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[Le temps superbe qu'il faisait hier nous a conduit instinctivement du côté de l'exposition municipale...]

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Academic year: 2021

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(1)

-Genève qu’un grave accident e'iait surve­ nu à nos carabiniers gon^vois on co mo­ ment à Fribourg. Voici, croyons-nous, l’origino do ce bruit regrettablo. Il est ef­ fectivement arrivé un accident à Fribourg à un me'decin do bataillon, qui serait tombé do cheval; on aurait en touto hilte demande5 un remplaçant qui fait partio de

l'é c o le do capitaiaos-médecins en co mo­

ment on ceserne à Plainpalais. La_ rumeur a amplifié la nouvelle; au lieu d’un, il y avait plusieurs blessés ; on parlait même

d’un pont écroulé : plusieurs autres télé­

grammes nous sont, du reste, arrivés sa­ medi soir démentant heureusement tout co bruit et le réduisant à sa juste « p res­

sion.

— Un cafetier de noire ville traversait

il

y a quelquo jours lo chemin des Terras­ siers à neuf heures du soir, lorsqu’il fut assailli par trois gredins qui lo maltraitè­ rent horriblement. Pour toute arme, il te­ nait un parapluie, qui so cassa en trois morceaux au moment d’on faire usage, et ce n'est quo grâce à l’intervention d’un honorable citoyen que M. X ..,. a pu con­ tinuer sa route, malheureusement tout meurtri. Les trois vagabonds ont pris im­ médiatement la fuite.

— Jeudi dernier une querollo a eu lieu à Elrembières entre quelques ouvriers de campagne. Un ouvrier employé chez le mairo ayant voulu intervenir pour les sé­ parer a été attaqué à son tour à coups de taux ot blessé si grièvement qu’ou déses­ père do le sauver. Il a reçu les premiers soins de M. lo docteur Haldiman. Quatre ouvriers ont été arrêtée, un cinquième est en fuito. C’est lui qui aurait ôté lo princi­

pal agresseur.

Ce dernier se nomme Jean-Marie G., il est originaire do Vétran-Monthoux : la faux a pénétré dans le côté droit du mal­ heureux ouvrier.

— On nous éorit ;

Vendredi au soir, à 7 h„ un cheval s’est «mporté à la rue du Rhône ot s’est dirigé vers lo pont du Mont-Blanc. Vu la nuit noire, il aurait pu en résulter do graves conséquences, mais heureusement un cou­ rageux citoyen, nommé J. Dupont, l’a pu saisir par la bride et le maintenir jusqu’à l’arrivée de son propriétaire. Vous vou­ drez bien le remercier très sincèrement.

— Hier, à 12 h. 8[4 après m iii, un indi­ vidu qui pochait en bateau, entre le pont du Mont-Blanc ot le pont des Borgues, a failli être victime do son imprudence. Ayant laissé échapper une rame, il voulut la saisir et s’efforça de la rejoindre en sui­ vant lo courant. Il s’aperçut bientôt qu’il n’était plus maîtro de son embarcation et

Î

u’il filait tout droit vers la chute du pont e la Machine. Arrivé vers les bouées, il put heureusement saisir uno chaîne ot se maintenir là jusqu’à ce que deux hommes, dirigés par le brigadier des gardes des eaux Corageot, aient pu venir à son se­ cours, avec le bateau de police. Il a été ra • mené à l’épuisoir près l’hôtel de l’Ecu, toul heuroux de s’en tirer avec une rame per­

due.

— Hier soir, un bateau à vapeur a eu son gouvernail dérangé en arrivant au dé­ barcadère des Pâquis. Tout le monde a dû

LA TRIBUNE DE GENÈVE

pe n'était pas facile à entamer, et ce qu’il avait déciué s’exéculail habituellement de ttoint en point. Si donc il se livrait ainsi à l’onvahissante teudresse du duc et de la duchesse, c’est qu’il onlrait dans ses pro­ jets de leur ouvrir sa maison toute

grande.

Pendant los longues heures que Philippe avait passées au pied du lit de Claire mou­ rante, il avait repris un à uu tous les évé­ nements qui avaient précédé son mariage. 11 s'était rendu compte de l’acharnement avec loquol Athénaïs avait poursuivi sa ri­ vale. D flt à la duchesse sa part do respon­ sabilité. Et plus il la trouva coupable, plus il fut porté à excuser Claire. Copendant, il jugea nécessaire de no pas so départir de la rigueur avoc laquelle il avait jusqu’à co jour traité sa femme.

La lutte qu'il avait engagée avec elle devait se terminer par sa vietoiro à lui. Il fallait qu’il flt subir à l’orgueilleuso Claire uno éprouve décisive, ot qu’il prît uue re­ vanche terrible de l’affrout immérité qu’elle lui avait infligé. Il pressenti1, qu’A- tnénaïs était d«-slinéo à jouer son rôlo dans celto dangereuse partie. La batoille de­

vait so livrer et Ire la duchesse et Claire, entro le duc cl lui. Il la prévit acharnée, plomo d’embûches perfides ot de redouta­ bles surprises. Il n’était pas impossible qu’elle se dénouât par la mort d’un homme.

Philippe n’eut pas une hésitation. Après tout, qu avait-il à perdre? Sa vie était • compromise et son bouheur perdu. Il no

pouvait que gagner à tenter l’aventure. Seulement, prudent autant qu’il était ré­ solu, il voulut prendre ses précuulions et

descendro là sans pouvoir gagner le dé­ barcadère du Jardin anglais. Au reste, l’accident n’avait pas d’importance.

— Notre seconde dugazon de la saison dernière, Mlle Amaury, débute en ce mo­ ment à Nuucy comme promière dugazon. Mme Bouvet, la femme do notre sympathi­ que baryton, qui, étant malade, n’avait pas pu se faire outondl’o sur notre scèno, est fort applaudie au théâtre du Casino de Bagnères-de-Luchon, ainsi quo MM. Séran, Kinnel ot do Beer et Mme de Boer.

Chronique Judiciaire

Cour criminelle

(Présidence de M. Bard). — Co matin s’est ouverte la première séance do la session. L’accusé introduit est le nommé Louis Joulia, originaire do Nî­ mes, âgé de 41 ans, meunier à Collonges- sous-Salève, accusé d’avoir, le 14 juin der­ nier, présenté au Comptoir d’esooropte un billet d’une valeur de 887 fr,, signé Du- rouvenoz et endossé Gaudin. Do l’acte d’accusation, il résulto que le sieur J. a apposé frauduleusement ces deux signatu­ res dans le but do se procurer do l’argent par oe moyen. Le directeur du Comptoir avertit la police do ce fait et lo lendemain, toujours suivant l’accusation, le

Journal

de Genève

uyact signalé le fait, le sieur J. no se représenta pas à la caisse du Comp­ toir. Du reste, le procureur général, M. Dunaut, après avoir signalé le fail quoJ. aurait précédemment commis un faux do 400 fr. ot aurait, dans sa jeuuesso, élé con­ damné pour coups et blessures, demande des circonstances atténuantes, ou même très atténuantes, en faveur do l’accusé, parce quo celui-ci aurait de bons antécé­ dents et qu’il aurait été poussé à faire ces faux par la misèfo.

M° Gans, qui présente la défenso, fait ha­ bilement ressortir ce.s deux faits. Il produit d’excellents certificats et mootro lo mal­ heureux J. conduit ft misère par les ri- giieüïs d‘un propriétaire impitoyable. Il conclut à l’acquittoment. Le jury rapporte un verdict affirmatif sur la question de savoir si l'accusé a fait un faux, et négatif en ce qui coacerno l’usage. Circonstances très atténuantes. M. le procureur général réclame 1 an de prison Miivi de 2 ans d’expulsion. La Cour condamno le sieur Joulia, qui paraît très abattu, à 20 mois do prison et aux dépens.

Cette après-midi, à 2 heures, viendra une affaire de fausse monnaie.

Chronique artistique

Le temps superoe qu’il faisait hier nous a conduit instinctivement du côlé de l’ex­ position municipale; l’entrée était gratuite: uu uombreux public se pressait dans les salles et l’impression généralo nous semble avoir confirmé pleinement le sentiment do légitime satisfaction quo nous avons ex­ primé dans un premier article. Si le maxi­ mum était 6, nous disait un ami, j’aurais donné 3 à l’exposition de l’année der­ nière et 4 à l’exposition de cette an­ née.

faire tout pour s'assurer lo succès. Trou­ vant Claire isolée, puisqu’on appareuce il ne pouvait prendre sa défense, il ponsa à lui donner une fidèle alliée. Il invita la baronne à venir avec son mari passer quel­ ques semaines auprès d'eux. Les forces se trouvant ainsi équilibrées, et les deux par­ tis eu présonce, il n’y avait plus qu’à at­ tendre l’engagement.

Dès les premiers jours,il futfacilo dovoir que la duchesse de Bligny avait formé lo projet de révolutionner co petit coin pai­ sible de province. La Varonno devint un centre joyeux qui retentit sans cesse des éclats de la fête par laquelle Athénaïs fut jalouse de signaler sa présonce. Etant im­

plantée depuis peu dans lo pays, elle pré­ tendit en devenir la souveraine incontes­ tée, à force do faste, d’entrain et d’excen­ tricité.

Ello avait fait venir de Paris deux do ses suivants, le gros La Brède et lo petit du Tremblays, la paire do trotteurs la plus brillanto de son fameux attelago à six. « La Brède et du Tremblays, avail-ello dit en riant, çn suffira pour la campagne. On les attellera on po.‘ le, ot avec beaucoup do grelots, ils ferout illusion!... *

En effet, La Brèdo cl du Tremblays, ces deux inséparables qui, assez ternes pris l’un sans l’autre, étaient surprenants uno fois on groupe, leurs doux nullités se fai­ sant valoir, de même quo deux négations valent une affirmation, étaient arrivés avec un cotillon, un lawn-tennis et un po­ lo dans leurs bagages. El comme si le dia- blo do Paris était sorti de leuMs valises, à peine avaient-ils mis le pied à la Vareune que la vie y était devenue ourage'e.

(A suivre)

Mais continuons notre promenade. Un

(

jrand tableau de M. Hodler est resté dans o vestibule n’uyant pas pu entrer :

Cortège

de luileura;

c’est plutôt uno fresque où les remarquables qualités de l’artiste se sont donné carrière. Mais elles y sont plutôt à l’état d'indication que do réussite. On dirait un lableau qu’on n’a pas eu le temps d’achever : le public, mis on appétit par le remarquable portrait du mémo ar­ tiste, paru il y a quelques années, est on droit d’exiger beaucoup et plus do^ M. Hodler. Nous no doutons pas qu’il n’ob­ tienne pleine satisfaction.

A l’autre bout do l’expositiou, M. Es- toppoy a exposé

L'Alice de la Tour-Muî-

iresse

: on peut diro que sou tableau, s’il n’est pas un doup de maître, est un cuüp d’audaco : c’est presque une puge de

Pot-

Bo uUIc. Lqslauriers do Zola empêchoraient-

ils M. Estoppey de dormir? Rion no man­ que à son lableau, ni l’homme qui enfreint la défense do s’arrêter là, ni la literie qui sôcho sous le teil, ni los couleurs sales et multiples do cotle vieille ruelle où le so­ leil n’aimo jamais à pénétrer et qui est destinée prochainement, nous l’espérons, à tomber sous la percerelte municipale. Tout cela est bien rendu, avec hardiesse, à grands coups do pinceau, comme aurait fait un peinlre eu bâtiment qui badigeonne une façade ; mais lo jeuno artiste a obtenu un résultat, et un vieil amatour disait on secouant la têle : Il y a de ça. Et autro chose encore, ajouterons-nous, car il y a quelquo chose sur la paletto de M. Estop­ pey ; il y a des couleurs rudes, mais habi­ lement employées; son pinceau a du nerf, son soleil a de la clarté et do la chaleur, et nous ne doutons pas de le retrouver sur les hauteurs sereines de l’art, sur les som­ mets de l’idéal où il doit tondre; c’est là qüS POUS lui donnons rendez-vous dans quelques années; mais il a encore beaucoup de noir à broyer.

Q’Ost accompagné do M. Albert Gos que nous gràvissônsverà les cimes altières; nous le prenons, en passant,dans la plaine, à Vandœuvres,

Sous un ormeau,

qui étend ses vustes branches sur un champ prêt à moissonner; on Voudrait pouvoir s’ÿ repo­ ser, mais les Alpes nous appellent et nous voici arrivés devant le

Paysage de Laitier-

brunnen.

Ou aigle plane au-dessus d’un ro­ cher verdoyant; au fond, c’est la vallée; là haut d’épaisses nues so roulent et sem­ blent descendro jusqu’à nousj instinctive­ ment on frissonne. M. Gos a fait là un tableau remarquable; son talent s’est dé­ veloppé avec ampleur: on oublie les déli­ catesses du procédé pour no plus songer qu’à l’œuvre, devant laquelle nous voyons teut le monde s'arrêter avec empresse­ ment.

M. Auguste Viollier n’a pas voulu man­ quer à l'appel cette année otnous donne une

Huile forcée.

Prise à part, chacune do ses figures est bien étudiée, il y a de l'hu­ mour, do l’observation Une, et la mine de co tricheur qui regarde sur le jeu do son voisin est très bien rendue; lo tout est bien dessiné; mais le tableau mauquo d’unité, il y a deux ou trois groupes qui sollicitent également notre attention ; aussi on ne de­ vine pas suffisamment la pensée de l’au­ teur, car il manque ce point central sur le­ quel doivonteonverger toutesles teintes du tableau. Malgré cela, on voit que M. Viol­ lier cherche; qui chercho trouve, dit lo proverbe; nous avons la conviction qu’il ue nous fera pas attendre longtemps et nous fondons sur lui les plus grandes espé­ rances.

QEPÊCHES DU JOUR

New-York, 24 septembre. M. Folgor a notifié aujourd’hui l'amor­ tissement do 2 millions 500,000 dollars de bonds 5 0 0 ^ {3.

St-Pétersbourg, 24 septembre. L’emporour et la famillo impériale sont revenus aujourd’hui à Péterhoff.

Le Caire, 24 septembre. Les réfugiés d’Alexandrie rontront en masse; los Européens affluent, la popula­ tion leur fait uu accuoil sympathique. La sécurité est parfaite.

On fuit dn grands préparatifs pour lo re­ tour du khédive.

Buda-Pesth, 24 septembre. Un pont près d’Ësseg, sur la Drave, a croulé sous un train allant à Agram ot portant des hussards. Les wagons, entraî­ nés, ont disparu dans la rivière grossie par les pluies. Quiuzo mililaires sont morts, une Lrontaino sont blossés; les derniers wagons se sont heureusement arrêtés sur

lo «ont.

Madrid, 24 septembre. Le choléra fait des progrès dans les Echelles du Levant.

La réunion d’un comité sanitaire mixte international pour prendre de nouvelles mesures afin de préserver l'Europe paraît décidée.

Les décès sont toujours trê3 nombreux aux Philippines.

Aloxandrie, 24 septembre. Ou dit que le khédive est décidé à con­ fisquer les biens do» principaux personna­ ges qui se sont compromis. Cette confisca­ tion produirait, ajouto-t-on, une somme do 2a millions, qui serviraient à indemniser les victimes du bombardement d’Alexan­ drie.

Paris, 24 septembre. On annonce une interpellation de M.De- lafosse, député du Calvados, au sujet de l’enlèvement de la statue Je Louis XIV d’une place publique de Caen.

M. de Cassagnac a informé le

Combat

qu’il commencerait lundi un procès en diffamation contre M. Massonnet, rédac­ teur on chef de ce journal.

.Deuxième édition

New-York, 28 sept. Ensuite d’inondations du fleuve Hud- son, les voies ferrées sont interrompues.

Londres, 25 sepf. Le'

Daily Nem

apprend de Constanti- nople quo l'idée d’uno nouvelle conventioa pour le règlement des affaires d’Egypte fait do rapides progrès. La Porto accepte­ rait do nombreux changements à la situa­ tion actuelle, pourvu que les droits de suzeraineté du sultan soient maintenus.

Madrid, 25 sept. Le choléra continue à faire do nom­ breuses victimes à Manille.

Convocations, Soirées ot Communications

Le Grand Conseil est convoqué ponr le mercredi 27 septembre, à 'i heures de l’après- midi. Ordro du jour : 1“ 3*“ débat sur le projet ri« i„i «nrm :"*nt Collex-Bossy il contracter un «mnMin do OOÙ • 2* «*>■ P ° ur c.rôditB supplémentaires; 9-id.modifiantlajoiinstituant une école deô arts industriels ; 4Md a i d a n t à Meinier uue alio?*tiou de 12,500 francs poui son bâtiment scolaire ; 5° n*,noort i.ann(jg mission sur le projet de Budget po>..

1883 ; G° l 1’ débat sur la proposition Favon^ (Conseils de Prud’hommes).

— Kiosque des Bastions. — Ce soir, ik 8 h., avant-dernier concertdoluSociétécivile «la l'Or- chestro de la Ville de Genève, gntrée 0.50 cent.

— Les membres du Cercle démocratique et leurs amis sont convoqués pour mardi 26 sep­

tembre à 8 h. du soir, au local (Pélisserie, !>). Ordre du jour: Vote limité ; tribunal do pru­ d’hommes ; questions diverses.

Madame Alexy-Kaisin, Mlle Ernestiuo, MM. Charles et Adrien Alexy, ainsi que les familles Docs-Ilaisin et d'Arcis-Doës, ont le chagrin de faire part à leurs amis et connaissances de la perte douloureuse qn’ils viennent d’éprouver en la personne de

Mlle A n n a A L E X Y , leur chère fille, sœur, nièce et cousine.

L'ensevelissement aura lieu mardi 26 et, et l’houueur so rendra au retour, A. 9 3[4, devant la maison mortuairo, rue Bonivard, no 6.

Lo présent avis tiendra lieu de lettro de

faire part. 1705

M. ot Mmo Cb. Roth, tailleur, et leurs en­ fants, font part de la perte douloureuse qu’ils viennent do faire en la personne de leur ehèro fille

Sophie,

décédée le 24 courant à l’âge de 3 1|2 ans. Lo convoi funèbre partira de PUôpital can- tonnl, mardi 2G à 1 h., et l’honneur se rendra devant le cimetière de Plainpalais. i?07

A n n o n c e s M o r t u a i r e s L e s Annonces N o r ln a lr o g d é p o sé e s A V A N T M ID I sont In sé ré e s le 3IÊ3IE JO U R . 1 lu s é r llo n 8 F rancs 2 In sertion s 5 ,,

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