• Aucun résultat trouvé

J. VON KOWALSKI. — Beiträge zur Kentniss der Luminescenz (Contribution à l'étude de la luminescence). — Bulletin de l'Académie des sciences de Cracovie, octobre 1908

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "J. VON KOWALSKI. — Beiträge zur Kentniss der Luminescenz (Contribution à l'étude de la luminescence). — Bulletin de l'Académie des sciences de Cracovie, octobre 1908"

Copied!
3
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00241586

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241586

Submitted on 1 Jan 1910

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

J. VON KOWALSKI. - Beiträge zur Kentniss der Luminescenz (Contribution à l’étude de la

luminescence). - Bulletin de l’Académie des sciences de Cracovie, octobre 1908

G. Roy

To cite this version:

G. Roy. J. VON KOWALSKI. - Beiträge zur Kentniss der Luminescenz (Contribution à l’étude de la luminescence). - Bulletin de l’Académie des sciences de Cracovie, octobre 1908. J. Phys. Theor.

Appl., 1910, 9 (1), pp.719-720. �10.1051/jphystap:019100090071901�. �jpa-00241586�

(2)

719

cement par Zn de Ag de ClAg et le fait que le courant électrique peut décomposer ClA g en suspension dans l’eau acidulée. L’auteur termine ce chapitre par une digression sur certains cas curieux de déplacement signalés par Raoult.

~

CHAPITIiE 1°1. - Dans ce dernier chapitre, l’auteur étudie ce qu’il appelle la vitesse de déplacement, c’est-à-dire la masse du métal

déplacé M’ par une surface de 1 centimètre carré du métal déplaçant

o

~~1 et pendant l’unité de temps: après de nombreux essais, il a été

conduit à abandonner un premier mode opératoire dans lequel la

surface agissante du métal 1B1 était verticale ; avec un second mode

opératoire dans lequel la surface agissante du métal M était horizon-

tale et dans lequel il déterminait directement la masse du métal ~V1.’

déplacé, l’auteur a obtenu des résultats qui l’ont conduit à des courbes qui sont des lignes droites; la nature de ces courbes cons-

titue une nouvelle preuve de la nature électrolytique du phénomène

du déplacement ou tout au moins de la deuxième phase de ce phé-

nomène. L’auteur a montré ensuite, par un graphique, que la varia-

tion, avec la concentration, de la vitesse de déplacement ne suit pas la même loi que la variation de la conductibilité des solutions sou-

mises à l’expérience dans le cas particulier du déplacement par Zn

du Cu de S04CU.

,

J.

VON

KOWALSKI. 2014 Beiträge

zur

Kentniss der Luminescenz (Contribution à

l’étude de la luminescence). 2014 Bulletin de l’Académie des sciences de Cracovie, octobre 1908.

On peut classer sous la dénomination très générale de luminescence tous les phénomènes lumineux dont la cause n’est pas due au rayon- nement normal provoqué par une élévation de température. Les

anciennes théories sont en contradiction avec le fait expérimental que la loi de Stokes n’est pas toujours exacte.

L’hypothèse de la discontinuité de l’énergie lumineuse, adoptée

par Planck et Einstein, a toujours conduit ce dernier à la loi de Sto-

kes ; il a bien cherché les conditions dans lesquelles un écart à cette

loi pourrait se produire ; mais aucune de ces conditions ne paraît

exister dans les cas bien typiques des expériences de Nicols et

~1erritt.

Tout en admettant l’hypothèse d’Einstein, l’auteur a imaginé une

théorie corpusculaire des matières luminescentes, déjà exposée par

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019100090071901

(3)

720

lui en 1906 (4) ; elle trouve une confirmation dans les phénomènes présentés par les substances radio-actives et son analogie avec les

théories qu’elles suscitent. Peuvent devenir luminescents des corps contenant à la fois des groupements électrogènes et des groupements lumini~hores. Les électrons mis en liberté par les électrogènes, doués

d’une énergie supérieure à celle qui a provoqué leur libération, agis-

sent sur les luminiphores pour mettre en vibration leurs électro ns.

Ceux-ci prennent alors leur période propre et une illumination

caractéristique dont l’intensité seule dépend de l’énergie absorbée.

L’augmentation de conductibilité pendant la luminescence serait en

relation avec cette émission d’électrons. La théorie n’exclut pas l’illu- mination directe des luminiphores sous l’action des radiations lumi- neuses, auquel cas la loi de Stokes reste exacte.

Il a étudié plus particulièrement la thermoluminescence produite

par l’action des rayons de Rôntgen, sur le tungstate de calcium puri-

fié ou contenant des proportions très faibles de bismuth, d’argent ou

de nickel. Les échantillons maintenus à la température de l’air liquide étaient soumis à l’action des rayons de Rôntgen ; puis on les

laissait se réchauffer, en les examinant, dans l’obscurité. On obser- vait, dans les échantillons additionnés de métaux étrangers seule-

ment, une illumination dès le début suivie d’une extinction complète, puis une nouvelle illumination à une température plus élevée.

La première illumination a toujours lieu à la même température, quelle que soit l’impureté ajoutée et sa proportion ; la seconde se

produit au contraire à des températures variables avec la nature du

métal additionné : entre

-

137° et

---

132° pour les préparations con-

tenant du nikel, entre

-

i17° et - it2° par l’additiond’argent, entre

-

108° à-98° pour celles qui contiennent du bismuth, vers

-

92°

pour la schéelite naturelle.

Dans la théorie énoncée, la première illumination serait due aux

luminiphores de la substance pure et la seconde aux luminiphores

des impuretés.

G. ROY.

(’-) J. de Phys., 4s série, t. VI, p. 729 ; i90’7.B

Références

Documents relatifs

europil°ére dans du sulfure de chaux, nous avons obtenu ut. Garnier et moi, un corps phosphorescent qui montre à diffërentes températures une durée diffé- rente

Quand on considère que ces flammes sont observées à travers la flamme bleuâtre du bec hunsen, et que les couleurs sont de plus modifiées par les

de luminescence et ses variations avec la concentration d’azote dans les gaz

métalliques identiques plongeant dans le même électrolyte : ce qui différe, c’est la quantité d’air contenu dans l’électrolyte au voi- sinage des deux

Serge Nikitine, René Reiss. Luminescence de lames minces de CuI aux très basses températures.. Différentes méthodes ont été utilisées pour la préparation de ces couches

- Contribution à la théorie de l’endosmose électrique et de quelques phénomènes corrélatifs (Bulletin de l’Académie des Sciences de Cracovie; mars

un spectre visible, en écrasant les cristaux dans l’angle d’un flacon carré, derrière la fente d’un spectroscope. J’ai combiné pour ces études de luminescence

foetida (DC.) Braun-Blanquet — Tristel ob Gabi, in einer kleinblättrigen Form : var. brevifolia Andersson, det.. sessiliflora Salisb.) — Gondo : an der Grenze auf der rechten