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Academic year: 2021

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II- le potentiel mellifère :

La production nectarifère d'une plante va dépendre de nombreux facteurs qui peuvent être classés en deux grandes catégories.

a. Les facteurs propres à la plante :

- la dimension de la fleur influence la dimension et le nombre des nectaires : les grandes fleurs possèdent généralement un plus grand nombre de nectaires et, par conséquent, un nectar plus abondant;

- la position de la fleur sur la plante : la partie haute de l'inflorescence possède souvent des fleurs plus petites qui produisent moins de nectar;

- la durée de floraison;

- le sexe de la fleur : cas de certaines plantes dioïques (individus à sexes séparés) ou monoïques (fleurs à sexes séparés); ex : production de nectar plus importante des fleurs mâles chez les saules (plante dioïque), production plus forte de fleurs femelles chez les Cucurbitacées (melon, potiron, courgette : plantes monoïques);

- les facteurs génétiques : différences de production entre les variétés cultivées de certaines plantes, notamment les arbres fruitiers;

- l'âge de la fleur : la fleur a une production de nectar qui varie en fonction des stades de la floraison; ex. : marronnier : les 6 premiers jours ; tilleul : production plus importante chez les vieilles fleurs; ronce : les soixante premières heures;

- la fécondation de la fleur : la fécondation provoque la diminution ou l'arrêt de la sécrétion nectarifère.

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b. Les facteurs de l'environnement :

- l'humidité relative de l'air : le nectar est généralement plus abondant lorsque

l'humidité atmosphérique est élevée; ce phénomène est dû aux propriétés hygroscopiques du nectar; néanmoins une humidité trop élevée peut générer un nectar dilué et peu

attractif;

- l'humidité du sol : il existe un optimum pour chaque plante; ex. : le trèfle blanc présente un optimum par temps chaud mais lorsque le sol est humide (quelques heures après une pluie, par ex.);

- la nature du sol : en règle générale, la production de nectar est maximale lorsque le sol correspond aux exigences écologiques de la plante; ceci est très important pour la

plantation des espèces mellifères;

- la température : optimum pour chaque plante; ex. : la production nectarifère du tilleul est favorisée par des nuits froides; le robinier faux-acacia exige une température d'au moins 20 °C dans nos régions;

- autres facteurs : le vent, les orages, la lumière, l'état sanitaire des plantes, l'altitude.

La production de nectar est donc un phénomène complexe qui dépend à la fois de la plante (génétique, morphologie et physiologie) ainsi que des facteurs de l'environnement.

De ce fait, il existe une difficulté à tirer des lois simples (les paramètres étant fort nombreux). Cela peut expliquer les différentes opinions des apiculteurs au sujet de l'intérêt mellifère des plantes.

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II.1 La mortalité et la morbidité Mortalité

Pour le taux de la mortalité, la définition suivante a été retenue : « pourcentage de colonies mortes dans un rucher au cours d’une période donnée».

Morbidité

La morbidité est définie comme étant l’état de maladie ou la fréquence des malades. La deuxième acception correspond au nombre de malades dans une population pendant une période donnée. Pour le calcul du taux de morbidité, défini par « le pourcentage de colonies malades dans un rucher au cours d’une période donnée », seules les colonies malades (anormales) seront comptabilisées au numérateur.

II.2 CAUSES DE MORTALITÉ DES COLONIES D’ABEILLES :

On peut distinguer cinq catégories de causes de mortalité des colonies d’abeilles : - les agents biologiques ;

- les agents chimiques ; - l’environnement ; - les pratiques apicoles ; - les autres causes.

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III. TECHNIQUES DE RECOLTE :

Comme pour la visite de la ruche, la récolte nécessite l’intervention de 2 personnes : l’opérateur et l’aide qui tient l’enfumoir. Pour récolter sa ruche, l’apiculteur procédera comme pour la visite courante.

Le miel stocké par les abeilles se trouve normalement dans les barrettes externes de la ruche.

Le miel est mûr lorsque les alvéoles des rayons sont recouvertes par une mince pellicule de cire appelée opercule (cire blanche) on dit que le miel est operculé.

les abeilles et coupe le rayon de miel en laissant au moins 2 cm de gâteau collé à la barrette. Le miel récolté doit être gardé dans un seau à couvercle.

sse dans le sens des barrettes externes vers les barrettes

internes jusqu’à rencontrer les lattes portant du couvain. Il arrête et reprend l’opération de l’autre coté de la ruche de l’externe vers l’interne jusqu’à rencontrer le couvain.

pour la consommation des abeilles.

L’apiculteur doit veuille à récolter du miel de bonne qualité.

Récolte du miel : des conditions à réunir

Pendant la période de la récolte du miel, l'apiculteur doit faire preuve de prudence et veiller à sa sécurité.

La récolte se fait quand le miel est arrivé à maturité, lorsque la proportion en eau dans le miel est proche des 18 %.

La récolte se fait :

à la fin de la phase d'operculation, qui en est le signe,

par beau temps, en fin de journée, sauf le cas d'un grand rucher.

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Il existe deux récoltes possibles :

un miel de grande clarté et à cristallisation rapide,

et un miel fluide plus foncé, malté.

Technique : une récolte du miel en 2 temps

Le traitement du miel se fait en deux temps, dans le rucher puis dans la miellerie.

Le travail au rucher : plusieurs techniques de récolte

Il faut d'abord prélever les hausses, ce qui peut se faire par l'une ou l'autre de ces techniques :

RÉCOLTE DU MIEL AU RUCHER : LES TECHNIQUES TECHNIQUES DE

RÉCOLTE

CARACTÉRISTIQUES Récolte cadre à

cadre

Technique la plus courante.

L'apiculteur procède par enfumage et ôte les abeilles par secouage ou par brossage à la balayette.

Cette méthode est rapide, mais il y a des coulées de miel.

Récolte au chasse- abeilles

Nasse destinée à piéger les abeilles :

une technique plus sûre, sans coulée de miel et avec une fumigation moindre,

mais 2 interventions sont nécessaires et technique inefficace si le couvain est dans la hausse.

Récolte au répulsif L'apiculteur utilise un couvre-cadres spécifique muni de jute, préalablement pulvérisé d'un répulsif (essence de mirbane ou benzaldéhyde).

Ce procédé est peu pratiqué, car la technique est rapide, mais :

o rigoureuse,

o toxique,

o donne un miel pollué.

Récolte au souffleur Convient à l'apiculteur professionnel.

L'appareil chasse les abeilles dans le corps de la ruche.

L'opération est très rapide et efficace.

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Le travail à la miellerie : deuxième étape de la récolte de miel

Après avoir prélevé toutes les cadres, il faut extraire le miel dans un endroit sec, tempéré et protégé des pillages.

La récolte du miel par étapes : RÉCOLTE DU MIEL

ÉTAPES CARACTÉRISTIQUES

On ôte la cire protectrice des alvéoles.

Cela se fait dans le bac à désoperculer au moyen d'un couteau électrique disposant d'une large lame coupante, en évitant une caramélisation de surface.

Par-dessus un tamis, le couteau rase la surface des cadres pour ôter les bouchons des alvéoles.

Un robinet disposé sous le bac permet de récupérer le miel.

Les cadres sont mis dans l'extracteur.

C'est un appareil de forme cylindrique à force centrifuge avec ou sans régulateur de vitesse.

Le miel est obtenu par ricochet sur les parois de l'appareil et déversé vers le bas.

Le miel est tamisé dans des

maturateurs.

Ce sont des cuves disposant de filtre et d'un robinet.

Suite à cette période de décantation, le miel est plus pur.

Tous les déchets forment une couche supérieure de mousse isolante.

Il faut surveiller la proportion en eau au moyen d'un réfractomètre.

La mise en pot. Possible après une quinzaine de jours.

Si le miel est destiné au commerce, les pots doivent avoir une étiquette mentionnant le poids en grammes et les informations pour la traçabilité du produit.

Quelques conseils pour réussir sa récolte de miel

Autant que possible, limitez les déchets pour éviter tout pillage.

Munissez-vous d'un contenant étanche lors de la récolte.

Veillez à stocker le miel à l'abri, dans un endroit sec et tempéré.

Procédez à deux récoltes afin de rendre la colonie plus apte à l'hivernage.

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IV. Pratique de la transhumance : 1. Définition :

De nombreux apiculteurs transhument leurs ruches plusieurs fois au cours de l’année pour faire bénéficier leurs abeilles des floraisons successives et de la diversité des espèces mellifères, sauvages ou cultivées. En se déplaçant progressivement du Nord vers le Sud, ils arrivent à faire plusieurs récoltes de miel. Certains font voyager leurs colonies pour offrir à leurs butineuses des menus diversifiés et obtenir ainsi des miels spécifiques, mono ou polyfloraux. D’autres fuient leurs régions d’hivernage au moment où les agriculteurs traitent leurs cultures, craignant l’impacte des pesticides sur la santé de leurs abeilles : ils recherchent des étendues de friches, des zones pastorales, des espaces de campagne où la végétation n’a pas été polluée.

Autrefois les ruches étaient portées à dos d’homme, de mulet ou sur des charrettes tirées par des bœufs ou des chevaux et déposées un peu plus loin, les déplacements étant limités par la lenteur du voyage. Elles sont aujourd’hui transportées sur des camions à plateau et sur des grandes distances. Chargements et déchargements sont maintenant mécanisés et permettent de transporter en un seul voyage un grand nombre de ruches.

Ce déplacement se fait le plus souvent de nuit, quand les colonies sont rentrées. Il faut éloigner les ruches à plus de trois kilomètres à vol d’abeilles pour éviter que les butineuses reviennent à leur ancien emplacement de récolte de pollen. On fait voyager les abeilles « ruches fermées » ou ruches « ouvertes ». La première technique, la seule employée jusqu’à une période récente, consiste à enfermer les abeilles et à les libérer à l’arrivée sur leur nouveau lieu de vie. Aujourd’hui on préfère laisser les ruches ouvertes, ce qui évite l’étouffement des colonies surtout s’il fait chaud et si le voyage dure plusieurs heures. Cependant, en cas de panne ou d’accident, les abeilles risquent de sortir et d’attaquer le chauffeur et les habitants alentours.

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Le déplacement des ruches entre départements est soumis à la même réglementation que celui des troupeaux de moutons ou de vaches. Les apiculteurs qui veulent transhumer leurs ruches doivent le signaler à la direction des services vétérinaires de leur département afin d’obtenir une carte annuelle d’apiculteur pastoral. L’état sanitaire de leur rucher est inspecté et à la veille du départ, un « certificat sanitaire de provenance » leur est délivré, valable seulement 48 heures.

Pourquoi transhumer des ruches ?

Cette pratique n’est pas nouvelle, on en fait état dans les publications anciennes. Elle se justifie, de plus en plus, pour diverses raisons.

Dans beaucoup de régions, les floraisons mellifères, sauvages et cultivées, se succédaient autrefois au fil de la saison, sans aucune carence complète de fleurs mellifères pendant une longue période.

Hélas, ce n’est plus le cas maintenant ; les floraisons adventices et sauvages, qui prenaient le relais des cultures mellifères, sont en grande partie disparues, avec l’emploi généralisé des désherbants sélectifs, plus le défrichage de landes, etc.

Et puis, pour rentabiliser et augmenter la production, il faut aussi suivre les floraisons de la saison, lesquelles se succèdent rarement au même endroit, sauf dans quelques situations exceptionnelles.

Enfin, de nos jours, nous sommes de plus en plus nombreux, hélas, à fuir certaines cultures mellifères, que nous avions sur place, et qui sont devenues toxiques, en raison de l’emploi des pesticides neurotoxiques systémiques.

Et se réfugier ailleurs, dans des zones plus propres, pour d’autres miellées et pour que le cheptel puisse survivre.

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Les heures propices pour déplacer les ruches Bien sûr, par temps frais ou temps de pluie, les abeilles ne sortant pas, on peut déplacer

les ruches dans la journée.

Mais dans la majorité des cas, ce travail se fera le soir, de nuit, ou le matin très tôt. Le chargement des ruches ne s’effectuant que lorsque les abeilles sont toutes rentrées bien sûr.

Si la distance du transport est courte, on peut déplacer le soir, ou mieux encore le matin,

en ayant chargé au lever du jour.

Attention, une courte distance signifie un minimum de cinq ou six kilomètres, si on ne veut pas voir des butineuses revenir se perdre au point de départ.

Pour les grandes distances, ce qui est souvent pratiqué par les professionnels, on charge

le soir et on roule de nuit.

Ruches ouvertes ou ruches fermées ?

Les deux techniques sont valables suivant les cas.

Laisser les " ruches ouvertes " peut simplifier le travail et éviter l’étouffement des colonies, surtout s’il fait très chaud, et si le temps de transport est long. Mais il faut bien maîtriser la technique. Avant de charger, il faudra donner un peu de fumée, par les entrées une ou plusieurs fois, pour éviter l’agressivité et la sortie intempestives des

abeilles, lorsqu’on les charge.

Ensuite et dès qu’on roule, les abeilles restent souvent calmes.

Avec un chargement de ruches ouvertes, et surtout par temps chaud, il faut éviter de laisser longtemps le camion en attente en stationnement ; car, pendant ce temps, les abeilles ventilent aux portes, et parfois sortent en " barbe ", en se collant bien sûr à la paroi de leur ruche, mais hélas aussi aux parois des ruches voisines. Avec les pertes

d’abeilles qui s’ensuivront lors du déchargement.

Si le camion doit stationner, il est bien de pulvériser de l’eau sur le chargement, ce qui

crée une fraîcheur et une baisse de température.

Mais le grand principe, avec un chargement de ruches ouvertes est de rouler de suite, et de décharger aussitôt rendu. Inutile de dire que le transport " ruches ouvertes " n’est possible qu’avec un camion ou camionnette plateau, dont la cabine est isolée du chargement.

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Dans une petite camionnette ou fourgon tôlé, avec cabine communicante, c’est à éviter impérativement.

Transport " ruches fermées "

Plusieurs systèmes de fermeture sont possibles, les plus simples étant toujours les meilleurs.

Pour ceux qui ont des grilles d’entrée, en tôle, réversibles, on peut ainsi fermer les ruches.

Fermeture des ruches avec grilles d'entrée réversible. Fermeture des ruches avec une bande de mousse, système extrêmement pratique.

Une autre technique très simple, et très, très pratique, est de disposer des bandes de mousse souple, de section carrée de 3 cm x 3 cm, et de la longueur des entrées de ruche et même quelques centimètres en plus. On les pousse avec le lève-cadres au long de l’entrée de la ruche où elles se coincent, et sont hermétiques aux abeilles sans problème.

C’est très pratique pour les placer, et encore plus pour les enlever. Là, on tire par un bout, il n’y a même pas à enfumer.

Ces deux techniques de transport, avec les entrées fermées, supposent que les ruches ne vont pas voyager très longtemps, car il y aurait risque d’énervement et

d’étouffement des abeilles. Sauf si les ruches sont équipées de plateaux grillagés, lesquels permettent la ventilation par en dessous.

Et puis, il y a aussi la technique des " muselières " d’entrées grillagées, qui empêchent les sorties, ou plutôt laissent les sorties d’abeilles possibles, mais dans un " sas " grillagé et aéré.

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Là, il y a autant de modèles que d’apiculteurs, ceux-ci ne manquant pas d’imagination.

Celui de la photo est le nôtre ; il s’accroche sur les angles arrière du corps de ruche, par le relais d’élastiques, coupés dans des chambres à air.

Fermeture des ruches avec " muselières "

d’entrée grillagée, laissant une bonne aération.

Détail d’un crochet, en fil aciéré, lui-même relié à un côté de

la " muselière " d’entrée par un élastique, et qui se prend tout

simplement sur l’angle arrière du corps de ruche.

J’ai parlé précédemment de plateaux de fonds grillagés, en tout ou partie, de grillage solide, ou de métal déployé. C’est intéressant sans doute dans la lutte contre varroa, mais c’est également une bonne sécurité d’aération dans le transport des ruches. Du moins, tant que les abeilles n’ont pas propolisé et obstrué les grillages.

Véhicules de transport

Pour les professionnels, c’est bien sûr le camion ou camionnette plateau. Certains les préfèrent équipés de ridelles à claire-voie, ridelles rabattables. D’autres préfèrent les plateaux nus. Et plus encore, s’ils ont mécanisé le chargement, en ruches sur palettes, avec chariot-élévateur, ou une petite grue fixée au camion. Là, il faut sangler les rangées de ruches ou palettes de ruches. C’est parfait pour le transport ; les ruches étant

solidement arrimées, sans jeu, avec le plateau. Pour les apiculteurs " semi-professionnels ou amateurs ", une camionnette suffit.

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C’est souvent un petit ou plus grand fourgon tôlé, polyvalent pour les divers travaux des ruchers. Là, le chargement est moins confortable. De toute façon, sauf moyens

mécaniques, il faut charger les ruches à deux et les prendre soit par les poignées du corps de ruche s’il y en a, soit en dessous, tout simplement. Porter les ruches tout seul suppose une colonne vertébrale solide, mais hélas, ça se termine parfois très mal pour le dos. Y penser aussi lorsqu’on empile les ruches dans une camionnette, là aussi les positions ne sont pas toujours les meilleures. Enfin, certains ne disposant pas de camionnette utilisent une remorque pour leur travail. La suspension des remorques n’est pas la meilleure pour le transport des ruches ; elles y sont plus secouées que dans un véhicule normal. Il faut donc bien les caler à l’intérieur, ou les sangler. Notons qu’une remorque à deux essieux est un peu plus confortable.

Filets de protection

Ces filets, pour coiffer un chargement de ruches, sont de plus en plus utilisés par les apiculteurs. Ils ont un double intérêt, d’abord empêcher quoi que ce soit de s’envoler du chargement, un toit de ruche par exemple, lors du transport. Et puis, les abeilles en sont prisonnières, pour celles qui voudraient s’envoler pendant le voyage, ou encore lors d’un arrêt à un feu rouge, ou un péage, etc., et créer des problèmes !

Enfin, ces filets laissent passer une aération normale. Le " nec plus ultra " consiste en un filet sombre, laissant passer l’air, mais réduisant de beaucoup la lumière, du genre store de fenêtre velux. Si certains d’entre nous savent où s’en procurer, et l’auraient déjà utilisé, qu’ils n’hésitent pas à nous en faire part avec leurs observations. Merci d’avance

PRECAUTIONS A PRENDRE LORS D’UNE RECOLTE :

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