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ht tp

^:

//books

.

qooqle

.

com|

—

^-

^"

«ip

CATÉCHISME

A L’USAGE

DES MAÇONS DE LA

L.-.

DE

L’ÉCOLE DE LA SAGESSE.

60500 CHANTILLY

.

A METZ, Oo ^Ctuiticr

,Imprimerdela

1809.

DigitizedbyGoogle

7^r

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^{..*' .fcr*.±3^,•«,4*A,,.J* *~*}

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**

DigitizecjbyGoogle

- - -

là

(t)

^

^{r. -}

^_

^'

INSTRUCTION

,

préliminaire.

^-,

;; '

^ '

‘

\

j ^* •c,

'

jrj^’

éloge

^le plus parfait

que Ton

puisse faire de la

Maçonnerie

_,c’est

de remonter

^{à sonorigine:}

b

ancien-*

neté

de

cetteinstitutionsublime,qui, malgrélestroublés et les oragesré- volutionnaires_,

a

^résisté

aux

chocs*

multipliésqu’ellea essuyés_^

prouve

assez

que

l’unionquiexiste entre se*

Membres

estindissoluble, et

que

l’on tenteront

vainementde

porteratteinte

*

sesprincipes et asesprogrès.

Quelle

sotiétéplus respectable

en

afiieL,

que

cellequi

ne

s

occupe qu*

DigitîzedbyGoogle

du

soulagement

de

l’humanité et

du

bien de l’infortuné! Elleéclaire les

hommes:

en.les insthiisanuj elleJeui

^présentela vertu sous des couleurs ai séduisantesy

que

la pratique en devienta la fqî§.U£££§^ire et ^facile.

Respecter les religions

^ aimer servir sa patrie

^eHérir et secourir ses semblables_^obéir

aUx

lois

7pra~

tiquer les

bonnes mœtis

1tellessont lés bases

du

serment qiie

fon

exigé

de

tous

ceux

quiaspirentàl’iinitiation*

- Cette obligation

^ sans doute

? est

douce

à remplir_nelle

ùe

contientriett quipuisse paroltredifficile

&Phodnn&

vertueux

5 cependant quelquefois

on y

"déroge_^^’et

pourquoi

?Parée qu*on' n’estpasassersscrupuleux surle

choix

dés'initiés

} parce

que

'trop légère-^

ment

_vetsouventsans connoitrec&uah

' ^•.

.

. ^.

(ïi

ipà se présentent,

on

leurest

&

^vfr}

table^:le

peu

dédifficultés qu’ils ren-t coritrèftt

pour

pénétrer dansle sanc-^4- tuaire des vertus _} ^lés plaisanteries déplacées qu’ils éprouvent

aû

mo-»'

ment de

leur réception_,foOtnatfà- fcllement naître dans leur

ame

deS impressions

peu

favorables àladignité de l’Ordre danslequelilsvontentrer etquoi qu’onpulsée

en

dire_, cesont toujours cespremièresidéesquifrap- pent, etdifficilementensuite

on

con- sidèresérieusement cequi ad’abord été présenté sous des formesironi-

ques.

\

^‘

/

Tout

ce quise passedans nostra-

vaux

est

Symbolique

ét allégorique_$

ilfaut,

pour en

Saisirla justesigni- fication_, etlesinterpréter

comme

ils

doiventl’étrè

javoir

dé

^nosniÿstèretf

A i

^{' A}

DigitîzedbyGoogle

w&

r

wmipisgaBce

profonde et parti- culière

, connoissance qui

ne

s'&G-r quiert

que

par la pratique et

par

fétude.

Nous remarquons cependant que

lesassemblées d'instruction

sont

toujours

peu nombreuses

_\ aussi

•voyons-nous

beaucoup de

FF.*.} et^

très-peude

Maçons

instruits. Qu’eci résulte-t-il_?

Qif un Maçon

_, après avoir été admis à tous les grades

^

ne

çonnôît souvent pas le

premier

j qu'onchoisitdesOfficiers dignitaires, incapables de remplir les fonctions, auxquellesilssont appelés :alors voit les travaux languir, le caprice^

remplacer les lois, les puérilitésles jjdus ridicules.substituées

aux

actes (Tune institution noble, èt majes^

tueuse_%et rignpraOceenfin des

a<K

ministrateursperpgtperçe)Ûe;4^5 ministre^.

(•>

fi

1*

désir

de

s’instruireest un<rsuto{>

cluzèle

maçonnique

₅ maisil

ne con~

^- sistepas seulement dans

F

exactitude

j ^0ix

^{travaux, dans la stricte pbsef*}

uance

desstatuts

de

l'Ordre

5

Fun

çt

Vautre

sont louables, sans doute ₎ znaisle véritablezèle est

un

attache^

ment pur

et éclairé

au

maintien_et

aux

progrès

de

la Maçonnerie.Sice sentiment

anime

bien sincèrementvu*

Maçon,

alors il sera nécessairement porté à s’instruire_, il

ne

négliger*)

*ièU

pour

acquérirdes connaissance*

a

^{la fois}précieuses et indispensable*

k

tous

ceux

qui veulent pratiquer la

tertu* _:

On

détroit distinguer troissorte*

^instructions; r°cellequi

peut

teu*n dre à perfectionner les

mœurs

_} a$

tellequidoitédairerlès

FF>% surfe

DigitîzedbyGoogle

(

N»)

. .

but de

la

Maçonnerie

_$ là trofcièm#

èe rapporteroit

aux

rits

v

^{à la}

cent

nôissanee parfaite desstatuts et rè- glemens

généraux

et particuliers^ à»

Pexplication des

emblèmes

et

de*

allégories

0 enfin à l'interprétation des differentescirconstances des ré-^

ceptions. . \ .a

'

Pour que

cettepremièrepartie

dë

l’instruction plût à tout le

monde

il faudroit présenter la

morale

sou*

des points de

vue en même temps

intéressait* et agréables

} peindrele*

avantages

qui

doivent

en

résulte^

£our

celui^qtli la pratique et pOtié la société

en

général _^

démontre^

Phorreiir

du

vice et faire brillerles

charmes de

la vertu* Cette tâche retafre danslesattributions

de

^l’Ora-*

teur^ c’est luiÿ^c’estson éloquence

,yGoogle

( lr

>

éjuidoiventpersuader:,c’estsur-tout

Bon exemple

qui doit entraîner et justifierses discoürs.

:

Un

des principauxdevoirsdes

Of-

ficiersdignitaires

, c’éstencored’ins- truireles

nouveaux

initiéssurle

Lut de

là

Maçonnerie,

surles avantage^

que

l’on doitentirer,etsurlesdevoirs

d’un Mâcon

envers ses FF.*, etén-»

Verkla société. ¹¹

;

Le but

de toutes les associations*

doit être

de

contribuer

au

bonheur' des

hommes} chaque

individu tra-^

taille

au

sien

en

suivantles lois

dé

B

^{société à laqnélle}

8

appartient y én

même temps

qu’ilcoopèreà celui⁵ des autres.

La

F/.

M

^{rie.\ doit avoir-}

fe

même but,

et n’en

peut

avoir d’autre_j; mais tandis

que

ces asso-^

ciationsn’emploient

que

des

.moyens

,yGoogle

(

rvü

f*pt possihjes,

pour

procurer

k

^{T/bs^}

pèce

humaine

la

somme de

félicité

de»t

elle est susceptible dé jouer ^*

pour nous eu

convaincre_r cposidé^

*ons-k

sous les

deux

aspects

d

_e$

obligationsqu'elle

impose

_,et

du bie^

qu’elle fait. _.

>

Ou

assure à

fborpme

qui se

pré^

sente

pour

être admis

aux premier^

mystères de

f Ordre v

^{et avant qj’il}

Ue

^coutraete

aucun engagement

_^

qu$

n’y

s^ea èi^

s_foitcontraire à

k

religion qu’il

pru^

fesse

y^.

aux ^dey<%s

:;à$± sgnyéj^t, ^à:

ceux de

l’ordresocial

^

aux

lois du,

gouvernement

et

aux bonnes mœurs

C’est d’après cette assurance qu’il

projet

d’observer les statuts ma-*

puniques. Et que prescrivent^.?^

DigitïzedbyGoogle

m ^...

,

Statuts?

Rien

antre chose

que ae

bôntribttef’

de

tout son pouvoir II

soulagerles

malheureux

_, à consoler lès affligéspardesconseils salutaires,

par

dessoiltsassidus

, pardes secourt enfin, s'ilséprôiiVent ctesbésoina.

Si

nous

Considéronslebienqu’ellè Tait,

nOus

trouvons

Sabord

cesactes Simples debienfaisance par lesquels

on

soulage l’humanité souffrante, et

^dntexercés’par toutes les

L/.^

ce sontdes

aumônes

individuellesr$-

^andües

feurla"classeindigente

de

la Société

,des pehàotisfaites àde

pau-

vres iamiUee^ desorphelinsnourris-, yêtus ’etjustruits ₍t

y ^{Le M*çou^}

^ ₍1)

Le

O.*. CK*, nous ena donné, toni*

d^enàMèfÀ

encore_\ l^temple_,tft

DigitîzedbyGoogle

(

<4

₎ jtùué des talensoratoires

, trouve

un

plaisir

pur

etdésintéressé

à

défendre Finnocent

opprimé

₅ le

Maçon

puis- santsollicite des grâces

pour

l’hon- nête

homme

dans le besoin

} il rér

clame

la justice

en

faveur

de

çeluj quiestvictimede

F

iniquité.

Tous

les

Maçons

malades_, infirmes

ou mal- heureux

_, reçoiventde leursFrères desvisites

, dessoins etdes consola- tions qui contribuent à allégerleurs peines.

* Voilà les principes

fondamentaux de

la

Maçonnerie

_} celui qui

ne

les

c*

1 " rr ^" ’•^* ;

pe chargeantde ^éducation et deTins-*

truction

du Lowton

DominiqueLorain_>

OFphélin et neuvième'enfantvivant dé feuEtienne Lorain

, Peintre et F.*, à

Jtalensdela.it'*L.% S^-Jçan de

MfU.

r

DigitizedbyGoogle

(*

5 >

pratique pas n’est pasMaçon., il

dey

^roit pas conserver

un

titre qu’il ne,mérite pas de porter_,puisqu’il

ne

Remplit paslesdevoirs qivil

impose

₉ etqu’il s’est imposés

lui-même par

pa premièreobligation.

,

;

Après

avoir tracé très-imparfai-

tement

le

but

de cette institution

j les obligations qu’elle

impose

_^ et le

b^en

qu’ellefait

, je.doisparleraussi des avantage^ qui

en

résultent

pour peux de

ses

membres

qui veulent

en

retirer le fruitetjouir

de

ses bien-;

laits. _r

La douce

ettepdreamitiéqui unit tousles

Maçons^

doit êtreconsidéréq

comme un don du

cield’autant plus précieux

,qu’ilestplusrare.Portons-f

nous un

instant

au

centre

de

.cef assommions qui ont

pour

objet Iq

DigitizedbyGoogle

..

'('*’)

^

îihpidité_,

nous

^les

voyons

IaÉHS <&8£$

troubléesparlajalousie

5ladiscorde

festtoujours prête à

en

détruire

Thaï

¹⁴

morne:

^léserpent

de

l^envie

y ^répand Son

venin empoisonné, ^{et les}

Wes^

suresqu'ilfaitsontincurables.Notri ti’avôns à craindre ni la haine_, ni l’envie

de

la part des

Maçons

₅

W

fraternité quileslie par lesserrAéna lèsplusforts, lespréserve

pour

tou-*

jbursde ces sèntimettè odieux. ^{* •’}

,

1

La

fortune

ne dorme

che* ntaté atrcun privilège_^ la vertu la rew*^

place, et c’est toujours

l’homme

Jé ptrts vertueux qui est le plus riéhe

knos yeux. ^'*

'

tin

Maçon

nedéit jamaiscraindre lebesoin^

partout où

^iltrouve d«s

FF.

^#.

&

est certain de trouver ééè iiûh5s’ilestdansf^dhrétsité¹

,^

^reçrtfc des

DigitîzedbyGoogle

seGfcwri

de ceux

<|uiypar letf*

&rtune

_,«ont en état

de k

soulager^

les consolations

de

ceux. qui, ayantï

txwnine

lui àse plaindre desrigueurs

4ù

^sort_jadoucissent leurs peines^ener

partageant

lessiemles

; lesconseils

y

enfin₇ des

Maçons

sageset éclairés.

Est-il

une

plus bette société

que h:

? sans doute;mais»

pour

jouir

de

oesconsolations salami zèbres,

il&ut

être vraiment

Maçon

ç

ü

faut savoir apprécier les grands:

avantages

quienrésultent; etsidansfe>

nombre

^ils’enrtrouveqhifont

peu

de'

casde V Ordre

danslequelilsont désiré entrer

yc’est qu’ils ne leconnaissent

que trop

superficiellement

yetqu’ils

ne sont

pas asse2 instruits

pour

dis- tinguerlevraisens desallégoriesqniï sae^cesse,seprésententàleursyeusr

B,

DigitîzedbyGoogle

oo

.

è

peine'déaillés et

peu

familiarisés arealalumière

pure

quibrille dans le sanctuaire desvertus. ^-

Quels

sontiesdevoirs d’un

Maçon

envers lapatrie

7 envers la société

,

enversses

IT.v

etenvers lûi-mênie?

*

Ce

point" de l'instruction

^

non

moins

essentiel

que

le précédent y exigeraity

pour en donner une

juste idée,

une

explicationlongue et dé*- taillée₅ mais les bornes

que

je

me

suis prescrites

me

forcent d'être concis. Je tacherai cependantdè

ne

rienlaisser à désirer sur cet objet important.

r

*

^

4

”

' :

' ' •• \î*5

Devoirs enversla patrie.

Le

^premier

hommage de l’homme

Appartient à l’auteur

dè

ses jours

^lè second est

à

la patrie; l’aimer_? la

DigitizedbyGoogle

f

*9)

servir_^ hiï rester fidelle^ tels sOn$

les.principes

maçonniques

_:j

on

ne>

peut, sans être parjure₇s’en écartera

De

la stricteexécution decettepartie

de

nos obligations

7

dépend

^le main**

tiende Tordre

7lé succèset lasûreté

de

nos travaux : cela doit suffire àr

tout

bon Maçon

pour,ne: pas,

y ^dé-

roger.: . i.jr. ; :

' «^• _•:

p

^.

Devoirs

envers la société. .

^

Aider

et secourirInhumanité! estr

Ü

^rien

^de

^plus

^beau

^{? cette action}

ifest-elle pas celle qui rapproche, davantage T

homme

de laDivinité ? C'est

une

partieessentielle de notre" ,

tâche₇ c'est

un

des buts

fondamen-

taux dele;Maçonnerie. v

.

Ne

soyonsjamaissourds àla voix

du

le^soupers

de

Tin^*

B

a

DigitizedbyGoogle

(«O

jbrtoné frappentnos

omitet» vdbM à

^luis;secourons-le

, s'il estpossible^

avant

que

ses sollicitations

ne p

^a**

-viennentjusqu'ànous}

mais que Yoê*

tentation

r

que

l'orgueiln’eiUpoîso»h*^-

Beat

pas

nos

bienfaits

,

üs

eau détroit voientleprix*} évitonslesapplaudi**

mmens 4u vulpi*e,

le

Maçon né

doitchercher

que

le suffrage d<^

$m

conscience etde son cœur.

Aimons

notre prochain

comme nous-mêmes

_,et

ne

faisons jamaisà autrui ce

que nous ne

voudrions

pan

qu'il

nous

fut fait.

Evitonsl'envieetla jalousie_}

qa*

le

bonheur

des autres

ne

produise sur

nous que

l'effet qui résulte

4»

plaisirde voirdesheureux. ^'

Soyons

^affables_, complaisans

?of&-

*àe*x₀

pardonnons

fes

injmmf et

DigitîzedbyGoogle

('**)

net»

voulons

nous en

venger

^qtiece

soit par

un

bienfait; voilà les vnûfc sentiraens

maçonniques

: qu’ilssont

beaux! mais que

leur pratique est

rare! >

Nous

devons cependant des égardè particuliers à nos frères _; ils

ont*

avant lesétrangère,des droitsà

no^

tte amitié_,à notresollicitude:sans

nous

arrêter

au

culte qu’ils profesr-v vent,

à

l’état qu’ilsexercent,

au

pays?

qu’ils habitent,s’ils sont

vertueux

_^

ils

ne

doiventjamais

en

vain

deman-*

der

dessecours.

Mais ne

confondons*

pasle

Maçon

honnête et infortuné avecceluiqui n’emploiecetitre res-*

peotable

que pour

ajouter à l’intérêt;

qu'inspirele

malheur,

etqi\i,jréduitr àlamisère parsou inconduiteetpar seadébauches, court

de

loge

en

loge_^

DigitîzedbyGoogle

(aa)

y

solicite des secours

pour

seplou-*

ger

de nouveau

dans la fange_? et continuer

a mener une

vie

crapu-

leuse.

D

^seroifcàrdésirer

que Y

6

n

prit!

des

moyens

efficaces

.

pour

extirper:

dê Tordre

^cèsêtres

immoraux

qui

eu

sont

Fopprobre

_, etqui nuisent

tou-

joursàsaréputation,

i

Mais

sice

Maçon malheureux

est honnête_rsi lebesoin Taccable, don->

nous- lui tous les secours qui

son*

en

notrepouvoir:;nous avons

promis

d’exercerla bienfaisance enverstous les

hommes

^ exerçons-la

de

ptéfé-^i

rence envers notre frère:si le dan-^

ger le

menace

^volons

à

lui_? et

ne

Craignons pas d’exposer

^ s’illefauty notre vie_^

pour

sauverlasienne. : >

• v ^{- - .JL}

DigitîzedbyGoogle

(*)

Qualités d’un Maçon

_^ et

devoir*

envers lui-méme. <

’

D

^{doit êtte} juste_^ parce

que

l’é^

quité

est lesoutien

du

genre

humain

$

bon

_,parce

que

labonté enchaîne tous lescoeurs

}indulgent

^parce

què

_,foi-

We lui-même

_,il vit avec des êtrea*

aussifoibles

que

lui}

doux

,parce

qua

la doitceùrattire l'affection

}recon-*

aoissant.parce

que

lareoou3aotssanc&

alimenteetperpétue d’heuréuXsou-t Yeüirs

}

modeste

_,parco-quel’orgueil révolte1‘

homme

senséetraisonnable

p

sobre, parce

que

! intempéranceet' lesexcèsdétruiroient

son

être

?et le'

rendroient méprisable_;fidelleàl’au-^

tontelégitime

} parcequ'elleest

né-

cessaire

au

maintien

de

la société

ÿ

soumis

aux

lois

^ parcequ’elles sont l’expression

de

lavplonté publique₅

DigitîzedbyGoogle

c

»«

m ^un

^imot,

^{un bon Maçon}

^{doit éb?0}

époux

fiddle

, père tendre

, maître équitable, citoyen zélé}ildoitservir spa pays par ses forces,ses-talensÿ

son

industrie et sesvertus.' ^{* *}

- Je dois maintenant parler

de

la troisième partie

de

rinstraction

y

^-elfe

traitera

r

--i°

De

^ladescriptionet

de

là dé-i

«oration

de

nos temples, des

emblée

mes

etdesallégories. ^î

/

n° De

lamanière

de

se

présenter qulivet de

^s’ÿcomporter,

de

l'ordre

tpi

doit

y

^régner,

du

respect et do:

In soumission

qüe Ton

dent

aux

ài+t guitaïres.

3°

Des

Visiteurs_, de la

manière dont

ilsdoiventêtre introduits_,def^• précautions à prendre

pour

qu’il

no

puisse point se.pisser de profanes*

dans

lestravaux.

4°

DigitîzedbyGoogle

w

. 4° initiations.

Le

lieu

dè no

^sassembléessenomsiQt

Loge

^:lesopinions sont partagéessur l’originede ce

mot

}maisilsuffira

do

savoir

que

dans tous les pays no?

assemblées se

nomment

ainsi.

On

distingueles L.\ de travail

,

en L.%

d’App.\

,

de Comp.\

et de

$ -ces trois gradesrenferment toutela

Maçonnerie

symbolique.

fl est certain et

même

reconnu

comme

principe dé la constitution

maçonnique

^

que

toutes les L.\

de

l’universn’enforment véritablement:

«qu’uney

dont

les.-

GG.\ OO/. de chaque Gouvernement

sont lespoints iienteaux.

.

C’estpourquoi

,lorsqu'on

deman- de

^quellessont lesdimensions d’une

L*V_$

ondodt

répondre:

yGoogle

c

'

t*6)

«

Sa

^{longueur s’étend de l’orient}

â l’occident

^

sa largeur,

du midi

'.»

au

septentrion^‘.

f

saprofondeur_,

de

’la surface

au

^centre5 sahauteur

,

^

^{délaterrejusqu’au}

^firmament

^».

Manière ^de

^{se présenter et}

^de

^se

comporter en

^Loge. ,

;.

Les

^assemblées

Ma

^{étantdesréu-}

nions respectables_,

on

doit s’y pré- senter d’une manière décente, pro-

prement

vêtu_,ettoujoursdécoré des habits de^l’ordre*t

du

^grade

^que

^l’on

. tient (1).

.

Lorsqu’un

^{F.*, arrive}

en La

^lçe

travaux Ouverts _, ^{il doit s’habiller}

'

(¹) 11 estpourtantlibre aux

MÂ

^qui

possèdent ^lesgrades ^supérieurs, d’être décorés des ^attributs de ceux^qu’il»ont

DigitîzedbyGoogle

C*7)

datisfa

chambre

des pas perdus;

ü

frappe ensuite àlaporte

du Temple

selon le grade qu’on tient

, le

Cou-

vreur lui

répond de

la

même ma-

Yiière,etleF;\frappeencore.D’après l’annonce faite

au

Vénérable

, et la

permission

donnée

parce dernier

,

de

laisser entrer

, le F/.

Couvreur

,

après s’être assuré

que

le F.\ qui désire l’entrée est

Membre de

la

Loge,

^lui

demandé

d’abord le

mot

'depasse

du

grade

, puis le

mot an-

nuel, etlorsque ces

deux mots

lui ontétéfîdellementrendus

,

il

f

intro- duit et le fait placer entre les

deux

Surveillans

,

en

observant qu’il

y

-arrive par les trois pas

du

grade

;

que

deplusilsoit à l’ordre

,etdans

•cet état le F.*, qui se présente doit

«attendre

qne

le Vénérable l’iqter-

Ca

.

*

DigitîzedbyGoogle

Ütogfc ₅ les questions ordinaires

89#

les suivantes:

D. D'ou

Venez-vous

? R. De

la

Logé

St.-J**au.

D. Qui

avez-vou#

vp?

R. Des Maçons-

f

'

D. A

^quoiétoient-ilsocctipës?

R. A

élevée dés temples

à

la

•vertu., et

i

creuser des cachots

pour

les vices.

»D. Qii’apportez-voHS?

f

R.

Joie

, saajté

,prospérité et

bto

accueil

à

i;ouàlesFF.-.

D.

JTapporstei^vous riéûde pfas?

R. Le Vénérable

Vous salpe piM*

troisfois trois. .

On

est libre

de

^{faille telle autre} question

du

catéchisme qu’onveut»

v ; Xie.îVénérable invite ensuite^le,F/.

*à.prendreplace sur l'UU£ de#

deux

(²

9

)

éàfdbéés

ou

à FO.*. sTÎest R.*.G.*.(ï^C

La

^soumission

^aux

^{ordres sapé**}

tiéurs est indispensable à la

bonnë târmonie qui

doit régner dans

nüi

travaux₅l’assembléelaplusrespect fabledégénère

en

licence

,èilaffié**

faréhié

des

pouvoirs

y e^tmécontme^

teotreconfiancea appelélé Chef*qui tidus préside, à la première place

,

nous

devons luiobéir sans muttntr*

fer r èvt son absence_, celui qui* le

fempiaéé

jouit

dë

sesprivilèges

5

mâfe

rie perdons pas de

vue que

_, sans subordination

,

tordre

né peütëxistér

dans un

corps

nombreux

_}

ce

n’est

(1)

U

estrareque l’on fasseces ques- tionsauxR.’. C.*.

, leur grade ne per- mettantpas decroirequ’ilsaientbesoin d’instruction*

DSgifeédbyGoogle

(3o)

pftfseofemeat

an

Président

que

ntmx, devons obéissance

7 c’est encore

à ceux

qui sontchargés de

nous

transe mettre ses ordres_, je

veux

parler des

deux

Surveillant et si

nous ne

devons pas obéissance

aux

autres dignitaires^

du moins

devons-uon*

toute la déférence possible

aux in*

yitatipns qu’ilsnousfont

pour

lebiert

de

l’ordre. ,

*

s^r

Chaque Loge

_j

pour

ainsi dire

^ ^a- ipanière

d

introduirelesVisiteurs

ç le

G/.

O.*,cependant n’en

reconnut

,qu’une

? et la voici. r , .

:

Quel que

soit leur grade.} ils

nç

doivent être introduits qu'après la lecturede laplanche des travaux

de

la dernière assemblée. .

-

le

Vénérable invite alors le,

F

a E

^xpert

^a

^serendre dans la chapifcre

DigitïzedbyGoogle

(*«>

àes

pas pérdus_,

pour

lès t**Leret, leu??

demander

leur

nom

_s ^celdi

leur ^ejt leur certifiça^. ,

H

est

bon

d’engager les

FF/.

Visi-r

teur àsigner leur

nom

$ur

un

papier

détaché

7

<m

sur

un

registre_^ afi$

jqu’ôn presseconfronter leur signai ture avec celle quidoit êtreapposée

sur

lçitr certificat

} leF/.

Expert

,

après avoir remis

au

Vénérable le*

Brefs des Visiteursr rend

compte

à la

Loge

^*

de

la manière dontils ont

répondu

_\leVénérableconsulte_alojtf l’assemblée

,et' s’iln’y apas d’oppQr

sitioti

^il

ordonne de

lesfaire entrer:

doivent^eirentrantdonner

au

F.%

.Couvreur le

mot de

passeet le

mot

^païuel_^ Iprs de;l’iptroducjion^ tous les

FF//

se lèvent et se mettent à

^’ordre_rleVénérable témoigne,,

au*

DigitîzedbyGoogle

t

34

₎

visifèififfe lè plaisir qn’ifa fbflt;atrifc

îtF/.y et lèà iûvite

à

ptëüdrë placé sur les colonne»

ou

le Maître déi -cérémonies les Conduit.

Au moyen

des précautions

^dè fon prend

pbiir' l'kftrdâuctktàL dei

Maçons

étrangère

^ Il

cstbiéu

diffr*

èiléy

pour ne

pasdftè

impO&ible

_y

dé

pénétrerdaàs nos temples

7 Siréelle*

inént

oh

n’estpas initié

^ d’abord

on

éuile

,e’est-à-diréijôlfinterrogecelui tpii sé présentéy^-Stiftla

Aà\

^éfcgéi-

néral

^surlégrade

que lW

^tient_^et

nur

les différèntès cb-eoustaneès

de

sà réception_}

on

exigé

de hü

lésSigne

^

parole

^attouchement

etmotde

pdséey ceci nesuffitpaS encore_yet

un

Ma*-

tàh

instruit

^ tjid répôndreitpâ'rfeî^

bernent à toutes les- questions y nfe Oèroitpas admis à visiter

y s’îln’ést

DigitîzedbyGoogle

(

a*

)

fpAtvtf #tût Bref de

^1*

LogeoB

il

«

^téreçu,

tm du _{G/. 0/1}

_vsurte»

cptel dort êtreapposéesasignature

ne

toaH&tur^

que fou

confronte

ccmmné

iltfétédk

précédemment

:cèttepièce

«#t

de rigueur, et

ne

peutêtre

rem*

placée par

aucune

autfe

9

malgré

tout oëLfy^térVisiteur

ue

seraadmis’qif

en donnant

te tnotannuel_,sans lequel

U

^fiépetitêtre introduit_,puisquec'éét

hA

^{seulqui peut faire distinguer}

ui

îtlaçoerrégulier

dé

ceïaïqui

*e

Pest pas* ^{5 - -}

1 * ' * ’

J - ^’r

-

Ce^éndàut

^l’article

XIV de

laséû*

*ton

Xi dû

chapitre*

Vfl

des règles

*nëm génêPàn± dttG.vO/.,

àutoriSé l’admission

aux

travaux

d’ua

Visiteur

vpd

u’auroit pas le

raotanauelyéil peut

prouver qullluià étéimpossible vdelerecevoir

3

mais

alors

U

doit

dote

.pet le

précédent

DigitizedbyGoogle

(

W)

;<>fl^vsera toujours nécessaire y Ce cas

7 des’assurersice

F.%

esten-*

çore actuellementinscrit surle ta-^

bleau d’une

Loge

régulière} car-il Ce$ée

d

-être

Maçon

régulier,

du mo- peut que

son

nom

n’estpinssurau-*

Can

tableau(i). ^r

, Plusieurs

Loges

se

cxmtententde

l’assertiond’un

M.\ de

l’atelier, qiii attesteavoirassistéàlaréception dit.

Pê% qui

^se présente: cette

marché AOi^erdemeni

est irrégulière

7

mais

tout-à-fait contraire aux. intentions

du Oa.Oa

₇ ^puisqu’ilest"fiart"pos- sible

qu’un

;M;v autrefois régulier

7 sait

devenu

irrégulier par,sa seule

- (1)Cela est conforme a Fartiéle"VI

fr

^{la section II}

^du

^chapitre

XI

des

Siemens

généraux» ^{‘ >}

DigitizedbyGoogle

(.**

i*%ljgence de partager le* .traVâjn*

d'une

liOge régulière. * 5

-

Des

initiations_{* \}

.•L^;L’ordre des F.;* ML*, étant

une

association

d’hommes

sages et ver-^

tueiix^dontl’objet est

de

vivre,dan$*

ujae paarfaiteégalité

,d’être intimer optentunispar les ficus

de

_{l’estime T}^’

ÿe

la confiance

et de

l’amitié _, sonS fa dénomination

de Frère?

_^ et

d$

^exciterlesuns lesautres à la

pra*

tique desvertus,ilest

de

la sagesse^

efcdçl’intérêt

de

toutesles

Loges

_,

dç

réadmettre à

k

participation;

de

npq mystères

que

des sujets dignes

4#

partagertous-cesavantages,,capables

,

Atteindre

le

but

proposé

,et

dont

ellesn’aient point

à

rougir

aux yeus

d^M^cms

^et

dçs^q&çes,

,

^

DigitîzedbyGoogle

(

36

₎

; Àîû&f

^lorsqu’il s’agit

dé

ïfcdmïft^

«iond’on profaste

,la

Loge

doitcoq*

sidérer qu’elleva.

donner un Membre à

l’associationgénérale

, et

un

F.*,

à

fousses

Membres; qu’une

^Ibisadmis,

tôfcislès

M.\

de laterrer

de quelqué

'étàt

ou

conditionqu’ilssoient

^seront

«bMges

de le reconnaître

pour

tel}

que

parconséquentil est autant

dé Thotmeur

defeiLogè

què dé

l’mtérét

dont

elle doit être

animée pour

bt fjlôiréUtla

^

prospérité’

de

W3rch*e^

qîifeèétAspirantsoitdigned’êtrepré- senté à tonsles

M.\

_} il faut enfin

qué

^letémoignagedela

Loge

^luimé*- ffte^:d’êtréaccueillidetollélès

fF/., éomme homme

^vertfcéwx et

commé

léur F.\, qui,

en

cette

double qua-

lités, a droit à léur amitiéla plus intime,

La L.%

se rendant

morale-

DigitîzedbyGoogle

(*7

)

ment

garante envers tous les

M.\

_f

des

qualités

que

cetteadmissiondoit faire

présumer

en IuL

.

•Les

Loges

•et

chacun

des

Membres qui

les

composent^

J9£

peuvent donc

apporter trop de scrupule

^ d'exac- titude et

de

Sévérité

dans

lesinfor-

mations

sur les sujets qui leufsont

présentés. ,

DigitîzedbyGoogle

CATÉCHISME.

À

^{pp/. icr}

GRADE*

D. Êitbs-v

D.

J-àtbs-vous

Maçon

? ^{‘ *}

R, Mes

FF.*,

me

reconnaissent

pour

^tel.

D. Quek

est le

premier

devoir ;

des

SS/

^.

en

L.\?

R.

C’est

de

s’assurersila 1.*.est couverte.

Faites-vous enassurer_,

mon

F/.

D.

Qu’est-ce

qu’un M.\

^?

R.

^C’est

un homme

libre_, égalé- ^.

ment ami du pauvre

et

du

^riche₁

e’ilssont vertueux.

,yGoogle

t 3

9

)

D. Que

venez-vousfaire

en

t.'.?

R.

Vaincre

mes

passions

, sou-

mettre mes

volontés

,et faire

de nou- veaux

progrès dans la

M.%

D. Où

avez-vousétéreçu?

R. Dans une

L,\ juste et par- faite.

D. Que

faut-il

pour

qu’une Jj.%

soit juste et parfeite?

R.

Trois la gouvernent_, cinqla

composent

_? et sept la rendentjuste et parfaite.

D. Depuis quand

^êtes-vous

M.%?

R.

-Depuis

que

j’aireçulalumière.

D. A

quoi reconnoîtrai- je

que

vousêtes

M.%

?

R. À mes

signes

,paroles etàttpu- chemens.

D. Comment

séfontles signesd$0

MM.%?

DigitîzedbyGoogle

(

4p

₎

R.Par

équerre

,niveauet

perpen-

diculaire. _;

J).

Donnez-moi

^lesigpe d’Àpp.*.

R.

₍

On

le

donne).

D.

Quesignifie cosigne?

-R.

Que

|e .préférerois avoir la gorge

coupée,

à révéler le sqçjreft

•des

MM-y

^•

D. Donnez-moi

TÀtjU%

;

R.

i(Qfrledonne).

t-

P. Doimez-éiei

_{itperofe? ,}

R.

Je

ne

sais nilire, ni écrire

, }£

de saisqu’épeler_}dites-*noi la pF^e.\

lettre

,je

vous

dirailas^V.J4>

t

D* -Que

^igxnfiece

mot?

.

R. J/a force

est e

&

^.

JHeu^

c’dtQÿt

4e nomd’une

cofryine d’airaip,,placée

au

septentrion

du T emple

.

de

Salor

«*o n

, auprès

de

laquelleles

Àpp.\

recevaient leursalaire»

P.

DigitîzedbyGoogle

' ' D."^:Dôfcnèz

- moi

le

mot dé

pose»

'^TApp.%

CR. (

On h ^dônr&y

D. Que

signi£të<4-il?

1

R.

C’est

leuom

de' ceîul des fib

êç tamfech

_, quiinvental’art

Re

tra- vailler les

métaux*

D. Pourqucî vous

êtes-vous fait

recevoir ML*. ^{' .. ' ?}

R.

Parcecfuej^étêisdansles ténè- fefcs,et qUef

j’aiRésîré Voir la lumière.

ÏK Qui

vêtis'aprésenté¹en

L.v

?

>-

R. Un ami vertueux que

^j’ai

en-

suite

reconnu pour

F.*;

—

^{- ’•}

Di

DariàqueLétàtétiez-vous

quand

tonvousaprésenté

en

L*.? - -

Ri nu,

ni véttfj;mais dans

un

celât décentetdépoifrvu

de

tous mét-

aux.

^{:1 : • ' • r} ; ;

•

Jh Pomquoi dànt

végétât?

—

¹

D

{ ^4*

IX

WL Ninu^ niqétu^ pour

nombre*- présenterl’état d'innocence

,etpftû?

nous

rappeler"

que

laVertu n’a

pas

besoind’ornement_ç

dépxmrvu de

tous

métfLUX^

parcequ’ilssofat

l’emldéme

ét souventl’occasion des vices

qUe

le

M<\

doitéviter-

*

D. Comment

avez-vousété intro- duit

en

L.\?

jR»

Par

troisgrands coups-

R. Que

^signifientçestrois

coups?

R _{Demandez y} ^vous

recevrez }

.cherchez

^vous trouverez

^frappez_^ et l’onvous ouvrira.

v

>

J;

D. Que

vous ont produit cestrois coups ? ^•

. ;

j

R. Un Expert

qui

mîa demandé mon nom

_^

mon suniomyinon

^âge-,

mon

pays

,

mon

état

^ et si c’éto^t bien

mavolonté

_* d’étrereçuJtfr.y

"

i

*” *

DigitïzedbyGoogle

143)

D. Qu’a

.fait

4

^{e ^ous le}

Fr.

Ex-*

pert? : ..

r

R.

Il

m’a

introduit

en LV-

entre les

dçux

SS.".•) et

m’a

faitvoyager

comme un App.\

doitle faire_,afin

de me

faire conuolireles difficultés,

qu’on

rencontre

pour

devenir

M.\

^' :

vD.

Que

^{vousest-il arrivé,ensuite?}

R.

Le

M.*. delaL...m’a.,

du con-

sentement,

unanime

des FF.*., reçu

M?.

Di Comment

vous a-t-ilreçu^{?^}

R

_f

Avec

toutes les formalités rch quises.

D.

Quelles sont ces formalites?

R.

Pavois le

genou

droit sur

‘réquerrer^la

main

droite surle glai- ve_}jetenoisde la gauche

un compas

ouvert

en

équerre_,lapointe

appuyé©

surla

mamelle

gauche

,quiéjtoitnue,

:

d %

DigitîzedbyGoogle

,/

- ;S

î). Qti'avéz-voùs fait daüs cette

postnrçP ^-

ït.j'aiprêtél'obligationde garder les Secrets

de tôrdre.

B.

Qn'avez-votis

Yù

lorsque

Vous

êtes entréen t/.?

ït

Rien

,ir.-.V.\

D. Qu'avez

-votis

vu

lorsqu’on

Vous

a

donné

la lumière?

ït. J'ai

vu

le soleil^ ïa lune

^ et le

M.\

delaL*.

ÏX Quel

rapport

peUt-ily

avoir

•entrecesastres et lé

M.\

delà

t

^*.? ït.

Comme

^{le soleil,} préside inü

jour,etlaluneà la

mut

_,^de

même

le

M.\

préside à ^là

L*. pour

Péclaïrer.

D. Où

^{setient leM.*.delà Ïj.%?}

ït.

À

^l'O.-.

D. Pourquoi?

ït.

De même que

le ^soleilse ï&Yé

DigitïzedbyGoogle

•

U ⁵⁾

ù

PO.*.

pour

ouvrir la carrière

du

jour, ainsi le

M.\

se tient à ï’0.\

pour

ouvrirlaL.\

, éclairer les tra-

vaux

et«lettrelesouvriers

en

œuvre*

B. Où

setiennentles SS**.?

R. A

l’Occ.%

D. Pourquoi

?

R. Pour

aider le V.^-. dans ses travaux

,

payer

les ouvriers et les renvoyercoûtent

D. Où

^{setiennentles}

Àpp.%?

R. Au

septentrion, parce qu’ils

ne peuvent

soutenir qu'une foible lumière.

D. Comment

s’appellevotreL/*?

R, La

L.*. St.-Jean.

DigitizedbyGoogle

T

DigitîzedbyGoogle

DigitizedbyGoogle