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m g m h -2 -1

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Marie Camredon

LISA – UMR CNRS 7583

marie.camredon@lisa.u-pec.fr

UE: Modélisation de la pollution atmosphérique

Représentation de la chimie dans les modèles

numériques de qualité de l’air

(2)

Composés gazeux NOx, SO

2

NH

3

, HC …

H

2

SO

4

HNO

3

COVO

••

• •

• ••••

dépôt

sédimentation

précipitation

sels de mer

aérosols désertiques…

nucléation

condensation

réactions hétérogènes

0.1 nm 1 nm 10 nm 0.1 µm 1 µm 10 µm

phase gazeuse

aérosols ultrafins

aérosols fins (Aitkens)

aérosols fins (accumulation)

aérosols grossiers

gouttelettes de nuage suies …

émissions

GAZ

AEROSOLS NUAGES

dissolution oxydation

coagulation condensation réactions

en phase aqueuse (oxydation) activation

évaporation

Le système atmosphérique

(3)

Composés gazeux NOx, SO

2

NH

3

, HC …

H

2

SO

4

HNO

3

COVO

••

• •

• ••••

dépôt

sédimentation

précipitation

sels de mer

aérosols désertiques…

nucléation

condensation

réactions hétérogènes

0.1 nm 1 nm 10 nm 0.1 µm 1 µm 10 µm

phase gazeuse

aérosols ultrafins

aérosols fins (Aitkens)

aérosols fins (accumulation)

aérosols grossiers

gouttelettes de nuage suies …

émissions

GAZ

AEROSOLS NUAGES

dissolution

oxydation

coagulation condensation

réactions

en phase aqueuse (oxydation)

activation

évaporation

Le système atmosphérique

(4)

Composés gazeux NOx, SO

2

NH

3

, HC …

H

2

SO

4

HNO

3

COVO

••

• •

• ••••

dépôt

sédimentation

précipitation

sels de mer

aérosols désertiques…

nucléation

condensation

réactions hétérogènes

0.1 nm 1 nm 10 nm 0.1 µm 1 µm 10 µm

phase gazeuse

aérosols ultrafins

aérosols fins (Aitkens)

aérosols fins (accumulation)

aérosols grossiers

gouttelettes de nuage suies …

émissions

GAZ

AEROSOLS NUAGES

dissolution oxydation

coagulation condensation

réactions

en phase aqueuse (oxydation)

activation

évaporation

Le système atmosphérique

(5)

(1) NO

2

+hν  NO + O(

3

P) J

1

(2) O(

3

P)+O

2

+M  O

3

+M k

2

(3) O

3

+NO  NO

2

+O

2

k

3

(4) O

3

+hν  O(

1

D)+O

2

J

4

(5) O(

1

D)+M  O(

3

P)+M k

5

(6) O(

1

D)+H

2

O  2 OH k

6

(7) CO+OH  CO

2

+HO

2

k

7

(8) HO

2

+NO  NO

2

+OH k

8

(9) OH+NO

2

 HNO

3

k

9

Mécanisme chimique

d[O(

1

D)]/dt = J

4

[O

3

] - k

5

[O(

1

D)][M] + … d[O(

3

P)]/dt = J

1

[NO

2

] + k

5

[O(

1

D)][M] + …

d[O

3

]/dt = k

2

[O(

3

P)][O

2

] - k

3

[O

3

][NO] - J

4

[O

3

] + … d[NO

2

]/dt = k

3

[O

3

][NO] + k

8

[HO

2

][NO] + …

d[NO]/dt = J

1

[NO

2

] - k

8

[HO

2

][NO] + …

d[OH]/dt = 2k

6

[O(1D)][H

2

O] + k

8

[HO

2

][NO] + … d[HO

2

]/dt = k

7

[CO][OH] - k

8

[HO

2

][NO] + …

d[CO]/dt = k

7

[CO][OH] + … d[CO

2

]/dt = - k

7

[CO][OH] + … d[HNO

3

]/dt = k

9

[OH][NO

2

] + …

Système d'équations différentielles

Solveur

 A priori, la démarche la plus simple est d’écrire toutes les réactions chimiques (schéma explicite)

Concentrations [O(

1

D)](t) [O(

3

P)](t) [O

3

](t) [NO

2

](t) [NO](t) [OH](t) [HO

2

](t) [CO](t) [CO

2

](t) [HNO

3

](t)

Interpréteur

Le mécanisme chimique

(6)

GAZ

SO

2

, H

2

SO

4

, NH

3

, NOx, HNO

3

, Na, Cl, O

3

, H

2

O

2

Composés gazeux NOx, SO

2

NH

3

H

2

SO

4

HNO

3

••

• •

• ••••

activation

évaporation

dissolution

sels de mer aérosols désertiques

nucléation

condensation

réactions hétérogènes oxydation

gazeuse

coagulation condensation réactions

en phase aqueuse (oxydation)

dépôt

sédimentation

précipitation

Le système inorganique

• Les mécanismes chimiques inorganiques gazeux sont relativement bien établis

• La description explicite est « peu

couteuse » : schéma chimique gazeux de l’ordre de 20 espèces et 35 réactions

 Pas de problème majeur : la description explicite est la démarche utilisée dans tous les

schémas chimiques actuels

(7)

Composés gazeux NOx, SO

2

NH

3

Hydrocarbures

H

2

SO

4

HNO

3

••

• •

• ••••

activation

évaporation

dissolution

sels de mer aérosols désertiques

nucléation

condensation

réactions hétérogènes

GAZ

oxydation gazeuse

coagulation condensation

Le système organique

réactions en phase aqueuse (oxydation)

dépôt

sédimentation

précipitation

COVO

(8)

L’émission des composés organiques

Emissions annuelles de composés organiques gazeux biogéniques (~1000 Tg an

-1

)

exemple : émissions simulées pour 2000 par le modèle MEGAN (Guenther et al., 2012)

Emissions annuelles biogéniques globales

Flux moyen d’émission d’α-pinène en France

µ g m

-2

h

-1

400

200 300

100

0

(9)

L’émission des composés organiques

Emissions annuelles de composés organiques gazeux anthropiques (~150 Tg an

-1

) exemple : inventaire TNO (2003-2009) (Netherlands Organization for Applied

Scientific Research) (Kuenen et al., 2014)

Emissions annuelles de COVNM par secteur d’activités en France

(moyenne 2003-2009)

Tg an

-1

7,1 10

2

2,4 10

5

8,0 10

3

5,6 10

4

2,5 10

4

4,2 10

5

2,2 10

5

4,9 10

4

1,6 10

4

0

To nn es c ell

-1

10

5

10

3

10

4

10

2

10 Emissions annuelles de

COVNM en France

(moyenne 2003-2009)

(10)

L’émission des composés organiques

Désagrégation des émissions annuelles de COVNM anthropiques en espèces organiques exemple : recommandations du département de l’environnement du Royaume Uni

(Passant, 2002)

221 espèces

(11)

L’émission des composés organiques

 Décrire l’oxydation de la diversité des espèces organiques anthropiques et biogéniques émises

Structure des composés organiques anthropiques gazeux à l’émission exemple : flux annuels d’émissions anthropiques sur la France

41,8%

15,8%

12,7%

29,7%

alcanes et alcènes, linéaires ou branchés, avec nC > 14

+ Composés organiques

anthropiques de plus faible volatilité

(Ouzebidour, 2012)

(12)

Espèces de 1

ère

génération Espèces de 2

ème

génération … CO

2

+ox +ox +ox +ox

Précurseur

L’oxydation des composés organiques

 Renseigner précisément l'ensemble des constantes cinétiques

et rapports de branchement pour chaque voie réactionnelle

(13)

3 4 5 6 7 Nombre de carbones dans l’espèce précurseur

N om br e d’ es pè ce s

10 2 10 3 10 4 10 5 10 6

n-alcane series i-alkane series 1-alkene series

isoprene

 Description de la chimie pour un très grand nombre d’espèces organiques

(Aumont et al., 2005)

L’oxydation des composés organiques

(14)

Espèces de 1

ère

génération Espèces de 2

ème

génération … CO

2

+ox +ox +ox +ox

Précurseur

Le transfert de phase des composés organiques

 Renseigner les propriétés nécessaires au transfert de phase (pressions de vapeur saturantes, coefficients d’activités,

constantes de Henry…)

Transfert gaz / aérosol Loi de Raoult: P

i

= x

i

γ

i

P

isat

Transfert gaz / gouttelettes

Loi de Henry: P

i

= [i]

w

/ H

i

Transfert avec les phases condensées

nuages aérosols

(15)

Emissions + mécanisme chimique + partage entre phases

=

~ 10

4

- 10

6

réactions

~ 10

3

- 10

5

espèces

Les contraintes liées au développement des mécanismes chimiques

d'estimer

les données manquantes de réduire

la dimension

du mécanisme chimique Développement de méthodes permettant

d’auto-générer l’écriture

du mécanisme chimique Méconnaissance de

nombreuses constantes cinétiques, propriétés et mécanismes réactionnels

Application modélisation 3 D :

~ 200 espèces

~ 500 réactions Impossibilité d’écrire des

mécanismes chimiques explicites manuellement

Chimie organique

(16)

Temps de vie caractéristique de quelques espèces clés

 Les temps caractéristiques s’échelonnent sur plus de 15 ordres de grandeur

(Seinfeld et Pandis, 2006)

(17)

Système d’équations différentielles très « raide »

Les temps de vie des espèces impliquées dans les réactions s’échelonnent sur plusieurs ordres de grandeur

Les contraintes liées à la résolution du système d’équations différentielles

Développement de solveurs et simplifications adaptés La résolution de ces systèmes raides posent

des difficultés numériques particulières

(18)

nature du problème

Méconnaissance de la plupart des constantes cinétiques, propriétés et mécanismes réactionnels

Centaines de COV émis : - Mécanisme détaillé =

milliers d’espèces et de réactions - Capacité des calculateurs pour 3D:

~ 200 espèces

~ 500 réactions

Grande variabilité des temps caractéristiques d’évolution des

espèces impliquées : résolution de systèmes

différentiels très raides

Simplification-réduction des schémas

cinétiques

- regroupement d’espèces - regroupement de réactions - développement d’espèces

modèles - …

contraintes liées à l’élaboration du mécanisme

chimique

méthode

Estimation des constantes et des mécanismes indéterminés sur des bases empiriques et/ou

théoriques

- développement de relation de structure/réactivité

- recherche d’analogies

- utilisation de constantes de façon générique

- …

Développement et optimisation de solveurs d’équations

différentielles adaptés

- hypothèse de quasi- stationnarité

- développement de méthodes numériques adaptées

- …

(19)

I. Estimation des propriétés physico-chimiques

II. Représentation de la chimie gazeuse dans les modèles

III. Evaluation de la fiabilité des schémas chimiques

(20)

I. Estimation des propriétés physico-chimiques

(constantes cinétiques, pressions de vapeur saturantes,

constantes de Henry…)

(21)

Chimie des composés organiques

Chimie des RO

2

Chimie des RO OH

O

3

hv NO

3

NO NO

3

(RO

2

)

dé co m po si tio n is om ér is at io n

CO

2

L’oxydation des COV est une

oxydation progressive

La chaîne d’oxydation peut être schématisée selon :

COV

1

→ RO

2

→ RO → COV

2

Décrire l’oxydation des composés organiques revient donc à décrire chacune de ces étapes

Voies d’oxydation des composés organiques

 La pertinence des schémas explicites repose sur la qualité des données décrivant chacune des étapes

d’oxydation pour les composés organiques

Transfert avec les phases condensées

aérosols

nuages

(22)

>CH-O. + O

2

→ >C=O + HO

2

>CH-C-C-C-O. → >C(.)-C-C-C-OH

>CR-O. → R. + >C=O R-H + OH → R. + H

2

O

>C=C< + OH → >C(OH)-C(.)<

>C=C< + O

3

→ >C=O + Criegee RCHO + NO

3

→ RC(=O). + HNO

3

>C=C< + NO

3

→ >C(ONO

2

)-C(.)<

COV+h ν

RO

2

+ NO → RO + NO

2

RO

2

+ NO → RONO

2

RO

2

+ HO

2

. → ROOH RO

2

+ {R’O

2

} → produits RO

2

+ NO

3

→ RO + NO

2

RCO

3

+ NO

2

→ PANs

Nombre de données expérimentales

> 500

> 50

> 30

> 20

> 50

>20

>10

>30

> 3

> 3

> 5

>10

>10 Chimie

des COV

Chimie des RO2

Chimie des RO

Quels choix pour l’affectation de

constantes cinétiques et

propriétés?

Données expérimentales disponibles

Transfert de phase

P

isat

H

i

> 500

> 500

(23)

P ro pr ié té p hy si co -ch im iq ue co nst an te ci né tiq ue ra pp or ts de b ra nch em en t

nombre de carbones nombre de substituants

enthalpie de réaction

×

× ×

×

×

×

Points expérimentaux

× SAR

G ra n d eu r à év al u er

Descripteurs

O

OH ONO

2

O

k réaction K Henry P sat

= ?

= ?

= ?

nature des liaisons chimiques

Relations de structures/propriété ou de structures/réactivité

(SAR)

(24)

>CH-O. + O

2

→ >C=O + HO

2

>CH-C-C-C-O. → >C(.)-C-C-C-OH

>CR-O. → R. + >C=O R-H + OH → R. + H

2

O

>C=C< + OH → >C(OH)-C(.)<

>C=C< + O

3

→ >C=O + Criegee RCHO + NO

3

→ RC(=O). + HNO

3

>C=C< + NO

3

→ >C(ONO

2

)-C(.)<

COV+h ν

RO

2

+ NO → RO + NO

2

RO

2

+ NO → RONO

2

RO

2

+ HO

2

. → ROOH RO

2

+ {R’O

2

} → produits RO

2

+ NO

3

→ RO + NO

2

RCO

3

+ NO

2

→ PANs

> 500

> 50

> 30

> 20

> 50

>20

>10

>30

> 3

> 3

> 5

>10

>10 Chimie

des COV

Chimie des RO2

Chimie des RO

Transfert de phase

P

isat

H

i

> 500

> 500

Relations de structures/réactivité (SAR) disponibles

Kwok & Atkinson ,1995 ; Peters et al., 1997 ; Carter 2000 ; Saunders et al., 2003 ; Mellouki et al., 2003 ; Kerdouci et al., 2014 ; Jenkin et al., 2018a ; Jenkin et al., 2018b…

SAR non disponible (Jenkin et al., 1997 ; Laval-Szopa 2003)

Madronich et al., 1990 ;

Lesclaux 1997 ; Carter, 2000 ; Boyd et al., 2003

SAR non disponible (affectation de la réactivité de C

2

H

5

O

2

&

CH

3

C(O)OO)

Carter 2000 ; Saunders et al., 2003 ; Peeters et al., 2004 ; Vereecken et al., 2009

Meyland et al., 2000; Hilal et al., 2008 ; Raventos et al., 2010…

Myrdal et al., 1997 ; Nannoolal et al., 2008 ; Pankow et al., 2008 ; Compernolle et al., 2011…

(25)

Exemple 1 : Détermination des sites réactionnels de OH sur les composés organiques

+ OH

+ H

2

O + H

2

O + H

2

O + H

2

O 2×k

1

k

2

k

3

k

4

Constante cinétique k

total

= 2k

1

+ k

2

+ k

3

+ k

4

Les radicaux alkyls sont extrêmement réactifs

 les k

i

sont difficilement mesurables au laboratoire

 estimation sur la base des constantes totales mesurées

Rapports de branchement α

i

= v

i

/v

total

Position du problème

+ Prise en compte l’effet des carbones adjacents au carbone considéré

A priori, la réaction doit être d’autant plus « facile » que l’énergie de la liaison C-H est faible Carbone primaire: E

C-H

~ 101 kcal.mol

-1

Carbone secondaire: E

C-H

~ 98 kcal.mol

-1

carbone tertiaire : E

C-H

~ 96 kcal.mol

-1

 k

prim

< k

sec

< k

ter

(1) Base de données expérimentales de constantes totales de réaction pour des

molécules de différentes structures

(2) Déterminer une relation empirique pour calculer les rapports de branchement en fonction de la nature primaire, secondaire ou tertiaire du carbone

Méthode

(26)

Relations de structure/réactivité de Atkinson et al. (1987) k(CH

3

-X) = k

prim

× F(X)

k(X-CH

2

-Y) = k

sec

× F(X) F(Y)

k(X-CH(Y)-Z) = k

ter

× F(X) F(Y) F(Z)

et : F(X)=exp(Ex/T)

k

prim

= 4,47.10

-18

×T

2

× exp(-300/T) k

sec

= 4,32.10

-18

× T

2

× exp(+253/T)

k

ter

= 1,89.10

-18

×T

2

× exp(+711/T) cm

3

.molécule

-1

.s

-1

et

Résultat de l’ajustement empirique :

CH

3

- -CH

2

-

>CH-

>C<

Cl

=O -CHO

-OH

0 76 76 76 288 648 82 365

X Ex

(par construction)

Validation de l’approche

Espèce k

calc

k

exp

cm

3

.molécule

-1

.s

-1

n-C

4

H

10

n-C

8

H

18

i-C

5

H

12

CH

3

CH

2

CH

2

OH CH

3

C(Cl)

3

(CH

3

)

3

C-COCH

3

2,56.10

-12

8,16.10

-12

4,00.10

-12

5,0.10

-12

1,3.10

-14

1,4.10

-12

2,5.10

-12

8,7.10

-12

3,9.10

-12

5,3.10

-12

1,2.10

-14

2,6.10

-12

(27)

Kwok and Atkinson, Atmos. Environ., 1995

485 composés organiques

(28)

2 × k

prim

× F (>CH-) = 0,37 10

-12

k

prim

× F (-CH

2

-) = 0,19 10

-12

k

sec

× F (CH

3

-) × F(>CH-) = 1,16 10

-12

k

ter

× F (CH

3

-) × F(CH

3

-) × F(-CH

2

-) = 2,35 10

-12

k

estimée

= 4,07 10

-12

cm

3

.molécule

-1

.s

-1

k

mesurée

: 3,9 10

-12

cm

3

.molécule

-1

.s

-1

 la valeur estimée est en accord avec

celle mesurée à un facteur 1,1 près

Coefficients stœchiométriques de la réaction globale :

CH

3

CH(CH

3

)CH

2

CH

3

+ OH

→ 0.09 CH

2

CH(CH

3

)CH

2

CH

3

+ 0.58 CH

3

C

(CH

3

)CH

2

CH

3

+ 0.28 CH

3

CH(CH

3

)CH

CH

3

+ 0.05 CH

3

CH(CH

3

)CH

2

CH

2

+ H

2

O Rapports de branchement :

voies 1 = 9 % ; voie 2 = 58 % ; voie 3 = 28 % ; voie 4 = 5 %

Application à la détermination des sites réactionnels de OH pour l’iso-pentane

voie 1 : voie 2 : voie 3 : voie 4 :

1

2 3

4

(29)

0,0E+00 5,0E-12 1,0E-11 1,5E-11 2,0E-11 2,5E-11

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15

constante cinétique

nombre de carbones (n)

Exemple 2 : Estimation de la vitesse de la réaction RO

2

+HO

2

CH

3

O

2

C

2

H

5

O

2

HOCH

2

CH

2

O

2

CH

3

C(O)CH

2

O

2

CH

2

=CH-CH

2

O

2

CH

3

C(OH)(CH

3

)CH

2

O

2

CH

3

CH(OH)CH(O

2

)CH

3

neo-C

5

H

11

O

2

cyclo-C

5

H

9

O

2

cyclo-C

6

H

11

O

2

CH

3

C(CH

3

)(OH)C(O

2

)(CH

3

)CH

3

5,8×10

-12

9,0 × 10

-12

1,3 × 10

-11

9,0×10

-12

1,0×10

-11

1,4×10

-11

1,5×10

-11

1,5×10

-11

1,8×10

-11

1,7 × 10

-11

2,0 × 10

-11

Espèces k (molec

-1

.cm

3

.s

-1

) Constantes cinétiques expérimentales des réaction RO

2

+HO

2

(à T=298 K)

La constante cinétique augmente avec la

longueur de la chaîne carbonée ; elle tend vers une limite haute lorsque le nombre de carbones est élevé.

Suggère une expression du type :

( 1 exp( yn ) )

x

k = − −

0,0E+00 5,0E-12 1,0E-11 1,5E-11 2,0E-11 2,5E-11

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15

constante cinétique

nombre de carbones (n)

• Résultat de l’ajustement empirique :

( 1 exp( 0 . 245 ) )

10 28 .

2

11

n

k = ×

− −

(Lesclaux, 1997)

(30)

Exemple 1 : Constantes de réactions COV + OH

alcane

monofonctionnel difonctionnel

 Evaluation de la SAR de Kwok et al. (1995) Alcane (22 espèces)

Espèces mono-fonctionnelles (113 espèces) Espèces di-fonctionnelles (67 espèces)

 Peu de données expérimentales pour les composés oxygénés

 L’erreur dans l’estimation des constantes de réaction augmente avec le nombre de groupes fonctionnels de la molécule

Alcanes 1 groupe

fonctionnel 2 groupes fonctionnels

Limitations des relations de structures/propriété ou de

structures/réactivité (SAR) (Valorso, 2011)

(31)

Base de données : 110000 espèces secondaires stables formées au cours de

l’oxydation de l’ α -pinene

Exemple 2 : Pressions de vapeur saturantes des composés organiques

 L’erreur de l’estimation des pressions de vapeur saturantes peuvent atteindre 5 ordres de grandeur dans la gamme d’intérêt pour la formation de l’aérosol organique

 Comparaisons entre les estimations de la méthode de Nannoolal et al. (2008) et de Myrdal et al. (1997)

 Peu de données expérimentales pour les composés d’intérêt pour la formation des aérosols organiques (P

isat

< 10

-6

atm)

gaz

aérosol

(Valorso et al., 2011)

(32)

• Oxydation des composés aromatiques, des terpènes, des composés organiques oxygénés

• Chimie nocturne (mécanisme des réactions alcène+NO

3

et alcène+O

3

)

• Formation des composés organiques peu volatils (auto-oxydation, chimie des RO2 ou des radicaux criegees)

• Transferts avec les phases condensées : idéalité (coefficients d’activité) et processus limitants (coefficient d’accommodation, viscosité, réactivité en phase condensée)

• Chimie multiphasique (chimie hétérogène, réactivité en phase particulaire)

Principales incertitudes dans les mécanismes chimiques

(33)

II. Représentation de la chimie gazeuse dans les modèles

• Les mécanismes chimiques détaillés

• Les mécanismes chimiques réduits

(34)

• Mécanismes réduits - modèles 3D

~ 100-300 réactions

CB-IV, CB-V, CB-VI [Gery, 1989; Yarwood, 2005]

RADM, RACM [Stockwell et al, 1990, 1997]

SAPRC99, SAPRC07 [Carter, 2000, 2010]

MOZART [Emmons et al., 2010]

• Mécanismes détailles / explicites – modèles de boîte

~ 3000 – 20 000 réactions

10

4

– 10

7

réactions [Aumont et al., 2005 ; Lee-Taylor et al., 2011]

[Jenkin et al., 1997, 2003; Saunders et al., 2003]

Les mécanismes chimiques gazeux troposphériques

MCM

GECKO-A :

(35)

• Référence de l’état des connaissances

• Utilisables dans des études de processus

• Base indispensable à toute écriture d’un schéma réduit

Difficilement intégrables dans les

modèles 3D mais :

?

Les schémas chimiques détaillés

(36)

Peroxy (RO

2

) Chimie

Composé parent (espèce primaire)

O

3

hν OH

NO

3

O

2

Chimie VOC+oxydant

3 3

ν

3

VOC+oxydant Chimie

O h OH

NO

NO RO

2

NO

CO

2

Produits de 2

nde

génération

Alkoxy (RO) Chimie

Chimie Peroxy (RO

2

) 1

ere

génération

Produits de

h

3 3

O ν OH

NO

NO

3

RO

2

NO

O

2

Chimie

VOC+oxydant

Alkoxy (RO) Chimie Peroxy (RO

2

)

Chimie Alkoxy (RO)

NO

3

RO

2

NO

Chimie

 Les protocoles développés pour décrire les voies réactionnelles se basent sur cette redondance

(Aumont et al, 2005)

Redondance des étapes réactionnelles de l’oxydation des COV

(37)

(Aumont et al., 2005)

Exemple 1 : Le générateur de mécanismes chimiques explicites (GECKO-A)

Un générateur de schémas chimiques (GECKO-A):

programme informatique qui écrit automatiquement les schémas chimiques explicites sur la base d’un protocole

Génération de schémas pour tous les COV primaires Dimension : pentane: 10 000 espèces

dodécane: 1 000 000 espèces

Ecriture automatique de schémas chimiques

Dimension des schémas chimiques:

Seul outil disponible dans la communauté pour

générer des mécanismes chimiques explicites

(38)

Réaction OH

Réaction O3

Réaction NO3

Photolyse

Décomposition thermique RH + OH →RO2

>C=C< + OH →>C(OH)C(O2)<

Criegee →produits + OH

>C=C< + O3→>C=O + Criegee

RCHO + NO3→R(O)OO

>C=C< + NO3→>C(ONO2)C(O2)<

RCHO + hν →R + HCO RONO2 + hν→RO + NO2 ROOH + hν→RO + OH

RCO(OONO2) →RCO(OO)+NO2

Traite espèce suivante dans la pile

Nouveaux produits de réaction ajoutés à la pile

VOC2

VOCn

RO2?

RCO3?

RO ?

RO2+NO →RO+NO2 RO2+NO →RONO2 RO2+NO3→RO+NO2+O2 RO2+HO2→ROOH + O2 RO2+RO2 →produits Chimie des péroxyles

RCO3+NO →R+CO2+NO2 RCO3+NO2→RCO(OONO2) RCO3+NO3→R+CO2+NO2+O2 RCO3+HO2→RCO(OOH) + O2 RCO3+HO2→RCO(OH) + O3 RCO3+RO2 →produits Chimie des péroxy-acyles

>CH(O⋅)+O2→>C=O + HO2

>CH(O⋅)C2C(O.)< →>C(O⋅) C2C(OH)<

>C(O⋅)-R →>C=O + R Chimie des alcoxyles C-H ?

>C=C< ?

-CHO ?

>C=O ? -ONO2? -OOH ? -C(O)OONO2?

Radical ?

non oui

VOC1

Fonctionnement de GECKO-A (Aumont et al., 2005)

(39)

En pratique…

(40)

En pratique…

(41)

En pratique…

pentane :~4000 espèces

~30000 réactions

(42)

0.0 0.4 0.8

0 20 40 60 80

Temps (h)

Fraction Carbone

Oxydation du pentane avec GECKO-A

Exploration de l’évolution du carbone organique au cours de l’oxydation gazeuse

aérosol

nuage

gaz t = 0 heure

(Lannuque, 2014)

(43)

0.0 0.4 0.8

0 20 40 60 80

Temps (h)

Fraction Carbone

Oxydation du pentane avec GECKO-A

Exploration de l’évolution du carbone organique au cours de l’oxydation gazeuse

aérosol

nuage

gaz t = 2 heures

(Lannuque, 2014)

(44)

0.0 0.4 0.8

0 20 40 60 80

Temps (h)

Fraction Carbone

Oxydation du pentane avec GECKO-A

Exploration de l’évolution du carbone organique au cours de l’oxydation gazeuse

aérosol

nuage

gaz t = 12 heures

(Lannuque, 2014)

(45)

Exemple 2 : Le Master Chemical Mecanism (MCM)

http://mcm.leeds.ac.uk/MCM/

124 COV primaires

4500 espèces secondaires

(Saunders et al., 2003)

Récemment implanté dans un modèles 3D mais contraignant en temps et capacité de calcul Simplifications effectuées:

Néglige les voies réactionnelles minoritaires Précurseurs n

C

≤ 12

Dimension des schémas chimiques:

Le mécanisme chimique de référence dans la communauté

(46)

http://mcm.leeds.ac.uk/MCMv3.3.1/

En pratique…

(47)

47

http://mcm.leeds.ac.uk/MCMv3.3.1/

En pratique…

(48)

http://mcm.leeds.ac.uk/MCMv3.3.1/

En pratique…

(49)

http://mcm.leeds.ac.uk/MCMv3.3.1/

En pratique…

(50)

http://mcm.leeds.ac.uk/MCMv3.3.1/

En pratique…

Pentane :

~300 espèces

~1000 réactions

(51)

GECKO-A MCM GECKO-A MCM

PENTANE DODECANE

Âge = 2 heuresÂge = 0 heureÂge = 12 heures

0 16 12 8 4

0 16 12 8 4

0 16 12 8 4

logHefflogHefflogHeff

-16 -12 -8 -4 0

-16 -12 -8 -4 0

-16 -12 -8 -4 0

-16 -12 -8 -4 0

logPvap logPvap logPvap logPvap

Exploration de l’évolution du carbone organique au cours de l’oxydation gazeuse

(52)

Les schémas chimiques réduits

 Hypothèses de quasi-stationnarité

(1) Rechercher les équilibres associés aux espèces « rapides »

(2) Contraindre les équilibres lors de l’intégration du système. Les espèces impliquées dans un équilibre ne sont plus résolues dans le système

différentiel mais par un système algébrique

 Regroupement des espèces

- Pallier le problème de la raideur du système différentiel (10

-5

secondes < τ < plusieurs mois) - Réduire le nombre d’équations différentielles (nombre d’espèces) et de nombre de termes (nombre de réactions)

 Hypothèses de quasi-stationnarité

Schéma organique explicite

=

~ 10

4

- 10

6

réactions

~ 10

3

- 10

5

espèces Espèces organiques émises

~ 200

Application modélisation 3 D :

~ 200 espèces

~ 500 réactions

(53)

A

A

k C

dt dC

1

=

B A

B

k C k C

dt dC

2

1

=

B

C

k C

dt dC

=

2

A k

1

B

soit A

A

A

k C

dt dC

1

=

A

B

C

k C k

2

=

1

A

C

k C

dt dC

=

1

k

1

C

; C

B

k k C

A

2

=

1

Si k

2

>> k

1

 état quasi-stationnaire sur B

A

A

k C

dt dC

1

=

B

A

k C

C k

1 2

0 = −

B

C

k C

dt dC

=

2

Hypothèse de quasi-stationnarité

Espèce à l’état quasi-stationnaire

B k

2

C

A C K ?

Bilan:

exclusion de B du système numérique réduction du

nombre de

réactions

(54)

Application de l’HEQS à la chimie inorganique

(1) NO

2

+h ν → NO + O(

3

P) J

1

= 7.10

-3

(2) O(

3

P)+O

2

+M → O

3

+M k

2

= k

2

[O

2

][M] ~ 8.10

4

(4) O

3

+hν → O(

1

D)+O

2

J

4

= 1.10

-5

(5) O(

1

D)+M → O(

3

P)+M k

5

= k

5

[M] = 7.10

8

(6) O(

1

D)+H

2

O → 2 OH k

6

=k

6

[H

2

O] ~ 5.10

7

réactions k (molécule – cm – s )

Temps de vie

k s

D

k

O

9 6

5 )

1

(

10

' '

1

+ ≈

τ = s

P

k

O

5 2

) 3

(

10

'

1

≈ τ =

- Détermination d’une équation algébrique pour O(

1

D) et O(

3

P)

- Exclusion de ces deux variables du système d’équations différentielles - Augmentation du ∆t

Conséquence sur le système numérique à résoudre

Application de l’hypothèse de l’état quasi-stationnaire )]

( [ ' )]

( [ ' ] [ )] 0

(

[

1

6 1

5 3 4 1

D O k D O k O dt J

D O

d ≈ = − −

' '

] )] [

( [

6 5

3 1 4

k k

O D J

O = +

)]

( [ ' )]

( [ ' ] [ )] 0

(

[

3

2 1

5 2 1 3

P O k D O k NO dt J

P O

d ≈ = + −

'

' '

] ' [

] [ )]

( [

2

6 5

3 4 5 2 1 3

k

k k

O k J

NO J P O

 

 

× + +

=

(55)

Exploitation de l’HEQS pour la formulation d’un mécanisme réduit ]

[ )]

( ] [

[

3 4 3

' 2

3

k O P J O

dt O

d = −

] ' [

' ] '

[ ]

[

4 3

6 5

5 3

4 2

1

J O

k k O k

J NO

J  −

 

× + +

=

 

 

× +

= ' '

] ' [ ]

[

6 5

6 3

4 2

1

k k

O k J NO

J

α

×

= J

1

[ NO

2

] J

4

[ O

3

] ( , , [ ]) ]

[ ]

[

] [

2 2

6 5

2

6

f T P H O

O H k M k

O H

k =

= + α

avec

α

×

 =

 

× +

=

= 2 [ ]

' '

] ' [

2 )]

( [ ' ] 2

[

3 4 6

5 3 4 6

1

6

J O

k k

O k J

D O dt k

OH d

] ] [

[

2 1

NO dt J

NO

d =

] ] [

[

2 1

2

J NO

dt NO

d = −

Équations chimiques équivalentes :

NO

2

+ h ν → NO + O

3

(-O

2

) J

1

O

3

+ h ν → 2 OH (-H

2

O+O

2

) J

4

α

 Simplification généralement

utilisée dans les modèles

(56)

Exemple 1 : R

+O

2

CH

3

CH

2

CH

3

+ OH → CH

3

CH

CH

3

+ H

2

O k

1

CH

3

CH

CH

3

+ O

2

→ CH

3

CH(O

2

)CH

3

k

2

bilan : CH

3

CH

2

CH

3

+ OH + O

2

→ CH

3

CH(O

2

)CH

3

+ H

2

O

Étape cinétiquement limitante du mécanisme = réaction 1

Application de l’HEQS à la chimie organique

CH

3

CH

2

CH

3

+ OH → CH

3

CH(O

)CH

3

(+ H

2

O -O

2

) k

1

 Simplification généralement utilisée dans les modèles

Équation chimique équivalente : La réaction se comporte comme une réaction

« élémentaire »

(57)

CH

3

CH

2

CH

3

+ OH → CH

3

CH

CH

3

+ H

2

O k

1

CH

3

CH

CH

3

+ O

2

→ CH

3

CH(O

2

)CH

3

k

2

CH

3

CH(O

2

)CH

3

+ NO → CH

3

CH(O

)CH

3

+ NO

2

k

3

CH

3

CH(O

)CH

3

+ O

2

→ CH

3

C(=O)CH

3

+ HO

2

k

4

bilan : CH

3

CH

2

CH

3

+ OH + 2O

2

+ NO → CH

3

C(=O)CH

3

+ HO

2

+NO

2

+ H

2

O

Étape cinétiquement limitante du mécanisme = réaction 1

Équation chimique équivalente :

CH

3

CH

2

CH

3

+ OH → CH

3

C(=O)CH

3

+ HO

2

+NO

2

- NO (+ H

2

O - 2O

2

) k

1

La réaction se comporte comme une réaction

« élémentaire »

 Simplification difficilement utilisable dans les modèles

Exemple 2 : R

+O

2

/ RO

2

+NO / RO

+O

2

(58)

Application pratique :

Exemples :

RO

2

+ NO → RO + NO

2

→ RONO

2

RO

2

+ HO

2

→ ROOH + O

2

RO

2

+R’O

2

→ RO + R’O + O

2

→ ROH + R’(=O) + O

2

RO

2

+ NO

3

→ RO + NO

2

+ O

2

Le rapport de branchement dépend des rapports de concentration de NO, R’O

2

, HO

2

, NO

3

Chimie des RO

2

Chimie des RO

Réaction avec O

2

: >CH-O

+ O

2

→ >C=O + HO

2

Rupture d’une liaison C-C : >CR-O

+ O

2

→ >C=O + R

Isomérisation :

H O

OH

Pour un radical RO donné, le rapport de branchement est fonction de T et P

recherche d’équation bilan limitée : les réactions sont rarement en séries mais

le plus souvent en parallèles (réactions compétitives, branchements, …)

 Le bilan des réactions successives dépend de la situation environnementale considérée. L’approche ne peut être exploitée

que pour des situations clairement définies

(59)

COV

RO

2

RO

COV

1

R

a

O

2

R

b

O

2

OH

NO

RONO

2

NO

2

réaction avec O2

Étape cinétique limitante

NO NO

produits ROOH

HO

2

R’O

2

HO2 R’O2 HO2 R’O2

Application au milieux riches en NOx

COV + OH → a

1

COV

1

+ a

2

COV

2

+ … + b NO

2

+ c HO

2

– d NO

Exemple d’application de l’HEQS pour l’approche « fort NOx »

(60)

60

Dégradation du butane à 300 K sous l’hypothèse fort NOx :

rapport de branchement et

rendement

(Aumont, 1994)

(61)

61

Hypothèse fort NOx

(Aumont, 1994)

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