1. On peut négliger la vitesse du fluide dans le récipient. Dans le tuyau, elle s’écrit par contreÐ→v(M, t)=v(M, t)Ð→ux. Le fluide étant incompressible, on a v(M, t).s=Cte=s.v(t). La vitesse est la même en tout point du tuyau.
On peut intégrer l’équation d’Euler sur une ligne de courant du haut du récipient Ajusqu’à la vanne C en passant par la jonction B récipient-conduit, ce qui nous donne alors
∫AC ∂Ð→v
∂t
Ð→dl+[v2 2 +p
µ+g.z]
C
A
=0
Or ∫AB∂Ð→v
∂t
Ð→dl ≡ ∫CB∂Ð→v
∂t
Ð→dl =dv dt.L De plusPA=PC =Patm. On en déduit que
L.dv dt +v2
2 =g.h0= v2∞ 2 Par intégration
v(t)=v∞.e
⎛
⎝
t τ
⎞
⎠−e−
⎛
⎝
t τ
⎞
⎠
e
⎛
⎝
t τ
⎞
⎠+e−
⎛
⎝
t τ
⎞
⎠
avecτ = 2.L v∞