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Étude de la section de choc du lithium pour les neutrons
P. Verzaux
To cite this version:
21.
ÉTUDE DE LA
SECTION DE CHOC DU LITHIUM POUR LES NEUTRONSPar P. VERZAUX.
Ancien élève de
l’École Polytechnique.
Institut de
Physique atomique,
Faculté desSciences, Lyon.
Sommaire. - Dans cette étude
théorique, on a montré que pour les neutrons lents et thermiques, l’importante section de choc du lithium est due à l’isotope Li6, ce que l’expérience avait mis en évidence
depuis
longtemps.
Pour les neutrons rapides, la résonance de diffusion pour une énergie de neutrons de 270 ke V est due principalement à l’isotope Li7, tandis que la résonance de réaction pour la même énergie de neutrons est due à Li6. Ce dernier point, jusque dans un passé récent, était sujet àcontes-tation [9] et [15].
JOURNAL PHYSIQUE
13,
JANVIER1952,
Cette étude est un essai
d’interprétation
théorique
des variations-de la section de choc du lithium pour les neutrons. Lesgraphiques
donnant ces variationsont paru dans la Review Modern
Physics
[2]
et[3]
et dans laPhysical
Review[9].
Elles serapportent
à deux zones
d’énergies
de neutrons bien distinctes :les neutrons lents
(au-dessous
due 10eV)
et lesneutrons
rapides (de
o,1 à iMeV.).
Nous allons examiner successivement ces deuxparties.
I. - Neutrons lents
(fig. 1).
Le
graphique,
en coordonnéeslogarithmiques,
représente
une droitequi
a unepente
négative.
Il
s’agit
donc d’une section de choc decapture
(ou
deréaction) qui
décroît,
comme. on lesait,
comme1 .
Nous y relevons les valeurs suivantes :~03B5
Ce
qui correspond
assez bien àl’équation
Or, il y
a, pour les neutronslents, une
section de choc de diffusionélastique
qui
est sensiblementconstante,
égale
à403C0 R2,
cequi
fait environ i barn.Il reste donc la
part
revenant à la section de chocde
capture qui
est11,2
Eev
Or,
d’après
l’expérience,
elle estprincipalement
due à6Li,
malgré
sa faibleproportion
isotopique
(7,5
pour 100).
La section de choc decapture
de 7Lipour les neutrons a été
mesurée,
mesure facilementréalisable,
car elle donne lieu à la formation de lithium radioactif 8Li. Elle a été trouvée très faible.Poole
et Paul[6]
ont trouvé i o-1 barn. Ces mesures ont été contestées etreprises
parHughes,
Hall,
Edler et Goldfarb[7]
qui
ont trouvéo,033
barn.Quoi qu’il
ensoit,
elle est très faible par rapport à celle de 6Liqui,
enproportion isotopique,
atteint80 barns. La
désintégration
de ’Li par les neutronslents
qui
donne lieu à la réactionest bien établie
[ 1 ], [4], [5], [14].
Étude
théorique
de an pour les neutrons lents.- La section de choc de
réaction,
loin desréso-nances, est 1e
produit
deplusieurs
facteurs : lasec--2
tion maxima
03C003BB,
le coefficient de transmissionTo
de la barrière depotentiel,
le noefficientstatis-tique g (J)
et lepourcentage
isotopique.
a.
Coefficient
de transmission de la barrière depoientiet
(neutrons 1=0).
- Soit un faisceauinci-dent de neutrons de nombre d’onde k tombant sur la barrière de
potentiel
-Vo
aupoint x
= o. La fonc-tion d’onde à l’extérieur du noyaupeut
s’écrire22
A est l’intensité
incidente,
B l’intensité réfléchie. Le coefficient de transmission estAprès
franchissement de la barrière depotentiel,
on aÉcrivons
la continuitéde 03C8
et deù
pour x = o :dx
d’où
Ici
b.
Coefficient statistique :
s,
spin
desneutrons = 1/2 ;
2I,
spin
du noyau cible, pour Li, J =1;J,
momentcinétique
résultant
et,
puisque 1
=o, c’est le
spin
résultant· .
Les
produits
de la réaction sont :He,
spin
o;3H, spin
1
3
spin 2
Ces
particules ont,, après
laréaction,
une vitesseassez
grande (Q
=4,fig
MeV).
Ellespourraient
doncprendre
un momentcinétique 1
= 1, cequi
ferait,
au
total,
pourl,
unchangement
de deuxunités,
cequi
estpossible
enrespectant
larègle
deconser-vation de
parité.
On
peut
donc hésiter entre deux valeurs deJ,
3
et 1 ,
mais nousprendrons -
parce que c’est ellequi
donne le meilleur résultat.Donc g (J)
= 3
·,
c. Le
pourcentage
isotopique
de 6Li est0,075.
-Au total
Or,
m est la masse réduite des neutrons. Or 6Li =
6,o’i 697,
et
d’où
Posons
Pour avoir Un
11,2
il f audraprendre
~E
ce
qui
est une valeuracceptable
(K est
de l’ordreou un peu
supérieur
à z Ioiacm-1).
Nous avons donc bien
affaire
pour celle section dechoc
de réaction àl’isotope
6Li. II. - Neutronsmoyennement
rapides
La section de choc totale a un maximum
égal
à ut =
7,8
barns pour uneénergie
incidente ês =23
Elle est
accompagnée,
pour la mêmeénergie,
d’une résonance de
réaction
ainsi quel’indique
la courbe OE«[3]
et[9]
pourlaquelle
an =o,23
barn.Nous voyons, en
première
approximation,
que larésonance de
réaction,
qui
peut
être due àLi6
ou
Li7,. a
uneamplitude
assez faible. La section dechoc totale est due
principalement
à une diffusionélastique
parLi7,
car, en raison de sa faiblepropor-tion
isotopique,
Li,
n’y joue
qu’un
rôle seèondaire.Pour
expliquer
la résonance deréaction,
onpeut
faire
appel
à deuxhypothèses :
a. Réaction des neutrons sur
Li,
suivant le pro-cessus 7Li+
n --->- 8Li(6] et [7].
- Le 8Li estradio-actif
03B2,
depériode
o,89
s[7].
Il donne du 8Be dans un étatexcité,
qui
sedécompose
lui-même en 2aLa
période
deBes
est de l’ordrede Io-2° s,
desorte que la
période
totale de transformation de 8Lien ?-oc est
réglée par
celle de ladésintégration
de 8Li.
Dans ces
conditions,
l’amplitude
de la réaction serait inobservable car;d’après
les formules deBreit
Wigner .
d’où
Il faut donc faire
appel
à une
autre
hypothèse.
b. Réaction
6Li (na)
dont nous calculerons la section de choc dans leparagraphe
suivant.Étude
de la section de choc dediffusion
élas-tique.
- Soitun faisceau de neutrons incidents
parallèle
àl’axe’des z,
frappant
un noyauplacé
en 0.La fonction d’onde
peut
s’écrire(fig.
5) :
Y,
harmoniques sphériques.
a. A Il extérieur du noyau,
u/
vérifiel’équation
- k,
nombre d’onde des neutrons.Nous connaissons deux solutions
particulières
de cetteéquation
qui
sontHI ,
1,
etH’ ,
sont les fonctions de Hankel.Pour kr
grand,
u-1- et u- ont la formeasymptotique
i kr- l03C0)
-i(k r - 17C)
e
2 J et e 2Jui, à l’extérieur du noyau,
s’écrit alors
On pose alors
et
R étant le rayon du noyau.
- b. A t’intérieur du noyau, si nous admettons
qu’il
y a un
puits
depotentiel
-Vo,
ui vérifiel’équation
ou, en
posant
Ko
nombre d’onde à l’intérieur du noyau.On a
Comme ui = const. r
03C8l (r), 03C8l
étant continue dans24
La solution de
(4)
satisfaisant à cette condition estJ l -t’ 9 1
l+1/2
fonction de Bessel.On
exprime
alors la continuité de Ul etpour r = R.
On se contente pour cela
d’exprimer
la conti-nuité de la dérivéelogarithmique
et l’on posef
l est considéré comme une donnéedépendant
desconditions à l’intérieur du noyau.
La condition de continuité des fonctions
(3)
et(5)
1
donne une relation
qui
permet
de calculer ni enfonction de
fi :
On démontre alors que la section de choc de
diffusion
élastique
ests,
I,
Jayant
lessignifications indiquées
à laI re
partie.
OuLe I er terme du
carré,
soitAres
est celuiqui
devientprépondérant
en cas de résonance. A ce momentDans le 2e
terme,
pour 1
= o,Ço
=kR; pour
1£
1,
03BEl
est voisin dezéro, de sorte que
ce terme devientnégligeable.
Le 2 e terme
représente
la diffusion par barrièrede
potentiel.
Application
à ’Li. - La valeur maximaà
larésonance est
Ce sont les ondes P
(1
= 1) qui
donnent lieu à cette résonance.On
peut
remarquerqu’il
n’y
a pas de minimumavant la
résonance,
cequi
n’arrivequ’avec
lesondes S
(1
=o).
Dans ce cas, eneffet,
on a so =kR,
03940,
= o et les deuxtermes -
2 ikR
et kR- i sont
A.
=o
et les deux termesik R
et e2l 1 sont.
fo-
akRde
signe
contraire un peu avant la résonance, cequi
donne lieu à un minimum. Le rôle des ondes P
apparaîtra
mieux dans le calcul de f.Calcul de
03BB:
m masse réduite d’oùCoefficient statistique.
- Jspin
de ’Li=3 )
2Le
spin
total S est I± .I
soit 2 ou 1.2
Avec l = 1,
et
c-’est 8
(J
=2)
qui
convient lemieux,
d’oùÉtude
de la section de choc de diffusionélas-tique
et de la section de choc de réaction de 6Li.- Nous
avons
supposé,
dans la formule(7)
quepour écrire la
résonance,
onposait
11- 41
= o, cequi
supposait
implicitement
quef
l était réelle.C’est le cas de la diffusion pure et c’était
légitime
dans le cas de
Li,
comme nous l’avons vu.Dans le cas de
Lie,
pour la valeur de 03B5étudiée,
il y a une réaction en mêmetemps
qu’une
diffusion,
f
a unepartie imaginaire
et l’on aboutit alors auxformules de Breit
Wigner
complètes
F,
etrn
sont lesdemi-largeurs
de neutrons et deréaction,
elles
sont reliées auxf l,
11,
si d’une manière25
Évaluons
cestermes,
sans oublier lepourcentage
isotopique
o,075.
Nous avons, comme pour ’Li,la masse réduite étant très sensiblement la
même,
il est raisonnable de penser que, comme pour 7Li,3
c’est la valeur J = I - s
+ 1,
soitici 3,
qui
convient.2
Comme
produits
deréaction,
nous aurons alors 3Hde moment
cinétique
total i- 2
etHe4
de momenttotal 1, soit au total i
- I
i= 3 ,
cequi respecte
2 2
bien la conservation des moments.
C’est la valeur
qui
donne le meilleur résultat.Donc g
(J)
=3;
nous obtenons doncet
Occupons-nous
de 03C3r. Lerapport
rnrr
a uneOccupons-nous
de 03C3r. Lerapport (r
n +n +
r
rr)2 r )2 a unea unevaleur maxima avec
rn
etrr
réels etpositifs, qui
est
4 ’,
et,
’à cemoment, rr
= Tn.
On a alorsIl y a un
background (fig.
2)
de.l’ordre
de0,06
barn dû à la réaction 6Li(n «)
par neutrons 1 = oou à des réactions secondaires telles que
résultat voisin de la réalité
(0,23 barn).
On
peut
en tirer uneconséquence
ausujet
desdemi-largeurs.
Il est raisonnable d’admettre quepour
6Li,
comme pour’Li,
fI’ =
45
keV. La for-mule(10)
donne, pour
rr
= rn,
Or atteint la moitié de sa valeur maxima pour
E -
Es = ±
r nt
cequi
faitgo keV.
C’est’une valeur voisine de 100 keV
qu’on
peut
liresur la
figure
2, cequi
confirme notrehypothèse.
Remarque
sur lasignification géométrique
de lademi-largeur.
-- Dans le cas de diffusionpure, ou
dans le cas où
Ir,«Ir,,
ou Qr C 0’n, la formule de BreitWigner
pour la diffusion contient lefac-p2 teur
]r n 2 2 ,
doncatteint
la moitié de sa ’( ê - ê$ )2 + ..!!:..
4valeur maxima
pour s - s, == :t 2 ,
d’oùl’expres-2
sion de
demi-largeur.
Dans le cas
général,
lesdemi-largeurs
partielles
n’ont pas de
signification géométrique
évidente. Conclusionpour la
section de choc totale. - Lasection de choc de diffusion
élastique
de 6Li sera doncDonc
Il faut
ajouter
lebackground (fig.
3) représentant
la diffusionélastique
par barrière depotentiel,
soit environ ibarn,
cequi
nous donne bien autotal les
7,8
barns de lafigure
3.
Calcul de là
demi-largeur
de résonance dediffusion
éIasfique de ’Li.
- Nousavons
La résonance a lieu pour
et la
demi-largeur est
la différence entre les deux valeurs del’énergie
satisfaisant aux deuxéquations
ce
qui
donneà
1 Arés
la valeur 2, c’est-à-dire lamoitié de son maximum
qui
est4.
Nous allons
prendre 1
= 1 et calculer03941, s1
etfi :
d’où
en
posant x
=kR,
d’oùCela nous montre
que 03BE1
estpetit (puisque x
=0,26).
26
d’où
Il reste à trouver
fa. D’après (5),
en
posant X
= KR.Finalement,
a. Les résonances ont lieu pour,
La valeur
numérique
de x est x =?, avec
d’où
A la
résonance,
on a doncOn voit que X est voisin de 7r
[valeur
qui
annule cp
(X)].
-Posons X = 7!
+ t,
En
première approximation,
pour y==0,0626,
on trouve
d’où
Comme
valeur
acceptable.
(Nous
avions trouvé1, 3 5.
r ol3cm-3pour
6 Li. )
b. Il reste à trouver les valeurs de 03B5 solutions
de
(12),
f- 0394
=± s(les
indices i étantsupprimés)
et pour cela nous commencerons par chercher les valeurs de x.
Soient
lm
et4m
les valeurscorrespondant
aumaximum
xm = 0,26,
on af m- am 0394=0.
(12)
peut
s’écrireÉvaluons
chacun.
des termes; Ensuiteet,
puisque
Or,
puisque
i D’autrepart,
Finalement,
Passons au terme suivant :
Le 2 e membre donne
En
résumé,
on aCalculons maintenant 18.
On sait que s est
proportionnel
àx2, g
= ax2.Ici,
pour s =d’où
Pour x =
0,26,
àz =0,046 ,
on aLe résultat est assez
éloigné
de laréalité,
qui
est
45
keV.Il faut
noter,
qu’avec
des ondes S(1
=o),
on aùraittrouvé
unedemi-largeur
beaucoup plus grande,
dont on obtient une valeurapprochée
en divisantpar x2
ouo,067,
soitAu
contraire,
avec les ondes D(1
=2),
elleaurait
étébeaucoup plus petite,
soitLe résultat trouvé est
qualitativement
exact et illie
peut
en être autrement. Nous sommes, eneffet,
partis
dél’hypothèse
de l’existence d’une fonctiond’onde
à l’intérieur du noyau ne
dépendant
que de la seulevariable r, distance de la
particule
au centre dunoyau et aussi de l’existence d’un nombre d’onde
moyen K à l’intérieur du noyau. Il
s’agit
là d’uneapproximation,
ne rendantcompte
que de l’alluregénérale
desphénomènes.
Nous avons vu
cependant
que cettehypothèse
était suffisante pour mettre en évidence le rôle des ondes P.III. -
Neutrons
rapides.
Il y a une autre résonance
pour 03B5= 14 MeV
égale
à03C3t =1,6
barn. Sagrande
largeur
peut
lafaire attribuer aux ondes S
[9].
Mais lesrésultats-sont
trop
peuprécis
pourqu’il
soitpossible
de lesinterpréter
théoriquement.
Conclusion. - Il résulte de cette étude
que :
10 Pour les neutrons lents
(quelques
électronvoltset
au-dessous)
c’est la réaction6Li (n a)3T qui
estle
phénomène principal, malgré
le faiblepourcentage
isotopique
de 6Li. La section de choc estimportante
(jusqu’à
80barns)
etpourrait
êtreaugmentée
parun enrichissement du
mélange
enisotope
6.Il y a
cependant,
pour cesénergies,
une réactionde
capture pour ’Li
nonnégligeable.
. 20 Pour les neutrons
moyennement
rapides,
e’est’Liqui
joue
le rôleprincipal
etprésente
une
section de choc de diffusionélastique
qui,
à larésonance,
atteint6,5 barns,
pour 8, =270 keV.
Pour cette même valeur de
l’énergie,
6Li a unesection de diffusion
élastique
et une section de chocde
réaction,
d’amplitudes comparables,
de sorte quela section de choc
totale,
ycompris
la diffusion par barrière depotentiel,
atteintprès
de 8 barns.Ce sont des ondes P
(1
=1) qui produisent
cette diffusion et cette réaction.Si l’on veut utiliser du lithium pour
produire
des tritons destinés à des réactionsultérieures,
il estdonc
nécessaire d’utiliser un faisceau de neutronsaussi lents que
possible,
cequi
permet
d’améliorerle rendement. Il faut se débarrasser le mieux
possible
des neutronsrapides
en raison de ladiffusionyélas-tique
dont ils sontl’origine.
L’utilisation de 6Li pur
permettrait
d’améliorerconsidérablement le rèndement et d’éliminer
partiel-lement l’inconvénient de la diffusion des neutrons
rapides,
puisque
la section de choc de diffusion et de réaction sont alors sensiblementégales,
l’une et l’autre àManuscrit reçu le 3o mai 1951.
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