’apprivoiser.

a

lors que le froid s’abat sur Hyperborée, Lastyanax et Arka sont séparés. Le jeune mage a laissé derrière lui famille et amis pour se lancer à la recherche de sa disciple,

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B

ath, décembre 1812...

Lady Helen prépare son mariage avec le duc de Selburn, mais son esprit est ailleurs: sa mission de Vigilant Suprême n’est pas encore accomplie. Cette double vie met Helen au supplice: non seulement elle doit résister à ses sentiments pour le charisma- tique Lord Carlston, mais elle doit aussi maî- triser ses pouvoirs. La confrontation finale avec leur grand ennemi, l’Abuseur Suprême, est imminente...

e

liott est en maison de repos, sa mère vient de mourir. Cependant, il est clair pour lui que cette mort est suspecte, et qu’il ne s’agit pas du suicide qu’on veut lui faire croire.

Lilas, une pensionnaire du centre, a un choc en voyant une photo de la mère d’El- liot : c’est une des apparitions qui la hante tous les jours. Elle comprend qu’elle a le

don de voir les morts, ce que sa famille s’évertue à lui cacher depuis des années.

Les deux adolescents se lancent dans une double enquête, à la recherche de la vérité, au péril de leur vie…

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j

asmine et Tom n’en croient pas leurs yeux : là, au bord de la rivière, une pe- tite loutre pousse des cris de détresse.

Quand elle se fait emporter par le courant, ils n’hésitent pas une seconde et risquent tout pour la sauver. Mais leur mission n’est pas terminée, ils doivent absolument aider Perle à retrouver sa famille. Seule, elle ne pourra pas survivre...

j

asmine est très fière de s’occuper d’un faon nouveau-né dont la mère a été tuée lors d’un accident. Il faut dire que Noisette est une petite femelle magnifique et Jasmine adore lui apprendre à survivre seule dans la nature. Mais tous ces beaux efforts vont être chamboulés par un terrible événement...

G

ustave est SDF. Ancien horloger au chô- mage, il vit sous un pont parisien avec

RoMans jeunesse

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L

Nous sommes en France au XIIe siècle.

Bartholomé a 11 ans. Comme son père, il est berger. Mais il voudrait découvrir la vie de l’autre côté de la colline, la vie à la ville.

Alors, seul, il se lance dans l’aventure et se retrouve à travailler sur le chantier d’une ca- thédrale. Là, dans le bruit et la poussière, il observe tous les corps de métiers, il discute avec les ouvriers et les artisans du chantier.

Est-il fait pour cette vie-là, lui, Bartholomé,

l’enfant des collines ? Ou devrait-il plutôt rentrer retrouver sa fa- mille et ses moutons ?

a

h, l’automne! Gurty ADORE l’automne.

En automne, la nature sent des fesses.

Tout pourrit, tout croupit, tout moisit.

N’est-ce pas fabuleux?

Alors... en route pour l’aventure couleur marron et goût châtaigne !

M

oi, c’est Gurty (quand j’étais petite, je croyais que je m’appelais ¿Arrête¿, mais en fait non). Aujourd’hui, c’était le premier jour des vacances. Gaspard et moi, on a pris le train pour la Provence. Gaspard, c’est mon humain. Il est gentil, joueur, fidèle...

et quelle propreté ! En arrivant dans notre ca- banon provençal, j’étais si excitée que je fai- sais des petits bonds, comme quand j’ai des vers. Le vestibule sentait toujours le fenouil,

le salon toujours le thym, la cuisine toujours l’andouille et mon panier toujours le chien. Voilà ! Nous étions en vacances. L’aven-

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L

e jeune Hiroki vient tout juste d’emmé- nager avec son papa dans la banlieue de Tokyo. En rangeant des cartons, il découvre une ancienne console et son jeu vidéo en réseau, mais son père lui affirme que celui-ci ne peut pas fonctionner car le serveur n’existe plus. Hiroki tente néan- moins de la brancher, et au milieu de la nuit, celui-ci s’allume ! Et sur l’écran, un personnage appelle au secours, un per- sonnage virtuel qui connaît son nom !!!…

Accompagné de son amie Emiko, Hiroki va

tenter D’en découvrir l’identité. La révélation sera de taille : il y a dix ans, une joueuse a été happée dans le jeu et en restée prisonnière. Un incident nucléaire en est peut-être la cause…

Comment l’aider et lui permettre de réintégrer son corps ?

e

st-ce que j’ai vraiment fait ça ? Comme mon ami Théo Techno s’est inscrit dans l’équipe d’athlétisme, j’ai eu la brillante idée de m’y inscrire moi aussi pour pouvoir le défendre si on se moque de lui ! Moi, Océane Lachance, pas sportive pour un sou, je me prends tout à coup pour une athlète ? Euh…

non pas du tout !

Je me dois me sortir de ce pétrin de toute

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e

trange fait divers à Paris : Magali la souris a disparu !

Et avec elle, toutes les souris du quar- tier.

Grâce à son grand courage, Charlock et ses voisins à plumes ou à quatre pattes se lancent à sa recherche.

Charlock n’a (presque) peur de rien !

Par les moustaches de Charlock, encore une enquête à résoudre !

n

ew York, 1917.

Grosse dispute entre chiens et chats.

Ed le loubard, le chien aux grandes oreilles, accuse le clan des Chappucini de vouloir empoisonner leurs croquettes.

Gang des chiens, contre gang des chats : voilà une nouvelle mission périlleuse pour Charlock qui doit vite rétablir la paix…

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hoRaiRes

3 Place de l’Eglise Tél. 09 64 02 36 05

Catalogue en ligne :

mediatheque-saint-georges-du-bois.c3rb.org adresse Email :

bibliotheque@mairie-sgdb.fr Site Internet :

sgdb72.fr/vie pratique/espace culturel

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