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Le tableau et la scène. Peinture et mise en scène du répertoire hér...

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Academic year: 2022

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Organisateurs

Musée des Beaux-Arts de Nantes : Adeline Collange-Perugi

INHA : Marie-Pauline Martin et Julie Ramos ACRAS : Jérôme de La Gorce et Jean-Noël Laurenti Printemps des Arts

www.museedesbeauxarts.nantes.fr Musée des Beaux-Arts de Nantes 10 rue Georges Clemenceau 44000 Nantes

Partenaires Ville de Nantes Musée des Beaux-arts de Nantes Institut national d’histoire de l’art Association pour un Centre de Recherche sur les Arts

du Spectacle aux XVIIe et XVIIIe siècles Printemps des Arts

Le tableau et la scène

Peinture et mise en scène du répertoire héroïque autour d’Antoine et Charles Coypel

Journées d’étude 16 et 17 mai 2011

Musée des Beaux-arts de Nantes

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Inscription recommandée au 02 51 17 45 70 Pour participer aux ateliers du mardi 17 mai 2011 prière d’écrire à l’adresse suivante

spectacles17e18e@gmail.com

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Inscription recommandée au 02 51 17 45 70 Pour participer aux ateliers du mardi 17 mai 2011 prière d’écrire à l’adresse suivante

spectacles17e18e@gmail.com

Charles Coypel, Roland apprend par les bergers la perfidie d’Angélique, 1733, Musée des Beaux-Arts de Nantes © RMN

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Lundi 16 mai Président de séance : Marie-Pauline Martin

10h45 Accueil et

introduction par Blandine

Chavanne

(directrice du Musée des Beaux-Arts

de Nantes)

et Adeline Collange-Perugi

(conservatrice au Musée des Beaux-Arts de Nantes)

11h Gaëlle Lafage

(Université Paris-Sorbonne)

Quand la Peinture et la Poésie étaient sœurs : : les représentations d’Esther et d’Athalie

11h45 Pierre Frantz

(Université Paris-Sorbonne)

: Scène de théâtre et moment du peintre

Président de séance : Marc Bayard

14h30 Esther Bell

(Morgan Library and Museum, New York)

Une amitié au Théâtre italien : :

Charles-Antoine Coypel et Luigi Riccoboni

15h15 Lau ren ce Mar ie

(U niv ers ité d e P ari s-S orb on

: ne)

Que lle in flue nce de la pe int ure roï que

sur les premières théorisations des passions théâtrales au XVIII siècle ? e

16h Pause

16h30 Emmanuelle Hénin

(Université de Reims)

De l’héroïque : au pathétique

: l’excès théâtral

dans la peinture du XVIII siècle e

17h15 René Démoris

(Université de Paris 3-Sorbonne nouvelle)

De l’usage : des passions

dans les grands genres au théâtre et en peinture, théorie et pratique, au temps du rococo

Mardi 17 mai Président de séance : Jean-Noël Laurenti

9h Jérôme de

La Gor ce

(CNRS, Centr e André Chastel)

Comparaison entre : les tableaux

et les témoignages attestés de scénographie

9h45 Mickaël

Bouffar d-Veilleux

(Université de Montréal)

Dispositif : narratif

et attitude

corporelle dans la peinture française de la première moitié du XVIII siècle e

10h30 Pause

10h 45 Ate lie Une r : sc ène à par tir de l’a ppo rt de l’œ uvr e d es Coy pel : l e m ono log ue d’A rm ide ,

sous la direction de Jed W entz

Président de séance : Jérôme de La Gorce

14h Rebecca Harris-W

arrick

(Cornell University)

Roland apprenant : l’infidélité d’Angélique

:

les différentes versions du

divertissement de l’acte

IV de Roland au

fil des reprises

(communication lue par Irène Ginger)

14h45 Atelier :

Roland apprenant l’infidélité d’Angélique,

essai de mise en espace :

partitions,

livrets et autres sources confrontés au tableau de Charles Coypel

• Jed W entz, mise en scène

• Mickaël Bouf fard-V eilleux, civilité,

mise en scène et étude des tableaux

• Irène Ginger et Hubert Hazebr oucq, danse

16h45 Conclusions

Le tab lea u e t la sc èn

e e d cèn n s e e mis et re ntu Pei

u r ép ert oir e h éro ïq

ue el oyp C les har t C e e in nto d’A ur to au

Qu e la Clé op âtr e a val an t le po iso n de C har les -A nto in e C oyp el, ou le Po rtr ait de M ad em ois elle C lai ro n e n

Méd ée d e C arl e V an lo o, so ien t e mp rei nts d

’u n im ag in air e li é a u t héâ tre , s em ble u ne évi den ce.

M ais la

fo rm ula tio n p osi tiv e d e le ur

« t héâ tra lit é » po se qu est io n.

Tro p s ou ven t r éd uit e à un e q ual ité se ule men t

sen sib le, d ési gn an t to ute r ech erc he ost en tat oir e de l’e ffe t (la g ran dilo qu en ce des m ou vem en ts,

l’e xac erb ati on d es sen tim en ts ou e nco re la po mp e d es déc ors ), la

« t héâ tra lit é » s e d ép lac e a u

co ntr air e d an s l e p ays ag e h ist ori qu e e n f on cti on d

’id ées e t d

’ex pér ien ces co ncr ète s r ela tiv es au x a rts

dra mat iq ues . E lle p eu t d ès lo rs êtr e r ep éré e, et mêm e d éfi nie p ar l’e xam en d u t héâ tre lu i-m êm e, dan s

so n a uth en tiq ue per sp ect ive d u X

e VIII si ècl e – à tr ave rs l’é tu de de sa dra mat urg ie, d e s es déc ors e t d e

so n e sp ace sc én iq ue, d u je u o u d u c ost um e d e s es act eu rs…

To ute fo is, si l’œ uvr e d

’u n C oyp el o u d

’u n

Fra go nar d e mp ru nte in dén iab lem en t à l’i mag in air e t héâ tra l, cet te

« s ou rce » s’a ffi rm e-t -el le, au se in du

tab lea u, co mm e u ne sim ple ré fér en ce, o u d evi en t-e lle « re sso urc e » – so it l’o cca sio n, po ur l’a rti ste , d e

déc ou vri r a u c on tac t d u t héâ tre d es qu alit és exp res siv es pro pre s à l’a rt de pei nd re

?

La sec on de jo urn ée pro lo ng era c ett e réfl exi on , en s

’ap pu yan t su r des a tel ier s de mis e en s cèn e

réu nis san t p rat ici en s e t c her ch eu rs.

L’

hyp oth èse es t q ue la ten sio n e ntr e « so urc es

» e t « re sso urc es

» e st

ég ale men t f éco nd e p ou r l e t rav ail scé niq ue co nte mp ora in . D an s q uel le mes ure le s t ab lea ux peu ven t-i ls

êtr e c on sid éré s c om me des d ocu men ts su sce pti ble s d

’ai der à la co nn ais san ce, vo ire à la re sti tu tio n d es

pra tiq ues sc én iq ues en us ag e à la m êm e é po qu e ? Le s a tel ier s e xam in ero nt, à par tir d’

un ta ble au do nn é,

les él ém en ts qu i, so it rep ris te ls qu els et p rol on gés , s oit ad ap tés , p eu ven t n ou rri r l

’in ter pré tat io n d

’u ne

scè ne en sp ect acl e v iva nt.

Sans conclure hâtivement

de l’influence

d’un art sur l’autre, les deux jour nées questionneront

les

rapprochements entr e peinture et scène, la manièr

e de les raisonner, mais aussi de les expérimenter .

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