• Aucun résultat trouvé

L'expérience d'"écrilecture tâtonnée" à l'école Mireur

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "L'expérience d'"écrilecture tâtonnée" à l'école Mireur"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

6

L'EXPÉRIENCE

« D'ÉCRILECTURE » TÂTONNÉE à l'école Mireur

La présentation qui suit, vise à proposer au praticien un en- semble de repères et d'outils dont nous sonzmes expérimenta-

teurs ... Elle n'a donc pas valeur d'exemple à reproduire, mais de témoignage d'un travail effectué coopérativement par trois éducateurs en section enfantine, cours préparatoire, cours é/é- tnentaire première année* .

QUE FAIRE .?

COMMENT FAIRE?

En septembre 1986, l'école Mireur de Draguignan (sous-préfecture du Var), école à cinq classes et section enfantine, bâtiment haut du

XVIIe

siècle en plein Centre-ville, petite cour goudronnée en- caissée, classes au premier étage, de- vient école expérimentale en pédagogie Freinet, au terme de dix années de tra- vail et de démarches.. . Pour cela, un projet a été rédigé et corrigé à trois reprises. La dernière mouture, celle de 1984, est celle que

«

clandestinement

»

nous avons suivie en 1984-1985. Ce projet, en bref, dégageait deux cycles dans le cursus scolaire : S.E./C.P./

C. E.1, c'était le Cycle 1 avec, comme dominante, la libre expression, et C.E.2/

C.M.1/C.M.2, c'était le Cycle Il ayant comme dominantes, le travail personnel et la recherche.

En ce qui nous concerne, les trois ni- veaux du Cycle

1,

nous avons fait des

tentatives de décloisonnement à la carte (chaque matin, dans chacune des trois classes, était annoncé le contenu des ateliers pouvant intéresser d'autres en- fants) . Sans entrer dans l'analyse, la tendance (hypothèse formulée au départ) choisie dans l'expression-création n'a pas été satisfaisante dans le pro- blème de la démarche de lecture. Ren- trée 1986 donc, c'est pour nous la deuxième année à travailler ensemble et, confrontés à la nécessité de rectifier nos choix pédagogiques, nous cher- chons que faire, comment faire, pour mener l'expérience vers la terre ferme.

D'ABORD, PARTIR DE LA TERRE FERME

Notre questio!lnement voudrait intégrer une démarche de lecture dynamique (cf. articles L'Éducateur 1 à 9/1985- 1986) à notre pratique de la Méthode naturelle. Je me contenterai ici de livrer

Noëlle Goura/eau, Henri Go, Suzanne Zando.

le résultat de nos échanges et de notre réflexion sur la pratique de l'année passée en ce domaine.

moyens de la Méthode naturelle, qui coulera naturellement en tant que méthode au moment opportun.

1. Ne pas larguer inconsidérément les amarres pour se jeter dans le débat

coopératif (prémisse).

APERÇUS SUR LA TERRE

FERME

2. Partir de la terre ferme, c'est-à-dire de la structuration et de la contrainte.

3. Fournir un radeau sur lequel s'ap- puyer pour la traversée des eaux sombres vers l'autre rive (on le laissera couler ensuite).

Nous disions que la première chose est de donner à la pédagogie son assise, en fait d'en situer la terre qui nourrira le travail. Cela commence, en section

enfantine, par un contact quotidien avec l'écrit. Intégrée à la vie quoti- dienne sous une multiplicité de formes, l'action de lire est sollicitée par l'édu- catrice

à

tout moment. Au C. P./ C. E.1, les enfants continuent ce travail et développent d'autres compétences en accédant peu à peu à J'utilisation de l'écrit comme lieu d'expression. C'est l'essentiel fondement de la démarche : l'écrit non plus uniquement outil, mais lieu et sujet ...

TERRE FERME : Qu'est-ce que lire ? Qui lit ? A quel niveau de compé- tence

?

Cela détermine un ensemble de contraintes établies par l'éduca-

teur : sa demande.

RADEAU : Pourquoi lire

?

Quoi lire

?

Comment lire

?

Cela détermine un ensemble d'outils, de techniques, et une structuration de l'espace- temps coopératif établie par l'édu- cateur : son action.

AUTRE RIVE : Pourquoi lire, encore ? Le plaisir de lire : l'intégration de connaissances, le fonctionnement de questions, l'exploration de soi.

Cela détermine le sens et les

Nous donnerons un exemple rapide du contexte dans lequel les enfants sont accueillis par l'éducateur, et qui défi- nit au départ la demande de celui-ci (tableau).

l'HEMJ {-e l 'ESP.tJ:EfJEYi-S

CWi'EP.ATif (C.P,/C.L 1)

fhrler eo

..

. .

.

.

0 .

. . .

.

.

0

:: ll~ 1 : )I.JJ;O 1 : ,lfll() 1 : .

VO.'D'l(OJ . . SJJ'fOI

0 .

.

. . .

.

.

.

. .

. .

.

' .

.

.

.

.

. . . .

.

.

t•••~•••••••••••••::

.. ..

•••••••••••:••••••••••:••••••~•e•:•••••••••••••••••!•••••••••••••••••!••••••••••••••• d~ ll.\J~ :: les eoft<~ts sont lCC>.·~IIIIs lridlvl<!....-ell~"'t : r<Ge>1t d'euto--d!ct~e (rvts d'DI•teate <!ela veille, CH

A 9~ :: e1erple) Plln ~e travail et/«J ~l {~ t~te ll~re

··········ff·

..

····························-···

di! 9~ ~

SM20 {~ 1

.

.

:: R~unlon d'~change et CO::L<lunlcallon (servlc~s.projets, r~gles de vie, discussions, ... ) :: présentation de litres.

•••••••••••••••a•• •ff•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• ••••••••••••••• •••••••••••••••••••••••••••••••

. . .

.

.

:; ; tu CP : çro-~ 1 ; : t J CP : gwr,e 1

--+<; ;~:>

; __

~!~!!~!.!~~3"~"!-,_ .. ; ; -~!!!HU!;'l!'iL .... :

:: Atelier 1: CP/CEl : l1J (,[ 1 : gi"'O';>e 2 ; Atelier 1: CP/CEl : ~!J CEl : gn:,~;~ 2 : fln œ s trdv!•Jt jusqœ vus

. 1(\,~15 : ateliers

d'kri·IHture :: Atelier 8 : CP/()1-l 1 : Atelier l~ll<:l~~ : Atell 8 . CI'.Z.J-P :Atelier lt"';~~ ; t~ la SE<~<~Ir'~

:: CEI/c.Kl : +Atelier 6 : · er · '([1 : +Atelier 6 :

• •

.. 1

:•~~••••:•:ct::c••••~f•~•sscc••••••••

. . . .. ..

••••• •••=•••••••••••••••:•;c:c::c~e=•••••••••••••••. ••••••••••••••••••••••••••. . •••••••~••~•

:: Ateliers de natMnatlque {travail Ind ividuel. ou par petits groupes) :: Flches- llvrets-Hatérlels·Recherches-••

: BilAN OE

.. .

..

.

- ---·-···-·-···-···

..

···-····---·---···

.

A 1 lhl•) •.

..

.

:: Présentatloa de livres de la blblloth~que . .

..

.

la seaalae

~~~:=••~~•:•••••••=••ll•••. . ••••••••~•~••~•=•=~==~~~••••=•~==~•~••::::::::c:sc::c:c:c••:•s•ssc•~•••••••~••••••••ls. s•:•••••••••••' 13113~A

14h15

.. .

.. .

• •

::Atelier de lecture silencieuse (llê au t rava il dutHtln) : '1>1 r,-;- P!" J l ---~,,···-····-···-·-·-··-····----···---··-·---·--·: . . . . . r 1 e-.1 r &.d.ê r

de 14~15

A 1~MS

. .

. . . .

.

.

. .

.

:: PISCI~E : ATHIE~ A !HIERS : ATHIEii..S :

.

.

. . .

. .

.

.

. .

~~•••••••~=•~=•••~~w!ic. . ~~:c:~::t::~~~·=. i•==~=~•=•~:c:~••=::c:~i::::~:•:~:c:sc:::cs:s~;•••••. . •••••~•••••••. '

1~ a

161>.3•)

. . .

. .

.

.. .

..

.

:: Echanges et bilan de la journH :

. .

sur 1 'c->JiniM : JI rtul d'tt.;)rd

la ~HI'VIre' (B!c~.elud)

1

1

(2)

La terre ferme, c'est que l'éducateur sait au départ ce qu'il propose. Un cadre général duquel se prendra l'impul- sion du travail. En ce qui nous concerne, cela se présente comme suit :

- Un travail étroitement concerté pour les trois niveaux (recherche de cohésion du cycle, recherche d'outils communs, d'un rythme commun, d'échanges ... ).

- L'élaboration d'une grille commune d'évaluation de compétences.

- L'accord sur la démarche et les priorités dans chaque niveau.

- L'établissement d'un espace-temps coopératif (avec un enfant garant de l'heure, un secrétaire, un responsable de la parole, des responsables de ser- vices ... ).

- L'entraide coopérative instituée sous forme de deux ateliers : atelier 7 et atelier 8 le lundi et le jeudi.

- Le décloisonnement avec l'atelier langage du mardi et du vendredi.

- Le plan de travail (le bilan hebdo- madaire, les brevets).

LES ATELIERS DE LECTURE TÂTONNÉE

Ces ateliers sont ce que nous prati- quons désormais

à

la place du

«

texte libre

»

(en tant que technique) . Ils sont ouverts et obligatoires tous les jours de 9 h 15

à

10 h 15 environ (cf. le tableau).

Les enfants inscrivent le matin sur leur plan l'atelier qu'ils choisissent. L' ate- lier 7 est un atelier d'entraide : quatre enfants du C. E.1 viennent aider quatre enfants du C.P. pendant quatre semaines (lundi et jeudi)

à

lire un livre type O.C.-

/t~ ~-dt~

- - - .. ~wndL

1

o.Ltfu>v

r .

d.'~;

~,.co~

,~ _ck

~:

alcW-v

1

.&AUJ<tf

tit4, @

_

...C.Ompo~er

_ If"(\ primer

1 o..t~

d.t, ~~~l((.:

~

1

~{1-tV..

1

@

-

.

--

. .

.&dUAL

aNte

j~

- · . - 1

ATELIERS:

d.e!>sin • peinrure. •

po-c;,~e.l.

e.nc.re. •

collctge.

bric.o\d.~e.

~;~'>a..lje. •

t-erre. • scvlftvre • cl<:(.nse •

gym.

rncts~a.ge..

éc.ou~evr~

. é

lecl-tic.i

té. .

~)\, ck,

~-oVv

D. L. première série. L'atelier 8 est aussi un atelier d'entraide C.M.2 en direction du C.E.1 et C.P., sur la série Biblio- thèque enfantine (avec un fichier en édi- tion légère - des questions).

Les ateliers de lecture fonctionnent sur le mode ascendant, en tenant compte des niveaux de compétences ou, si l'on veut, des stades de maturité des enfants.

Mais surtout, ils sont conçus pour offrir le plus de diversité de situations de lecture silencieuse individuelle, ou par couple possible, situations qui, à partir d'une fiche guide, mettent l'enfant en position de réflexion, d'observation, de recherche, de mémorisation. Précisons qu'il n'existe aucun atelier de travail sur les syllabes et les sons (la combi- natoire). Nous nous efforçons de mettre les enfants très lentement sur la piste de la combinatoire et sans passer par une étude spécifique, mais seulement au fil de la pratique de la lecture de textes.

La fiche-guide est un outil de travail individuel qui permet à l'enfant d'accé- der à une autonomie relative d'attitude dans l'apprentissage de la lecture. Cette organisation, ce rafiot institutionnel, est le support qui conduit l'enfant dans son initiation

à

la lecture de sens.

DESCRIPTIF DES ATELIERS

ATELIER 1 : L'enfant remplit sa fiche- guide et la colle dans son cahier de travail. La fiche lui suggère une activité de manipulation des lettres qui sont dans une boîte. Il possède aussi des journaux dans lesquels il peut couper. Et enfin, un tableau récapitulatif de l'alphabet .

Jlxvt~ '

Dll fi J

. 'lMt~

.

ATELIER 2: L'enfant remplit sa fiche et la colle. Il dispose de plusieurs boîtes qui contiennent des mots rencontrés en séance commune et des mots simples du quotidien. Boîte 1 : des noms écrits sur des étiquettes pliées (double face) : une face, modèle en cursive ; une face, modèle en script. A l'intérieur de l'étiquette, une image qui repré- sente ce que nomme le mot.

Boîte 2 : des mots classés en Noms/Verbes/Invariables (trois cou- leurs)

+

Déterminants.

Boîte 3 : des mots classés en Personnages/Verbes/ Lieux/ Mo-

ments/ Choses/ Invariables.

ATELIER 3 : Même démarche. L'enfant écrit un texte avec des coupures de journaux.

A TELl ER 4 : Il s'agit de jeux de per- mutations/ commutations, ou de jeux de lexique (O.C.D.L.).

ATELIER 5 : C'est les fichiers de lec- ture C.E.L. (01/02/A1/A2).

ATELIER 6 : Dans un livre de type O.C.D.L., l'enfant doit retrouver une liste de mots donnés en fin du livre et indiquer

à

quelles pages il les a retrouvés.

ATELIERS 7 et 8 : décrits plus haut.

N.B. :PART DU MAÎTRE

DANS CES ATELIERS INDIVIDUALISÉS

Deux attitudes conjointes caractérisent la

«

part du maître

»

dans cette pratique.

'ôema.i11e.

~ elu

Bii..A

N :

••

1 ~!

.

~ - 'ri

~ ·~

- ..

·~

~

-

'.§

~

~;:::

w

1\.

~

'(>

~

w '

~

:::> ù

·~

)-

. -

. ,..,.. - > -

' ·~

1- ~ \U

~i<lMÜure :

<( V'l

7

(3)
(4)

Atelie.r d.e. lecture. _. (J) : AlBUMS Atelier d.e. lecture.@: ] .E.

-- - - - - - - --

p.r~nom,

, : _ _ _ _ _ _ _ _

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

~~jour cL' hv i ,_ j _ ' a. _ i __ r _ e_nd._e~ . _ M _ ou _ ~

_ _ ct:.;;_v __ e...;;...c :

a.vjourcL'hvi

J

j'a,i rend.e) -vo~

d.Vec. :

---- --- -

,

'

- - - Ju

C.M.,t

C..E.-1

c. P.

- --- - - tLv

C.M.l .

~ ~ kt~ ~vn. ~ dt Biet.ioT~i9Ve:

tNFitNTÎNE • TiTRE

1

: _ _ _ _ _ _ - - -

th. L'a.\ bvm ·

~Titre..

1 d.lbvm : _ _ _ - - - - - -- - Nvm~ro cLe. l'c1lbum :

--- • -- - - - -- - - - -

D'une part, la démystification de son rôle et de son statut : le maître est un outil, et non plus un enseignant possesseur du savoir. Il est libéré de son monologue didactique, ou de son agitation de leader du groupe. Il peut

se dévouer entièrement au groupe, il fait don de sa personne et de ses con- naissances et n'intervient que ponctuel- lement, pour aider : il se rend dispo- nible. Cette situation, si éprouvante soit-elle, est exaltante et valorise notre foi en la coopération, en le compagnon- nage avec l'enfance, pour reprendre l'allégorie de Louis Aragon.

D'autre part, le maître se met

â

l'écoute des personnes. Il voyage à travers la classe, et il est là au bon moment (si possible) pour entendre ces paroles qui cherchent des brèches, un langage. Il peut aussi intervenir de façon mieux adaptée, sur le plan des apprentissages, car il va directement à l'enfant dans sa recherche et sa pro- blématique.

Son rôle actif est enfin d'aiguillonner les démarches personnefles ou bien, si elles sont absentes, d'apporter un sou- tien plus proche et chaleureux aux enfants en carence de créativité.

ET L'ATELIER LANGAGE?

«

L'atelier langage

»

est un atelier qui fonctionne deux fois par semaine, en même temps au C. P. et au C. E.1. Deux

---

---

groupes sont constitués : les bons lec- teurs du C.P. (ceux qui, en février, lisent couramment, ou presque) rejoi- gnent le Groupe 1 au C.E. 1, et les en- fants du C.E.1 ayant besoin de plus de

travail de base en lecture rejoignent le Groupe 2 au C.P.

Le Groupe 1 fait un travail de création/

réécriture de texte (cf. : L'Éducateur n° 4) et d'observation de la langue. Le

Groupe 2 fait un travail d'intégration - en pratique de lecture - des structures de l'écrit.

Ce qui guide notre démarche, c'est le point de vue de la grammaire dialec- tique (cf. Supplément L'Éducateur:

«

Voyage poésie 1 »).

DÉMARCHE : En tant qu'éducateurs, nous avons un point de vue sur la langue, ses structures, son fonctionne- ment. Nous tentons de faire percevoir i~

aux enfants ce que nous considérons être

«

l'énergétique de la langue

».

Au

premier niveau, cela se traduit par le travail d'observation des lois fonda- mentales du texte : dans un texte, on trouve :

1. des personnages (humains, animaux, êtres mythologiques, objets .. . ),

2. des actions, des états, 3. des choses,

4. un espace-temps.

Tout ceci fonctionnant avec des mots- outils (reliés aux instances énumérées : déterminants, qualités des noms ou des actions, invariables (conjonctions, pré- positions).

Ceci montré, manipulé, il nous sera loi- sible de nommer les mots : NOM, qualités du nom, VERBES, invaria- bles (adverbes, conjonctions, prépo- sitions ... )

Exemple de séance au C.P. (fin

·février)

Texte :

«

Comment fait l'écureuil pour monter dans son arbre ?

Il prend une échelle

?

Il prend une longue corde 7 Il prend un avion 7

Il prend une sorcière 7 Il prend ses griffes ?

»

Personnages : l'écureuil, la sorcière.

Action : (comment) fait(?) (il) prend

Choses : (une) échelle, (une) (longue) corde, (un) avion, (ses) griffes.

Endroit : dans son arbre.

Cette pratique vise, par le jeu de la lec- ture coopérative

(cf. :

L'Éducateur n° 2), à éveiller l'intelligence du texte et le questionnement sur le récit vers l' obser- vation de la langue. Ceci dans une

optique de simplicité au service du sens, parce que la langue est le sujet de toute expression et le lieu privilégié des symboles.

Lecture tâtonnée silencieuse et pratique coopérative de lecture sont le bain d'infusion du langage.

H.G.

9

Références

Documents relatifs

[r]

[r]

Disons que l’élevage des oies est quelque chose de nouveau dans la ville : nous allons donc diviser le blason en deux, avec une moitié de gueules, et l’autre de sinople, symbolisant

J'ai peu d'étudiants comparé à Pierre, c'est vrai, mais nous en avons tous deux beaucoup.. d.' Pierre a 35 étudians, j'en

Elles ne pourront le faire que si elles sont ancrées sur des objectifs pédagogiques reprécisés ou corrigés chaque année, par les membres de l'équipe, ce qui

Ce qui apparaît le plus fortement dans notre recherche d'une méthode plus naturelle, c'est d'une part, respecter mieux les rythmes et maturations indi- viduels,

Pour un « petit » volume, champs homogènes. Densité de

Disons tout de suite que c’est une belle discipline… nous n’entrons pas dans ce jeu qui consiste à dénigrer les mathématiques pour un rôle (de sélection par exemple)