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La valeur sociale d'un individu

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(1)

J OURNAL DE LA SOCIÉTÉ STATISTIQUE DE P ARIS

La valeur sociale d’un individu

Journal de la société statistique de Paris, tome 52 (1911), p. 355-361

< http://www.numdam.org/item?id=JSFS_1911__52__355_0 >

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(2)

— 355 - LA

V A L E U R S O C I A L E D ' U N I N D I V I D U I

UAlmanach Hachette de 1909, page 215, contient une gravure curieuse intitulée : a Ce que vaut un homme suivant son âge ».

Elle montre la croissance d'un homme et indique pour chaque âge une somme qui est censée représenter la valeur de l'individu. Le tableau suivant résume celte gravure :

Age Valeur Àgo Valeur

3 300 30 35.000 10 7.500 40 40 000

15 12.000 50 29.000 20 20.000 60 19.000 25 25.000.

Nous ignorons les bases qui ont pu servir à calculer ces sommes, mais en cherchant à les établir nous avons été amené à formuler d'autres chiffres très différents, comme on le verra plus loin.

La question vaut la peine d'être envisagée, car elle se rapporte à l'un des problèmes sociaux qui font actuellement l'objet de nombreuses discussions : celui de la dépopula- tion; elle paraît d'ailleurs difficile à formuler très clairement si l'on en juge par les quel- ques indications données par M. Gide dans son article sur la décroissance de la natalité (Revue économique internationale, mars 1910).

Dans cette étude, M. Gide, supposant que l'entretien d'un enfant revient en moyenne à 2.000 francs, capitalise celte somme à 3,50 pendant vingt-cinq ans (ce qui donne (80.62G francs) et conclut en disant que la famille qui n'a pas d'enfant aurait pu écono- miser cette somme et former ce capital — le calcul est un peu simpliste, M. Gide le recon- naît, mais cependant il s'en sert en disant que si l'Allemagne accroît sa population de 1 million de citoyens chaque année, la France accroît son capital de 2 milliards : « Le compte y est, dit-il : 1 million d'enfants économisés à 2.000 francs font bien 2 milliards. * 11 faut remarquer que dans ce million d'enfants il y a 500.000 filles, et le compte n'y est pas, croyons-nous. Mais nous ne voulons pas discuter l'opinion de M. Gide et nous désirons seulement exposer une idée qui, étudiée sous divers points de vue, pourrait per- mettre de rendre plus claire la question de la valeur d'un individu.

Tout d'abord, il ne peut être question de la valeur d'un individu en particulier, mais de la valeur moyenne d'êtres placés dans un même milieu social :

Cela revient à dire qu'il est nécessaire de suivre pendant toute une génération une col- lection d'individus naissant à une même époque et disparaissant conformément à une table de mortalité bien déiinie : peu importe, d'ailleurs, la table choisie; le problème est trop imprécis pour qu'il soit utile de se préoccuper des différences entre les diverses tables.

Tout d'abord, une définition : elle pourra être discutée et mise au point dans des études ultérieures :

« Appelons valeur sociale d'un individu ce que cet individu restituera à la collectivité en dépenses de toute nature provenant de son gain personnel. »

Pariant de cette définition, le calcul permet de déterminer la valeur sociale d'un indi- vidu à chaque âge de la vie; le travail a été fait pour un ouvrier et pour un ingénieur.

On a supposé que l'ouvrier commençait à gagner un salaire (100 francs) dès l'âge de

13 ans; il arrivait à son maximum à l'âge de 30 ans; le salaire restait constant jusqu'à

51 ans, âge à partir duquel il décroissait jusqu'à l'âge de retraite, 65 ans; mais on a sup-

posé que cet ouvrier avait pu metlre en réserve une somme suffisante pour s'assurer une

rente de 400 francs à partir de cet âge.

(3)

— 356 —

Pour se conformer au desideratum si souvent exprimé, on a supposé que la somme à dépenser par l'ouvrier depuis l'âge de 30 ans jusqu'à 51 ans était de 1.800 francs (les fameux cent sous). Il n'a pas été tenu compte de l'interruption due au service militaire.

Eu conduisant le calcul conformément aux règles actuarielles (Voir le tableau ci-après), c'est-à-dire en tenant compte du nombre des survivants (table À. F.), du montant de la dépense et d'un taux d'intérêt de 3°/

0

, on trouve que la valeur sociale moyenne d'un indi- vidu placé dans ces conditions est la suivante (tableau I) :

Âge Valeur Age Valeur

3 10.000 30 33.500 10 26.100 40 26.600 15 30.600 50 17.500 20 33.700 60 7.300 25 35.000

L'allure de la courbe représentative de ces sommes présente, comme celle de l'homme de YAlmanach Hachette, un maximum, mais il est place vers 25 ans et non vers 40.

Pour l'ingénieur qui ne commence à gagner un salaire <iue vers 21 ans et que nous avons supposé (Voir tableau) pouvoir dépenser 25.000 francs à partir de 39 ans, 28.000 de 45 à 56 ans, puis 20.000 à partir de l'époque de cessation de travail, grâce aux écono- mies réalisées, on peut établir le tableau ci-après (tableau II) :

Age Valeur Age Valeur

3 190.000 30 468.000 10 208.000 40 490.000 15 293.500 50 398.000 20 351.000 60. , . . . 269.000

25 411.000

Dans cette hypothèse, le maximum est placé à 36 ans avec une valeur de 501.000 — le demi-million.

11 est à remarquer que l'on trouve assez souvent dans cette classe d'individus des assu- rances sur la vie d'une valeur de 200.000 à 300.000 francs, c'est-à-dire la moitié du capi- tal représentatif de la valeur de l'individu : l'assurance étant faite en faveur de la femme ou des enfants dont les besoins correspondent, tout au moins théoriquement, à la moitié de ceux du ménage, il y a une concordance assez curieuse à signaler.

Elle ne se rencontre pas en ce qui conceroe l'ouvrier, et cela est naturel, le salaire étant juste suffisant pour assurer le minimum de vie dans nos conditions sociales actuelles.

Nous nous bornons à signaler ces chiffres, et surtout la méthode ; il y aurait, semble-t-il, un certain intérêt à faire quelques recherches dans ce sens.

En tout cas, étant donné la définition placée au début, la valeur sociale d'un individu qui naît est beaucoup plus importante que l'on ne le croit d'ordinaire — pour l'ouvrier considéré, elle est à la naissance (âge 0) de 16.800 francs.

La proportion infime d'ingénieurs par rapport à la masse ouvrière n'augmenterait guère cette valeur, et même si l'on tient compte que le salaire admis pour l'ouvrier est plus élevé que la moyenne des salaires normaux (4

f

20 d'après l'enquête de l'Office du travail), on peut admettre que la valeur sociale d'un individu est de 15.000 francs à la naissance.

L'argumentation de M. Gide, avec ces chiffres, reprendrait toute sa valeur en montrant que la décroissance de la population constitue une diminution considérable dans le mon- tant futur de la circulation des richesses ayant pour résultat à peu près certain la concen- tration de fortunes colossales distribuées entre un petit nombre de personnes.

II

L'application pure et simple des valeurs indiquées dans les tableaux à la population des

États ne laisse pas que de donner des résultats fort discutables, car le développement

industriel est loin d'être le même, et, même à développement égal, les salaires types sont

très diflérents d'un pays à un autre.

(4)

- 3 6 7 -

Sous ces réserves, la « valeur sociale totale » des individus d'un pays s'obtiendra en additionnant les produits partiels des nombres de recensés par les valeurs sociales moyennes correspondant à l'âge moyen des groupes d'âge indiqués par les recensements.

On trouve, à cet égard, tous les renseignements utiles dans le tome IV (p. 973 et suiv.) du recensement de la France en 1901, et le tableau annexé à la note donne le détail des, calculs.

On doit, tout d'abord, faire observer que les totaux ainsi obtenus proviennent de la popu- lation totale — des deux sexes. — Il en résulte, évidemment, une majoration importante puisque, d'après la définition adoptée, la « valeur sociale d'un individu » représente les sommes à restituer à la collectivité et correspond ainsi à des dépenses faites par le ménage.

Il paraît difficile de calculer exactement un coefficient de réduction, mais on peut, cepen- dant, hasarder une évaluation basée sur le raisonnement suivant : les hommes et les femmes sont à peu près en nombres égaux, le salaire de la femme est en moyenne voisin de la moitié de celui de l'homme, enfin le nombre des salariées est la moitié environ du nombre des salariés. Le mode de calcul adopté a donc fait compter dans la population 2 unités alors qu'on n'aurait dû compter que 1 + 1 / 4 ; le coefficient de réduction à appliquer serait donc : 1 ± ^ = | = 0,625.

2 8

11 faut encore tenir compte, comme nous l'avons indiqué plus haut, des différences de valeurs moyennes des salaires dans les différents pays; les renseignements que l'on peut recueillir sont assez peu précis à ce sujet; toutefois, en combinant les résultats des enquêtes du Board of Tradc avec les indications données par MM. METIN et BARRÂT et les renseigne- ments personnels recueillis, nous avons pu établir des coefficients de majoration ou de réduction qui ont permis d'arriver à une « valeur sociale totale » approximative indiquée dans le tableau annexé à cette note (tableau III).

On peut classer les pays dans l'ordre de a valeur sociale moyenne » que nous considé- rons comme représentative de leur développement économique :

1 États-Unis . . . 23.600 (100) 6 Suède et Norvège. 14.000 (50) 2 Angleterre . . . 20.700 (74) 7 Autriche-Hongrie. 13.600 (48) 3 Empire allemand. 16.900 (60) 8 Belgique . . . . 12.800 (46) 4 Suisse 15.100 (54) 9 Italie 11.000 (40) 5 France 14.500 (52) 10 Russie d'Europe . 10.100 (36)

H nous a paru enfin assez intéressant de rapprocher les valeurs sociales totales de trois indices économiques : la dette nominale des pays, le capital des valeurs mobilières pos- sédées en propre par les nationaux, le commerce total.

Le tableau ci-après résume celte comparaison qui n'est faite qu'avec les réserves d'usage, surtout en ce qui concerne les dettes publiques, qui sont difficilement comparables comme l'a répété M. JNEYMARCK à qui nous empruntons ces chiffres (Voir tableau, page 358).

Le rapprochement de ces divers nombres, surtout du capital humain et du capital mobi- lier, est extrêmement suggestif, et malgré l'incertitude de la valeur du premier on ne peut s'empêcher de constater son importance par rapport à ce que l'on nomme « la richesse mobilière ».

Enfin, on peut faire pour la France une comparaison de la valeur sociale correspondant à la population active de 15 à 60 ans et de l'évaluation des salaires donnés par MM. LAVEU- GNE et HENRY (1), déduction faite des intérêts des capitaux.

La valeur sociale totale brute est de 642 milliards et le coefficient de 5/8 la réduit à 400 milliards qui seraient censés représenter la valeur sociale de la population active de la France; ce capital correspondrait à un total de salaires d'environ 18 milliards, soit un taux de 4,5 °/

0

du capital social, qui n'est pas très éloigné du taux actuel de capitalisation des valeurs mobilières. Il serait intéressant d'établir des rapports analogues pour les autres pays, mais les évaluations de salaires font malheureusement défaut.

( 0 La liiciiesse (te la, France, huis, 1008.

28 1'* SKRIK 52« VOL. — N°» 8-9

(5)

— 358

NOMS DES PAT8

i fttats-Unis Angleterre Empire allemand . .

•Suisse France

Suède et Norvège . . Autriche-Hongrie . . Belgique

Italie Russie

<

« î

» .2 O 3 f< £ D 0

î 75.994 41.459 56.367 3.315 88.450 7.358 45.405 6.693 32.475 93.442

VALEUR SOCIALE (milliards)

1.795 857 954 50 558 102 618 86 361 943

DKTTK

î 1

d 4 5,2 19,1 20,8 1,3 29

1,1 15,1 3,6 13,5 23,4

PUBLI

S.J s--

es 5 0,3 2,2 2,2 2,6 5,2 1,1 2,5 4,2 3,7 2,5

IJUK

8

s s «

es

w C 10 7 8 4 1 9 6 2 3 5

CAPITAL des valeurs mobiliures

1 U i i 1

s

J

d g- S u

" « " e s

7 8 9 120

135 85 "

105

»

22

»

11 12 27

6,7 15,7 8,9

»

18,8

»

3,6 12,8 3,3 2,9

5 2 4

»

1

»

6 3 7 8

COMMBRCU TOTAL (importation et exportation)

•L S

w

-

.2 | § a rz — o g

s g ; a

a

g**

PS

10 i l 12 17,1

»28

320.7 2,8 M2,8 2,5 2,5 6,6 4,8 5,1

1 3,1 2,2 5,6 2,3 2,5 0,4 7,7

M

0,6 8 3 6 2 5 4 10

/

7 0

OBSKIC-

VATIONS

(Change)

13 - S 5,18

= ,£25,22

= Rm. 1,24

» »

= K. 1,39

= FI. 1,05

A

»

= Rb. 2,67

(1) Ville rapport présenté par M. Alfred Neyraarck à la session de l'Institut international de Statistique (Pans 11)09).

('-) Annuaire statistique de la Franco, 1908 (Paris).

(3) Bulletin de Statistique et de Législation comparée.

NOTA. — Les capitaux sont exprimés en francs d'après les cours de change indiqués dans la colonne 13.

11 ne faut d'ailleurs pas, nous le répétons, se leurrer sur la « valeur » de tout ce qui pré- cède ; cependant, les résultais obtenus peuvent suggérer des idées qui permettraient de préciser certains aperçus encore bien vagues sur la puissance économique dés nations.

TABLEAUX

(6)

— 859

VALEUR SOCIALE D'UN OUVRIER

TABLEAU I

T a b l e A F 3 1). = 1 . ( 1 , 0 3 ) -

-

v

x

= nombre de vivants à Page x

$

x

= somme dépensée à l'âge x sur le salaire.

V = valeur sociale à rage x.

o

i 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 41

Sx

annuel 3

1.000 936 884 840 803 770 741 714 689 667 645 623 603 584 564 545 527 508 491 473 457 440 424 409 394 381 367 354 342 329 318 306 295 285 274 264 254 245 236 227 218 210 201 191 186

100 200 300 400 500 600 700 800 900 1.000 1.100 1.200 1.300 1.400 1.500 1.600 1.700 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800

l ^ S ,

58.400 112.800 163.500 210.800 254.000 294.600 331.100 365.600 396.000 424.000 449.900 472.800 195.300 513.800 5J1.000 547-200 559.300 572.400 550.800 531.000 513 000 493.200 475.200 457.200 411.000 424.800 408.600 392.400 378.000 361.80() 349.200 334.800

S D* S,

VALEUR i-ociale col. 5

colTâ

16.841 000 16.841.000 16.841.000 16.841.000 W.841.000 16.841.000 16.841.000 16.841.000 16.841.000 16.841.000 16.841.000 16.841.100 16.841.000 16.841.000 16.782.600 16.6,9.800 1Ô.506.3C0 16.295.500 16.041.500 15.746.900 15.415.800 15.050.200 14.654.200 14.230.200 13.780.300 13.307.500 12.812.200 12.298 400 11.767.400 11.220.200 10.660 900 10.088.500 9.537.700 9.006.700 8.493.700 8.000.500 7.525.300 7.068.100 6.627.100 6.202.300 5.793.700 5.101.300 5.(,23.300 4.661.500 4.312.300

J6.841 18.000 19 OU) 20.000 21.000 21.900 23.700 23.600 24 400 25.200 26 100 27 (00 27.900 2S.S00 29.7C0 30.600 31.300 32.100 32.700 33.300 33.700 31.200 34.600 34.800 35.000 35.000 31.900 34.700 34.400 34.100 33.500 33.000 3*.400 31.600 31.000 30.300 29.700 28.900 28.100 27.300 26.600 25.700 25.000 24.100 23.200

58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 81 85 86 87

178 171 164 157 150 143 137 131 124 118 113 107 101 96 90 8o 79 75 70 65 61 56 52 47 43 39 36 32 29 25 22 19 16 14 12 10 8 7 6 5 4 3 2

S.

annuel 3

1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.800 1.700 1.700 1.600 1.600 1.500 1.500 1.100 1.400 1.300 1 200 1.100 900 700 500 400 400*

400 400 400 400 400 400 400 400 400 400 400 400 400 400 400 100 400 400 400 400 400

K s

x

320.400 307.800 295.200 282.600 270.000 257.400 246.600 222.700 210.800 188.800 180.800 160.500 151.500 134.400 126.000 110..)00 94.800 82.500 63.000 45.500 30.500 22.400 20.800 18.800 17.200 15.600 14.400 12.800 11.600 10.000 8.800 7 600 6 400 5.600 4.800 4.000 3.200 2.800 2.400 2.000 1.600 1.200 800 400

'-KS*

3.977.500 3.657.100 3.349.300 3.054.100 2.771.500 2.501.500 2.244.100 1.997.500 1.774.800 1.564.000 1.375.200 1.194.400 1.033.900 882.400 748.0C0 622.000 511.500 416.700 334.200 271.200 225.700 195.200 172.800 152.000 133.200 116.000 100.400 86.000 73.200 61.600 51.600 42.800 35.200 28.800 23.200 18.400 14.400 11.200 8.400 6.000 4.000 2.400 1.200 400

VALEUR sociale col. 5

cofl

6

22.400 21.400 20.400 19.400 18.500 17.500 16.400 15.300 14.300 13.300 12.300 11.200 10.200 9.200 8.300 7.300 6.500 5.500 4.800 4.200 3.700 3.500 3.300 3.200 3.100 3.000 2.800 2.700 2.500 2.400 2.400 2.300 2.200 2.000 1.900 1.800 1.800 1.600 1.400 1.200 1.000 800 600 400

(7)

— 360 —

VALEUR gOCJALE D'UN ÏNGÉNÏBVR

TABLEAU II

0 . = ^ ( 1 , 0 8 ) -

-

« = nombre de vivants à l'âge x

T a b l e R F 3 °/

0

S^ = somme dépensée à rage x sur le salaire.

V = valeur sociale à l'Age x.

o

i 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 21 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 11 42 43 44

.000 936 884 840 803 770 741 714 690 667 645 624 603 584 564 545 526 508 491 473 456 440 424 409 394 381 307 354 342 330 318 30' 296 285 275 265 255 246 237 228 220 212 2,)1 196 180

1.000"

1.300 2.100 2.300 2.400 2.500 3.400 4.800 5.500 6.400 7.

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