Probl ˜A¨me I. Approximation deπ et acc ˜A cl ˜A cration de convergence.
1. a. On montre facilement par r ˜A ccurrence que la suite des cn est bien d ˜A cfinie et que 0< cn<1 pour toutn≥1. Il existe donc desθn∈]0,π2[ tels quecn= cosθn. On d ˜A cfinitαn parαn= sinλnθ
n.
b. On peut calculer explicitement lesθn. En effet c1 = 0 doncθ1 = π2 et c2= √1
2 doncθ2=π4. D’autre part, cn+1=
r1 + cosθn
2 = cosθn
2 ⇒θn+1= θn 2 On en tire
θn = π 2n Par d ˜A cfinition,α1= sin2θ
1 = 2 et αn+1
αn
= λn+1sinθn
λnsinθn+1
= sinθn
cosθn+1sinθn+1
= 2
On en d ˜A cduitαn= 2netλn= 2nsin2πn converge versπcar sinxest A c˜quivalent ˜A xen 0.
2. Appliquons la formule de Taylor-Lagrange ˜A la fonction sin entre 0 et aet A l’ordre 3. Il existe˜ b∈[0, a] tel que
sina=a−a3 3! cos(b)
car sin(3)=−cos. En particulier, pour a=2πn, on en tire
sin π
2n − π 2n
≤ π3
6×23n ⇒ |λn−π| ≤ π3 6×4n en multipliant par 2n.
3. ´Ecrivons la formule de Taylor-Young pour le sin en 0 ˜A l’ordre 2p+ 1.
sinx=x− 1
3!x3+· · ·+ (−1)p 1
(2p+ 1)!x2p+1+o(x2p+1)
En substituant 2πn (qui tend vers 0 quand n tend vers l’infini) ˜A x et en multipliant par 2n, on obtient la formule demand ˜A ce.
4. Acc ˜A cl ˜A cration de convergence.
a. On peut combiner lin ˜A cairement les d ˜A cveloppements pr ˜A cc ˜A cdents : λn=π −π3
6 1
4n + π5
5!
1
42n +o( 1
42n) × −1 λn+1=π −π3
6 1
4n×4 + π5 5!
1
42n×16 +o( 1
42n) ×4 On en d ˜A cduit
3λ(1)n = 3π−π3 6
1 4n
−1 +4 4
+π5
5!
1 42n
−1 + 4 16
1
42n +o( 1 42n)
⇒λ(1)n =π− π5 5!×4
1
42n +o( 1
42n)⇒λ(1)n −π∼ − π5 5!×4×42n Commeλn−π∼ −6×4π3n, on a bienλ(1)n −πn ˜A cgligeable devantλn−π.
b. ´Ecrivons l’ ˜A cquivalence pr ˜A cc ˜A cdente comme une limite finie : λ(1)n
−5!×4π2n+15
→1
Pourn+ 1 mais avec le m ˜Aame d ˜A cnominateur, cela donne λ(1)n+1
−5!×4π2n+15
→ 1 16
En multipliant la premi ˜A¨re relation par α et la deuxi ˜A¨me par 1−α, la limite est alors
15α+ 1 16 Si on choisitα=−151 ce qui entraine
λ(2)n = 1 15
−λ(1)n + 16λ(1)n+1
= 1
45(λn−20λn+1+ 64λn+2) On a bien
λ(2)n
−5!×4π2n+15 →0
ce qui entraineλ(1)n −πn ˜A cgligeable devantλn−π.
Probl ˜A¨me II. Polyn ˜A´mes de Bernoulli et formule sommatoire
Partie I. Polyn ˜A´mes de Bernoulli
Dans toute la correction, on identifie un polyn ˜A´me avec la fonction associ ˜A ce et on se passe donc des tildes. En revanche, on notePb(Q), le polyn ˜A´me obtenu A partir de˜ P en substituantQA˜ X.
1. Les polyn ˜A´mesPn =Xn satisfont aux conditions. Cette question ne figure que pour introduire une certaine analogie avec les polyn ˜A´mes de Bernoulli.
2. Tout polyn ˜A´me admet des polyn ˜A´mes primitifs (c’est ˜A dire dont la d ˜A criv ˜A ce est ˜A cgale au polyn ˜A´me donn ˜A c). Deux de ces polyn ˜A´mes primitifes ne diff ˜A¨rent que d’une constante que l’on peut ajuster pour assure la nullit ˜A cde l’int ˜A cgrale. Par exemple
B10 = 1B0⇒B1=X+λavec Z 1
0
B(t)dt=1 2 +λ L’unique possibilit ˜A cest donc
B1=X−1 2
Pour un entiernfix ˜A cet des polyn ˜A´mesB0,· · ·, Bnv ˜A crifiant les condi- tions, il existe un unique polyn ˜A´meBn+1 v ˜A crifiant les conditions. Il est obtenu en calculant la constante d’int ˜A cgration qui assure la nullit ˜A cde l’int ˜A cgrale. On trouve en particulier
B2=X2−X+1
6, B3=X3−3 2X2+1
2X =X(X−1)(X−1 2) On montre par r ˜A ccurrence queBn est unitaire (coefficient dominant 1) de degr ˜A cn.
3. a. Pourn≥2, les valeurs en 0 et 1 sont ˜A cgales car Bn(1)−Bn(0) =
Z 1
0
Bn0(t)dt=n Z 1
0
Bn−1(t)dt= 0
par d ˜A cfinition. La valeur commune est not ˜A ceβn. On a d ˜A cj ˜A cal- cul ˜A c
β1=−1
2, β2= 1
6, β3= 0
b. Introduisons des polyn ˜A´mesCn par :
Cn = (−1)nBcn(1−X)
On va montrer que la suite desCn v ˜A crifieles m ˜Aames relations que la suite des Bn. Ces relations d ˜A cfinissant une unique suite de po- lyn ˜A´mes, cela assure queCn =Bn pour tous lesn.
B0= 1⇒C0= 1
Cn+10 (x) =−(−1)n+1Bn+0 (1−x) = (−1)nBn(1−x) =Cn(x) Pour la relation int ˜A cgrale, on utilise le changement de variableu= 1−x:
Z 1
0
Cn(x)dx=− Z 0
1
Cn(1−u)du= (−1)n Z 1
0
Bn(u)du= 0 c. D’apr ˜A¨s la question pr ˜A cc ˜A cdente, pour toutnimpair, on aBn(12) =
−Bn(12) donc Bn(12) est nul. C’est vrai aussi pour n= 1 d’apr ˜A¨s l’ex- pression deB1.
Toujours pournimpair, on a aussiBn(1) =−Bn(0) qui se combine avec Bn(1) =Bn(0) (n≥2 seulement) pour donnerBn(1) =Bn(0) = 0.
En conclusion, βn =Bn(1) = Bn(0) et Bn(12) sont nuls pour tous les entiers impairs sup ˜A crieurs ou ˜A cgaux ˜A 3.
4. On veut d ˜A cmontrer par r ˜A ccurrence que lesBnavecnimpair sup ˜A crieur ou ˜A cgal ˜A 3 ne s’annulent pas dans ]0,12[. `A cause des propri ˜A ct ˜A cs d ˜A cj ˜A montr ˜A ces cela siginifie que 0, 12, 1 sont les seules racines.
La r ˜A ccurrence est initialis ˜A ce ˜A 3 grace ˜A la factorisation deB3. On raisonne par l’absurde avec le th ˜A cor ˜A¨me de Rolle.
Supposons que B2m+1 s’annule en c avec 0 < c < 12. En appliquant le th ˜A cor ˜A¨me de Rolle ˜A B2m+1 entre 0 etc puis entre c et 12, on prouve l’existence de racinesdetd0 deB2mtelles que 0< d < c < d0< 12. On peut alors appliquer le th ˜A cor ˜A¨me de Rolle ˜A B2mentredetd0. Cela entraine l’existence d’une racineudeB2m−1 entredetd0 donc telle que 0< u < 12. On peut aussi raisonner directement avec la convexit ˜A c. Dans l’intervalle [0,12], la fonction B2n−1 garde un signe constant et c’est la d ˜A criv ˜A ce seconde deB2n+1. On en d ˜A cduit queB2n+1 est soit concave soit convexe.
Son graphe est donc toujours au dessus ou au dessous de ses cordes. La corde
entre les points d’abscisses 0 et 12 est un segment de l’axe car la fonction s’annule en ces points. On en d ˜A cduit facilement de plus que les signes s’alternent d’un entier impair au suivant.
Montrons maintenant que Bm−βm garde un signe constant sur [0,1] c’est A dire que 0 et 1 sont des extr ˜˜ A cma globaux deBmsur [0,1].
D’apr ˜A¨s le th ˜A cor ˜A¨me des valeurs interm ˜A cdiaires,B2m(x)−B2m(0) est du signe deB2m−1 pour m≥2 et 0< x < 12. Par sym ˜A ctrie (question 3b), on peut ˜A ccrire
∀x > 1
2, B2m(x)−B2m(0) =B2m(x)−B2m(1) +B2m(1)−B2m(0)
| {z }
=0
=B2m(1−x)−B2m(0) donc le signe est le m ˜Aame que dans la premi ˜A¨re moiti ˜A cde l’intervalle.
Fig.1: graphes deb2et b3
5. Les fonctions de Bernoullibnsont d ˜A cfinies parbn(x) =Bn({x}). Elles sont donc p ˜A criodiques de p ˜A criode 1 par d ˜A cfinition.
a. Dans un intervalle ]p, p+1[ ouvert entre deux entiers,bn(x) =Bn(x−p), elle est donc de classeC∞comme la fonction polynomialeBn. De plus
b0n(x) =Bn0(x−p) =nBn−1(x−p) =nbn−1(x)
b. La restriction deb1A un segment est int ˜˜ A cgrable car elle est continue par morceaux, les entiers de ce segment constituant une subdivision adapt ˜A ce.
c. Pourn≥2, les valeurs deBn(0) et deBn(1) sont ˜A cgales, les fonctions bn sont donc continues (en particulierb2). Les relations de la question a. s’ ˜A ctendent par continuit ˜A caux points entiers :
b2∈ C0⇒b3∈ C1⇒b4∈ C2⇒ · · · ⇒bn∈ Cn−2
Partie II. Formule sommatoire d’Euler - Mac Laurin
1. Voir cours. Cette question d ˜A cveloppe l’analogie (initi ˜A ce en question 1) entre la formule de Taylor avec reste int ˜A cgral et la formule sommatoire pr ˜A csent ˜A ce ici. La formule de Taylor avec reste int ˜A cgral se d ˜A cmontre avec des int ˜A cgrations par parties. On cherche donc ici aussi ˜A utiliser des int ˜A cgrations par parties.
2. On ne peut pas utiliser directement d’int ˜A cgration par parties car b1 est seulement int ˜A cgrable mais non d ˜A crivable. On utilise plut ˜A´t la relation de Chasles
R1=
b−1
X
k=a
Z k+1 k
f0(t)b1(t)dt=
b−1
X
k=a
Z k+1 k
f0(t)
t−k−1 2
dt
=
b−1
X
k=a
[f(t)t]k+1k − Z k+1
k
f(t)dt−(k+1
2) [f(t)]k+1k
!
=
b−1
X
k=a
1
2f(k+ 1) +1 2f(k)−
Z k+1 k
f(t)dt
!
=1 2
b−1
X
k=a
(f(k+ 1) +f(k))− Z b
a
f(t)dt
3. Pourm≥3, la fonctionbmest au moinsC1ce qui permet une int ˜A cgration par parties. Commebmprend la valeur βm en n’importe quel entier :
Rm=h
f(m−1)(t)bm(t)ib a
− Z b
a
f(m−1)(t)mbm−1(t)dt
=βm
f(m−1)(b)−f(m−1)(a)
−mRm−1
On retrouve avecR2 le probl ˜A¨me des hypoth ˜A¨ses non v ˜A crifi ˜A ces pour l’int ˜A cgration par parties. On peut contourner le probl ˜A¨me en d ˜A ccoupant d’abord en int ˜A cgrales entreketk+1. Sur chaque ]xk, xk+1[, on prolonge la restriction deb1 par continuit ˜A cce qui permet l’int ˜A cgration par parties sur chaque segment. En sommant, on obtient la formule demand ˜A ce.
La formule s’obtient en formant une combinaison lin ˜A caire qui ˜A climine
lesRi : R1=1
2
b−1
X
k=a
(f(k+ 1) +f(k))− Z b
a
f(t)dt
R2=β2(f0(b)−f0(a))−2R1 ×(−1)1 2 R3=β3(f(2)(b)−f(2)(a))−3R2 ×(+1) 1 3!
...
Rn =βn(f(n−1)(b)−f(n−1)(a))−nRn−1 ×(−1)n−1 1 n!
Rn+1=βn+1(f(n)(b)−f(n)(a))−nR2 ×(−1)n 1 (n+ 1)!
En sommant, on obtient (−1)n
(n+ 1)!Rn+1=S− Z b
a
f(t)dt+
n
X
m=1
(−1)mβm+1
(m+ 1)!
f(m)(b)−f(m)(a) Avec
S= 1 2
b−1
X
k=a
(f(k+ 1) +f(k))
=
b−1
X
k=a+1
f(k) +1
2(f(a) +f(b)) =
b
X
k=a
f(k)−1
2(f(a) +f(b)) On obtient donc bien la formule annonc ˜A ce :
b
X
k=a
f(k) = Z b
a
f(t)dt+1
2(f(a) +f(b)) +
n
X
m=1
(−1)m+1βm+1
(m+ 1)!
f(m)(b)−f(m)(a)
+ (−1)n (n+ 1)!Rn+1 4. Calculons l’int ˜A cgrale ˜A l’aide d’une int ˜A cgration par parties. On peut le
faire carn+1≥3. Le calcul est analogue aux pr ˜A cc ˜A cdents. Le crochet est
nul carβn+1−bn+1est nul en 0 et 1 et la constante disparait en d ˜A crivant.
On obtient donc : Z b
a
(βn+1−bn+1(t))f(n+1)(t)dt= Z b
a
(n+ 1)bn(t)f(n)(t)dt= (n+ 1)Rn Avec la p ˜A criodicit ˜A cdebn+1, on en d ˜A cduit
|(n+ 1)Rn| ≤ Z b
a
|βn+1−bn+1(t)|Mn+1dt
≤
b−1
X
k=a
Z k+1 k
|βn+1−bn+1(t)|Mn+1dt≤(b−a) Z 1
0
|βn+1−bn+1(t)|Mn+1dt
Pour n impair,βn+1−bn+1(t) est de signe constant et R1
0 b2m+2(t)dt = 0 donc
|(n+ 1)Rn| ≤(b−a)
Z 1
0
(βn+1−Bn+1(t))dt
Mn+1≤(b−a)|βn+1|Mn+1 5. Pourf(t) =t4, le resteR5 est nul. La formule sommatoire conduit ˜A
n
X
k=0
k4= Z n
0
t4dt+n4 2 +1
6 4n3
2 − 1 30
4!n 4! =n5
5 +n4 2 +n3
3 − n 30
Exercice.
1. Les p ˜A´les de F sont les racines n-i ˜A¨mes de 1. Comme la fraction est de degr ˜A cstrictement n ˜A cgatif, il n’y a pas de partie enti ˜A¨re. La fraction est la somme de ses parties polaires.
2. Le d ˜A cveloppement limit ˜A cdexk en 1 est xk = 1 +k(x−1) +o(x−1)
En sommant les d ˜A cveloppements pr ˜A cc ˜A cdents, la somme des entiers cons ˜A ccutifs apparait et il vient :
1 +x+· · ·+xn−1=n+n(n−1)
2 (x−1) +o(x−1)
On factorise parnpour se ramener ˜A un d ˜A cveloppement usuel 1
(1 +x+· · ·+xn−1)2 = 1 n2
1 +n−1
2 (x−1) +o(x−1) −2
= 1
n2 −n−1
n2 (x−1) +o(x−1) 3. Soitu∈U. Si on substitue uX A˜ X dans F, la fraction est conserv ˜A ce.
La partie polaire relative au p ˜A´leudevient α(u)
(uX−u)2 + β(u)
uX−u= α(u)
u2(X−1)2 + β(u) u(X−1) qui est la partie polaire relative ˜A 1. On en d ˜A cduit
α(u) =u2α(1), β(u) =uβ(1) 4. a. Par d ˜A cfinition d’une partie polaire,
F= α(1)
(X−1)2 + β(1) X−1 +R
o ˜A1Restunef ractionquin0admetpasdepA˜´leen1.CommeXn−1 = (X−1)(1 +X+
· · ·+Xn−1)En multipliant F par (X−1)2, on obtient 1
(1 +X+· · ·+Xn−1)2 =α(1) +β(1)(X−1) + (X−1)2R
Comme 1 n’est pas un p ˜A´le deR, la fonction attach ˜A ce ˜A Radmet une limite finie en 1 dont la fonction attach ˜A ce ˜A (X−1)2Rest n ˜A cgligeable en 1 devant x−1. L’ ˜A ccriture propos ˜A ce est donc bien un d ˜A cveloppement limit ˜A cen 1.
En identifiant les d ˜A cveloppements limit ˜A cs obtenus en 2. et 4.a., on obtient α(1) = 1
n2, β(1) =−n−1 n2
puis la d ˜A ccomposition en ˜A cl ˜A cments simples F = 1
n2 X
u∈U
u2
(X−u)2 −n−1 n2
X
u∈U
u X−u
1. Si 1≤k≤n−1 etk0=n−k, alors 1≤k0≤n−1 etwk =wk0.
2. On regroupe les racines conjugu ˜A ces. Dans le cas pair deux racines sont r ˜A celles (1 et−1) dans le cas impair 1 est la seule racine.
n= 2p Xn−1 = (X−1)(X+ 1)
p−1
Y
k=1
X2−2 cos2kπ n X+ 1
n= 2p+ 1 Xn−1 = (X−1)
p
Y
k=1
X2−2 cos2kπ n X+ 1
3. Pour un p ˜A´leu=eiθ non r ˜A cel, u2
(X−u)2 = u2(X2−2uX+u2)
(X2−2 cosθX+ 1)2 = u2X2−2uX+ 1 (X2−2 cosθX+ 1)2
Les ˜A cl ˜A cments simples relatifs ˜A deux p ˜A´les conjugu ˜A cs sont eux m ˜Aames conjugu ˜A cs. Les regrouper revient ˜A prendre deux fois la partie r ˜A celle. Soit :
2cos 2θX2−2 cosθX+ 1 (X2−2 cosθX+ 1)2
= 2 cos 2θ
X2−2 cosθX+ 1 + 4 sin2θ −2 cosθX+ 1 (X2−2 cosθX+ 1)2 Pour le r ˜A csidu,
u
X−u = u(X−u)
X2−2 cosθX+ 1 = uX−1 X2−2 cosθX+ 1 Le double de la partie r ˜A celle est
2 cosθX−1 X2−2 cosθX+ 1
On en d ˜A cduit la d ˜A ccomposition dans R(X). On poseθk= 2kπn .
Dans le cas impair n= 2p+ 1 : F = 1
n2 1
(X−1)2 −n−1 n2
1 X−1 + 4
n2
p
X
k=1
sin2θk
−2 cosθkX+ 1 (X2−2 cosθkX+ 1)2 + 2
n2
p
X
k=1
(n−1) cosθkX+n−1 + cos 2θk
X2−2 cosθkX+ 1 Dans le cas pairn= 2p:
F = 1 n2
1
(X−1)2 −n−1 n2
1 X−1+ 1
n2 1
(X+ 1)2 +n−1 n2
1 X+ 1 + 4
n2
p−1
X
k=1
sin2θk −2 cosθkX+ 1 (X2−2 cosθkX+ 1)2 + 2
n2
p−1
X
k=1
(n−1) cosθkX+n−1 + cos 2θk X2−2 cosθkX+ 1