• Aucun résultat trouvé

HALLWACHS. — Potentialverstärker für Messungen ( Reproducteur de potentiel); Wied. Ann., t. XXIX, p. 300; 1886

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "HALLWACHS. — Potentialverstärker für Messungen ( Reproducteur de potentiel); Wied. Ann., t. XXIX, p. 300; 1886"

Copied!
3
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238743

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238743

Submitted on 1 Jan 1887

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

HALLWACHS. - Potentialverstärker für Messungen ( Reproducteur de potentiel); Wied. Ann., t. XXIX, p.

300; 1886

E. Rivière

To cite this version:

E. Rivière. HALLWACHS. - Potentialverstärker für Messungen ( Reproducteur de potentiel);

Wied. Ann., t. XXIX, p. 300; 1886. J. Phys. Theor. Appl., 1887, 6 (1), pp.345-346.

�10.1051/jphystap:018870060034501�. �jpa-00238743�

(2)

345

horizontal, l’ensemble du cylindre

et

de la lame qui repose

sur

lui. Dans le

cas,

par exemple, d’un quartz parallèle à l’axe, si l’on prend pour abscisses les lectures faites

sur

le limbe horizontal,

,

pour ordonnées les valeurs de z,

on

obtient deux courbes, l’une rectiligne (rayon ordinaire), parallèle à l’axe des abscisses ; l’autre (rayon extraordinaire), qui

a

la forme générale d’une sinussoïde

bi tan gen te à la première.

Des

mesures

comparatives effectuées

sur

des prismes dont les

indices avaient été mesurés par la méthode ordinaire

montrent

que l’erreur que l’on peut

commettre ne

dépasse pas

une

unité du

quatrième ordre décimal.

La substitution à l’oculaire d’un petit spectroscope à vision directe, dont la fente

est

dans le plan focal de l’objectif de la lunette, permet d’effectuer des

mesures

relatives

aux

radiations

simples du spectre. On sait que lkI. Ch. Soret

est

parvenu à

mo-

difier de même l’appareil de i~ohlrausch (1).

Les phénomènes relatifs

aux

lames cristallines

se

prêtent à d’in-

téressantes expériences de projection. Les rayons solaires

sont

à

cet

effet renvoyés de haut

en

bas par

un

premier miroir, puis

tombent

sur un

miroir tronco-conique (angle 45°) placé

autour et

à la hauteur de la lame cristalline, qui les renvoie horizontalement

et

dans

toutes

les directions

sur cette

dernière. Si l’on reçoit

sur

un

écran la lumière qui

sort

du cylindre,

on

voit s’y dessiner deux courbes colorées sur leurs bords, qui

sont

constituées, dans le

cas

du spath d’Islande parallèle à l’axe, par

une

circonférence

et un

ovale bitange~ts. J. MACÉ

DE

LÉPINAY.

HALLWACHS. 2014 Potentialverstärker für

Messungen ( Reproducteur

de

potentiel);

Wied. Ann.,

t.

XXIX,

p. 300; 1886.

Pour

mesurer

le potentiel d’une

source

électrique à faible tension,

mettons

d’abord

cette source en

relation

avec

le collecteur d’un condensateur; puis, ayant rompu la communication, éloi-

gnons le condensateur : le potentiel du collecteur

se trouvera

- - _ ---~--

(’ )

Journal de

Physique, [ 2 ],

t.

II,

p.

138;

rSR3.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018870060034501

(3)

346

alors multiplié par la force condensante de l’appareil, eu,

en

éta-

blissant alors la communication

avec un

électromètre,

on

observera

une

déviation plus grande,

en

général, que

sans

remploi du

con-

densateur. Mais l’efl’et obtenu

sera

d’autant moindre que la capa- cité de l’électromètre

sera

plus grande,

et

l’exactitude pourra laisser à désirer si le condensateur n’est pas parfaitement isolé.

Pour remédier à

ce

double incon vénien t, l’auteur dispose le

con-

densateur de manière à pouvoir rétablir rapidement la communi- cation du condensateur alternativement

avec

la

source

électrique

et avec

l’électromètre ; il y arrive à l’aide d’un appareil

tournant

rappelant

un

peu le reproducteur de charge :

avec une

vitesse de

rotation suffisamment grande, l’influence de la perte d’électricité

se trouve

annulée ; de plus, le potentiel atteint rapidement

sur

l’électromètre la même valeur que

sur

le collecteur supposé isolé,

et

le résultat

est

alors indépendant de la capacité de l’électro-

mè tre .

L’emploi de

cet

appareil introduit malheureusement quelques

causes

d’erreur du’on

trouvera

analysées dans le Mémoire original.

E. RIVIÈRE.

GRAETZ. 2014 Ucber die

Electricitätsleitung

von festen Salzen unter hohem Druck

(Sur

la conductibilité

électrique

des sels solides soumis à de fortes

pressions);

Wied.

Ann.,

t.

XXIX,

p.

314;

1886.

Si l’on comprime fortement

un

sel solide finement pulvérisée

sa

résistance électrique diminue. L’auteur

est

porté à regarder

cette

variation

comme

résultant immédiatement de la variation de pres-

sion,

et non comme

provenant d’une amélioration du

contact entre

le sel

et

les électrodes. E. RIVIÈRE.

A. ELSAS. 2014 Ueber di Nobili’schen

Farbenringe

und verwandte clectroche- mische

Erscheinungen (Sur

les anneaux de Nobili et les

phénomènes

électro-

chimiques analogues);

Wied.

Ann.,

t.

XXIX,

p.

331;

1886.

L’auteur discute Jes diverses hypothèses

sur

lesquelles

on

s’est appuyé pour

trouver

la signincation des figures électrochimiques

telles que les

anneaux

de Nobili

ou

les courbes obtenues par

Références

Documents relatifs

[r]

Pour construire la normale en un point de la lemnis- cate, on tracera le rayon vecteur du centre de la courbe et l'on mènera une droite faisant avec lui un angle double de celui

Quel est le rayon de convergence de la s´ erie obtenue et le domaine de validit´ e du d´ eveloppement obtenu?. Contrˆ ole continu du Mercredi 5 Mai 2010 Autour

Le rayon de courbure, en un point quelconque, d'une courbe triangulaire symétrique d^ exposant n, est dans un rapport constant, égala —^—' avec le rayon de courbure, au même point,

L’accès aux archives de la revue « Nouvelles annales de mathématiques » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation ( http://www.numdam.org/conditions )..

Turrière étudie certaines courbes définies par une propriété particulière de leur rayon de courbure et montre que leur détermination se ramène à des quadratures.. Je vais

n a n x n ayant un rayon de convergence R > 0 d´ efinit sur l’intervalle ] − R, R[ (ou sur le disque |x| < R si l’on travaille avec une variable complexe) une fonction

[r]