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Rhumatologie : étude des pathologies de l’appareil locomoteur (rhumatismes)

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Texte intégral

(1)

Dr Amélie BOHM-SIGRAND Novembre 2015

Cours IFSI

(2)

Rhumatologie : étude des pathologies de l’appareil locomoteur (rhumatismes)

-> Maladies des os/articulations/muscles/tendons/ligaments

Demande résulte la plupart du temps d’une douleur

Classification des pathologies :

Selon la structure atteinte : pathologie articulaire / périarticulaire Selon la localisation de l’atteinte : pathologie axiale (rachidienne) / périphérique

(3)

Caractéristiques de la douleur

Mécanique :

▪ A l’effort (calmée par le repos)

▪ Plus importante le soir

Inflammatoire :

▪ Prédominante au repos

=> réveils nocturnes

▪ Plus importante le matin, Raideur

=> dérouillage matinal

(4)

Définir la topographie de l’atteinte :

Atteinte Axiale : rachis

Atteinte Périphérique : articulations

▪ Atteinte Proximale : épaules, hanches

▪ Atteinte Distale : aux extrémités (petites articulations)

Définir le nombre d’articulations impliquées :

Monoarthrite : une articulation

Oligo arthrite : de 2 à 4 articulations

Polyarthrite : à partir de 5 articulations

(5)

Pièces Osseuses Cartilage

Capsule/Synoviale

Structures péri-articulaires : Muscles

Tendons

Ligaments

Enthèse

(6)

Arthrose

Dégénérescence cartilagineuse Douleur mécanique

Arthrite

Inflammation synoviale

cartilage indemne

Douleur inflammatoire

Aspect inflammatoire (rougeur/chaleur locale), augmentation de volume

Etiologies :

Arthrite septique

Arthrite microcristalline

Rhumatisme inflammatoire

(7)

Rhumatismes inflammatoires chroniques :

Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies

Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents :

Goutte

Chondrocalcinose

Rhumatisme à hydroxyapatite

Arthrite septique

Les choses à savoir sur les traitements :

Corticothérapie

Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)

(8)

Pathologie inflammatoire

articulaire (synoviale)

péri-articulaire (enthèse)

Evolution chronique A connaître :

Polyarthrite rhumatoïde

Spondylarthropathies

(9)

Rhumatisme inflammatoire chronique le plus fréquent prévalence 0.5 à 0.8 % de la population

Femme (4/1)

Entre 40 et 60 ans

Etiologie : multi-factorielle

Facteurs endogènes (génétiques, hormonaux) Facteurs exogènes (environnementaux, germes, psychologique, tabac etc)

Formes différentes Co-morbidités :

cardiovasculaire, infectieuse,

lymphome

(10)

Synoviale

Cavité articulaire

Saine Polyarthrite

Rhumatoïde

Cartilage

Inflammation Synoviale

Os

(11)

Patiente 50 ans

Douleur : INFLAMMATOIRE

Réveils nocturnes

Dérouillage matinal > 30 min

Articulaire, gonflements (=arthrite) ++ mains

polyarthrite

distale (petites articulations : MCP et IPP) Symétrique

Douleur à la pression

Examen :

Nombres d’articulations gonflées = arthrite

Nombre d’articulation douloureuse à la pression

Evolution depuis > 6 semaines

(12)

Clinique

Paraclinique

Biologique

Syndrome inflammatoire biologique

Vitesse de sédimentation : VS

Protéine C réactive : CRP

Immunologique :

Facteur rhumatoïde (FR) +

Anti-CCP ou ACPA (Ac anti-protéines citrullinées) +

Radiologique : destruction articulaire progressive :

Pincement articulaire

Erosions

Pas de reconstruction

Echographique

(13)
(14)
(15)

Visualisation :

Synovite : inflammation synoviale, activité Ténosynovite : autour des tendons

Erosions osseuses

(16)

Le suivi :

Score DAS 28 :

▪ Nb d’articulation douloureuses

▪ Nb d’articulations gonflées

▪ EVA activité (0-10)

▪ Sd inflammatoire biologique (VS ou CRP)

Suivi radiologique : érosions

Suivi échographique

Savoir l’évolution : chronique, destruction articulaire

Mettre en place le traitement de fond : INDISPENSABLE

Urgence articulaire

(17)
(18)

Traitement de la crise :

Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens (AINS) Corticothérapie cure courte

Antalgiques

Traitements locaux : infiltration Traitement de fond indispensable

Au départ per os (DMARDs = disease modifying anti-rheumatics drugs)

▪ Méthotrexate (Novatrex©, Imeth ©)

▪ Leflunomide (Arava©)

▪ Sulfasalazine (Salazopyrine©)

Methotrexate injectable (METOJECT©)

En cas d’échec et selon l’activité de la maladie : biothérapies (anti TNF alpha, etc)

En Sous cutané (possible à domicile, et suivi en consultation) En IV : perfusion en Hospitalisation de jour régulièrement

Prise en charge globale : kinésithérapie, ergothérapie, infirmière, éducation thérapeutique, chirurgie, etc....

(19)

Anti-TNF alpha

En sous cutané :

▪ HUMIRA = adalimumab

▪ ENBREL = etanercept

▪ CIMZIA = certolizumab

▪ SIMPONI = golimumab

En Intra-veineux :

▪ REMICADE = infliximab

Les autres Biothérapies

Anti CD20 : MABTHERA = rituximab Anti IL6 : ROACTEMRA = tocilizumab Anti CTLA4 : ORENCIA = abatacept

Hospitalisation de Jour

A Domicile

(20)

Rhumatismes inflammatoires chroniques :

Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies

Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents :

Goutte

Chondrocalcinose

Rhumatisme à hydroxyapatite

Les choses à savoir sur les traitements :

Corticothérapie

Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)

(21)

Groupe de rhumatismes inflammatoires comprenant :

Spondyloarthrite Ankylosante (SPA) Rhumatisme psoriasique (RP)

SAPHO (synovite, acné, pustulose, hyperostose, ostéite) Rhumatismes liés aux entérocolopathies : Crohn et RCH Arthrites réactionnelles

Prévalence SPA 0.31% en France

Complications : liées à l’ankylose +++,

perte mobilités rachis, syndrome restrictif,

instabilités cervico-occipitales

(22)

Aspects épidémiologiques :

Homme : 3 Hommes pour 1 femme

À tout âge, mais le plus souvent adulte jeune étiologies :

▪ Prédisposition génétique : HLA B27

▪ Rôle des micro organismes (infection digestive ou urogénitale) concernant les Arthrites réactionnelles

Cible anatomique :

enthèse

▪ puis synovites secondaires.

(23)

Enthèses :

zone d’insertion au niveau de l’os des :

▪ tendons

▪ ligaments

▪ capsule articulaire

Sacro-iliaque :

(24)

Atteinte axiale : rachis + sacro-iliaques

Rachialgies

Fessalgies d’horaire inflammatoire = sacro-iliaques

Atteinte périphérique : enthésitique, articulaire Enthèses :

Tendon d’Achille et aponévrose plantaire (talalgies souvent symétriques)

Tubérosité tibiale antérieure, épicondyliens (coude), moyen fessier peuvent aussi être touchées

Articulaire :

oligo-arthrite

grosses articulations

asymétrique

membres inférieurs

Evolution vers l’ankylose

(25)

Mesure de l’ankylose : distance occiput / mur

(26)

Exemple test mobilité rachidienne : mesure distance doigts / sol

(27)
(28)
(29)

Atteinte enthésopathique périphérique :

Enthésite : tendon d’Achille (talalgie inférieure et postérieure)

Dactylite : Aspect « en saucisse » des doigts ou des orteils

Syndrome articulaire périphérique :

Oligoarthrite asymétrique des membres inférieurs, touchant en particulier genoux / chevilles

(30)
(31)

Manifestations systémiques

:

Signes généraux (sujet âgé)

Ophtalmo : uvéite antérieure aigue

Cardiaque : rythme, Insuffisance aortique, atteinte myocardique…

Pulmonaire : syndrome restrictif Rénale : amylose

Atteintes neurologiques Musculaires ….

Pathologies associées

Cutanées : psoriasis

Digestives : maladie chroniques inflammatoires de l’intestin (maladie de Crohn, rectocolite hémorragique)

(32)

Biologie :

Recherche d’ un syndrome inflammatoire HLA B27

Prélèvements spécifiques (urinaires, digestifs) dans le cadre d’une arthrite réactionnelle

Imagerie :

Radiographies standards Scanner

Scintigraphie

IRM rachis et sacro iliaques.

(33)
(34)
(35)
(36)

Premier temps : AINS : « test diagnostic » Si échec : discussion traitement de fond

Formes périphériques :

▪ ARAVA / SALAZOPYRINE / METHOTREXATE

Formes «axiales » biothérapies (anti TNF alpha)

(37)

Rhumatismes inflammatoires chroniques :

Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies

Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents :

Goutte

Chondrocalcinose

Rhumatisme à hydroxyapatite

Les choses à savoir sur les traitements :

Corticothérapie

Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)

(38)

Sujet âgé (> 60 ans)

Douleurs articulaires des ceintures

épaules hanches

Syndrome inflammatoire biologique (VS, CRP) Altération de l’état général

Rechercher une vascularite associée

Signes oculaires : maladie de Horton

(39)

Bon pronostic Non destructeur Prise en charge :

Corticothérapie

▪ longue

▪ posologie dégressive..

(40)

Rhumatismes inflammatoires chroniques :

Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies

Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents :

Goutte

Chondrocalcinose

Rhumatisme à hydroxyapatite

Les choses à savoir sur les traitements :

Corticothérapie

Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)

(41)

Dépôts intra-articulaires ou péri-articulaires de microcristaux Responsables de mono ou oligo-arthrites récidivantes

3 grand types :

Goutte : cristaux d’acide urique (dégradation des purines) Chondrocalcinose : cristaux pyrophosphate de calcium Rhumatisme à Hydroxyapatite (péri-articulaire)

(42)

Hyperuricémie chronique > 420 micromol/L (résultant de la dégradation des purines)

formation de cristaux d’urate monosodique (UMS) qui se déposent dans les structures articulaires et périarticulaires

Différentes manifestations cliniques :

Accès aigus (arthrite mono ou oligoarticulaire) ou chronique

=> crise de goutte du gros orteil

Avec le temps, dépôts de ces cristaux forment des tophus

goutteux : correspondant à une extension extra articulaire

de la maladie

(43)

Tableau clinique :

En cas de poussée aiguë : monoarthrite du gros orteil

Parfois subfébrile ou fièvre

Survenue nocturne

Hyperalgique avec allodynie

Pseudo septique avec syndrome inflammatoire

Rhumatisme inflammatoire chronique :

Destruction progressive articulaire

Apparition de dépôts extra articulaires : tophus goutteux

Paraclinique :

Possible syndrome inflammatoire biologique

Hyper-uricémie (peut être absente lors de la crise, contrôle à distance)

Diagnostic :

Ponction articulaire (grosse articulation) : visualisation des cristaux

(44)

Goutte avec tophus des 2 gros orteils.

Localisation préférentielle de la goutte

(45)

Terrain :

Homme de plus de 35 ans, Femme ménopausée

Régime alimentaire : excès d’alcool et viandes riches en purines

Greffé, dialysé

Diurétiques long cours

(46)

Crise : colchicine ou anti-inflammatoires

Traitement de fond :

Règles hygiéno diététiques (bannir sodas, bières, alimentation riche en protéine, alcool) Adaptation médicamenteuse

Traitement hypo uricémiant (pour faire

diminuer le taux d’acide urique dans le

sang) : Allopurinol…

(47)

Terrain : femme âgée

Peut être secondaire à d’autres affections (hyper-parathyroïdie, hémochromatose, hypomagnésémie, hypophosphatasie, hypothyroïdie, etc...)

Forme aigue : mono ou oligoarthrite

genou/poignet

Peut être asymptomatique Diagnostic :

radiologique : calcifications ponction : cristaux visualisés

Traitement :

Crise : AINS ou colchicine Pas de traitement de fond

(48)

Dépôt le plus souvent péri-articulaire

épaules/hanches

Crises aigues

Peut être asymptomatique Terrain :

femme jeune (30 à 50 ans) hémodialysé

Signes radiologiques : calcifications tendineuses Traitement :

AINS

Pas de traitement de fond

traitements physiques : ondes de choc, trituration calcification, etc...

(49)

Rhumatismes inflammatoires chroniques :

Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies

Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents :

Goutte

Chondrocalcinose

Rhumatisme à hydroxyapatite

Les choses à savoir sur les traitements :

Corticothérapie

Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)

(50)

Plusieurs voies d’administration :

Orale (Cortancyl ®)

Intra-Musculaire (kenacort ®) Intra-veineuse (Solumédrol) Locale (infiltration)

Plusieurs modalités :

en bolus IV en hospitalisation :

polyarthrite rhumatoïde en crise polyarticulaire

en cure courte :

polyarthrite rhumatoïde,

arthropathies microcristallines

pathologies rachidiennes : lombosciatiques

au long court :

pseudopolyarthrite rhizomélique

(51)

A court terme :

Hypertension artérielle (HTA) Déséquilibre gycémique

Psychiatrique (agitation psycho-motrice, insomnie)

Au long court :

Risque cardiovasculaire (rétention hydro-sodée) Ostéoporose

Effet immunosuppresseur (risque infectieux)

Modalités de prise :

le matin

régime peu salé, peu sucré

(52)

Bilan biologique + ECG avant de lancer la perfusion Attendre le feu vert du médecin

Surveillance :

Tension artérielle glycémie (dextro)

Mesures associées :

régime sans sel, sans sucre

(53)

Ne jamais arrêter brutalement

risque d’insuffisance surrénale aigue (asthénie, douleurs abdominales, nausées, vomissements, hypotension artérielle)

Régime peu salé et peu sucré Effets secondaires :

HTA

Diabète

Risque cardio-Vasculaire Ostéoporose

Favorise les infections

(54)

Anti-inflammatoires

Stéroïdiens : Corticoïdes Non Stéroïdien : AINS

Traitement infiltratif

(55)

Inhibiteurs de la synthèse de prostaglandines Propriétés :

anti-pyrétique

diminue fièvre quelle que soit son origine (infectieuse/inflammatoire/néoplasique)

antalgique

anti-inflammatoire

inhibition des fonctions plaquettaires

Complications :

Digestives Rénales

Gynécologiques/Obstétricales

Réactions cutanéo-muqueuses (intolérances/allergies)

(56)

générale :

orale rectale

intra-musculaire intra-veineuse

locale :

pommade, gel

A prendre au cours des repas

(57)

Digestifs :

Ulcères gastro-duodénaux

Cutanés :

éruption, allergie/oedème de Quincke prurit

Rénales :

insuffisance rénale aigue rétention hydro-sodée

vasculaires (HTA) /gynéco-obstétricales, etc

(58)

Geste médical Indications :

intra-articulaires

▪ arthrite inflammatoire

▪ arthrose en poussée

péri-articulaire

▪ tendinopathie

▪ bursite

syndrome canalaires : canal carpien

rachidiennes : épidurales

(59)

Contre-indications :

Infection générale ou locale Trouble de la coagulation

Hypersensibilité à un constituant de la préparation

Modalités :

asepsie stricte

repos 24 à 48 heure suivant le geste

limiter nombre d’infiltration (3-4/an sur même site)

(60)

Complications :

locales :

▪ infection

▪ hématome

générales :

▪ déséquilibre de diabète

(61)

Ces traitements visent principalement à bloquer des mécanismes importants de l’inflammation, en ciblant précisément une cellule ou un messager chimique.

Anti-TNF alpha cible le TNF (rôle central dans l’inflammation et dans la production d’enzymes qui

détruisent l’os et le cartilage) Actuellement 5 anti-TFF sur le marché

Anti-interleukine (Tocilizumab = anti-IL6) Anti-lymphocytes

▪ Anti-lymphocytes B = RITUXIMAB (via récepteur membranaire CD 20)

▪ Anti-lymphocyte T = ABATACEPT

(62)

Utilisées en association au méthotrexate si possible (car plus efficaces)

Large bilan pré-thérapeutique comprenant :

NFS-ionogramme-urée-créatinémie ALAT, ASAT

Sérologies virales VHB, VHC, VIH

Eléctrophorèse des protéines sériques RP + panoramique dentaire

IDR +/- quantiféron

(63)

Mise à jour du calendrier vaccinal

-

Évidemment les vaccinations obligatoires (dTP :

diphtérie, tétanos, polio +/- coqueluche) REVAXIS ou BOOSTRIXtetra

-

Vaccination anti-VHB (ENGERIX)

J1-J10-J21 = schéma rapide

-

Vaccination anti-pneumococcique :

PREVENAR 13 puis 2 mois plus tard PNEUMO 23

-

Vaccination anti-grippale : annuelle

(64)

Injections sous cutanées : les premières Education du patient

Surveillance biologique régulière

Méthotrexate en Sous cutané : METOJECT : 1/semaine Se poser la question de faire ou non l’injection si :

Dyspnée (patient essouflé) Infection sévère, fièvre

désir de grossesse OU PATERNITE !!...

(65)

Produit gardé au frigo (2 à 8 °C) Sortir 20 minutes avant l’injection Zone saine

Stylo injecteur ou seringue pré-remplie

stylo injecteur :

ne pas retirer rapidement l’aiguille du site d’injection (perte de produit) Les effets secondaires :

Infections +++ :

voies aériennes supérieures/urinaires/cutanées

Reviviscence de tuberculose latente

Réaction locale au point d’injection, limitée :

changer de site

glacer suite à l’injection

Plus importante : déclarer au médecin Améliorer tolérance :

sortir 20 minutes avant du frigo

glacer la zone avant l’injection

varier les sites d’injection (cuisses, abdomen)

Ne pas masser au point d’injection, possible de mettre du froid (surtout si réaction cutanée limitée)

(66)

Dans quel cas ne pas faire l’injection :

Fièvre, infection

Intervention chirurgicale programmée,

ou dans les suites quand non encore cicatrisé

(67)

Soit découverte d’un rhumatisme inflammatoire : bilan de polyarthrite

Soit en impasse du traitement per os :

=> bilan pré-thérapeutique

Infections, tuberculose/hépatites/VIH

Vaccinations (anti-grippale : 1/an, anti-pneumococcique : Prévenar 13 puis Pneumo 23)

Cancer, tumeur : atcd ou nouveau (TDM TAP) Bilan hépatique, rénal, cardiovasculaire

Contraception

Soit en crise :

Traitement de la crise : bolus solumédrol +/- remise en question traitement de fond

Soit en traitement en HJ : régulièrement

(68)

Evolutivité de la maladie : score DAS 28 (clinique) radio/écho

La corticothérapie : objectif : la stopper !!

Dose, tjs essayer de diminuer effets secondaires :

Risque infectieux

Ostéoporose

Risque cardiovasculaire

Effets secondaires des traitements de fonds : Methotrexate : pulmonaire, hépatique, rénal Arava : Tension artérielle, effets digestifs Biothérapies :

INFECTIONS +++

Cancers : poids (altération de l’état général), Adénopathie, etc..

Désir de grossesse ?

Intervention chirurgicale ? à programmer

(69)

Polyarthrite rhumatoïde :

atteinte destructrice articulaire : nécessite un traitement de fond

Traitements de fond biothérapie :

attention au risque infectieux

La corticothérapie :

surveiller : diabète/HTA/Infections

au long court : danger en cas d’arrêt brutal

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