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S écouter Et si l on comprenait enfin ce que cela veut dire! (Partie 1)

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S’écouter…Et si l’on comprenait enfin ce que cela veut dire ! (Partie 1)

par Dominique Lacroix

Notre corps humain est absolument magnifique ! Il est bien plus sophistiqué que nous le croyons et il a bien plus de capacités que ce qu’on nous a fait croire. Nous avons été créés avec tout ce qui est nécessaire pour obtenir de l’information, pour prendre des décisions et faire des choix.

On pourrait dire que notre corps fonctionne comme une boîte de résonance qui interprète l’information vibratoire qui nous entoure. Et cette interprétation se fait à travers nos impressions, sensations, émotions et intuitions.

Nous avons tous de temps à autre une petite voix intérieure qui nous parle et tous — lors d’une première rencontre, d’une

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visite ou encore d’un toucher — tous, nous avons une première impression, etc., ne serait-ce que « j’aime ou je n’aime pas », « c’est agréable ou désagréable. »

Or le plus souvent, nous ignorons cette information.

Pourquoi ? Parce que cette information ne repose pas sur la raison, ce qu’elle nous dicte ne se conforme pas à nos croyances et à aucun de nos systèmes de référence. Nous avons été conditionnés à opérer avec la raison et à faire confiance à notre raison. Cette information — petite voix, impression ou sensation — va souvent à l’encontre de ce que la raison nous dicte, en fait, elle ne peut pas être validée par la raison ou la logique. Alors nous disons qu’elle est imaginaire ou encore qu’elle n’a pas de sens. C’est pourquoi la plupart du temps, nous rejetons cette information, nous l’invalidons et nous avons peur des conséquences si nous osons faire confiance ce qu’elle nous dicte.

Ce qui se passe en fait, c’est que la fausse matrice dans laquelle nous existons actuellement, pour nous enlever notre pouvoir, essaie de toutes les manières possibles de nous

« couper » de nos sources d’information. Elle nous fait croire que nous ne pouvons pas nous fier à notre ressenti, nos impressions et sensations, dans le but de nous contrôler et de nous dominer. Elle nous fait croire que nos émotions sont dangereuses et nous rendent vulnérables, que nos impressions ou sensations sont imaginaires et irréelles, qu’on ne peut se fier à notre intuition et que même la sexualité, qui est une expression de notre pouvoir créateur, doit être contrôlée. Le but de notre éducation ou plutôt de notre « endoctrinement » est de limiter notre capacité naturelle d’avoir de l’information par l’intermédiaire de nos sens, afin de limiter notre capacité de créer et de choisir librement.

Comme nous avons appris à ne pas faire confiance à notre guidance ou intuition, que nous la nions même, nous prenons nos décisions et faisons nos choix en fonction des critères suivants :

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· La logique ou la raison (les pour et les contres)

· La peur (résistance au changement et à l’évolution)

· Les attentes des autres (besoin de plaire, d’être reconnu et aimé)

· Ou encore simplement par habitude (sans être dans le moment présent)

On peut dire que notre système d’opération actuel se fonde principalement sur la peur et sur le sentiment d’être seul et isolé dans un monde dangereux. Dans cet état d’être ou ce mode de fonctionnement, nous nous reposons entièrement sur ce que nous avons appris et sur nos expériences passées, etc.

Cependant, il y a une information nouvelle et juste qui est à notre portée et qui est toujours disponible pour nous aider à comprendre ce qui se passe autour de nous, faire nos choix de vie et prendre des décisions. Mais cette information reste inaccessible, pour la bonne raison que nous ne sommes pas en état de réceptivité, par le simple fait que nous la nions et la rejetons.

Quand nous disons que nous choisissons par la logique ou par la peur, ça signifie que nous nous reposons sur des autorités extérieures telles : la science, la médecine, les organismes gouvernementaux, la religion, le système d’éducation, la famille et bien d’autres. Nous remettons à ces systèmes la responsabilité de nous informer et de nous dire ce que nous devons faire ou choisir. Et même, nous voulons qu’ils choisissent pour nous, comme ça nous nous déresponsabilisons des conséquences !

Je crois que la situation que nous vivons actuellement nous force à constater le niveau de contrôle que ces systèmes ont sur nous. Ils contrôlent jusqu’à notre façon de penser et même notre capacité d’imaginer nos possibilités futures. Ces systèmes nous conditionnent à avoir une vision limitée de nos

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possibilités, ils encadrent la réalité dans des systèmes de référence qui nous disent ce qui est bon ou mauvais, acceptable ou non, dangereux ou sécuritaire, réel ou imaginaire, vrai ou faux, etc. Et nous avons appris à faire confiance à ces systèmes pour nous guider dans nos choix. Nous restons dans le CONNU ! L’inconnu et le changement nous font peur, car nous n’y avons plus de point de repère. La peur de l’inconnu ainsi que la peur de perdre le contrôle sont des forces puissantes nous empêchant de suivre notre guidance.

Si le gouvernement nous dit que nous devons faire des tests préventifs pour éviter la propagation d’un virus, par exemple, nous nous soumettons à ces recommandations, sans même les remettre en question, sans valider avec notre propre autorité intérieure le bienfondé de cette mesure. « Est-ce que ce test est réellement valable ? Que teste-t-il ? Qu’est-ce qu’un résultat positif veut réellement dire ? Est-ce que les statistiques que l’on nous donne sont interprétées de manière juste ou sont-elles exploitées pour maintenir la peur ? Est-ce que je peux faire confiance à ce test ? Comment les autorités vont-elles s’en servir ? »

Y a-t-il de meilleures façons de prévenir la maladie que de tester son apparition ? Pourquoi ne parle-t-on pas de mesures préventives comme la gestion du stress et des émotions, les vitamines et autres suppléments ou thérapeutiques pouvant renforcer le système immunitaire, etc. ? Nous pouvons par exemple constater que rien n’est dit à propos des moyens naturels dont notre corps dispose pour se protéger des virus.

Nous avons un système immunitaire perfectionné et notre organisme est constamment habité par des millions de virus, il sait comment gérer l’apparition d’un nouveau virus. Nous pouvons aisément constater que le narratif officiel ignore délibérément toutes les perspectives opposées… et ce simple fait indique une forme de manipulation pour faire accepter une perspective unique sur la situation.

Devant toute l’information qui nous est présentée, comment

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pouvons-nous reconnaître le vrai du faux ? C’est d’abord par notre ressenti que nous pressentons que quelque chose ne va pas et cela nous pousse à nous poser des questions et à faire des recherches supplémentaires. Quelles que soient les informations extérieures, c’est par notre ressenti que nous pouvons être guidés.

Dans notre ancien système d’opération, qui est basé sur la raison et la logique, la peur règne en maître : « J’ai peur d’être incompétent, j’ai peur de me tromper, j’ai peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas faire le bon choix, de perdre ce que j’ai ou de ne pas avoir assez, j’ai peur d’être puni, j’ai peur de prendre la responsabilité de mes choix et de leurs conséquences sur moi ou les autres, je crois les autres sont mieux que moi ou les autres savent mieux que moi, etc. » Et quand nous avons peur, nous ne sommes pas dans un état de réceptivité et d’ouverture à notre petite voix intérieure ou encore aux signes que notre corps et notre ressenti nous envoient. Nous recevons des informations constamment mais nous ne sommes pas en mesure de les interpréter et d’avoir une guidance claire. Nous sommes dans un état de fermeture et de soumission.

Donc ce qui nous empêche souvent d’écouter notre ressenti, c’est la peur. La peur de ne pas se conformer aux lois, la peur des conséquences si nous résistons. Nous avons été conditionnés à « bien faire ». Mais « bien faire » selon qui, d’après quelles règles ou quels systèmes ? À quel moment cesse-t-on d’obéir aveuglément sans remettre en question les décisions des autorités ? En fait, la réponse devrait être

« jamais » ! Nous sommes des êtres libres, ayant le pouvoir de choisir et de décider et rien ne peut nous être imposé sans notre consentement – conscient ou non, passif ou non.

Et de plus, dans ce système d’opération, nous n’accordons pas aux expériences que nous vivons la possibilité de nous enseigner quelque chose de nouveau. Une expérience difficile

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est le plus souvent perçue comme un échec, une erreur ou encore un manque de compétence. Nous ne nous accordons pas le droit à l’erreur ou en fait, nous ne nous accordons pas la permission d’apprendre.

Or tout comme l’apprentissage d’une langue, de la musique, d’un sport ou d’une technique, nous devons nous entraîner dans tout ce que nous faisons. Nous croyons que nous devons être parfaits ou tout savoir avant même d’avoir expérimenté quelque chose. Et cette croyance que nous ne sommes pas parfaits nous maintient dans l’idée que nous ne sommes pas assez bien, ni assez bon, et surtout elle maintient le doute et l’insécurité.

Quand nous opérons avec la pensée et la logique, nous avons beaucoup de questions et peu de certitude. Nous avons des opinions sur tout. Or une opinion est simplement l’idée qui nous paraît la plus juste, la plus vraie et qui en fait correspond à nos croyances. Et nous essayons soit d’imposer, soit de justifier notre opinion aux autres — comme étant la meilleure. Et en même temps, nous avons peur que les opinions des autres entravent nos choix et nos désirs.

Pour avoir de l’information, il faut d’abord y être ouvert, il faut commencer par accepter l’idée que nous sommes toujours guidés, il faut être en confiance, il faut croire que c’est possible. Nous sommes à une époque où nous commençons à accepter l’idée que nous sommes des êtres ayant un pouvoir de création, que nous sommes des êtres énergétiques avant tout et que nous habitons temporairement un corps matériel. Nous revendiquons la liberté d’être et de choisir, et cela implique que nous reprenions la responsabilité de notre vie et de ce que nous avons créé jusqu’à maintenant.

Si nous acceptons l’idée que nous créons notre réalité, il faut accepter qu’en tant que collectivité, nous avons participé à la création des systèmes de contrôle qui sont en place — autant les structures sociales, culturelles, religieuses, économiques, médicales que les structures

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mentales. Nous avons fait cela en abdiquant notre pouvoir et en remettant la responsabilité de nos vies et de nos décisions à ces autorités : médicales, scientifiques, religieuses, etc.

Nous avons voulu faire cette expérience ou il nous est possible d’expérimenter notre pouvoir sans savoir que nous le possédons, si je peux dire.

La crise actuelle est l’étape de notre évolution nous offrant la possibilité de reprendre notre pouvoir, de choisir de nouveau la liberté intérieure. Et pour cela, nous devons revendiquer ce pouvoir, nous devons réclamer notre liberté de choix. Et cela commence par la réconciliation avec notre nature énergétique et vibratoire. En acceptant de reprendre la responsabilité de ce que nous sommes, nous pouvons commencer à opérer d’une nouvelle manière qui nous permet d’avoir accès à une forme de savoir innée — le savoir intérieur. C’est ce que j’appelle passer de la RAISON à la PASSION ou à la VIBRATION.

Nous croyons que recevoir de la guidance est quelque chose d’ésotérique ou nécessite d’avoir des dons psychiques particuliers permettant d’entendre ses guides, d’avoir des visions, des intuitions claires ou encore de faire des rêves prémonitoires. Cependant en tant qu’être humain nous avons TOUS un système de guidance sophistiqué et très précis par l’intermédiaire de nos sens et de notre corps physique. Nous avons un « savoir intérieur » qui est l’ultime forme de guidance. Et celui-ci peut prendre place lorsque nous reprenons confiance en notre autorité intérieure. Lorsque nous savons que nous sommes guidés de l’intérieur, par les ressentis que notre corps et notre cœur nous envoient.

Croire, c’est voir, et croire c’est créer. Lorsque nous croyons quelque chose, nous avons des évidences de ce que nous croyons dans notre expérience, ce qui renforce notre croyance.

Pour que quelque chose de nouveau puisse émerger en nous, il faut d’abord y croire. Nous devons croire et savoir que nous pouvons être guidés de l’intérieur et que nous avons en nous toutes les réponses dont nous avons besoin. Et c’est cette

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croyance qui va nous amener des évidences dans notre vie.

Ressentir, c’est être vivant et c’est savoir. Nous fermer à notre ressenti, c’est ce qui crée le sentiment de déconnexion, le sentiment d’être seul et isolé. Cela se traduit par un sentiment de vide intérieur ou l’impression d’être dans le noir. Mais en fait, nous ne pouvons jamais être déconnectés de notre vraie nature, cependant nous pouvons croire que nous le sommes ! Se croire déconnecté et isolé, c’est un sentiment terrible et souvent il s’accompagne de l’impression de passer à côté de quelque chose d’important. Mais justement, pourquoi avons-nous ce sentiment ? Parce qu’il y a une grande variance entre ce que notre aspect humain (personnalité) croit et pense et ce que notre conscience supérieure (ou être intérieur) sait et connaît de nous et de nos possibilités réelles. Et c’est cette variance qui est la source du conflit intérieur qui génère ce sentiment désagréable de vide intérieur.

Être capable de faire confiance à notre ressenti, c’est savoir, c’est être guidé, c’est se sentir connecté, c’est réunifier tous les aspects de notre être. Lorsque nous prenons la décision de reprendre notre pouvoir et que nous décidons de faire confiance à notre intuition, l’information dont nous avons besoin va nous provenir d’une manière naturelle, à travers notre ressenti et nos impressions.

Comment reconnaît-on que nous sommes dans un état de savoir intérieur ? C’est facile, car dans cet état que j’appelle le savoir intérieur, nous savons que nous savons, car il n’y a ni questionnement ni doute, car nous reconnaissons l’information reçue d’après sa vibration. Et quand nous sommes dans le doute, la confusion ou le questionnement, cela nous indique que nous essayons de choisir avec la raison, la logique ou encore la peur et nous nions l’information vibratoire. Toute forme de peur nous empêche de ressentir avec clarté et discernement l’information énergétique.

Nos émotions et nos ressentis sont en quelque sorte un GPS

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humain. C’est un système très perfectionné qui nous permet de faire des choix nous dirigeant vers ce que nous préférons et ce que nous désirons accomplir. C’est un système qui nous incite à aller vers ce que nous percevons comme agréable et qui nous fait nous éloigner de ce que nous percevons comme désagréable.

Nos émotions et nos sensations physiques sont donc un des outils les plus importants pour comprendre les vibrations qui nous entourent. Elles sont une porte d’entrée sur notre inconscient, sur les systèmes de référence qui influencent tous nos choix et toutes nos décisions. La raison pour laquelle tant de gens éprouvent de la difficulté à choisir ou à décider est précisément parce que nous utilisons seulement notre raison (ou programmation) pour décider, sans cohérence avec le cœur.

La plupart de nos choix ne sont pas en accord avec nos préférences et nos attirances naturelles ou ce que nous désirons vraiment. Nous décidons et choisissons ce que l’on nous a appris à désirer, autrement dit ce que nous croyons devoir faire ou avoir pour réussir, être heureux, avoir la reconnaissance ou l’amour des autres. Tout cela est à la source de profonds sentiments de dissociation, d’incertitude, de désorientation, de confusion, de peur de se tromper ou de faire le mauvais choix et surtout de beaucoup d’auto-jugements et d’autocritiques. Ç’a été mon cas dans le passé. Comme j’étais totalement coupée de mon ressenti et que je ressentais un grand vide intérieur, je me reposais sur tous ces systèmes extérieurs pour décider — et je n’étais jamais certaine de rien…

Encore une fois, c’est donc notre capacité à ressentir qui nous permet d’évaluer l’information vibratoire avec laquelle nous entrons en contact. Mais la plupart du temps nous ignorons cette information, car nous avons été conditionnés à croire qu’elle est imaginaire et ne se base sur rien de concret. Et nous donnons toute la place à la logique ou aux

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autorités pour nous aider à choisir. Mais notre ressenti, ce que nous voulons vraiment, ce qui correspond à nos préférences ou à nos attirances naturelles ne disparaît pas. C’est toujours là. Et quand nous essayons de choisir selon des critères qui entrent en conflit avec ce que nous ressentons, nous nous sentons mal, nous sommes indécis, nous sommes dans la confusion. Voyez-vous maintenant pourquoi vous êtes souvent incapable de prendre une décision ? Parce que la raison ne s’accorde pas avec le cœur… Ce que le cœur veut et choisit ne s’explique pas avec la raison.

À suivre…

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