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Les savoirs scolaires en information documentation Comment mettre en place en collège et en lycée la formation de tous les élèves ?

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Academic year: 2021

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Les savoirs scolaires en information documentation Comment mettre en place en collège et en lycée la

formation de tous les élèves ?

Stage national, Paris, jeudi 22 et vendredi 23 novembre

Académies représen tées : Aix- Marseille (Khoupiguian Marie- Anne), Amiens (Baudelet Eléonore), Corse (Bartoli Hélène), Créteil (Querne Elsa), Dijon (Hostein Claudine), Montpellier (Brigitte Monteil et Sureda Françoise), Nancy - Metz (Laudin Isabelle), Nantes (Mabilais Bernard), Nice (Poncin Elsa), Orléans - Tours (Fresneau Marie- Paule), Paris (Belier - Dewan Nathalie), Reims (Cutrona Elodie), Rennes (Carnet Christelle), Rouen (Faloise Corinne), Strasbo u rg (Gigout Carinne, Dellenbach Cathy et Gutknecht Claire), Toulouse (Polderma n Marie), Versailles (Lebastar d Jeanne), Guadelou pe (Claire Facorat - Nsonde).

Groupe Documen t a tio n (S4) : Dominique Chaban t, Danielle Courtoux, Jean - Pierre Hennuyer, Patrick Laîné et Vassilia Margaria

I / Les avancées en matière de didactique de l'information : quelles implications pour la profession d'enseignant

documentaliste ?

1.Le contexte : Roland Hubert (co- secrétaire général)

Après un rappel des projets du gouverne me n t (suppres sion s des postes, rétablissem en t de paliers d'orientatio n au collège, réforme du lycée, augmen t ation du temp s de travail des perso n n els, passage des CO- PSY à la région), Roland Hubert fait un point sur l'état des mobilisation s dans la fonction publique et plus particulièremen t dans l'éducation (le 20 novemb re, grève la plus suivie depuis 2 ans) ainsi que sur les suites à donner au mouvemen t (action prévue début décemb re). Une idée très en vogue actuellemen t – et défen d u e par exemple par le très médiatique Alain Finkielkrau t - est que l'école, par essence, ne peut enseigner que le monde d'hier, éventuellemen t donner quelques idées sur le mon de d'aujou r d' h ui mais en aucun cas sur le monde de demain. Il faudrait

« décon necter » les établisseme n t s. Cette conceptio n va totalemen t à l'encontre du développe m e n t d'une éducation à la « maîtrise de l'infor mation ». Il faut donc mener un vrai travail dans l'opinion publique pour contrecarrer cette conception de l'école. Le Snes a beaucou p réfléchi à cette question et doit continuer de le faire. Il faut réclamer les moyens de mettre en oeuvre nos propo sition s.

2.Présenta tion des enjeux du stage par Vassilia Margaria

Ces deux jours sont le prolongeme n t de notre JRD de novembre dernier, lors de laquelle nous avions fait le point sur la notion de curriculu m en informatio n - docu men t a tio n et sur l'organisation de la formation des élèves au collège et au lycée. Cette réflexion a été reprise lors du Congrès du Snes, où ont été adoptés plusieurs man da t s qui constituen t de réelles avancées pour notre discipline. Mais nous devons pours uivre la réflexion, pour affiner nos revendication s.

Les progrès de la recherche en matière de didactique de l'infor mation doivent être une des pistes à explorer. En quoi ces réflexions peuvent - elles ou pas nourrir celles

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de notre syndicat en ce qui concerne la mise en oeuvre d'une formation à l'informatio n pour tous les élèves, au collège et au lycée ?

Enfin nous devons envisager les perspectives d'actions à mettre en oeuvre pour porter nos revendication s pédagogiques comme catégorielles. La profession est en crise, les conditions de travail se dégraden t et la baisse des recrute me n t s au CAPES ne peut conduire qu'à une vision réductrice de notre métier. Parallèlemen t à la volonté de destruction du Ministère, notre IG dévelop pe une vision du métier aux antipo des de celle voulue par le Snes : on assiste à un glissemen t vers la fonction managériale, le professeu r docu me n t aliste devenan t chef d'un service docu men t aire et non plus un enseignan t. Plus que jamais, il est donc urgent d'agir pour défen d re l'avenir de notre métier.

3.Rappel des positions du Snes concerna n t l'infor matio n - docume n t a tio n par Dominique Chaban t

Actuellemen t, la recherche docu men t aire semble aller de soi, elle est mention n ée dans de nombreu s es disciplines mais on ne met rien derrière cette expression. Il n'existe pas de proposition s de l'institu tio n pour une réelle formation des élèves.

On en reste à du saupo u d r age, fonction du charisme des enseignan t s docu men t alistes et de la bonne volonté des enseignan t s de disciplines. Pour le Snes, il faut penser la formatio n de tous les élèves, avec une progression de la 6ème à la terminale, à l'échelle nationale : c'est l'instau ra tio n d'un curriculu m en information - docu men ta tio n. Les revendication s statut aires vont de pair avec la réflexion sur les conten u s : agrégation, inspections spécifiques, services. Au dernier Congrès de Clermon t - Ferrand, l'infor ma tio n docu men t atio n a été réaffirmée comme une discipline. Mais le groupe docume n ta tio n s'est heurté à un malenten d u : on a cru que nous réclamion s des cours magistra ux de docu me n t a tio n. Pour nous, il faut penser l'enseigneme n t de l'infor ma tion docu me n t atio n en abon da n t certaines disciplines. Le Snes a toujour s défend u l'idée que la formation docu men t aire ne pren d de sens qu’appliquée à des travaux de recherche disciplinaires (ou pluridisciplinaires). Est- ce une vision utopiq ue du métier ? Pour lutter contre sa déqualification, il faut en avoir une conception ambitieuse.

4.Quelle formation à la recherche docume n t aire en lycée ? par Mireille Breton (respon s able du secteur lycées)

Un des problèmes que nous constato n s au lycée est que quelques collègues travaillent avec les enseignan t s docu me n talistes et d'autres jamais. Par rappo r t à l'évolution des métiers de l'enseigne men t, il est décisif de trouver les moyens de travailler en équipe, sans oublier la nécessaire concertatio n. Plus vous, enseignan t s docu men t alistes, mettre z en avant la nécessité de la formation des élèves en information - docu men ta tio n, moins vous serez dans ce qui vous différencie des autres collègues enseignan t s, au point qu'on en oublie souvent que vous êtes des enseignan t s à part entière. Lors du stage syndical « quelle(s) seconde(s) voulons - nous ? » nous avons constaté une situation de blocage concerna n t l'architectu re de ce niveau. La juxtapo sition des disciplines est dramatiq u e. Mais la nécessité de recherche docu me n t aire parto u t en seconde, en co- intervention, est reconn u e. A vous de retravailler dans les progra m m e s quelque chose de bien plus identifié, bien plus ciblé, qui vous permettr a cette fois de toucher tous les élèves.

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5.Présentatio n de l'association professio n nelle des enseignan t s documen t alistes.

Ses activités, son actualité, ses prod uctio n s, l'état de sa réflexion pédagogique.

Intervention d'Elisabeth Thibaudin, me m b re du bureau national de la Fadben La Fadben a des points de rencontr e avec le Snes, en particulier celui de la défense d'une professio n de plus en plus attaq uée par l'institu tio n. Une intersyn dicale existe depuis plusieurs années. Elle permet d'agir à plusieurs niveaux : lettre au ministère, deman d e d'audience. Nous arrivons aux mêmes conclusions que vous : pour que notre profession soit reconn u e il faut être au clair sur ses conten u s d'enseigneme n t. Cela a été l'objet du Congrès de Nice puis de plusieurs groupes de travail mis en place dans la foulée de ce Congrès.

Le premier groupe a élaboré un « référentiel métier » publié dans le numéro de Médiadoc de mars 2006. Il se veut une réponse aux attaq ues sur notre légitimité, une clarification de notre image qui est brouillée du fait de la quantité de tâches que nous avons à remplir quotidien ne me n t. Ce référentiel est organisé en 3 grands axes autour d'un objectif, « donner une culture infor ma tion n elle à l'élève » : formatio n des élèves à l'informa tio n - docume n t a tio n ; participation à la mise en oeuvre de la politique docume n t aire ; gestion d'un centre de resso urces.

Le deuxième groupe s'est intéressé aux savoirs scolaires en informatio n docu men t a tio n. Leurs travaux ont été publiés dans le Médiadoc de mars 2007.

L'idée est de formaliser nos pratiques. Ce travail est un outil qui permet de constr uire des séances pédagogiques. De nombre u se s journées profession nelles des associations académiq ue s sont consacrées à ce numéro de Médiadoc car il est importa n t d'acco mp ag ne r ce docu men t.

Enfin, un livre sur le CAPES a été écrit par les memb res du BN et édité par l'ADBS.

Un autre sur la politique docume n t aire a été écrit par l'ADBEN d'Aix Marseille et quelques membres extérieurs comme France Vernotte. La position défend u e dans cet ouvrage est que le docu me n taliste n'est pas le seul concerné par la politique docu men t aire. Cette publication se veut un guide, avec des fiches outils expérimen tées dans les établisse men t s.

Le prochain Congrès de la Fadben aura lieu les 28 - 29 - 30 mars 2008. Son thème :

« Culture de l'informatio n : des pratiques aux savoirs ». Les jeunes ont des pratiques, cela en fait- il une culture ? Qu'est - ce que la culture informa tion n elle ? Commen t la faire acquérir aux élèves ? En quoi cela fait - il évoluer notre profession n alisation ?

Quelques élément s de la discussion sur l'Inspection

Pour l'instan t, les IPR EVS sont dans l'expectative, face aux conclusions des travaux de la Fadben. Ceux qui s'intéresse n t aux question s de la docu me n t atio n scolaire sont interpellés. Mais mêmes ceux - là refusen t que l'informa tio n - docume n t a tio n devienne une discipline. Le mot leur fait peur car ils savent ce que cela impliquerait en terme de moyens.

L'exigence d'une inspection spécifique est le fond du problème. Nos IPR sont des relais administr atifs des recteur s. Les jeunes collègues qui ne connaissen t pas l'histoire de nos luttes risquen t d'acquiescer aux deman d e s des IPR. Ils vont s'engager dans une foule d'actions et se retrouvero n t donc dans l'impossibilité de former les élèves.

Dans le protocole d'inspectio n, l'enseignan t docu men t aliste n'est plus chargé que de « contribuer » à la formatio n. C'est le coeur du métier qui est aban do n n é.

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Le fossé risque de se creuser entre des collègues jeunes et un discour s syndical qui peut leur paraître stéréotypé. L'IG- EVS est habile, elle fait passer ses idées sans pren d re la profession à rebrou sse - poil, en utilisant des termes ronflants qui peuvent séduire.

Le corps des IPR- EVS est hétérogène. Certains s'intéresse n t vraiment aux question s de la docu me n t atio n scolaire, d'autres ne s'intéress en t qu'aux problèmes de vie scolaire. Pour certains, le protocole d'inspection est une base de travail, d'autres ne l'évoquen t même pas. Les premiers résultats de l'enquête « pour revaloriser nos métiers » lancée par le Snes montren t que les IPR sont unanime m e n t désavoués.

Le danger du protocole est que chaque académie va pratiquer sa « petite cuisine ».

De fortes disparités vont ainsi apparaître. A certains endroits, les IPR ne deman d e n t même plus à observer une séance pédagogique. Certains vont même jusqu'à dire que notre rôle est de former nos collègues de disciplines qui pourro n t à leur tour former leurs élèves, puisq ue nous ne som mes pas assez nombreux pour le faire. Quand nous voulons exercer nos vraies missions pédagogiques, nous dérangeo n s. On nous refuse toujou r s un texte de cadrage national car reconnaître cette revendication impliquerait de créer des postes.

6.Processu s de profession n alisatio n et paradoxe identitaire des enseignan t s docu men t alistes : peut - on sortir de l’impasse ?

Intervention de Pascal Duplessis, formateur à l'IUFM d'Angers.

7.Les savoirs scolaires en informatio n docume n t a tio n. Présentatio n de la prod uction du groupe de travail de la Fadben.

Intervention de Ivana Ballarini - Santonocito, me m bre du bureau national de la Fadben

Le compte - rendu de ces deux interventions sera publié dans le supplément à l'US

« enseignants - docu me nt alistes » à paraître en janvier 2008.

II / Comment mettre en place en collège et en lycée la formation de tous les élèves ?

1.Articulation CDI- Vie scolaire

Atelier et débats animés par Patrick Laîné, avec la participation de ... et ... co- respo n s ables du secteur CPE.

Tout en systéma tisan t la formatio n à la maîtrise de l'informatio n, commen t permet tr e aux élèves d'accéder aux ressou rces de l'établisseme n t et leur offrir des lieux propices au travail perso n n el ?

En partan t d'un constat de ce qui marche et ce qui ne marche pas dans l'articulation CDI- Vie scolaire et dans les rappor t s entre CPE- professe u r s docu men t alistes - Inspection EVS- collectivités, quelles solutions propo ser ?

2.Enseigner l'infor ma tio n documen t a tio n : qui fait quoi ? Quelles complémen t a rité entre les enseignan ts de toutes les disciplines et les enseignan t s documen t alistes ?

Atelier et débats animés par Dominique Chabant avec la participation de Sandrine Charrier (co- respon s a ble du secteur conten u s), Jean - François Clair (respon s able du groupe TIC) et Magali Espinasse (co- respon s able du groupe lettres).

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Qu'est - ce qu'un partenariat réussi ? Quels en sont les obstacles ? Commen t y remédier ?

3.Enseigner l'infor ma tio n documen t a tio n au collège : dans quel cadre ? Atelier et débats animés par Danielle Courtoux avec la participation de Bruno Mer (co- respo n sa ble du secteur collège)

A partir d'une analyse de l'existant (ATP en 6ème, IDD, heures de vie de classe, B2I, accomp ag ne m e n t éducatif, actions prévues dans le cadre du projet d'établisse me n t, etc.), quelles solutions propo ser pour mettre en oeuvre la formatio n de tous les élèves, de la 6ème à la 3ème ?

4.Enseigner l'infor matio n docu me n t a tio n au lycée : dans quel cadre ? Atelier et débats animés par Jean - Pierre Hennuyer

A partir d'une analyse de l'existant (modules en 2nd, ECJS, TPE, B2I lycée etc.), quelles solutions propos er pour mettre en oeuvre la formatio n de tous les élèves, au lycée ?

Le compte - rendu de ces ateliers sera publié dans le supplémen t à l'US

« enseignants - docu me nt alistes » à paraître en janvier 2008.

III / Bilan des recrutements, des postes et de l'emploi en documentation présenté par JP Hennuyer

Nous somme s la discipline la plus touchée par la baisse des recrute me n t s aux concours : en 2 ans, - 44%.

Cela se trad uit dans les établisseme n t s par un nomb re de postes vacants en constan te augmen t atio n. A la rentrée 2005, sur les 19 acadé mies qui avait répon d u à notre enquête, on avait comp tabilisé 77 postes vacants. En 2007, sur la base de seulemen t 14 enquêtes renseignées par les S3 de Aix- Marseille, Bordeaux, Corse, Dijon, Guadelou p e, Lille, Montpellier, Nancy - Metz, Nice, Strasbou rg, Toulouse ... il y aurait 155 postes vacants ! L'académie de Lille bat tous les records avec 61 postes restés vacants à la rentrée 2007, après une rentrée 2006 avec 50 postes vacants.

Les postes d'enseignan t s docu me n t alistes restés vacants sont occupés par quelques rares contract uels et essentiellemen t par des TZR d'autres disciplines sur lesquels on fait pression pour accepter ces postes (comme à Lille), par des person n els en reconversion voire même en réadap t atio n.

Postes restés vacants, remplaceme n t s assurés par des perso n n els non qualifiés : notre profession, de fait, est en train de disparaître, sans même qu'il soit besoin de supp rimer le CAPES de documen t a tio n. Près de vingt ans après la création du concours, c'est une véritable régression à laquelle on assiste. Plus que jamais, il est donc urgent d'agir pour défend re l'avenir de notre profession.

IV / Les pistes d'action pour la reconnaissance de la

formation à l'information-documentation et la défense de notre profession

1.La publication du 8 pages « enseignan t s documen t alistes » Sa parution est progra m m ée en janvier 2008.

Il compre n d r a :

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Le compte - rendu des intervention s de P.Duplessis et I.Ballarini sur les avancées en matière de didactique de l'infor ma tio n et ses implications sur notre identité profession n elle.

Le comp te - rend u des différen ts ateliers sur le thème de la mise en oeuvre d'une formatio n à l'informatio n - docu me n ta tio n pour tous les élèves.

Les résultats des enquêtes « revendications pédagogiques » et « pour revaloriser notre métier ».

Le bilan précis de l'état des recrute me n t s, des postes et de l'emploi. Les S3 devront absolum e nt continu er à compléter le questionnaire envo y é à la rentrée 200 7 et les renv o y er au secteur national dans les plus brefs délais.

2.Des stages académiq ue s pour élaborer le « Livre noir de la docume n t a tio n scolaire »

Ces stages devront être progra m m é s dans toutes les académies au second trimes tre.

Ils pourro n t être précédés par une enquête dans les S1 avec fiche dans le courrier du S1. Ils devron t associer le plus largemen t possible les Adben, les syndicats représen tés localemen t.

Leur but : présen ter l'analyse et les revendication s du Snes sur la base du 8 pages.

Les illustrer par des données recueillies localemen t : chiffres, témoignages, etc.

Chaque stage pourra être prolongé par une rencon tre avec les IPR- EVS, une lettre aux paren ts, une lettre aux élus, des cortèges spécifiques « enseignan t s docu men t alistes » dans le cadre de manifestatio n s Education Nationale.

3.Une journée d'action nationale

Des délégués de toutes les académies viendraient à Paris pour une rencontr e lors de laquelle sera synthétisé l'ensemble des informatio n s recueillies au cours de l'opération « livre noir » avec deman d e d'audience à la clé afin de présen ter cette synthèse des revendication s portées par l'ensemble de la profession.

4.Un Colloque national sur le métier de l'enseignan t docu me n taliste à partir du livre noir. A prévoir pour l'année 2007 - 2008.

Afin de permettre une préparation efficace de ces actions, avec par exemple, mutualisation des outils (questionnaire dans les S1, lettre aux parents...) il est prévu de créer une liste de diffusion du collectif national des enseigna nts docu men talistes du Snes.

Com p t e - rendu établi par Vassilia Marg a ri a, co - respo ns a b le du grou p e Docu m e n t a tio n

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