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HANKEL. - Ueber Photoelectricitat des Flusspathes (Photo-électricité du spath-fluor); Abhandlungen der Königl. Sächs. Gesellsch. der Wissenschaften, 1877

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237298

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237298

Submitted on 1 Jan 1877

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HANKEL. - Ueber Photoelectricitat des Flusspathes (Photo-électricité du spath-fluor); Abhandlungen der Königl. Sächs. Gesellsch. der Wissenschaften, 1877

C. Daguenet

To cite this version:

C. Daguenet. HANKEL. - Ueber Photoelectricitat des Flusspathes (Photo-électricité du spath-fluor);

Abhandlungen der Königl. Sächs. Gesellsch. der Wissenschaften, 1877. J. Phys. Theor. Appl., 1877,

6 (1), pp.254-255. �10.1051/jphystap:018770060025401�. �jpa-00237298�

(2)

254

équatorial,

du courant de la Manche entre Douvres et

Calais,

etc.

La

plus grande

valeur

du’il

ait obtenue n’est que de dix Volts. Il

en conclut que les courants

électriques qui peuvent

en résulter

son t

trop

faibles pour déformer sensiblement les

lignes d’égale

dé-

clinaiso n.

J. LIPPMANN.

HANKEL. - Ueber Photoelectricitat des Flusspathes (Photo-électricité du spath-fluor);

Abhandlungen der Königl. Sächs. Gesellsch. der Wissenschaften, I877.

A l’occasion de recherches sur les

propriétés thermo-électriques

des

cristaux,

l’auteur a été conduit à étudier l’électricité

développée

par

l’exposition

à la lumière de cristaux violet sombre de

spath-

fluor de Weardale

(Angleterre).

Les effets

qu’il

a observés sont

beaucou p

plus

intenses que ceux fournis par l’échauffement du cristal ou par le frottement de sa surface avec un

pinceau;

ils sont

d’ailleurs de

signe contraire,

et par

conséquent

doivent être attri- bués à une action propre de la lumière.

L’électromètre

employé

par M. Hankel se compose d’une feuille d’or fixée âl’extréxnité d’une

tige

de laiton

isolée ;

de

part

et d’autre de la feuille d’or sont deux

plaques

de laiton

isolées,

mobiles au

moyen d’une vis

micrométrique ;

un commutateur

permet

de les faire

communiquer

avec les

pôles

d’une

pile

de

Volta,

formée de

petites

éléments

zinc,

cuivre et eau ; les extrémités de la

pile

sont

isolées,

et son milieu est en communication avec le sol par l’inter- médiaire des

tuyaux

du gaz.

La sensibilité de

l’appareil

varie avec le nombre des éléments et

la distance des

plaques;

on mesure le

déplacement

de la feuille d’or avec un

microscope grossissant. 40 fois,

et muni d’un micro- mètre

transparent. Quand

la sensibilité est relativement

faible,

on

fait dans

chaque expérience

deux

observations,

en renversant les

pôles

de la

pile; mais,

avec un

appareil trés-sensible,

il est très-

diffi cile

d’égaliser

exactement les deux moitiés de la

pile

et de les

mainte nir consuantes : alors on ne fait

qu’une

seule observation.

Pour étudier la tension aux différents

points

d’une surface cris-

talline,

on se sert d’un fil de

platine

extrêmement

fin,

réuni à la

feuille d’or et soudé à un fil

plus

gros, muni d’un manche

isolant,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060025401

(3)

255

qui permet d’approcher

à volonté la

pointe

du fil de la surface du cristal.

Les cristaux sont enfermés dans un vase de cuivre

rempli

de

limaille de cuivre

tassée,

de

façon qu’une

seule face du cristal reste

libre;

on nettoie cette face avec un

pinceau,

on laisse

l’appareil vingt-quatre

heures dans

l’obscurité,

enfin on

l’expose pendant

un

temps

déterminé à l’action de la

lumière,

et l’on

place

le vase sur

un

support métallique

non isolé.

Pour étudier l’action des rayons de différentes

espèces,

on met

le vase de cuivre dans une caisse

noircie,

dont une

paroi,

inclinée

à

45°

est

percée

d’une

large

ouverture

qu’on peut

fermer avec des

verres colorés ou des vases contenant différents

liquides.

Voici maintenant les

principaux

résultats : le centre d’une face cristalline

présente, après

une

exposition

d’une heure environ à

la lumière du

Soleil,

une forte tension

négative,

tandis

que la

tension

vers les arêtes est

plus

faible et même le

plus

souvent

positive.

Une

exposition

du cristal à la

température

de

95°, prolongée pendant plusieurs heures, fournit, pendant

le

refroidissement,

de

très-faibles tensions

positives

en tous les

points

du cristal. Les

expériences,

faites en filtrant la lumière à travers des verres

colorés,

une couche

d’eau,

une dissolution d’alun ou de sulfate de

quinine,

montrent que les rayons

chimiques

sont de

beaucoup

les

plus

actifs.

Enfin une

trop

forte concentration de la lumière sur la face cristal- line lui enlève toute sensibilité à l’action ultérieure de la lumière.

Pour donner une idée de la

grandeur

des tensions observées dans

ces

expériences,

IVI. Hankel

indique qu’une plaque

de laiton de

95mm

de

diamètre,

réunie avec un élément

zinc,

cuivre et eau

non

isolé,

donne une déviation de

10, 2 lorsqu’on approche

le

plus possible

la

pointe

du centre, et environ

o°, 6 quand

on

l’approche

du bord.

Les déviations obtenues par

l’exposition

à la lumière

atteignent

21° et même 260 au centre d’une face du cristal électrisé par la lu- mière.

C. DAGUENET.

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