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Les occupants de résidences principalesen Pays de la Loire au 1er janvier 2013

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(1)

Septembre 2014

Les occupants de résidences principales

en Pays de la Loire au 1er janvier 2013

n° 127

(2)
(3)

- 3 -

Sommaire

Les principaux enseignements P 4

I – Généralités sur le nombre des ménages et leur évolution P 7

I – 1 Le nombre des ménages au 1er janvier 2013 P 7

I – 2 Évolution générale du nombre des ménages P 7

II – L’âge des ménages P 10

II – 1 L’âge des ménages au 1

er

janvier 2013 P 10

II – 2 Évolution de l’âge des ménages par tranche d’âge P 12 II – 3 Âge des ménages et statut d’occupation en 2013 P 13

II – 4 Âge des ménages et type de logement en 2013 P 15

II – 5 Âge des ménages et période de construction en 2013 P 17 II – 6 Âge des ménages et nombre de pièces occupées en 2013 P 18

III – La composition familiale et le nombre d’occupants des ménages P 19 III – 1 La composition familiale et le nombre d’occupants au 1

er

janvier 2013 P 19 III – 2 Évolution du nombre et de la taille des ménages selon la composition

familiale P 24

III – 3 Composition familiale et statut d’occupation en 2013 P 26 III – 4 Composition familiale et type de logement en 2013 P 27 III – 5 Composition familiale et période de construction en 2013 P 27 III – 6 Composition familiale et nombre de pièces occupées en 2013 P 28

IV – Le revenu des ménages occupants P 30

IV – 1 Les niveaux de revenus au 1

er

janvier 2013 P 30 IV – 2 Évolution générale du revenu brut moyen et du nombre de ménages

au regard des plafonds HLM de ressources P 35

IV – 3 Revenus en fonction de l’âge en 2013 P 36

IV – 4 Revenus en fonction de la situation familiale en 2013 P 37

IV – 5 Revenus et statut d’occupation en 2013 P 38

IV – 6 Revenus et type de logement en 2013 P 40

IV – 7 Revenus et période de construction des logements en 2013 P 41

IV - 8 Revenus et taille des logements en 2013 P 41

V – Les conditions d’occupation des logements P 44

V – 1 Les conditions d’occupation au 1

er

janvier 2013 P 44 V – 2 Évolution de la sur – occupation entre 2007 et 2013 P 45 V – 3 Les facteurs de risque de sur – occupation en 2013 P 45

* * * * * * * * *

ANNEXE 1 – Source et définitions P 49

ANNEXE 2 – Zoom sur les 7 principales villes de la région P 50

- Zoom sur Nantes P 53

- Zoom sur Angers P 55

- Zoom sur Le Mans P 57

- Zoom sur Saint-Nazaire P 59

- Zoom sur Laval P 61

- Zoom sur La Roche-sur-Yon P 63

(4)

Les principaux enseignements

Au 1er janvier 2013, la région des Pays de la Loire compte 1 555 807 ménages

La région des Pays de la Loire héberge 1 555 807 ménages fiscalement indépendants. La Loire-Atlantique en concentre un peu plus de 36 %, la Vendée et le Maine-et-Loire comptent chacun pour environ 20 %, la Sarthe et la Mayenne pour respectivement un peu moins de 16 % et de 9 %.

60,0 % des ménages régionaux résident dans une des sept principales aires urbaines, dont 23,7 % dans une des sept principales communes centres, parmi lesquelles 8,5 % à Nantes, 4,1 % à Angers et 4,4 % au Mans. Les banlieues de ces sept villes accueillent 15,2 % des ménages ligériens, leurs périphéries, 21,1 %. Les villes petites et moyennes en rassemblent 10,1 %, l’espace rural, 24,1 % ; 5,8 % des ménages habitent une commune littorale.

Entre 2011 et 2013, un rythme de croissance de 1,31 % par an, en hausse et relativement élevé

Après avoir été très soutenu, compris entre 1,4 % et 1,7 % par an tout au long de la décennie 1999-2009, le rythme de croissance du nombre de ménages avait beaucoup fléchi en Pays de la Loire en 2009 - 2010, tombant à 0,97 %.

Il se redresse à 1,31 % en 2011 - 2012.

Par ailleurs, depuis (au moins) 12 ans, les rythmes de croissance successifs du nombre des ménages des Pays de la Loire évoluent parallèlement à ceux de l’ensemble de la France (métropolitaine) en demeurant plus élevés. En particulier, l’écart annuel de + 0,30 point caractérisant 2011 - 2013 est proche de la moyenne sur 12 ans.

Le rythme de progression observé en Pays de la Loire entre 2011 et 2013 correspond à un supplément annuel moyen de 19 979 ménages. Cette variation ne prend pas en compte les ménages fiscalement rattachés.

Une vigoureuse reprise en Loire-Atlantique et dans les banlieues des principales agglomérations

Entre les 1er janvier 2011 et 2013, c’est en Loire-Atlantique que le rythme de croissance du nombre de ménages a été le plus élevé (1,75 %), précédant la Vendée (1,52 %), le Maine-et-Loire (1,07 %), puis la Sarthe (0,72 %) et la Mayenne (0,60 %).

Les banlieues des principales agglomérations connaissent un rythme de progression sans précédent (2,06 % par an contre 1,27 % entre 2009 et 2011), rythme qui devient ainsi supérieur à celui des périphéries (1,63 % contre 1,82 %). Les villes centres bénéficient aussi d’un certain regain d’attractivité (1,08 % contre - 0,18 %). Globalement, le rythme annuel de croissance dans les principales aires urbaines remonte à 1,51 %, après être tombé à 0,87 % entre 2009 et 2011. Il repart également à la hausse sur le littoral (1,63 % après 1,18 %).

En revanche, il continue d’être plus faible dans les villes moyennes (0,63 %) et dans le « rural pur » (0,56 %), et recule très nettement dans le rural sous influence urbaine (1,09 % contre 1,41 % entre 2009 et 2011 et après avoir été compris entre 1,8 % et 2,3 % entre 1999 et 2009).

Une croissance du nombre des ménages essentiellement alimentée par les plus de 60 ans

Entre 2011 et 2013 en Pays de la Loire, la moyenne d’âge du référent ménage, passée à 54,4 ans, est en progression de + 0,32 an. Le vieillissement est moins marqué en Loire-Atlantique ; il l’est davantage sur la Sarthe, la Mayenne et la Vendée qui renforcent ainsi leur spécificité de départements plutôt « âgés ». Il demeure particulièrement substantiel sur le littoral. Néanmoins, s’il se poursuit, ce processus de vieillissement est ralenti (+

0,43 ans entre 2009 et 2011, période de vieillissement « record »).

Le vieillissement des ménages conjugue diminution absolue du nombre des moins de 40 ans (apparue entre 2009 et 2011) et progression des plus de 60 ans (continue mais plus marquée depuis 2005).

Le ralentissement du processus résulte surtout d’une moindre baisse du nombre des moins de 40 ans.

Des couples avec personnes à charge surtout dans les zones peu urbanisées, les ménages isolés principalement dans les zones urbaines

Bien que leur part soit légèrement inférieure à la moyenne nationale, les ménages « isolés » comptant un seul adulte sans personne à charge représentent 31,5 % de l’ensemble des ménages ; avec personne(s) à charge (« monoparentaux vrais »), leur proportion est de 6,0 % (+ 0,6 point par rapport à 2011). Ces ménages sont fortement implantés dans les villes, principales ou non, ainsi que sur le littoral, lorsqu’ils sont sans personne(s) à charge, dans les villes principales lorsqu’ils en ont.

Les couples avec personne(s) à charge (28,5 % des ménages) sont surtout présents dans le péri-urbain (périphéries, rural sous influence urbaine dans une moindre mesure), beaucoup moins dans les centres et sur le littoral. Les couples sans personne à charge (34,0 %) sont nombreux sur le littoral et dans le rural pur. Ils le sont moins dans les centres.

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- 5 -

Des ménages plus grands dans les zones péri-urbaines, plus petits dans les villes centres et sur le littoral En Pays de la Loire, la taille moyenne des ménages est de 2,35 occupants. Cette taille varie selon les départements de la région entre 2,33 (Sarthe, Vendée) et 2,40 (Maine-et-loire).

Les ménages de 1 personne représentent un petit tiers des ménages ligériens (31,5 %), les ménages de 2 personnes un autre tiers (33,3 %), les ménages de 3 personnes ou plus le dernier (gros) tiers (35,2 %), à raison de 13,3 % de ménages de 3 personnes, 14,0 % de ménages de 4 personnes, 6,0 % de ménages de 5 personnes et 1,8 % de ménages de 6 personnes ou plus.

Si à l’échelle des départements ligériens, la structure par taille des ménages se révèle relativement figée, ce n’est plus du tout le cas à celle des territoires. En effet, la proportion des ménages de 1 personne varie entre 22,2 % des ménages (périphérie des agglomérations) ou 25,8 % (rural sous influence urbaine) et 44,4 % (centres des grandes agglomérations). Les ménages de 2 personnes sont relativement peu présents dans les centres (29,1 %) mais fortement dans le rural « pur » (37,3 %) et plus encore sur le littoral (39,9 %). Les ménages de 3 personnes ou plus sont peu présents sur le littoral (24,0 %) et dans les centres (26,5 %), mais le sont bien davantage dans le rural sous influence urbaine (39,6 %) ainsi que dans les périphéries (44,5 %) voire les banlieues (36,8 %) d’agglomérations.

Le nombre moyen d’occupants par logement est le reflet logique de ces différentes structures : 2,06 et 2,07 occupants dans les centres des principales agglomérations et sur le littoral, puis 2,23 dans les villes moyennes, 2,32 dans le rural pur, 2,40 dans les banlieues, 2,51 dans le rural sous influence urbaine, 2,63 dans les périphéries.

Des ménages isolés, surtout monoparentaux, en forte progression, notamment en couronne des principales villes

La période récente se caractérise par une poussée du nombre de ménages isolés.

En particulier, entre 2011 et 2013, les ménages isolés sans personne à charge représentent pratiquement la moitié - 49,5 % - des nouveaux ménages, les ménages isolés avec personne(s) à charge, 15,1 %. Leurs rythmes de croissance annuelle respectifs sont de 2,1 % et 3,4 %.

Parallèlement, les rythmes de croissance annuelle des couples sont de 0,6 % et 0,9 % selon qu’ils hébergent ou non des personnes à charge.

L’impact de la croissance du nombre de ménages isolés sans personne à charge est particulièrement important dans les principales agglomérations, en particulier leurs banlieues, et sur le littoral.

Plus relatif car portant sur des effectifs moindres et en raison d’un rythme légèrement infléchi en 2011 - 2012, l’impact de la croissance des ménages monoparentaux est surtout manifeste sur l’ensemble de la couronne des principales agglomérations.

La taille moyenne des ménages ligériens (2,35 occupants) continue de diminuer (- 0,015 entrer 2011 et 2013).

Cette baisse est plus spécialement prononcée dans les banlieues et sur le littoral. Le processus est cependant ralenti.

La diminution de taille provient de ce que les rythmes de croissance du nombre des ménages sont assez étroitement et inversement liés à la taille des ménages : s’agissant de la période 2011 – 2013, ils sont de 2,1 % par an pour les ménages de 1 personne, 1,4 % pour les ménages de 2 personnes, 0,5 % pour les ménages de 3 personnes, 0,9 % pour les ménages de 4 personnes, 0,1 % pour les ménages de 5 personnes, -2,5 % pour les ménages de 6 personnes ou plus.

Le ralentissement du processus de diminution provient d’une amorce de retournement de situation pour les plus grands ménages : arrêt de la diminution du nombre des ménages de 5 personnes et plus et tendance à l’amplification du rythme de croissance pour les ménages de 4 personnes.

Une forte proportion de revenus intermédiaires (ménages éligibles sous conditions au logement locatif social)

Au 1er janvier 2013, le revenu brut moyen des ménages fiscaux des Pays de la Loire s’établit à 35 812 €.

La Loire-Atlantique est le seul département de la région offrant un revenu brut moyen (37 984 €) supérieur à la moyenne nationale de province (36 157 €). On relève d’importantes différences d’un type de territoire à l’autre, entre le rural « pur » (30 348 €) et la banlieue des principales agglomérations (41 367 €).

Les Pays de la Loire se caractérisent par une part relativement faible de ménages percevant des ressources inférieures à 60 % des plafonds sociaux, à ce titre susceptibles de bénéficier d’un logement social, et par une part également faible de ménages aux ressources supérieures à 130 % des plafonds, qui ne peuvent en principe revendiquer de logement social.

Les ménages de revenus intermédiaires pouvant accéder au logement social sous conditions - qui correspondent aux tranches 60 % à 130 % des plafonds sociaux - sont par conséquent nombreux dans la région. Ils y correspondent à 51,4 % des ménages contre 45,8 % sur la France métropolitaine.

Les revenus moyens des ménages ligériens présentent par ailleurs les caractéristiques suivantes : o en progression entre 2011 et 2013 (en raison des revenus perçus en 2011) ;

o offrant des contrastes très importants selon les tranches d’âge (maximum entre 40 et 59 ans) ;

o élevés chez les propriétaires, surtout s’il s’agit de ménages en couples, faibles chez les locataires sociaux, surtout isolés.

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Plus de locataires – surtout dans le secteur privé – chez les moins de 40 ans ; plus de propriétaires ensuite jusque 75 ans

La part des propriétaires occupants, 66,3 % des ménages de la région, augmente de façon continue et puissante avec l’âge au détriment de celle des locataires, sociaux et surtout privés : elle passe de 5,4 % des ménages de moins de 25 ans à 46% dès la tranche 25 – 39 ans, puis à 68 % des 40 - 59 ans, pour approcher 80 % parmi les plus de 60 ans.

Principalement en Vendée, de très nombreux ménages propriétaires occupants avant 40 ans …

En Pays de la Loire, 41,8 % des ménages de moins de 40 ans sont propriétaires du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale ; sur l’ensemble de la France métropolitaine, cette part n’est que de 34,0 %.

Cette particularité régionale est d’abord mais non exclusivement due à la Vendée, dont 49,8 % des ménages de moins de 40 ans sont propriétaires.

Cette précocité d’accession des ménages ligériens à la propriété va de pair avec celle du logement individuel.

… mais un taux en diminution dans toutes les tranches d’âge inférieur à 75 ans

Cependant, seuls les ménages de 75 ans et plus voient leur taux de propriétaires occupants augmenter entre 2011 et 2013.

Une ancienneté de construction fortement corrélée avec l’âge des ménages propriétaires

23,4 % des ménages ligériens occupent un logement construit avant 1915, 29,2 % un logement construit depuis 1990, 47,4% un logement d’ancienneté intermédiaire (1915-1989).

L’analyse de la répartition des ménages âgés de plus de 25 ans, spécialement des propriétaires occupants, en fonction de l’âge du logement occupé, révèle un « effet de génération ».

Ainis la proportion des ménages de 25 à 39 ans est-elle particulièrement élevée dans le parc construit à partir de 2000, celle des ménages de 40 à 59 ans dans celui de la période 1982 – 1999, celle des ménages de 60 à 74 ans dans le parc érigé entre 1968 et 1981. La part des ménages âgés de 75 ans ou plus est nettement plus élevée parmi les logements dont la construction est antérieure à 1968.

Une forte incidence de la composition familiale sur les caractéristiques des logements occupés

Plus de 75 % des ménages en couple, qu’ils aient ou non des personnes à charge, sont propriétaires occupants de leur logement ; cette proportion de propriétaires occupants tombe à 50 % parmi les ménages isolés sans personne(s) à charge et à 34 % parmi ceux d’entre eux qui ont au moins une personne à charge.

Les ménages, essentiellement les couples ayant des personnes à charge occupent plus volontiers des logements individuels et de construction récente ; les adultes vivant seuls et sans personne à charge vont davantage vers les logements anciens mais privilégient également, en proportion plus faible il est vrai, les logements individuels.

Le lien entre taille du logement et nombre d’occupants du ménage

La taille du logement occupé dépend certes du nombre d’occupants, mais la localisation, la composition familiale et le niveau de revenus ont de surcroît une incidence non négligeable.

Un très faible niveau de sur-occupation dans la région

La sur-occupation se révèle peu importante en Pays de la Loire. Pour 10 000 ménages, on y compte en effet en moyenne 107 ménages en surnombre au regard de la capacité du logement occupé, contre 290 pour l’ensemble de la France.

De surcroît, la diminution du nombre de ménages en situation de sur-occupation se poursuit quoique très ralentie en Pays de la Loire (- 3 % entre 2011 et 2013 - alors que le nombre de ménages hors situation de sur-occupation a progressé de 2,7 %).

Le risque de sur – occupation est amplifié par diverses situations, notamment lorsqu’elles se conjuguent. Pour les ménages concernés, le nombre d’occupants est évidemment un facteur essentiel mais non exclusif d’exposition.

Mais l’importance des effectifs en âge d’être actifs, avec des revenus inférieurs à 60 % des plafonds HLM, le statut de locataire, particulièrement dans le parc privé, l’habitat en logement collectif et ancien (antérieur à 1967), constituent autant de facteurs de nature à majorer le risque de sur-occupation.

(7)

- 7 -

I - Généralités sur le nombre des ménages et leur évolution

I – 1 Le nombre des ménages au 1

er

janvier 2013

Au 1er janvier 2013, la région des Pays de la Loire compte 1 555 807 ménages fiscaux, soit 5,70 % des ménages de France métropolitaine

Parc 2013 Loire-

Atlantique Maine-et-Loire Mayenne Sarthe Vendée Région

nombre 564 655 330 234 130 207 243 844 286 867 1 555 807

part régionale 36,3% 21,2% 8,4% 15,7% 18,4%

La région des Pays de la Loire compte 1 555 807 ménages fiscaux occupant 1 611 766 résidences principales. La différence de nature fiscale entre ces deux concepts signifie que 55 959 résidences principales sont en réalité occupées par une ou des personnes fiscalement rattachées à un autre ménage (étudiants pour la plupart, ce qui explique qu’une part importante de l’écart est imputable aux villes d’enseignement supérieur).

La Loire-Atlantique occupe la 9ème place nationale pour le nombre de ménages et concentre ainsi 36 % de ceux de la région. La Vendée et le Maine-et-Loire en représentent chacun environ 20 %. La Sarthe et la Mayenne hébergent respectivement 15,7 % et 8,4 % des ménages ligériens.

Parc 2013 Centres Banlieues Périphéries Villes moyennes

Rural sous influence

urbaine

Rural "pur" Littoral

nombre 368 800 236 062 328 528 157 276 337 729 37 601 89 811

part régionale 23,7% 15,2% 21,1% 10,1% 21,7% 2,4% 5,8%

60,0 % des ménages régionaux résident dans une des sept principales aires urbaines, dont 23,7 % dans une des sept principales communes centres d’aire urbaine de la région1, parmi lesquelles 8,5 % à Nantes, 4,1 % à Angers et 4,4 % au Mans. Les banlieues de ces sept villes en regroupent 15,2 %, leurs périphéries, 21,1 %. Les villes petites et moyennes rassemblent 10,1 % des ménages. Le rural, essentiellement polarisé par une ville petite ou moyenne ou multipolarisé, en rassemble un peu plus de 24 %, tandis qu’un peu moins de 6 % des ménages habitent une commune littorale.

I – 2 Évolution générale du nombre des ménages

Entre 2011 et 2013, 19 979 ménages supplémentaires par an, soit un rythme annuel de croissance de 1,31 % qui demeure relativement élevé

Après avoir été très soutenu, compris entre 1,4 % et 1,7 % par an, tout au long de la décennie 1999-2009, le rythme de progression du nombre de ménages ligériens avait beaucoup fléchi entre 2009 et 2011, tombant à 0,97 %. Il est reparti à la hausse entre 2011 et 2013, se situant à 1,31 %.

Depuis (au moins) 12 ans, les rythmes de croissance successifs du nombre des ménages des Pays de la Loire évoluent parallèlement à ceux de l’ensemble de la France (métropolitaine) et demeurent plus élevés. En particulier, l’écart annuel de + 0,30 point caractérisant la période 2011 - 2013 est proche de la moyenne sur 12 ans.

Le rythme de progression observé en Pays de la Loire entre 2011 et 2013 correspond à un supplément annuel moyen de 19 979 ménages. Cette variation ne prend pas en compte les ménages fiscalement rattachés.

0,4%

0,8%

1,2%

1,6%

2,0%

2,4%

1999 - 2001

2001 - 2003

2003 - 2005

2005 - 2007

2007 - 2009

2009 - 2011

2011 - 2013

France métropolitaine Pays de la Loire Loire-Atlantique Maine-et-Loire

Mayenne Sarthe

Vendée

Taux de croissance annuel moyen du nombre de ménages

1 Nantes, Angers, Le Mans, Saint-Nazaire, Cholet, Laval, La Roche-sur-Yon

(8)

Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

Une vigoureuse reprise en Loire-Atlantique

Entre les 1er janvier 2011 et 2013, c’est en Loire- Atlantique que le rythme de croissance du nombre de ménages a été le plus élevé (1,75 %), précédant désormais la Vendée (1,52 %). Ces départements sont à ce titre positionnés aux 8ème et 11ème rangs nationaux ; ils continuent de devancer le Maine-et-Loire (1,07 %), puis la Sarthe (0,72 %) et la Mayenne (0,60 %).

Une croissance supérieure à 2 % dans les banlieues Les banlieues des principales agglomérations connaissent un rythme sans précédent de progression du nombre de leurs ménages (2,06 % par an contre 1,27 % entre 2009 et 2011), rythme qui devient ainsi supérieur à celui - en baisse - des périphéries (1,63 % contre 1,82 %). Les villes centres bénéficient d’un certain regain d’attractivité (1,08 % contre - 0,18 %).

Globalement, le rythme annuel de croissance dans les principales aires urbaines remonte à 1,51 %, après être tombé à 0,87 % entre 2009 et 2011.

Le taux de croissance repart également à la hausse sur le littoral (1,63 % par an après 1,18 %).

En revanche, il continue d’être plus faible dans les villes moyennes (0,63 %) et dans le « rural pur » (0,56 %), et recule très nettement dans le rural sous influence urbaine (1,09 % contre 1,41 % entre 2009 et 2011 et après avoir été compris entre 1,8 % et 2,3 % entre 1999 et 2009).

Taux de croissance annuel moyen du nombre de ménages Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP –

Filocom 2013

(9)

- 9 -

Les ménages privilégient de nouveau largement les aires urbaines

Les nouveaux ménages sont revenus en 2011 – 2012 dans les principales aires urbaines, après les avoir délaissées en 2009 –2010 plus nettement encore que les autres types de territoire (seules les banlieues n’avaient pas été touchées par cette désaffection relative sinon absolue).

Les principaux bénéficiaires de ces retours sont les agglomérations (centres et banlieues) qui pour la première fois depuis 10 ans ont attiré davantage que les périphéries.

Les nouveaux ménages se sont également reportés sur le littoral. L’attractivité des villes moyennes et surtout du rural continue en revanche de s‘éroder.

Nombre de nouveaux

ménages (moyenne annuelle) 1999 -2000 2001 -2002 2003 -2004 2005 -2006 2007 -2008 2009 –2010 2011-2012

Centre grands pôles 4 149 3 722 2 624 162 3 287 -658 3 905

Banlieue grands pôles 3 011 2 642 3 078 2 702 2 820 2 828 4 681

Périphérie grands pôles 5 812 6 634 6 565 6 775 7 013 5 623 5 195

ville moyenne 1 407 1 470 1 533 1 172 1 541 871 936

Rural sous infl. urbaine 4 790 5 339 5 858 6 861 6 358 4 572 3 584

Rural pur 280 357 312 341 364 214 209

Littoral 1 775 2 184 2 011 1 594 1 566 1 008 1 418

Ensemble 21 223 22 346 21 979 19 606 22 949 14 458 19 926

Nombre de nouveaux

ménages (moyenne annuelle) 1999 -2000 2001 -2002 2003 -2004 2005 -2006 2007 -2008 2009 –2010 2011-2012

AU Nantes 5 757 5 487 5 153 4 130 6 146 3 387 6 965

AU Angers 2 299 2 418 1 811 943 2 082 713 2 330

AU Le Mans 1 446 1 589 1 867 1 230 1 347 1 142 1 490

4 autres aires urbaines 3 470 3 505 3 436 3 336 3 546 2 552 2 996

Aires urbaines 12 971 12 998 12 266 9 638 13 120 7 794 13 781

-0,5%

0,0%

0,5%

1,0%

1,5%

2,0%

2,5%

3,0%

3,5%

1999 - 2001

2001 - 2003

2003 - 2005

2005 - 2007

2007 - 2009

2009 - 2011

2011 - 2013 Centre grands pôles Banlieue grands pôles Périphérie grands pôles ville moyenne Rural sous influence urbaine Rural pur Littoral

Taux de croissance annuel moyen du nombre de ménages

-5 000 0 5 000 10 000 15 000 20 000 25 000

1999 - 2001 2001 - 2003 2003 - 2005 2005 - 2007 2007 - 2009 2009 - 2011 2011 - 2013

Centre grands pôles Banlieue grands pôles Périphérie grands pôles ville moyenne Rural sous influence urbaine Rural pur Littoral

Répartition des nouveaux ménages par type de territoire et par période biennale

(10)

II - L’âge des ménages

II - 1 L’âge des ménages au 1

er

janvier 2013

Une population dans l’ensemble plus âgée qu’en Ile-de-France, mais plus jeune que dans la plupart des régions de province

Répartition du nombre de ménages fiscaux selon l'âge du référent

0% 10

% 20

% 30

% 40

% 50

% 60

% 70

% 80

% 90

% 100

% Vendée

Sarthe Mayenne Maine-et-Loire Loire-Atlantique Pays de la Loire France métropolitaine

moins de 25 ans 25 à 39 ans 40 à 59 ans 60 à 74 ans 75 ans ou plus

Répartition du nombre de ménages fiscaux selon l'âge du référent

0% 10

% 20

% 30

% 40

% 50

% 60

% 70

% 80

% 90

% 10 0%

Littoral Rural pur Rural sous influence urbaine ville moyenne Périphérie grands pôles Banlieue grands pôles Centre grands pôles

moins de 25 ans 25 à 39 ans 40 à 59 ans 60 à 74 ans 75 ans ou plus

Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

En moyenne plus âgé que son homologue francilien, le référent ménage ligérien type – hors ménages fiscalement rattachés - est en revanche un peu plus jeune que celui de la province. L’âge moyen du chef de ménage est ainsi de 54,4 ans en Pays de la Loire contre 52,3 ans pour la région Ile de France, 55,3 ans pour la France de province, 54,7 ans sur l’ensemble de la France métropolitaine.

Les Pays de la Loire se distinguent donc par une proportion relativement élevée de ménages de moins de 40 ans (24,1 %, contre 23,0 % sur l’ensemble de la France métropolitaine). Plutôt bien représentés en Loire-Atlantique (25,8 %) et dans le Maine-et-Loire (24,9 %), ces ménages de moins de 40 ans le sont un peu moins sur la Vendée (21,6 %), alors qu’ils sont plus proches de la moyenne nationale dans la Sarthe (22,7 %) et en Mayenne (22,8 %).

Pourtant, la Vendée se classe - comme les autres départements de la région - dans la première moitié des départements français (45ème rang) sur ce critère.

Les ménages de 40 – 59 ans sont déficitaires en Pays de la Loire (36,6 %, contre 37,4 % sur l’ensemble de la France métropolitaine). Ce déficit est constaté dans chaque département à l’exception de la Loire-Atlantique.

La part des ménages de 60 ans et plus est quasiment la même en Pays de la Loire et en France (39,3 % et 39,5 %). En fait, elle est inférieure à ces moyennes en Loire-Atlantique (36,8 %) et dans le Maine-et-Loire (38,4 %), mais supérieure dans la Sarthe (40,6 %), la Mayenne (41,0 %) et surtout la Vendée (43,4 %).

C’est dans les centres et les périphéries des principales agglomérations que la population des référents ménages est en moyenne la plus jeune - respectivement 52,3 ans et 53,0 ans - de par l’importance des ménages de moins de 40 ans. Cependant, les ménages de moins de 25 ans tirent cette moyenne vers le bas dans les centres (où ils représentent 4,2 % de la totalité des ménages) bien plus que dans les périphéries (où ils ne comptent que pour 1,6 %).

Les ménages sont plus âgés dans les banlieues de ces mêmes agglomérations (55,1 ans), ainsi que dans les villes moyennes (56,4 ans) et le rural « pur » (58,3 ans contre 54,7 ans dans le rural sous influence urbaine). Sur le littoral dont la moyenne d’âge des ménages est de 60,8 ans, on peut parler de prédominance d’une population

« âgée », puisque 57,0 % des référents ménages ont plus de 60 ans, quand cette proportion s’échelonne entre 34,8 % (périphérie des principales agglomérations) et 47,8 % (rural pur) dans les autres types de territoire. Les territoires ruraux des franges de la Mayenne et de la Sarthe comptent néanmoins aussi une forte proportion de ménages âgés.

Les ménages de 60 ans ou plus sont relativement peu nombreux dans les départements ligériens, en dehors de la Vendée impactée par son littoral. L’opposition est d’ailleurs flagrante entre le littoral en général et certains territoires ruraux des franges de la région d’une part, les abords d’un triangle Nantes- La Roche sur Yon – Cholet d’autre part.

(11)

- 11 - Sources :

DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

(12)

II – 2 Évolution de l’âge des ménages par tranche d’âge

Une moyenne d’âge à la fois plus élevée et en plus forte hausse en Vendée et surtout sur le littoral ; un processus de vieillissement qui se poursuit quoique ralenti

âge moyen

(années) 2003 2005 2007 2009 2011 2013 Evol.

2013 vs 2011 Pays de

la Loire 52,79 52,98 53,36 53,68 54,11 54,43 0,32 Loire-

Atlantique 51,98 52,13 52,50 52,79 53,15 53,35 0,20 Maine-et-

Loire 52,40 52,63 53,02 53,38 53,77 54,11 0,34 Mayenne 53,30 53,59 54,09 54,45 54,95 55,39 0,44 Sarthe 53,34 53,51 53,93 54,32 54,78 55,16 0,38 Vendée 54,16 54,33 54,62 54,88 55,39 55,88 0,49 Centre

grands

pôles 50,67 50,90 51,43 51,78 52,16 52,28 0,12 Banlieue

grands

pôles 52,99 53,42 54,00 54,53 54,98 55,14 0,16 Périphérie

grands

pôles 51,83 51,82 52,01 52,21 52,55 52,97 0,42 ville

moyenne 53,73 54,15 54,78 55,28 55,91 56,42 0,51 Rural

sous influence

urbaine 53,86 53,80 53,83 53,92 54,28 54,66 0,38 Rural pur 56,81 57,03 57,32 57,55 57,92 58,25 0,33

Littoral 57,88 58,15 58,72 59,39 60,15 60,81 0,66

Entre 2011 et 2013, la moyenne d’âge du référent ménage, qui est de 54,4 ans sur les Pays de la Loire, y est en progression de + 0,32 an ; cette hausse est de + 0,29 an sur l’ensemble de la France.

Le vieillissement est moins marqué en Loire-Atlantique ; il l’est davantage sur la Sarthe, la Mayenne et la Vendée qui renforcent ainsi leur spécificité de départements plutôt

« âgés ». Il demeure particulièrement substantiel sur le littoral (+ 0,66 an).

Néanmoins, s’il se poursuit, ce processus de vieillissement est ralenti (+ 0,32 an contre + 0,43 entre 2009 et 2011, période de vieillissement « record »).

90 100 110 120 130 140 150

1999 2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013 moins de 25 ans 25 à 39 ans 40 à 59 ans 60 à 74 ans 75 ans et plus

Evolution par tranches d'âge du nombre des ménages ligériens - base 100 = 1999

De façon générale, le processus de vieillissement des ménages dépend essentiellement des évolutions du nombre des ménages de moins de 40 ans (en particulier, moins de 25 ans) d’une part, de plus de 60 ans (en particulier, plus de 75 ans) d’autre part. Il est d’autant plus prononcé que le nombre de moins de 40 ans diminue (vieillissement

« par le bas ») et/ou que le nombre de plus de 60 ans augmente (vieillissement « par le haut »). Toute autre évolution conduit à l’infléchir.

L’incidence de la tranche 40 – 59 ans est beaucoup plus faible, car l’âge moyen de cette tranche est plus proche de l’âge moyen général, tout en étant légèrement inférieur : de ce fait, une progression massive de ses effectifs contribue à une légère baisse de l’âge moyen général.

En 2011 – 2012 en Pays de la Loire, le vieillissement des ménages conjugue diminution absolue du nombre des moins de 40 ans (apparue entre 2009 et 2011) et progression des plus de 60 ans (continue mais plus marquée depuis 2005).

Le ralentissement du processus résulte principalement d’une moindre diminution du nombre des moins de 40 ans.

Nombre de nouveaux ménages par tranche d’âge (moy. annuelle)

1999 -2000 2001 - 2002 2003 - 2004 2005 - 2006 2007 - 2008 2009 - 2010 2011-2012

Moins de 25 ans 960 2 916 418 -1 465 661 -874 42

25 –39 ans 1 528 1 857 2 990 1 601 997 -1 742 -850

40 – 59 ans 13 555 11 985 12 397 3 889 2 992 4 261 5 903

60 – 74 ans -3 030 -950 -65 8 361 10 367 10 389 10 357

75 ans et + 6 307 6 607 5 962 7 120 6 259 5 207 4 436

Non renseignés 1 904 -69 278 101 1 674 -2 784 91

Ensemble ménages 21 223 22 346 21 979 19 606 22 949 14 458 19 979

(13)

- 13 -

Le vieillissement est nettement moins marqué dans les centres et banlieues des principales agglomérations qui attirent de nouveaux ménages de moins de 40 ans lesquels contribuent ce faisant à l’accroissement du nombre global de ménages.

Dans les autres types de territoire en revanche, la diminution du nombre de ces jeunes ménages, en se conjuguant à l’accroissement de celui des plus de 60 ans, amplifie le vieillissement en même temps qu’elle freine la croissance du nombre global de ménages. Si l’impact de la diminution des plus jeunes y est relativement homogène, celui de l’accroissement des plus de 60 ans est particulièrement fort sur le littoral, et prend une certaine importance dans les périphéries des principales aires urbaines – comme du reste aussi dans leurs banlieues.

Contribution (%) à l’évolution annuelle du

nombre des ménages (entre 2011 et 2013)

Centre grands pôles

Banlieue grands pôles

Périphérie

grands pôles ville moyenne

Rural sous influence

urbaine

Rural pur Littoral Ensemble

Moins de 40 ans 0,20% 0,54% -0,28% -0,37% -0,29% -0,21% -0,30% -0,05%

40 à 59 ans 0,20% 0,26% 0,77% 0,18% 0,53% 0,08% 0,18% 0,39%

60 ans et + 0,68% 1,26% 1,14% 0,82% 0,85% 0,69% 1,75% 0,98%

Ensemble ménages 1,08% 2,06% 1,63% 0,63% 1,09% 0,56% 1,63% 1,31%

II – 3 Âge des ménages et statut d’occupation en 2013

Plus de locataires – surtout privés – chez les moins de 40 ans ; plus de propriétaires ensuite jusque 75 ans 66,3 % des ménages ligériens - non rattachés fiscalement - sont propriétaires du logement qu’ils occupent. Les proportions respectives de locataires du parc social HLM – SEM et du parc privé sont de 12,4 % et 19,5 %.

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

moins 25 ans

25 à 39 ans

40 à 59 ans

60 à 74 ans

75 ans ou + Propriétaires occupants Locataires parc social Locataires parc privé Autre

Répartition des ménages par statut d'occupation selon la tranche d'âge

Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

5,4 % des ménages ligériens de moins de 25 ans sont propriétaires. 92,9 % sont locataires du logement qu’ils occupent, à raison de 17,2 % dans le secteur public et 75,7 % dans le privé. Dans cette tranche d’âge peu fournie en effectifs et caractérisée par ailleurs par de nombreux rattachements fiscaux, on compte ainsi 4,4 locataires du privé pour 1 locataire du parc social.

La part des propriétaires augmente ensuite de façon continue et puissante avec l’âge au détriment de celle des locataires : elle passe à 46 % dès la tranche 25 – 39 ans, puis à 68 % dans la tranche 40 - 59 ans, pour atteindre et se maintenir à près de 80 % à partir de 60 ans.

Le poids des locataires diminue en conséquence. Le rapport entre effectifs parc privé / parc social tombe à 2,5 dans la tranche 25 –39 ans, puis à 1,2 dans la tranche 40 – 59 ans. La décroissance des locataires du secteur privé selon l’âge (en 2013) est ensuite telle que, au-delà de 60 ans, les effectifs sont très voisins dans les deux types de parc.

Principalement en Vendée, de très nombreux ménages propriétaires occupants avant 40 ans …

En Pays de la Loire, 5,6 % des ménages de moins de 25 ans, 41,8 % des ménages de moins de 40 ans, et 57,8 % des ménages de moins de 60 ans sont propriétaires du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale.

L’âge médian d’accès à la propriété peut ainsi être estimé à 50,2 ans.

Sur l’ensemble de la France métropolitaine, 4,8 % des ménages de moins de 25 ans, 34,0 % des ménages de moins de 40 ans, et 49,8 % des ménages de moins de 60 ans sont propriétaires du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. L’âge médian d’accès à la propriété est alors estimé à 60,4 ans.

La comparaison des moyennes régionale et nationale montre que c’est avant 40 ans mais tout particulièrement entre 25 et 40 ans que les ménages ligériens deviennent massivement propriétaires. Au-delà de cette tranche d’âge, le phénomène d’accès à la propriété des ménages ligériens se poursuit, mais il tend à s’aligner sur la moyenne nationale et même à perdre légèrement sur elle. L’importance du taux de propriétaires parmi les ménages ligériens résulte donc spécifiquement du taux d’accès à la propriété avant 40 ans.

(14)

Cette particularité régionale est d’abord et avant tout le fait d’un département : la Vendée.

En Vendée, 6,9 % des ménages de moins de 25 ans, 49,8 % des ménages de moins de 40 ans, et 64,8 % des ménages de moins de 60 ans sont propriétaires du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. L’âge médian d’accès à la propriété est en conséquence estimé à 40,3 ans. À ce titre, comme à celui de la part des moins de 40 ans propriétaires, la Vendée se classe au 1er rang national, loin devant la Haute-Loire (âge médian, 45,2 ans), ou encore les Deux-Sèvres (âge médian, 46,3 ans).

40,3 51,4 48,3

52,9 52,6 50,2

60,4

30 35 40 45 50 55 60 65

Vendée Sarthe Mayenne Maine-et-Loire Loire-Atlantique Pays de la Loire France métropolitaine

Âge médian d'accès à la propriété (âge en années du référent)

52,5 39,1 37,1

61,5 37,2

50,9

30 35 40 45 50 55 60 65 Littoral

Rural pur Rural sous influence urbaine ville moyenne Périphérie grands pôles Banlieue grands pôles Centre grands pôles

Âge médian d'accès à la propriété (âge en années du référent)

Lecture : la moitié des ménages des Pays de la Loire dont le référent est âgé de moins de 50,2 ans sont propriétaires du logement qu’ils occupent Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

Dans chacun des autres départements ligériens, le taux cumulé de propriétaires parmi les moins de 40 ans est également supérieur à la moyenne nationale, soulignant là encore la précocité de l’accès à la propriété de la résidence principale : d’ailleurs, le classement national qu’occupent ces 4 départements, qui va du 28ème au 59ème rangs pour le taux de propriétaires parmi l’ensemble des ménages, passe aux 5ème à 27ème rangs pour le même taux rapporté aux seuls ménages de moins de 40 ans. Néanmoins, compris entre 39,2 % et 43,8 %, ce taux de propriétaires parmi l’ensemble des ménages de moins de 40 ans se situe sensiblement en retrait du niveau vendéen.

C’est dans les périphéries d’agglomérations et l’espace rural (en particulier sous influence urbaine) que les ménages accèdent le plus précocement à la propriété (taux de propriétaires avant 40 ans égal à 59 %). Ces types de territoires polarisent en effet encore tout particulièrement les 25 - 39 ans en leur offrant encore des coûts d’accès à la propriété plus adaptés à leur budget.

À l’opposé, dans les centres des principales villes, seuls 21 % des ménages de moins de 40 ans, et 41,5 % de l’ensemble toutes tranches d’âge confondues accèdent à la propriété.

… mais un taux de propriétaires occupants en diminution dans toutes les tranches d’âge inférieur à 75 ans

Le taux général de propriétaires occupants parmi les ménages ligériens, passé de 63,9 % en 2001 à 66,4 % en 2011, n’avait durant cette période cessé de progresser à la faveur de l’accès massif à la propriété des ménages de moins de 40 ans, dont le taux était passé dans le même temps de 35,3 % à 42,1 %, pendant qu’il diminuait déjà au sein des 40 – 74 ans (75,3 % en 2001, 73,2 % dix ans plus tard).

En réalité, l’évolution entre 2009 et 2011 de 41,7 % à 42,1 % du taux de propriétaires occupants chez les moins de 40 ans masquait une progression « par défaut » induite par une baisse du nombre de nouveaux ménages locataires beaucoup plus forte que celle des propriétaires.

Entre 2011 et 2013, le reflux du taux de propriétaires occupants, bien qu’encore très minime, devient quasiment général : seuls les ménages de 75 ans et plus y échappent. Le recul résulte de la conjonction :

o d’une baisse renouvelée du nombre de nouveaux propriétaires et de la hausse, fût-elle limitée, du nombre de nouveaux locataires (du secteur privé) parmi les moins de 40 ans, d’une part,

o d’une hausse relativement plus importante du nombre de nouveaux locataires au sein des 40 ans ou plus, d’autre part.

(15)

- 15 -

Évolution du taux de propriétaires occupants par tranche d’âge en Pays de la Loire

moins de 25 ans

0%

1%

2%

3%

4%

5%

6%

2 001 2003 2 005 2007 2 009 2011 2 013

25 - 39 ans

36%

38%

40%

42%

44%

46%

48%

2 001 2003 2 005 2007 2 009 2011 2 013

40 - 59 ans

67%

68%

69%

70%

71%

72%

2 001 2003 2 005 2007 2 009 2011 2 013

60 à 74 ans

78%

79%

80%

81%

82%

83%

2 001 2003 2 005 2007 2 009 2011 2 013

75 ans et +

72%

73%

74%

75%

76%

77%

78%

79%

80%

2 001 2003 2 005 2007 2 009 2011 2 013

II - 4 Âge des ménages et type de logement en 2013

Plus de logements collectifs chez les ménages de moins de 25 ans ; plus d’individuels chez les plus âgés : 63,5 % dans la tranche 25 – 39 ans puis 80 % au-delà de 40 ans

75,2 % des ménages ligériens - non rattachés fiscalement - occupent un logement de type individuel et 24,8 % un logement collectif.

Un attachement fort et surtout particulièrement précoce à la maison individuelle…

Parmi les moins de 25 ans, 35,4 % des ménages ligériens occupent un logement individuel et 64,6 % un logement collectif. Dès la tranche d’âge suivante (25 – 39 ans), les poids sont inversés (63,5 % / 36,5 %) . Passé l’âge de 40 ans, quelle que soit la tranche, environ 4 ménages sur 5 occupent un logement individuel ; après 75 ans toutefois s’amorce un regain relatif d’intérêt pour l’habitat collectif.

En Pays de la Loire, 35,4 % des ménages de moins de 25 ans et 60,6 % des ménages de moins de 40 ans occupent un logement de type individuel. Lorsque l’on compare ces chiffres aux moyennes nationales, 19,3 % et 38,1 % pour la France métropolitaine, on s’aperçoit que d’emblée, avant 25 ans, les ménages ligériens occupent massivement des logements individuels, ce que traduit un écart de + 16,1 points. À 40 ans, cet écart s’élève à + 22,5 points. Passés 40 ans, il s’érode légèrement tout en demeurant sur l’ensemble de la population très nettement positif, soit + 12,7 points.

L’importance particulière du taux de logements individuels chez les ménages ligériens – qui place les Pays de la Loire au 3ème rang régional - résulte donc spécifiquement des plus jeunes d’entre eux.

Répartition des ménages ligériens par type de logement selon la tranche d'âge du référent

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

moins 25 ans

25 à 39 ans

40 à 59 ans

60 à 74 ans

75 ans ou +

Collectifs Individuels

Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013 Cette particularité régionale est le fait de tous les départements mais surtout de deux d’entre eux : la Vendée et la Mayenne. Rapportés aux ménages de moins de 40 ans, les taux respectifs de logements individuels sont en effet de 82,8 % et 70,4 % pour ces deux départements qui se classent à ce titre aux 1er et 4ème rangs nationaux.

(16)

Dans les trois autres départements, le taux d’occupants de logements individuels est également supérieur à la moyenne nationale à tous les âges, mais en retrait des précédents.

24,2 30,6 29,1

33,3 42,2 33,0

57,6

20 30 40 50 60

Vendée Sarthe Mayenne Maine-et-Loire Loire-Atlantique Pays de la Loire France métropolitaine

Âge médian d'accès au logement individuel (âge en années du référent)

27,3 21,5 21,3

32,8 22,2

40,4

20 25 30 35 40 45

Littoral Rural pur Rural sous influence urbaine ville moyenne Périphérie grands pôles Banlieue grands pôles Centre grands pôles

Âge médian d'accès au logement individuel (âge en années du référent)

Lecture : la moitié des ménages des Pays de la Loire dont le référent est âgé de moins de 33,0 ans habitent une maison Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

C’est dans l’espace rural, sous influence urbaine ou non, et dans les périphéries d’agglomérations que l’on trouve les plus fortes proportions d’occupants précoces de logements individuels (90 % ou plus à 40 ans), secondairement sur le littoral (73 %). Ceci est lié à la structure du parc qui est principalement composé de logements individuels. À l’opposé, dans les centres et les banlieues, l’accès au logement individuel est à la fois moins massif et plus tardif (respectivement 30,5 % et 67 % à 60 ans).

Au total, en Pays de la Loire, l’âge théorique des ménages à partir duquel l’occupation de logements de type individuel devient majoritaire est estimé à 33,0 ans (il est de 47,6 ans pour la France de province et de 57,6 ans pour l’ensemble de la France métropolitaine).

…mais un taux de logements individuels en baisse pour toutes les tranches d’âge inférieur à 75 ans

Évolution du taux de logements individuels par tranche d’âge des ménages en Pays de la Loire

Moins de 25 ans

34,0%

34,5%

35,0%

35,5%

36,0%

36,5%

37,0%

37,5%

38,0%

2007 2009 2011 2013

De 25 à 39 ans

63,0%

63,2%

63,4%

63,6%

63,8%

64,0%

64,2%

64,4%

2007 2009 2011 2013

De 40 à 59 ans

79,1%

79,1%

79,2%

79,2%

79,3%

79,3%

79,4%

79,4%

79,5%

2007 2009 2011 2013

De 60 à 74 ans

81,8%

81,9%

82,0%

82,1%

82,2%

82,3%

82,4%

82,5%

2007 2009 2011 2013

75 ans ou plus

75,5%

76,0%

76,5%

77,0%

77,5%

78,0%

78,5%

79,0%

2007 2009 2011 2013

Le taux général de logements individuels occupés par les ménages, passé de 74,8 % à 75,3 % entre 2007 et 2011, accuse une petite baisse à 75,2 % en 2013.

Cette baisse est commune à toutes les catégories d’âge sauf celle des 75 ans ou plus.

(17)

- 17 -

II - 5 Âge des ménages et période de construction en 2013

Ancienneté de construction, ancienneté de génération : une corrélation évidente chez les ménages propriétaires de plus de 25 ans

23,4 % des ménages ligériens - non rattachés fiscalement - occupent un logement construit avant 1915, 29,2 % un logement construit depuis 1990, 47,4% un logement d’ancienneté intermédiaire (1915-1989).

La répartition des ménages de moins de 25 ans en fonction de la date de construction du logement qui les héberge se révèle assez proche de la moyenne régionale … malgré une certaine sur- représentation dans des immeubles de classes d’âge extrêmes (construits depuis 1990 ou avant 1915).

La représentation des ménages plus âgés est davantage révélatrice d’un « effet de génération ».

La proportion des ménages de 25 à 39 ans est particulièrement élevée s’agissant du parc construit à partir de 2000, celle des ménages de 40 à 59 ans pour les logements de la période 1982 – 1999, celle des ménages de 60 à 74 ans pour ceux de la période 1968 – 1981. La représentation des ménages âgés de 75 ans ou plus est spécialement forte pour les logements dont la construction est antérieure à 1975.

0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100

% Moins de 25 ans

De 25 à 39 ans De 40 à 59 ans De 60 à 74 ans 75 ans ou plus Ens. ménages

Avant 1915 De 1915 à 1948 De 1949 à 1967 De 1968 à 1974 De 1975 à 1981 De 1982 à 1989 De 1990 à 1999 Après 2000

Répartition du nombre de ménages ligériens par période de construction et tranche d'âge du référent

Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013

Période de construction de l’immeuble Tranche(s) d’âge des ménages sur-représentée(s)

Depuis 2000 25 - 39

1982 –1990 ; 1990 - 1999 40 - 59

1975 - 1981 60 -74

1968 – 1974 60 –74 ; 75 ans ou plus

Avant 1968 75 ans ou plus

L’effet de génération mis en évidence est cependant fortement lié au statut d’occupation. En effet, la sur- représentation est essentiellement imputable aux propriétaires occupants alors qu’elle est très atténuée voire inexistante chez les non-propriétaires (locataires, autres), ce qui d’ailleurs explique qu‘elle ne s’applique pas aux ménages dont le référent a moins de 25 ans.

Période de

construction de l’immeuble

Tranche(s) d’âge des

ménages sur-

représentée(s)

Coefficient de (sur-)représentation ensemble ménages

Coefficient de (sur-)représentation propriétaires occupants

Coefficient de (sur-)représentation non-propriétaires

Depuis 2000 25 - 39 1,77 2,30 1,29

Entre 1990 et 1999 40 - 59 1,37 1,60 1,00

Entre 1982 et 1990 40 - 59 1,17 1,34 1,04

Entre 1975 et 1981 60 -74 1,89 1,87 1,36

Entre 1968 et 1974 60 -74 1,36 1,39 1,33

Entre 1968 et 1974 75 ans ou plus 1,50 1,65 1,07

Entre 1949 et 1967 75 ans ou plus 1,72 2,00 1,15

Entre 1915 et 1948 75 ans ou plus 1,29 1,30 0,88

Avant 1915 75 ans ou plus 1,13 1,19 0,73

Depuis 2000 Moins de 25 ans 1,33 1,41 1,18

Avant 1915 Moins de 25 ans 1,27 1,43 1,42

Lecture du tableau (1ère ligne) : 36,0 % des ménages de 25 – 39 ans occupent un logement construit après 2000, contre seulement 20,3 % de l’ensemble des ménages. Les ménages de 25-39 ans occupant un logement construit après 2000 ont par conséquent une représentation équivalent à 36,0/20,3 = 1,77 fois la moyenne de l’ensemble des ménages. Dans le champ des propriétaires occupants, cette représentation est de 43,8/19,1 = 2,30 ; dans celui des non-propriétaires, le coefficient est de 29,4/22,8 = 1,29

(18)

Cette observation pose la question du devenir, hors location, des logements datant d’avant 1975, avec davantage d’acuité là où les ménages âgés sont plus nombreux (une enquête conduite à l’Université de Paris-I Dauphine a révélé qu’une forte représentation d’immeubles construits à cette époque contribuait à un défaut d’attractivité des villes françaises – unités urbaines de plus de 100 000 habitants).

II - 6 Âge des ménages et nombre de pièces occupées en 2013

De grands logements (à partir de 4 pièces) surtout pour les ménages propriétaires âgés de 40 à 59 ans

61,4 % des ménages - non rattachés fiscalement - vivent dans un logement de 4 pièces ou plus – 22,0 % dans un trois-pièces, 12,0 % dans un deux-pièces, 4,6 % dans un studio.

La taille des logements occupés passe par un maximum dans la tranche 40 – 59 ans. Dans cette tranche, 69,6 % des ménages vivent dans un logement de 4 pièces ou plus, 18,2 % dans un trois-pièces, 8,9 % dans un deux-pièces, 3,4% dans un studio.

Ces proportions sont très voisines dans la tranche d’âge 60 – 74 ans.

Les tranches 25 – 39 ans et 75 ans ou plus ont également des structures assez proches, la première faisant toutefois apparaître une part plus importante de logements de 2 et 1 pièces (respectivement 18,2 % et 6,2 % contre 12,2 % et 5,3 %).

Logiquement, une forte proportion des ménages de moins de 25 ans occupe des logements de 2 ou 1 pièces (respectivement 34,7 % et 18,9 %).

0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%

Moins de 25 ans De 25 à 39 ans De 40 à 59 ans De 60 à 74 ans 75 ans ou plus Ens. ménages

1 pièce 2 pièces 3 pièces

4 pièces 5 pièces 6 pièces ou plus

Répartition du nombre de ménages ligériens selon taille du logement occupé et tranche d'âge du référent

Sources : DREAL Pays de la Loire - DGFiP – Filocom 2013 Quel que soit l’âge, les propriétaires occupent un logement plus grand.

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

Moins de 25 ans

De 25 à 39 ans

De 40 à 59 ans

De 60 à 74 ans

75 ans ou plus Propriétaires occ. Non-propriétaires Part des ménages occupant des logements de 1 ou 2

pièces ou plus selon âge et statut d'occupation

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

Moins de 25 ans

De 25 à 39 ans

De 40 à 59 ans

De 60 à 74 ans

75 ans ou plus Propriétaires occ. Non-propriétaires Part des ménages occupant des logements de 4 pièces

ou plus selon âge et statut d'occupation

À tranche d’âge équivalente hors moins de 25 ans, la taille médiane du logement d’un propriétaire occupant est supérieure d’un peu plus de 1 pièce à celle d’un ménage non-propriétaire.

La taille minimale se situe parmi les non – propriétaires de moins de 25 ans et passe par un maximum chez les propriétaires occupants âgés de 40 à 59 ans.

Taille médiane Propriétaires occ. Non-propriétaires

Moins de 25 ans 2,87 1,91

De 25 à 39 ans 3,65 2,43

De 40 à 59 ans 3,97 2,85

De 60 à 74 ans 3,82 2,58

75 ans ou plus 3,40 2,28

Références

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