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(1)Réponses aux remarques et commentaires d'un groupe de lecteurs qui se sont réunis pour discuter du Dialogue n°1 de la Recherche de la Troisième Intelligence

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Academic year: 2022

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Réponses aux remarques et commentaires d'un groupe de lecteurs qui se sont réunis pour discuter du Dialogue n°1 de la Recherche de la Troisième Intelligence.

Merci pour toutes vos remarques et voilà donc les réponses que je peux apporter à celles qui m'ont déjà été faites :

A) La forme :

Dans l'ensemble, ils trouvent le style agréable à lire, surtout avec la difficulté du « mode dialogue », bien que l'un des deux ait trouvé la fin du livre « poussive » p141 à 150 hors contexte, écourtant le dialogue par une suite de titres de livres et d'émissions qui n'apportent rien à la réflexion du père.

• Que dire ? Les deux viennent de passer un certain moment à discuter, le fils est fatigué comme il le dit et le père, qui aurait peut-être voulu continuer un peu est bien obligé (du moins, c'est comme ça que je le vois) de finir de répondre à son fils. Je ne vois pas le hors contexte, désolé.

Bien que tu écrives un livre à compte d'auteur, tu restes sous la loi du Copyright. Donc, quand tu cites un livre, tu te dois d'indiquer entre parenthèses ou en bas de page : l'auteur, le titre, la maison d'édition et la date d'édition . Il s'inquiète que ton éditeur ne t'ait pas prévenu à ce sujet.

• J'en ai déjà parlé. J'ai émis un doute à ma maison d'édition qui m'a répondu que c'était bien comme ça. Maison d'édition à compte d'auteur et donc un peu moins à cheval sur les obligations

? Je ferai plus attention la prochaine fois.

Hors sujet : La question du fils portait sur l'avenir de l'Humanité et le père répond sur le pourquoi du présent, puis comment devrait devenir « son monde » en bouleversant tout.

• Non. Je ne vois pas. La question est : « comment est-ce que tu vois le futur ? » Et le père demande des précisions : « le mien ou celui de l'Humanité ? » Et quand il arrive à celui de l'Humanité, il précise « je vais non pas te dire ce que je pense qu’il peut arriver car ça, tout le monde peut le faire finalement. Bien que personne n’ait d’arguments solides et fiables pour prédire l’avenir, mais bon. Non, je vais plutôt te dire ce que j’aimerais bien qu’il arrive… » et là, bien sûr il parle de "son monde", mais où est le problème ?

Tous les deux, ont trouvé le fils (qui pose pourtant la question de départ) amorphe, sans beaucoup de réaction face aux réflexions et visions du père, alors qu'il est le plus conservé par l'avenir.

• Pas particulièrement. Il pose une question, qui certes le concerne, mais à son père, pas à un

"spécialiste du futur" qui lui apporterait toutes les réponses à ses questions. En fait au départ, il ne s'attend pas à grand-chose et certainement pas à ce que la discussion aille dans le sens qu'elle prend. N'ayant visiblement pas de réponses précises lui-même et sans doute déconcerté par la tournure des choses, il ne fait que suivre les mots de son père et n'a pas grand-chose à dire… Ce sera peut-être dans le tome 2.

Pourquoi l'auteur donne la trame de son livre et la trame du suivant (p148) ? Ils te donne le conseil de ne jamais écrire un roman policier.

• Pourquoi ne pas donner la trame ?

Rien sur l'écologie, pas de questions ou réflexions sur le remplacement des matières premières ou énergétiques qui s’épuisent.

• Non car pour le coup, ce serait là le hors-sujet, donner un avis sans y avoir bien réfléchi. Nous n'avons pas à faire à un débat entre deux spécialistes. C'est mon choix.

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Quid de la menace nucléaire qui reste comme une épée de Damoclès au dessus de la tête de l'Humanité.

• Encore une fois, la question, c'est sur le futur au sens large, mais sans bases scientifiques particulières, le père n'a aucune raison de se lancer dans une discussion qui pour le coup deviendrait vraiment une discussion de piliers de bar. Et de mon point de vue, avant de

s'attaquer à tous les problèmes actuels, il est bon d'expliquer pourquoi ils arrivent… et c'est ce que fait le père.

B) le fond et réflexions sur les solutions du père : Critiques classées par N° de page

Page 15 : (personne n'est capable....en connaissance de cause) L'Homme garde le choix de son métier, de se marier, du pays à habiter, garde le choix d'avoir des enfants ou pas etc ….

• La question du choix est assez délicate car tout dépend de la définition que l'on donne à ce mot- là. Si on choisit de faire une tarte aux pommes, on choisit en général d'acheter des pommes pour que ça ne devienne pas une tarte à la banane. Là, c'est un choix, disons sans conséquences fortes (sauf si l'invité est allergique aux bananes). Quant aux exemples que vous donnez, les choix importants dans la vie ne se pratiquent que sur un panel limité d'une part et sans qu'on ait une quelconque idée de ce que le choix va donner d'autre part (et heureusement). Je ne peux pas choisir de devenir astronaute ou troisième ligne de rugby si je n'en ai pas les capacités ou le physique, je ne peux pas choisir de me marier si je ne trouve personne pour m'épouser

(d'ailleurs, mon fils trisomique a peu de chances de se marier et ce ne sera pas suite à un choix qu'il aura fait), je ne peux pas choisir d'habiter dans un pays si les autorités de ce pays ne me le permettent pas (voir les légers problèmes avec les migrants en Europe), je ne peux pas choisir d'avoir des enfants, surtout si je suis un homme, si je n'ai personne pour participer à la conception avec moi, etc… Donc, on fait certes toujours des choix (il n'y a pas d'autres mots), mais uniquement parce qu'à un moment précis telle ou telle solution nous est offerte. Je ne serais jamais venu au Japon si je n'avais pas rencontré un Japonais à mon ancien boulot par exemple (oui, je sais, je n'en sais rien en fait, mais là n'est pas la question).

Page 24 : (Avenir de l'Humanité.... on en reparle bientôt) Rien sur la vision du futur de l'Humanité dans les pages suivantes.

• Hé non. Le lecteur est prévenue au début du livre que « Le dialogue commence donc et se déroule comme tout dialogue. Il ne suit pas nécessairement une ligne bien droite. Hésitations, oublis, retours, répétitions, détours, rectifications, etc... Bref, une discussion normale. ». Ceci dit, comme le dit le père « on peut donc passer à l'avenir de l'Humanité », mais il avait prévenu p8 « je ne sais pas si on aura le temps de tout débriefer mon point de vue sur la chose

aujourd’hui. » et de fait, ils n'ont pas eu le temps… il va falloir attendre la suite, mais à mon avis, dites-moi ce que vous en pensez, les bases posées dans le premier livre me semblaient nécessaires. Maintenant, on peut attaquer le futur.

Page 46 : (Ignorance...sphère) Au contraire, c'est depuis que l'humanité a su que la Terre était ronde que « le grand n'importe quoi a commencé ». Avant, l'espace semblait encore plus réduit aux Hommes, puisque que la limite d'une Terre plate était l'horizon sur la mer (Civilisation Maya, viking, puis européennes dessinaient ce concept)

• Désolé, mais le grand n'importe quoi a commencé dès le tout début de l'Humanité, et bien bien bien avant toute civilisation, c'est-à-dire bien avant il y a 5500 ans avec la civilisation

mésopotamienne. Bref, ça a commencé dès le début de la conscience de soi et de la conscience d'exister et ce, à cause de l'ignorance totale du milieu. Au bas mot, on va dire que l'Humanité a erré à l'aveuglette pendant 250 000 ans (certainement beaucoup plus) et pendant toute cette période, l'Homme n'a jamais été en mesure de prendre son destin en main. Après, que les Humains aient conçu divers modèles pour la Terre n'a rien changé à ça et le n'importe quoi a

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certes continué de plus belle. Mais maintenant, on a les connaissances pour enfin nous prendre en main et là, on a de réels choix (enfin des choix) à faire.

L'errance de l'Humanité, c'est le point le plus important du livre. C'est en tout cas, pour moi, l'explication la plus plausible de l'état actuel de la planète et comprendre ça, c'est sans doute faire un grand pas vers un meilleur avenir…

Page 106 à 109 : La coupure sur l'émission animalière est trop longue, reprise en plus page 113. A nouveau le principe d'une unique idée d'éducation.

• Je conçois que l'insistance puisse paraitre exagérée, mais pour une fois que le père a une idée (et moi, je la trouve importante) pourquoi n'insisterait-il pas ? Quant au principe d'une unique idée d'éducation, pourquoi le "À nouveau" ? Mais de toute façon, j'avoue, je serais assez en faveur d'une éducation unique, mais pour cela, il faut que nous changions radicalement de paradigme et là, il faut attendre le tome 2… désolé… dans lequel il devrait y avoir une petite réflexion sur les bienfaits, ou non, de la diversité telle qu'on la connait.

Page 111 : (L'industrie différent..dans l'après) Aucune réponse dans le livre du futur de l'industrie et de l'économie ?

• Dans l'Après, tel qu'imaginé par le fils (tome 2), oui, le modèle industriel risque d'être fort différent. Ce premier livre dénonce au moins un mode de vie qui, j'espère, est appelé à

disparaitre. Il est aussi là pour qu'on se pose des questions, non ? Les réponses, chacun peut se les imaginer sans avoir à attendre le livre 2.

Page 139 : (Chiffre raisonnable de la population) D'abord aucune indication du père, puis il indique 50 % de la population actuelle. Comment l'Humanité va résoudre ce problème « d'élimination » Holocauste, élimination des plus faibles ou des « nuisibles » ?

• Voeux pieu du père. Mais ma question à votre remarque, c'est pourquoi tout de suite imaginer Holocauste et élimination des nuisibles ? Le père a-t-il l'air si diabolique que ça ? Le tome deux aborde bien entendu la question, mais rassurez-vous il n'y aura pas de sang coulé ni d'eugénisme quelconque.

Page 139 : (L'avortement...moyen très utilisé) Vision futuriste sexiste du père (voire de l'auteur?) et la contraception ? Son système table rase ferait il supprimer vaccins et autres avancées médicales ?

• Vision trop féministe du lecteur (ou de la lectrice). En tout cas, ni le père, ni l'auteur ne peuvent être traités de sexistes. Je reprends une réponse que j'avais donnée à cette même question dans un autre courrier :

« La contraception ?.Je pense que vous faites référence à l'avortement. Là encore, on est dans un cas très précis d'enfants non désirés qui arrivent quand même. C'est-à-dire que tout ce qui se passe en amont avec préservatif, contraception, etc... ça n'a pas marché. Quand je lis ce que j'ai écrit, je vois moi plutôt ça comme un critique négative de l'état actuel où on ne fait pas toujours très attention et si un enfant arrive, qu'est-ce qu'on peut faire d'autre qu'un avortement. Dans l'Après, visiblement, même si ce n'est pas dit explicitement, les mentalités auront bien changé et il n'y aura plus d'avortements pour simplement se débarrasser d'un enfant non souhaité (il restera toutefois dans le cas d'un enfant avec handicap... non, ce n'est pas de l'eugénisme !) » Pour ce qui est de la Table Rase, non, on ne revient pas à l'époque d'avant la maitrise du feu.

D'après Descartes « … se défaire de toutes les opinions que l'on a reçues et reconstruire de nouveau et dès le fondement tout le système de ses connaissances ». Il s'agit donc d'une Table Rase dans la tête si je puis dire et non pas matérielle. Mais bien entendu une remise en question profonde aura une influence certaine sur notre vie matérielle et il se peut que nombre d'objets jugés inutiles ou néfastes passeront à la trappe.

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Page 140 : (Concept de l'abandon de l'Australie) Pourquoi l'Australie ? Aucun intérêt écologique ou économique. Si on reste sur cette idée, laisser le Brésil pour que la forêt Amazonienne (poumon du monde) se reforme. Que fait-on des habitants ?

• Oui, pourquoi l'Australie ? Ou plutôt pourquoi uniquement l'Australie ? J'ai écrit « l'Australie tout entière par exemple ». Ne pas oublier le "par exemple". En plus, il s'agit d'une ile donc a priori plus facilement isolable. Sans compter que l'Australie est visiblement un continent très pauvre à cause de l'érosion de son sol (non causée par l'Homme pour une fois). Son

dépeuplement peut se faire progressivement, bien entendu avec la mentalité de l'Après. Et puis la population de l'Australie, à part les Aborigènes bien entendu, a commencé avec une migration forcée. Pour ce qui est des Aborigènes, s'il en reste encore des non contaminés par le civilisation moderne, pourquoi ne pas les laisser tranquille effectivement, mais eux uniquement. Enfin, un reboisement du continent, à condition que ça prenne, pourrait servir à constituer un nouveau poumon. Mais bien sûr, la forêt amazonienne, entre autres, doit aussi être préservée.

I) Réflexions globales sur le livre :

Regrouper la population mondiale sur un territoire restreint comme prescrit par le père. Résultat du système : appauvrissement des sols et déforestation pour construire de nouveaux logements et regrouper les établissements nécessaires (hôpitaux, maternité ? Usines etc....) Bonjour l'écologie !

• Le résultat suggéré est un point de vue comme un autre, mais rien n'indique que ça se passera comme ça et a priori, les choses ne se feront pas sans une réflexion responsable et je ne vois pas pourquoi ni comment ça pourrait être pire que maintenant. Au contraire. Surtout si la population baisse.

Ferme pour les enfants ? Le concept reste trop flou, voire malsain. La même éducation pour tous, qui fait les programmes ? 40 adultes pour 10 enfants : Quels critères pour les éducateurs ? Pourquoi ce chiffre. On sépare les frères, sœurs et parents ?

• Le concept tel que décrit dans le livre est un peu flou, je le concède (quoi que). Quoi qu'il en soit, il ne s'agit pas d'un lieu d'éducation, mais d'un lieu d'habitation tout simplement et aucune séparation de qui que ce soit n'est envisagée. J'avais l'image d'une grande ferme avec plusieurs bâtiments et un espace de culture (légumes, etc…) quand j'ai eu l'idée de ce nom. L'idée, c'est que les enfants uniques aient quand même des frères et des soeurs. C'est donc plusieurs familles (avec parents, enfants, et éventuellement grands-parents) dans un même endroit plutôt que plusieurs endroits, un par famille… plus de précisions dans le livre 2. Le chiffre, comme écrit dans le livre, est donné au hasard, mais il me semble assez bon. Et pourquoi ce rejet d'une éducation unique ? Quoi qu'il en soit, une école "officielle" existera toujours et se fera en dehors des fermes d'habitation (et de culture).

L'éducation du père donné à son fils semble archaïque (coupé du Monde) conception des zoos d'un autre âge, jouets restreints etc... Plus sévère que les Amish le papa.(il n’appelle jamais son fils par son prénom?) On attendrait presque le vouvoiement entre eux.

• Le mieux, ce serait de demander à mon fils ainé - le vrai - qui est passé par cette éducation d'un autre âge où même les Amish ont l'air de Hippies des années 70. Pour l'info, vers ses 17 ans, et je ne sais plus à quelle occasion, mais en tout cas, sans qu'on le lui demande, il nous a littéralement remercié de ne pas lui avoir acheté plein de jouets… donc aucun regret, ni d'un côté, ni de l'autre. Loin s'en faut et si c'était à refaire, je referais la même chose. En ce qui concerne le prénom, d'une part cela n'apporterait rien d'avoir un prénom et d'autre part, essayez de discuter trois ou quatre heures avec quelqu'un avec qui vous n'avez pas de point de conflit, vous verrez que vous ne vous direz jamais vos prénoms (je le fais régulièrement avec un copain français ici et aucun de nous ne prononce le prénom de l'autre). Le père quant à lui donne de temps en temps un "fiston" pour exprimer sa position certes (n'oublions pas qu'il est en charge

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de répondre à la question de son fils et se place, avec une certaine fierté en "professeur"), mais aussi pour permettre au lecteur de s'y retrouver. L'ambiance est-elle vraiment au vouvoiement ? Pour les zoos, tout est dit dans le livre, que ces derniers datent du XIX siècle ou de la semaine dernière. On a simplement ajouté un peu de "bonne action" pour faire un peu oublier l'aspect uniquement "divertissement" des anciens zoos (le but des parcs zoologiques d'après Wikipédia : le divertissement, la conservation des espèces, la pédagogie et la recherche scientifique.). Non, un zoo n'a rien d'un modèle à montrer à des enfants !!!

La proposition du « Tous végans » Donc appauvrissement des terres. Que deviennent les animaux d'élevage, on les laisse en pâture aux prédateurs ? Donc, extinction des races comme vache, lapin, mouton etc. ?

• La proposition n'est pas faite. Et ne le sera pas non plus dans le livre 2. Ceci dit, le véganisme est la philosophie sans doute la plus logique qui existe et qui pose des questions essentielles.

Ceci dit, un total véganisme entrainera nécessairement la disparition d'un grand nombre d'espèces (en tout cas des domestiques et la plupart des lapins de batteries, pour ne parler que d'eux, ne vont pas nécessairement s'en plaindre), mais est-ce pour autant un mal ? Je ne crois pas.

Zoos = Camps de concentration. Que dire alors de son idée de « fermes » et de regroupement des populations.

• Aucun rapport comme vous l'aurez compris.

Technique de la table rase : Jusqu'à quel point ? On abandonne les avancées technologiques, les progrès médicaux ? Quel en serait le bénéfice pour l'Humanité.

• Voir plus haut.

La révolution est un terme mal choisi. Car, dans une révolution, on revient toujours à son point de départ.

• On est peut-être revenu à une royauté avec Macron comme disent certains, mais en général les révolutions, à part en physique, ne sont pas des retours au point de départ (révolution agricole, révolution culturelle chinoise, révolution française…).

Réfuter toutes les religions (sans connaître la vérité!) c'est en créer une autre. D'ailleurs le père, se réfère beaucoup à la religion alors que dans son discours on le sent athée ou agnostique.

• Le père est effectivement pour le moins agnostique à très forte tendance athée. Mais d'où vient cette idée qu'éliminer les religions (et toute superstition) crée une nouvelle religion ? La vérité, on ne la connait pas, non, et donc pourquoi s'embarquer dans des suppositions basées sur des dires rapportés. C'est un peu : je suis l'homme qui a vu l'homme, qui a vu l'homme, qui a vu l'homme… qui a vu l'ours. L'athéisme (ainsi que le refus de toute superstition), me semble-t-il, c'est la meilleure position pour un regard objectif sur notre monde. Quitte à ce que cette objectivité amène un jour à découvrir une vérité théiste, mais j'en doute. Ceci dit, une attitude athée mais "humaine" et bien meilleure qu'une attitude théiste mais "inhumaine". La référence appuyée du père à la religion et un moyen de "démonter" ladite religion qui elle, est archaïque pour reprendre le mot utilisé plus haut pour qualifier le système d'éducation du père.

La surpopulation ? Mauvaise réponse (tous les économistes sont d'accord là dessus). La surpopulation n'est plus dû à la surnatalité, mais au progrès de la science et l'augmentation de la durée de vie dans les pays « riches ». Stagnation des natalités en Chine prévue pour 2025. Le Monde rentre dans une phase d'inertie démographique.

• Si les économistes le disent, c'est parfait. Moi, ma devise préférée, c'est « sceptique sur tout et incrédule sur le reste » et mon attitude préférée, c'est la remise en question constante (la

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fameuse Table Rase) pour invalider ou au contraire valider tout ce qui est dit et pensé.

Concernant la surpopulation, elle est pour moi évidente. La moitié des Humains en moins ne pourra jamais faire de mal quoi qu'on en dise. Ah si ! je suis bête… qui va payer nos retraites ? Il va falloir attendre de livre 2. La Terre n'est pas pour nous seuls et même si on arrive à nourrir tout le monde de manière satisfaisante, ce sera toujours au détriment de nos coloca-Terre. Il serait peut-être temps de penser à leur laisser un peu plus de place.

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