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Submitted on 1 Jan 1956
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Mesure absolue des radioéléments émetteurs β par la
méthode de l’angle solide défini
B. Grinberg, Y. Le Gallic
To cite this version:
MESURE ABSOLUE DES
RADIOÉLÉMENTS ÉMETTEURS
03B2
PAR LA MÉTHODE DE L’ANGLE SOLIDE
DÉFINI
Par B. GRINBERG et Y. LE
GALLIC,
Section Mesures du Commissariat à
l’Énergie
Atomique,Fort de Chatillon, Fontenay-aux-Roses.
Sommaire. 2014 La méthode de
l’angle solide défini a été modifiée de façon à éliminer la plupart des corrections qu’elle impose généralement. En outre, on a développé une méthode de détermination de la fraction transmise du rayonnement. Cette méthode a été utilisée, tant pour la mesure
d’émet-teurs 03B2 purs (32P, 35S), que pour les émetteurs 03B2-03B3 (60Co, 131I et 24Na). Les déterminations faites à l’aide de cette
méthode
et celles obtenues par d’autres (403C0, coïncidences 03B2-03B3) sont toujours en bon accord et dans les limites de précision escomptées.PHYSIQUE APPLIQUÉE 17, MARS 1956, :
1. - Introduation. -
La
mesure
absolue desémetteurs p
par la méthode dite de«l’angle
solide défini » a d’abord été étudiée et décrite en 1947par Zumwalt
[1].
Cettetechnique
adepuis
faitl’objet
d’un certain nombre de travauxayant
pourobjet,
soit de lasimplifier,
soit d’en améliorer laprécision
[2,3].
Cette méthode ne nécessite
qu’un
matérielcou-rant fort
simple,
que tout laboratoire utilisant desradioisotopes
peut
se procurer, et c’est cequi
enfait l’intérêt. Mais telle
quelle
ajusqu’ici
étépra-FiG, 1. - s :
support de source
S : source émettrice.
tiquée,
elleexige
des correctionsdélicates
etnom-breuses,
dont souffre saprécision.
Aussi a-t-elleété
progressivement
abandonnée par les labora-toiresspécialisés
dansl’étalonnage
desradio-éléments tels que le National Bureau of Standards
(U.
S.A.),
le NationalPhysical
Laboratory (G.-B.),
leRoyal
CancerHospital (G.-B.),
Au cours du
présent travail,
nous nous sommesproposés
de rechercher s’il étaitpossible
de modifier les conditionsexpérimentales,
tellesqu’elles
étaient utiliséesjusqu’ici
par les différentsauteurs,
defaçon
à éliminer certainescorrections,
àamé-liorer la
précision
sur lesautres,
à lever ainsi lesprincipales
objections qui
sontopposées
à cetteméthode..
Rappelons
brièvement sonprincipe :
la sourceradioactive à mesurer est
placée
face à la fenêtredtun
compteur-cloche Geiger-Müller,
sur son axe(fin.
1).
L’activité vraie
A"
objet
de la mesure et l’acti-vité mesuréeA., exprimées,
lapremière
ennom-bre de
désintégrations
par seconde et la seconde ennombre
d’impulsions
par seconde sont liées par larelation :
dans
laquelle :
:étant
l’angle
solide « utile », souslequel
lecompteur
est vu de la source,Frd
= facteur de rétro diffusion(support
etfond de
l’enceinte),
Fd
= facteur de diffusion parl’air,
la source etla
fenêtre,
Fr
facteur de réflexion par lesparois,
Ft
== facteur de transmission affectant lesrayons émis dans S2. Ce facteur
correspond
àl’absorption
durayonnement
par l’ensembleair,
fenêtre,
gaz ducompteur.
La détermination des différents facteurs de la formule
(1)
est délicate. Pour en réduire lenombre,
Glendenin, Taylor
et Tabern[4]
ont utilisé unfaisceau
diaphragmé ;
leur choix du diamètre dudiaphragme
repose, non sur une étudeexpéri-mentale,
mais sur cettehypothèse, qu’il
suffit pourqu’un
rayon soitcompté,
qu’il
rencontre la cathodeà au moins 2 cm de la fenêtre.
Un des facteurs dont la détermination est la
plus
36 A
délicate est celui
qui
correspond
àl’absorption
parle milieu :
air-fenêtre’gaz
ducompteur
que lesrayons traversent avant de
pénétrer
dans la zonesensible.
L’extrapolation
des courbesd’absorption
dans
l’aluminium,
tellequ’elle
estgénéralement
pratiquée
est trèsdiscutable,
surtout pour lesrayonnements
mous. Pour lever cetteobjec-tion, Gleason,
Taylor
et Tabern[3]
calculent lecoefficient
d’absorption (J.
auxépaisseurs
voisinesde zéro à
partir
d’une formule établie par lesauteurs
(go
=0,017
E-1.43max) et en
déduisentl’absorption.
2. -
Étude
dudispositif
expérimental.
- Lepré-sent travail repose sur une remarque
préliminaire.
Considérons des
positions
successives :Pl,
P2,
P8,
etc... d’une même sourcesupposée
ponctuelle,
Fig. 2.
sur l’axe du
compteur (fig. 2).
Si,
au cours de cesdéplacements,
p lerapport - A.
ne varie pas,G-Ft
pc’est
que
leproduit
des coefficientsFrd.Fd.Ft
reste
constant ;
cela n’estpossible
que dans lestrois éventualités suivantes :
- ou bien les variations
respectives
de cescoef-ficients se
compensent
defaçon
à ce que leurpro-duit reste
constant,
hypothèse
hautementim-probable,
- ou
bien,
chacun de cescoefflcients,
tout enétant différent de
1,
ne varie pas au cours dudéplacement.
Cette
hypothèse
estégalement
àrejeter.
Eneffet,
lesphénomènes
de diffusion et de réflexiondépendant
de lagéométrie,
une modification de celle-ci entraineobligatoirement
une variation detout facteur différent de 1.
2013Ou bien
enfin,
la contribution àAm
desphénomènes
correspondant
respectivement
àcha-cun de ces
facteurs,
estnégligeable.
Cetteéventua-lité est la seule
qui puisse
être retenue. Dans ce cas :Fld
=Fa
=Fr
=-1,
et la formule deZum-walt,
comme la mesureaussi,
sesimplifient :
Il est évident que, si de telles conditions sont
réalisables,
elles nepeuvent
l’êtrequ’en
faisceausuffisamment
diaphragmé
pourqu’aucun
desrayons
diffusés,
rétro diffusés ouréfléchis,
nepuisse
pénétrer
dans lecompteur.
Voir si la condition
qui
vient d’être définie estpratiquement
réalisable,
c’est-à-dire voir s’il estpossible
de définir un domaine depositions
de lasource pour
lequel
la loi de l’inverse du carré de la distance estrespectée,
estl’objet
de lapremière
partie
duprésent
travail.FIG. 3. - Différents
types de diaphragmes.
Quatre
types
dediaphragmes,
dont deux à ouverturecylindrique
et deux à ouvertureconique,
ont été étudiés(fig. 3).
Le
plomb
antimonié a été choisi en raison de sadureté
qui
permet
unusinage
précis.
Dans
chaque
type,
on a fait varier le diamètre de l’ouverture etl’épaisseur.
FIG. 4. -
Dispositif expérimental.
L’étude a d’abord été faite avec du
phosphore-32 choisi en raison de
l’énergie
de son rayonnement.La source aussi
ponctuelle
quepossible
(0
1mm)
déposée
sur film depolystyrène,
étaitplacée
La distance de la source à la base de l’enceinte était
toujours supérieure
à 40 mm, distance audelà de
laquelle,
ainsiqu’un
essaipréliminaire
avait
permis
de leconstater,
la rétrodiffusion par lefond,
même sansdiaphragme,
estinappréciable.
Pour chacune des
positions
et chacun desdia-phragmes,
on a calculé :a)
Am
est naturellementcorrigé
dumouve-ment propre et des
pertes
decomptage.
Signalons,
en outre, que le
compteur
utilisé avait àl’origine
unepente
de 0 pour cent pour 100 volts.FIG. 5.
c)
Ft
est déduit du parcours total des rayonsjusqu’à
la zone sensible(fig.
5),
il résulte de :4
=parcours dans l’air.
l2
=0,4
mg /cm2,
parcours dans le
compteur
jusqu’à
la zone sensible(hélium
à 68 cm depression).
l3 = 1,4
mg/cm2,
épaisseur
de la fenêtre ducompteur.
. Une erreur de 1 mm sur le
parcours dans le
compteur
et une erreur simultanée de0,1
mg surl’épaisseur
de la fenêtre ne serépercutent
pas defaçon
appréciable
sur.Ft.
Il nes’agit
d’ailleurs icique d’une
première approximation
deFt
qui
sertuniquement
à définir les conditionsexpérimen-tales pour
lesquelles
les autres facteurs sontnégli-geables.
Cette étude a conduit aux conclusions suivantes :
Am
10 le
rapport G. Ft
est constant tant quel’angle
solide ne
dépasse
pas une certaine valeurn403C0
1 pourcent .
Ceci estréalisé lorsque
( 4
03C0 p , ql’ouverture du
diaphragme
est faible et la distancesource-compteur
suffisante ;
20 les résultats les
plus
satisfaisants ont étéobtenus :
a)
pour lesémetteurs p
purs, avec undiaphragme
de
plomb
antimonié de 2 mmd’épaisseur,
àouver-ture
conique
sans revêtement d’aluminium. Laconicité choisie est telle que les rayons issus de
sources
comprises
entre P4 et P8 sont sensiblementrasants. La
positionp4
coïncide à peuprès
avec lesommet du cône
qui
définit l’ouverture dudia-phragme.
Avec cediaphragme,
les résultats ont étéles suivants :
Positions ... 2 3 4 5 6 7 8
Rapport AM
.. 2,26 2,60 2,57 2,54 2,56 2,5 8 2,56 G. Ft . .On voit donc que de 3 à 8 le
rapport
est constantaux erreurs
statistiques près.
b)
pour les émetteursj3-y
avec undia-phragme
deplomb
revêtu d’aluminiumqui
ab-sorbe les
photoélectrons
et les électronsCompton
dont la somme en certains cas
peut
atteindre10 pour cent
(laaAu)
et même 20 pour cent(131I)
de l’activité mesurée totale. Là encore lediaphragme
conique
a donné les meilleursrésul-tats. Voici les résultats obtenus avec de l’or 198 :
Positions ... 2 3 4 5 6 7 8
Rapport AM
5,93 6,15 6,10 6,06 5,98 6,20 5,98 G. FtA
partir
de laposition
3,
lerapport
est constantaux erreurs
statistiques près.
Ceci nous conduit à des conditions
expérimen-tales sensiblement différentes de celles utilisées
par
Gleason, Taylor
et Tabern :-
angle
solidepratiquement
de l’ordre de2 j1000
au lieu de1,5
à1,9
pourcent ;
- diamètre moyen dudiaphragme
de 4 à 8 mm,au lieu de 14 à 18 mm ; -- faisceau de
rayons ne touchant pas la coque
du
compteur.
Ces conditions
optima
ont étéadoptées
pour la deuxièmepartie
de cetteétude,
avec unelégère
modification- toutefois,
pourpermettre
la mesuredes émetteurs mous. Le
diaphragme
a étérap-proché
de la fenêtre ducompteur
si bien que la distance minimumsource-compteur
a été ramenéede
5,7
mg /cm2 à 2,9 mg /cm2 (position
2).
3. - Détermination de la fraction transmise.
-Le
dispositif
décritplus
haut(diaphragme
deo =
4mm)
placé
contre la fenêtre étant mis enplace,
supposonsqu’on déplace
une sourceponc-tuelle axialement dans la zone où la contribution
à
Am
des rayons autres que ceux émis dans Q et38 A
.
diffusion,
sontnégligeables.
Enchaque point,
nousavons :
FIG. 6.
FIG. 7.
Si
l’absorption
dans l’air estexponentielle
log
Ft
= -yz
(x
=parcours air + fenêtre + gaz
compteur),
etFrG. 8.
Nous avons
vérifié,
entraçant
la courbelog
-4-i
G
1
en fonction de x,
qu’il
en estrigoureusement
ainsi. Ci-dessous les courbes obtenues avec
32p,
35S,
131I et 6°Co(fig. 6,
7, 8, 9).
Sur ces courbesles
points
entourés d’un rond(0)
correspondent
àdes
positions
de la source situées en dehors de la zoneplus
hautdéfinie, positions
parconséquent
où la contribution des rayons réfléchis ou diffusés cesse d’êtrenégligeable.
L’extrapolation
àl’origine
(où
Ft
=1)
de la droite obtenue donneAv.
On en déduit ensuiteour cha ue radioélément F =
Am
1
our les pourchaque
q radioélémentFt =
t=AM G -r
pour lesG
Av
pdiverses
positions
de la source. On a obtenuainsi,
pour les
positions
lesplus
courammentutilisées,
les valeurs
figurant
au tableau 1.TABLEAU 1
4. - Mode
opératoire pratiqua.
-a)
Pré-paration
des sources. - Ondépose à
l’aide d’unpycnomètre
unegoutte
de lasolution
àmesurer ; on en détermine le
poids
Pcorrigé
de l’erreurd’évaporation
en cours depesée
à lamicrobalance ;
ordre degrandeur
de P : 1 à 4 mg.Après
évaporation
à lalampe
àinfrarouge,
lasource a un diamètre n’excédant
pas 1
à 2 mm.b)
-Support
de source. - Au début de cetteétude,
on a utilisé du film depolystyrène
pourrendre
négligeable
l’effet de rétro diffusion. MaisFIG. 10. ---- Dispositif
pour centrer les sources.
il s’est avéré que dans les conditions de
canalisa-tion
utilisées,
la nature dusupport
est sansimpor-tance : en
plaçant
un réflecteur deplomb
contrele film de
polystyrène,
on n’a observé aucuneaugmentation
deAm.
Toutefois,
lepolystyrène
est
très commode en cequ’il
permet
de centrer la source sur lapointe
noircie d’unsupport
surlequel
onplace
l’anneauporte-source
( fig.10).
c)
Diaphragmes.
- Ceuxqui
ont étéadoptés
etqui
conviennent à laplupart
des cas sontrepré-sentés dans les
figures
Il et 12.5. - précision. - On a :
Av =
,v =A.
G. Ft. p
.Av
étantexprimé
endésintégrations
par secondeet par gramme. Cette formule ne tient pas
compte
de
l’autoabsorption
que nous avonssystémati-quement négligée
au cours del’exposé.
Nous avons en effettoujours
travaillé avec des solutions sansFie. 11. -
Diaphragmes utilisés pour émetteurs p .
Diaphragme
1 {a= 4mm b=37mm
(&=3,7mm. Diaphragme 2
b = 7,4 mm.
b = 7,4 mm.Fie. 12. - Diaphragmes utilisés pour émetteurs
Py Diaphragme 1 a=4mm
Diaphragme 1
{
b 3 mm. Diaphragme 2 a = 8 mmDiaphragme 2
b 6 mm.
entraîneur,
donnant des sources depoids
super-ficiel
négligeable
et,
parconséquent,
sansauto-absorption appréciable.
Dans les cas où celle-ci nepourrait
êtrenégligée,
la correctionqui
enrésulterait serait au
plus égale
à celle dont ilfau-drait tenir
compte
si cette même source étaitmesurée au
compteur
4n.-
erreur sur la
pesée :
2/1
000 ;
-
erreur sur G : les
diaphragmes
ont été usinésau centième de
millimètre ;
l’erreur sur la distance40 A
le
diaphragme
utilisé(0 = 4
mm)
une limitesupé-rieure
qui
dépend
de laposition
de la source.âG
en P4 :
A G G 1,3
pour cent en P8 :A-G
0,4 pour centG
Avec un
diaphragme
de 8 mm, que l’on utilise danscertains cas, l’erreur est
plus
faible ;
Erreur sur Am. Il
s’agit
de l’erreurstatistique
dont on est en
général
maître ;
elle n’excède pas0,5
pourcent ;
Erreur sur
Ft.
Cettegrandeur
est déduite deAo,
obtenue elle-même parextrapolation
des courbes6,
7,
8 et 9. L’incertitude maximum surcette valeur
extrapolée,
déduite descourbes,
estde : .
1 pour’ cent pour 3.IS 3 pour cent pour 6°Co 1 pour cent pour 131I ; 0,5 pour cent pour 32P.
Ce sont les limites
supérieures
des erreurscom-mises sur les
Ft
correspondants.
Par
conséquent,
la limitesupérieure
del’erreur,
dans le cas de sources sans correctiond’auto-absorption
et depoids
moyen de 2 mg, est de :2,5 pour cent pour 32p 3 pour cent pour 35S et 131I 5 pour cent pour 6°Co.
La moins bonne
précision
dans le cas du cobalt tient au fait que,les g
de ce corps étantbeaucoup
moinsénergiques
que ceux del’iode,
laprésence
des y
qu’il
faut soustraire et surlesquels
l’erreurstatistique
est inévitablementplus
grande
seréper-cute pour lui de
façon
plus
notable.V. - Résultats. - La validité de
ce
qui
pré-cède a été testée en mesurant l’activité de diverses solutions des radioéléments
précités,
d’unepart
àl’aide de
l’angle
solidedéfini,
d’autrepart
soit aucompteur
403C0,
soit par les coïncidences. Lesrésul-tats ont
toujours
été concordants dans la limite deserreurs
prévues ;
en voiciquelques
exemples :
Radioélément ... 35S 32P "0 Co 131J 24Na
Angle Solide ... 1,87 6,47 3,96 4,97 2,40
4n G. M... 1,83 6,45 3,99 4,93 2,42
Coïncidences fi-y ... 4,07 5,05 2,48 En
outre,
des solutionsétalonnées,
soit par A. E. R.E.,
soit par le N. P.L.,
ont été mesurées par nous àl’angle
solide défini :Radioélément ... 32p 131I
Angle Solide ... 1,005 2,06
4n proportionnel N. P. L. 1,03
403C0 G. M.
(C.E.A.) ...
1,022 2,13A. E. R. E... 2,0
Conclusion. - La méthode de
l’angle
solidedéfini,
tellequ’elle
est décriteplus
haut,
estcou-ramment utilisée par la Section Mesures
concur-remment avec les autres méthodes. Elle a
l’avan-tage
d’être trèsrapide
etsimple,
de donner desrésultats
parfaitement
reproductibles
et d’unepré-cision
comparable
à celle des autrestechniques
(4?7 G.M., coïncidences) (1).
Nous tenons à remercier Mme Thénard pour l’aide efficace
qu’elle
nous aapportée
tout aulong
de ce travail.
Manuscrit reçu le 9 septembre 1955.
(1)
Chacune des méthodes ne peut naturellement être utilisée que pour des activités spécifiques supérieures à unecertaine valeur. Ce seuil de sensibilité pour le dispositif
d’angle solide utilisé par la Section Mesures est d’environ
10U C/cc pour 37p et 30U C/cc pour 35S.
RÉFÉRENCES
BIBLIOGRAPHIQUES .
[1] ZUMWALT, (L. R.), M. D. D. C., 1346, 1947.[2] BURTT, Nucleonics, 5-2-28, août 1949. [3] GLEASON TAYLOR
et TABERN, Nucleonics, 8-5-27,