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PALIER" PASTELS. J, Mac-Neill WHISTLER. Dessins, Pointes sèches PAR

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PALIER" PASTELS

Dessins, Pointes sèches

PAR

J, Mac-Neill WHISTLER

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CONDITIONS DE LA VENTE

Elle sera faite au comptant. £

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Les acquéreurs payeront dix pour cent ensus des

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CRAEOGUE

DES

Tableau, Pastels

Dessins, Pointes sèches

PAR

J. Mac-Neill WHISTLER

DONT LA VENTE AURA LIEU A PARIS

HORDE OUORESATEEN2 7 Le Mercredi 25 Novembre 1903

A TROIS HEURES

n°1511 -

|

COMMISSAIRE-PRISEUR

M° PAUL CHEVALLIER | M. GEORGES

elière,. To

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EXPERT

ROTIT

z0, Rue Grange- Ba } IBKA

| T) ENCH ART Fch. INST. IN TIHE US.

| COLLECTION “LE HAVRL”

| DON de

| M. MC. DOUGALL HAVIICES |

servie L'ÉRPOStTIO

Le Mardi 24 Novembre 1903

de 2 heures à 5 heures,

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(7)

A prochaine exposition de quelques œuvres significalives du maitre Whustler va procurer aux ama- leurs une occasion nouvelle d'ap- précier, dans loule leur étendue,

les moyens d'expression de cet artiste si profondément original.

Résumant les techniques variées où il sut éga- lement exceller, voici un groupement précieux : sur le lhème de Venise, un de ces nocturnes qui r'alurent au peintre autant d'admirations que

d'inimiliés. Sur le leitmotiv des grâces fémi-

nines, d'exquises variations au pastel. Des pointes sèches où la vie de la rue parisienne est racontée en nolalions spirituelles. Un subtil portrait de

Whistler par lui-même, enlevé d'une plume alerte. Des sanguines, des dessins sur papier hthographique, qui sont de pures mérveilles.

Un tel ensemble suffirait à justifier une légi- lime curiosité. Mais 1l se rencontre que ces œuvres de lout premier ordre sont accompagnées de documents manuscrits qui ajoutent singiiliè- rement à la valeur de cette belle série peinte c!

gravée. Tout un chapitre de la vie du maître — et non l’un des moins curieux, — s'y déroule ;

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celui où il consentit, à Paris, à faire bénéficier de ses conseils un groupe de jeunes élèves.

Encore que l'atelier ne porlât pas son nom, 1l s’y consacrail avec un èle qui ne se ralentit point.

On se souvient qu'il avait coulume d'adresser à sa classe de fréquenis messages où, sous une forme concise, lapidaire et toujours personnelle, il lransformait en idées générales ces corrections

parliculières. |

Parmi d’autres, l'un de ces aphorismes dénonce éloguemment la conscience avec laquelle Wäustler exerçait son professorat. Le document est, en raccourci, la synthèse de toule son esthétique :

« Un tableau est achevé, lorsque toute trace des moyens employés pour obtenir le résultat a disparu.

« Dire d'un lableau, comme on fait souvent à sa louange, qu’il laisse voir un grand et sérieux labeur, est dire qu'il est incomplet et indigne d'être vu.

« L'application dans l’art est une nécessité — non une vertu — el loule apparence qu'on en découvre dans l'œuvre produite est un défaut, non une qualilé — une preuve, non de perfection, mais de travail absolument insuffisant — car le travail seul peut effacer la trace du travail.

« L'ouvrage du maître ne sent pas la sueur de son front, ne suggère aucun ejfjort et est fini depuis le commencement.

« La tâche complétée de sa seule persévérance

n'a jamais élé commencée et restera éternellement inachevée — un monument de bonne volonté, de bonne volonté et de sottise.

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« {1 y a celui qui s'acharne, qui prend de la peine, qui se hâte et qui reste d'autant plus en

arrière.

« Le chef-d'œuvre doil apparailre comme la Jleur au peinlre, parfaite dans son boulon, dans

son épanouissement, Sans raison pour expliquer sa présence, — sans mission à remplir — une Joie pour l'artiste — une illusion pour le philan- {hrope — une énigme pour le bolaniste, — un accident de sentiment el d'alliléralion pour le lilléraleur. »

Îci n'est point le lieu d'analyser sur le ton crilique — une crilique qui ne serait qu'appro- balive — lout ce que ces paroles d'enseignement contenaient de r'érilé. Nous nous plaisons seule- ment à constaler lout l'intérél que présente ce rapprochement forluit, sous la couverture d'un même catalogue, de l'œuvre peinte et de l'œuvre écrite de Whistler. Il y a là une idée, une curieuse el logique idée, tant il est vrai que cect est bien le complément de cela. I! suffit de regar- der ces feuillets manuscrits pour se convaincre que le peintre de la Princesse des pays de la Porcelaine resta graveur el aquafortisle jusque dans les caractères pittoresques de son écriture, et de jeler les yeux sur le délicat papillon qui orne les graphiques pour y retrouver, à côté de la signature du théoricien de l'art, le sceau indé- niable de l'artiste créateur.

Autant Whistler exprimait une pensée dans les harmonies bleu et or de ses nocturnes, autant il composait d'instinct une œuvre d'art en redi- geant ces axiomes de doctrine.

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Son ardeur, sa délicatesse de vision et de conceplion, sa sensibilité faile, en paris égales, de sensation et de sentiments, emplssent ces notes.

Dans l'intimité de la correspondance, son carac- tère s'éclaircit, se presse encore. On l'y voit lour à lour inquiet el confiant, affeclueux el dévoué.

L'ensemble de ses lettres et de quelques lettres d'étrangers relatives à la constitution el au bon fonclionnement de l'atelier auquel Whistler s'inté- ressait, compose un lolal d'éléments inestimables

our le biogravhe, une relique pour l’amateur:. © 5)

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(13)

TABLEAU

1 — Nocturne à Venise : l’église de Saint-Georges-Majeur.

A droite, se découpant dans le ciel, le clocher de l’église de Saint-Georges-Majeur avec les constructions qui l'entourent : elles se reflètent dans les eaux du canal, où, telles des ombres, passent quelques rapides gondo:es.

A gauche, un grand steamer est arrêté. De ci, d: là, quelques rares lumières trouent seules l'obscurité de la nuit.

Foile Haut #45/cent.dars.; Go: ccrit.

(14)

PASHÈERES

2 — La Femme à l’ombrelle.

Appuyée à une muraille, abritée par une ombrelle japonaise, une femme est vue de profil à gauche, coiffée d'un bonnet d’étoffe rouge, vêtue d’une tunique rose transparente, la taille serrée par une ceinture à filets pourpres. Elle tient de la main droite un vase à moitié rempli d’un liquide bleuté.

Dessin au crayon noir rehaussé de pastel, sur papier chair.

Signé à droite, vers le bas.

Haut., 29 cent.; larg., 12 cent.

(15)

D Lachémimetdtleventail.

La marche d’une déesse, dont elle a la grâce et la majesté. Elle s’avance, vêtue d'un peplum d’étoffe rosée et transparente, tenant de la main droite un éventail, la jambe gauche légèrement pliée.

A droite, dans une jardinière, un arbrisseau fleuri.

Dessin au crayon noir rehaussé de pastel, sur carton havane.

Signé à gauche, vers le bas.

Haut-2icent.;lars., 19 cent:

(16)

A — Danseuse athèénienne.

LA

On la voit de face, le coude gauche sur la hanche, le pied droit légèrement jeté en avant, la tête inclinée à droite.

Elle est vêtue d’une tunique légère, qui tombe jusqu’à terre, les cheveux noués dans un foulard d’étoffe rouge.

Dessin au crayon noir rehaussé de pastel, sur papier rougeûtre.

Signé à droite, au milieu.

Haut:, 27 cent.;.larg:, T4 CEE,

(17)

> — Femme nue se coifjant.

Elle est vue de face, les bras ployés derrière la tête, arrangeant avec grâce sa chevelure.

Dessin au crayon noir rehaussé de pastel, sur carton gris.

Signé à droite, au milieu.

Hautz27 cent; larg; :17.Ccent:

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D'ESSINS

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Le maître est représenté la tête découverte, de trois quarts à gauche, un pardessus jeté sur les épaules, les manches non enfilées.

Dessin à la plume, sur papier blanc.

Signé à droite, au milieu.

Hauts, mr cent t14re "OS Cent

(19)

7 — La Sieste.

Couchée sur un lit de repos, une jeune femme est étendue, la tête appuyée sur un coussin, les jambes légè- rement fléchies.

Signé à gauche, au milieu.

Hantusicentselare. 23cent:

Service de Paris - No. ABTH-.. 100 |

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(20)

o — Le Morceau à quaïre mains.

Dans un intérieur aux murs tapissés de tentures et de tableaux, deux femmes sont assises devant un piano, sur lequel sont posés une lampe et quelques cadres de photo- graphies.

Signé à gauche, vers le haut.

Dessin au crayon noir sur papier blanc.

Haut20Centétlarg-127 cent

(21)

Ou =Sorseuse,

Assise dans une stalle, le bras gauche soutenant la tête, elle songe, les yeux mi-clos, la tête légèrement ren- versée en arrière.

Dessin au crayon noir sur papier blanc.

Haut *Scentlarp, 20/cent. 1n

(22)

10 La dotielte:

Une femme, de profil à gauche, noue autour de sa poitrine un fichu d’étoffe, dont elle tient les deux extré- mités en mains.

Dessin à la mine de plomb sur papier blanc.

Signé à gauche, vers le bas.

Haut.;:23/Cent.; 14rg/r0 Cent

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11 — Ætude de femme nue.

De profil à droite, la jambe gauche légèrement portée en avant, les bras pliés à hauteur de la poitrine.

Dessin à la sanguine, sur papier crème.

Signé à gauche, au milieu.

Haut#15/Cent,; larg. 6 cent.

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POINTES SÈCHES

12 — La Devanture du bijoutier

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— À la porte du Cabaret.

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14 — Un Marchand de vin de la rue Mazarine.

Haut., 8 cent.; larg., 20 cent.

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15 — Une Terrasse du jardin du Luxembourg.

Haut., 8 cent.; larg., 20 cent.

(26)

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Au premier plan, la Tamise aux eaux glauques ; puis, au fond, les docks, auprès desquels sont amarrés bateaux et chalands.

Monotype sur papier blanc.

Signé à gauche, en bas.

Haut. 16 cent: ; larg, 26 Cent,

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