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Grand Genève: l'heure du rebond?

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Grand Genève: l'heure du rebond?

PFLIEGER, Géraldine, LAMBELET, Sébastien

Abstract

A Genève, la votation du 18 mai 2014, désignée par certains de «9 février genevois», soulève des interrogations majeures sur les causes et les conséquences d'un tel rejet, qui dépasse la construction des parcs relais sur sol français, mais engage un questionnement sur la consolidation du Grand Genève, et la volonté de gouverner en commun un espace économique et urbain qui a, depuis plusieurs décennies, transgressé les frontières.

PFLIEGER, Géraldine, LAMBELET, Sébastien. Grand Genève: l'heure du rebond? Le Temps , 2014, no. 06.06, p. 11

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:149162

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11 Débats

Le Temps

Vendredi 6 juin 2014

Grand Genève: l’heure du rebond?

Géraldine Pflieger et Sébastien Lambelet

A Genève, la votation du 18 mai dernier, désignée par certains de

«9 février genevois», soulève des interrogations majeures sur les causes et les conséquences d’un tel rejet, qui dépasse la construc- tion des parcs relais sur sol fran- çais, mais engage un questionne- ment sur la consolidation du Grand Genève, et la volonté de gouverner en commun un espace économique et urbain qui a, de- puis plusieurs décennies, trans- gressé les frontières.

D’aucuns attribuent cette faillite aux lacunes de la gouver- nance transfrontalière. Certains avancent le manque d’identité collective des citoyens de l’agglo- mération: les électeurs genevois et français ne se sentiraient pas suffi- samment citoyens du Grand Ge- nève. Cependant, plusieurs études ont prouvé qu’une agglomération pouvait se mettre en place et fonc- tionner sans identité populaire collective. L’exemple transfronta- lier de Bâle est très parlant à cet égard. En général d’ailleurs, les ci- toyens sont plus attachés à leur commune qu’à leur aggloméra- tion. D’autres proposent la créa- tion d’un Parlement d’aggloméra- tion qui légiférerait sur les questions communes, réglerait le déficit démocratique et permet- trait d’éviter qu’une partie de l’ag- glomération prenne des décisions qui pénalisent son ensemble. Mais comment imaginer que le Grand Conseil genevois ou l’Etat en France acceptent de déléguer cer-

taines de leurs compétences légis- latives à une instance transnatio- nale? Ce parlement ne serait qu’une assemblée consultative, qui ne manquerait pas de créer un doublon avec le trop méconnu Fo- rum du Grand Genève. Par ailleurs, cette proposition n’ap- porte pas de solutions à court terme car la consolidation d’un nouvel échelon institutionnel prend toujours plusieurs années.

Et la votation nous rappelle de fa- çon cinglante le désir de mainte- nir un contrôle démocratique ferme sur la destinée du canton et de la région.

Critiquer la démocratie directe et attaquer le populisme du MCG serait trop simpliste. Lorsqu’elles perdent un vote populaire, ce sont très souvent les élites qui sont responsables. Pourquoi n’ont-elles pas réussi à expliquer les enjeux financiers de la coopé- ration transfrontalière aux élec- teurs genevois?

Comme un mauvais présage, un projet d’étude sur le finance- ment du Grand Genève, mené par notre Département de science po- litique et porté par des institu- tions françaises et suisses, capo- tait en février dernier, suite au veto de divers acteurs de part et d’autre de la frontière. A l’heure actuelle, aucune institution publi- que ne dispose d’une vision pré- cise des transactions financières entre les deux pays et de la contri- bution de chacun au fonctionne-

ment de la région et à son dyna- misme. L’image caricaturale mais bien ancrée chez le citoyen gene- vois d’une Suisse riche finançant les infrastructures d’une France au bord de la faillite n’est contestée par personne. Et côté français, la nécessité d’une agglomération transfrontalière efficace et cohé- rente est promue par tous dans les discours, mais demeure, en prati- que, portée par bien peu.

Tant que la classe politique, des deux côtés de la frontière, focali- sera sa communication sur ce que lui coûte son voisin et non sur ce qu’il lui rapporte, le projet d’ag- glomération sera en panne. Tant que des données concrètes sur les financements transfrontaliers ne seront pas produites et partagées, on continuera à communiquer de manière vague et la voie de l’obs- curantisme et du populisme res- tera ouverte.

A cet égard, l’analyse de la bro- chure de la votation du 18 mai est symptomatique. Les autorités in- sistent beaucoup sur le fait qu’en les réalisant en France, les P+R se- ront meilleur marché. Cependant, elles ne disent pas que c’est aussi l’occasion de faire cofinancer les parkings par les autorités françai- ses alors que s’ils étaient réalisés à Genève, ces P+R seraient non seu- lement plus coûteux mais surtout entièrement à la charge du contri- buable genevois et personne n’y trouverait rien à redire. Lorsqu’il parle du CEVA, le Conseil d’Etat occulte totalement la part de fi- nancement des collectivités fran- çaises. Après le scrutin, ce sont les députés MCG qui ont souligné les 300 millions de fonds transfron- taliers qui sont reversés à la France et les députés français qui ont in- sisté sur les 600 millions d’impôts à la source perçus par le canton de Genève grâce aux frontaliers. Plus généralement, les autorités gene- voises ne parlent jamais des coti- sations versées par les frontaliers

aux assurances sociales (chô- mage, AI). Toutes ces informa- tions éparses et ces chiffres lancés à la cantonade, de part et d’autre de la frontière ne permettent pas de mettre au jour les bénéfices po- tentiels de la coopération.

Comment dès lors expliquer au citoyen l’intérêt crucial d’une coo- pération, si les acteurs publics ne bénéficient pas eux-mêmes d’une vision claire des enjeux financiers et des transactions qui devront ou devraient inévitablement cimen- ter un tel territoire? Ce qui est dé- sormais en jeu dans le Grand Ge- nève ce n’est plus seulement de penser des projets d’infrastruc- ture et d’aménagement ensemble, mais d’en partager sur le long terme et non au coup par coup les moyens de financement.

Avant de se fixer les objectifs ambitieux, et peut-être décalés, de construction d’une agora, d’un es- pace public et démocratique com- mun, la priorité passe par la fon- dation d’un véritable espace commun de création et de par- tage de richesse, en considérant bien les coûts mais également les bénéfices collectifs engendrés par la coopération. Certains ont af- firmé que cette votation marquait la fin de l’agglomération franco- valdo-genevoise, espérons au con- traire qu’elle constituera un élec- trochoc salutaire pour remettre au plus vite l’ouvrage sur le métier.

Avant de construire une agora

transfrontalière, il faut fonder un espace commun de création et de partage de richesse

L’irresponsabilité européenne sur les questions migratoires

Collectif

La migration a profondément marqué l’histoire européenne et oc- cidentale. Avant d’être une terre d’immigration, le continent euro- péen était une terre d’émigration.

Au début du XXe siècle, ce sont des navires remplis d’Européens qui ar- rivaient sur les côtes américaines.

Reconnaissons-le: nous sommes tous des migrants. Chacun de nous a vécu, directement ou indirecte- ment, une expérience migratoire, qu’elle soit intra ou extra-euro- péenne, humaine ou profession- nelle.

Il ne se passe pas un jour sans que se déroulent des désastres humains aux portes de l’Europe. Des milliers de migrants sont logés dans des conditions inhumaines, entassés comme du bétail dans des camps insalubres et inadaptés.

Nous constatons, première- ment, que les droits humains ne sont pas respectés à l’égard des mi- grants. Les nombreuses violations deleursdroitsnécessitentderappe- ler que les migrants ne sont pas ex- clus de la Déclaration universelle des droits de l’homme. L’usage du droit administratif pour expulser massivement des êtres humains in- tentionnellement précarisés se fait au mépris de leur dignité, alors qu’ils ne constituent pas un péril pour la sécurité et la cohésion na- tionales, comme le dit la Cour euro- péenne des droits de l’homme.

Deuxièmement, la migration est un phénomène global qui impli- que une réponse internationale. Les Etats sont incapables de régler seuls la situation. Alors que le réchauffe- ment climatique, le vieillissement

de la population européenne et la féminisation de la migration ne font qu’amplifier les flux et les be- soins migratoires, il devient impé- ratif de dépasser la rigidité et l’ar- chaïsme de la souveraineté nationale en la matière.

Le 9 février, l’initiative populaire

«Contre l’immigration de masse» a été acceptée par les citoyens et ci- toyennes suisses. L’UDC a porté, seule contre tous, cette votation qui remet en cause la libre circulation des personnes, principe au cœur même du projet européen, mais aussi le droit d’asile, et ce, malgré les engagements internationaux de la Confédération. La Suisse avec un taux de chômage de 3,2%, chiffre bien inférieur à la moyenne de la zone euro (11,8%), avec le dyna- misme de son économie, offre un contraste saisissant avec une Eu- rope qui peine à se sortir de la crise économique. Pour autant, l’excel- lente santé économique n’a pas em- pêché la rhétorique anti-immigra- tion de l’UDC de s’imposer dans le débat public et sur l’agenda politi- que. Le discours musclé de la pre- mière force politique nationale a réussi à séduire une partie grandis- sante de l’électorat. Cependant, l’immigration, constituée essentiel- lement de ressortissants de l’Union européenne, a pleinement profité à la croissance, même si elle nécessite une réponse fédérale et cantonale aux défis qu’elle pose, en termes de logement et de transport.

Le discours anti-immigration n’est pas une particularité suisse.

Des mouvements d’extrême droite, populisteseteurosceptiques,pullu- lent au sein des Etats de l’Union européenne, au moment où le con- tinent ne parvient pas à s’extirper

du marasme économique. Dans la même logique que celle de l’UDC, ils se sont emparés des questions migratoires, thématisées comme une menace pour les citoyens et pour l’équilibre national. En jouant sur les peurs, le débat est essentiel- lement émotionnel: il n’y a plus de place pour la rationalité. Le mi- grant, n’ayant pas le privilège d’être né sur le territoire, est alors néces- sairement «l’étranger». Il emporte avec lui criminalité et chômage. Sa stigmatisation se retrouve dans la rhétorique des partis situés à l’ex- trême droite de l’échiquier politi- que. Quand Marine Le Pen, évo- quant les migrants traversant la Méditerranée, se demande «com- bien de Merah dans les bateaux?», faisant ici référence à l’auteur des tueries de Toulouse de mars 2012, l’amalgame est terrible.

Bien que l’argumentaire contre l’immigration soit irrationnel, il trouve un écho prononcé dans l’opinion publique. Les médias, friands de déclarations «chocs», y participent grandement. Certains dirigeants européens accumulent les sorties critiques sur la migra- tion, au mépris de la retenue et des responsabilités qui incombent à leur position. Cette droitisation du discours démontre qu’il n’y a ac- tuellement plus de courage ni de

vision politiques. De l’autre côté, le silence assourdissant de la gauche européenne, maintenant l’ambi- guïté, laisse penser qu’il n’y aurait pas d’alternative à la fermeture.

Il est donc impératif de replacer le débat concernant l’immigration sur les champs oubliés du rationnel et du raisonnable. Les chiffres éco- nomiques sont pourtant bel et bien là, démontrant notamment les bé- néfices de l’immigration en matière de croissance. La Suisse, et l’Europe tout entière, ont un urgent besoin de «courage politique». Laisser le monopole du discours sur l’immi- gration aux forces nationalistes, qui usent et abusent largement des peurs et fantasmes collectifs, est une grave erreur qui, au-delà même du débat moral, menace la démo- cratie.

La question migratoire ne fait quemettreenlumièrecequiconsti- tue probablement le plus grand frein à la construction européenne et au rapprochement de la Suisse à l’Union européenne de cette fin de XXe siècle et de ce début de XXIe: la souveraineté d’une part, et la diffi- culté qu’a l’Europe à se définir comme continent dans un contexte inédit de mondialisation.

Fini le temps jadis où il suffisait à l’Europe d’«être» pour exister. Nous devons aujourd’hui prendre cons- cience que la migration n’est pas une anomalie, mais bien un état normal de l’humanité.

Quand Marine Le Pen se demande «combien de Merah dans

les bateaux?»,

l’amalgame est terrible

La nature et nous

Michel Baumgartner, Zurich

«Il faut laisser la nature tranquille.» Joanna Schoe- nenberger tout à son combat en faveur de M25, son ours fétiche fourvoyé quelque part dans les Grisons, se berce d’illusions (LT du 2.06.2014)! La nature sauvage si chère au philosophe écologiste Robert Hainard, ou à son disciple Philippe Roch, ou aux experts du WWF, n’existe plus. Quels endroits de la terre n’ont-ils pas encore été dominés par les hu- mains?

L’animal soi-disant libre et sauvage est surveillé de près, comme M25 que l’on voudrait apprivoiser à coup de fusil à pétard. En fait tous les animaux sont sous contrôle, que nos observations, nos mesures de protection, nos réglementations, nos caméras tra- quent jusque dans leurs terriers, leurs gîtes, leurs nids, et même au plus profond des fosses marines.

Et les plantes? Sauvages si elles poussent sans avoir été plantées volontairement? Les changements climatiques engendrés par la mainmise de l’humain sur la nature prouvent le contraire. Ici des forêts disparaissent, là d’autres apparaissent. Même les bactéries et les virus sont obligés de muter pour survivre aux antibiotiques.

Rendre à l’ours, au lynx, au loup la liberté est illu- soire, un luxe irréaliste de riches nostalgiques.

Partout la nature est transformée, gérée, organisée, modifiée, manipulée, polluée, plastifiée, irradiée, métamorphosée. L’imaginer sauvage est illusion.

Mais plus grande illusion encore est de vouloir sa tranquillité naturelle. La formule révèle une concep- tion fort répandue mais erronée de la réalité: l’idée d’une différenciation entre l’humain et la nature […].

Ne suis-je pas moi aussi nature? Je suis la nature. Je suis un avec la nature. Je suis partie intégrante de la nature. Je suis unité naturelle. C’est seulement en prenant conscience de cette réalité que nous trouve- rons vie harmonieuse ensemble avec tous les êtres vivants, les plantes et la matière elle-même.

L’art et le n’importe quoi

Jurek Estreicher, Confignon (GE)

Qui ne serait favorable à l’art et à la culture, à leur diffusion et à leur soutien? Le problème, c’est qu’à notre époque il ne s’agit là, la plupart du temps, que d’étiquettes servant à camoufler de grotesques cuistreries et, pour un quarteron de fumistes bien en cour (dont les noms remplissent quotidiennement les gazettes), à drainer tant et plus de subsides pu- blics.

Aussi ne suivra-t-on que partiellement le plaidoyer de Nicolas Delémont et Santo Mirabile (LT du 2.06.2014) revendiquant de «promouvoir les arts».

Car si, comme les auteurs le disent fort bien, «par- tout dans le monde […], les enfants dessinent, sculp- tent, font de la peinture […], exercent spontanément ces diverses activités» (ce qui représente un premier pas dans le domaine de l’art, mais non un accomplis- sement), on ne peut souscrire à la leçon qu’en tirent vos correspondants: «Le premier objectif de l’éduca- tion artistique n’est certainement pas d’inculquer les principes de la création.» A quoi peut servir alors un tel enseignement s’il s’agit simplement de laisser faire sans entraves?

On avait autrefois une vision plus saine de l’activité créatrice, qualifiée (notamment) de 1% d’inspira- tion, 99% de transpiration (Thomas Edison). L’idéo- logie de notre temps évacue l’idée de travail au profit de celle exclusive du «plaisir» (mentionné textuelle- ment dans l’article référencé). Il en résulte l’illusion que «quoi que je fasse, c’est génial» et en définitive le résultat de «1% de frime, 99% de provocation» (voir par exemple les décorations urbaines dont on nous remplit Genève actuellement). Nos impôts méritent- ils vraiment une pareille affectation?

Syrie, le silence tue

Gilberte Favre, Lausanne

Les articles d’Angélique Mounier-Kuhn (LT du 3 juin) sont très éclairants quant à la situation en Syrie et je l’en félicite. L’argent étant le nerf de la guerre, il est évident que, sans la nomenklatura syrienne – les hommes d’affaires qui gravitent autour de la famille et belle-famille de Bachar el-Assad –, le régime de Damas serait tombé depuis longtemps.

Aujourd’hui, les victimes du satrape se sentent tra- hies par l’Occident. Quant au président syrien, il peut continuer à assassiner allègrement son peuple alors que sa place serait à La Haye.

Cette élection ubuesque a suscité un commentaire intéressant de la part de l’écrivain et dissident Mi- chel Kilo – qui a bien connu les prisons syriennes:

«C’est comme si Hitler avait organisé une élection en 1944…» a-t-il dit. Inimaginable, n’est-ce pas? Or, au chapitre des droits humains, le monde devrait avoir sensiblement évolué depuis 1944…

A part les responsables russes et chinois, verra-t-on bientôt de respectables politiciens occidentaux serrer la main de celui qui a tué plus de 160 000 personnes? Et même partager avec lui des petits fours […]. De Syrie, on nous écrit: «Ne nous oubliez pas! Sauvez-nous!» Comment? Les grands stratèges de la politique internationale sauront faire preuve d’imagination pour que le scandale de cette guerre honteuse ne s’éternise plus.

Le peuple de Syrie a le droit de vivre dans la paix.

Géraldine Pflieger est maître d’enseignement et de recherche au Département de science politique et relations internationales et à l’Institut des sciences

de l’environnement de l’Université de Genève

Sébastien Lambelet est doctorant au Département de science politique et relations internationales de l’Université de Genève

Florian Micco,Nicolas Torchinet Baptiste Pichard-Rivalan,étudiants à l’Université de Genève, séminaire Gouvernance globale IV,

semestre de printemps 2014

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