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Études statiques du fémur humain: contribution à l'étude de l'angle de la diaphyse du fémur et de l'angle du col

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Études statiques du fémur humain: contribution à l'étude de l'angle de la diaphyse du fémur et de l'angle du col

LAGOTALA, Henri

LAGOTALA, Henri. Études statiques du fémur humain: contribution à l'étude de l'angle de la diaphyse du fémur et de l'angle du col. Archives suisses d'anthropologie générale , 1920, vol. 4, no. 1, p. 99-106

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:150887

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1 / 1

(2)

~

Tome IV. No r, 1920.

Études statiques du fémur humain.

Contribution à l'étude de l'angle de la diaphyse du fémur et de l'angle du col

par

HENRI LAGOTALA.

..,

Lors de la session de la Société helvétique des Sciences naturelles en

I 9 I 5 à Genève, nous avions présenté quelques résultats d'une étude de cent fémurs humains 1 •

Ces fémurs provenaient d'un ancien cimetière, celui de la Madeleine à Genève. Ils datent des XIVe et XVe siècles. Ce sànt des fémurs droits ayant appartenu à des individus du sexe masculin. M. le Prof. -Eug.

Pittard a bien voulu mettre ce matériel à notre _disposition, . nous le remercions vivement.

Ces fémurs présentaient les caractéristiques moyennes suivantes : Longueur absolue

Longueur trochantérienne (longueur absolue moins long. du col en projection) Longueur en position (taille reconstituée : 1m,649)

45 rmm,4 435mm,8 447mm,7 Le r6

°/

0 présentait la platymérie antéro-postérieure et le _7

°Io

la platy-

mérie transversale ( sténomérie).

a) Angle de la diaphyse fémorale sur le plateau tibial :

.Cet an~le qui atteint sur 98 fémurs la moyenne de ro0 6/10 varie beaucoup . Le maximum en effet est de r 5°, il appartient à un fémur de 446mm de làngueur maximale. Le minimum 5° 1/2 a été mesuré sur un

1 1• Archiv. des Sc_ phys. et nat. IV• Période, t. XLI, mars 1916, p. 234-237: Premiè1·e note au sujet dufémur humain, par H ENRI L AGOTAI..A .

2• HENRI LAGOTALA, Contrib1ttioli à l'étude antlzropolol(ique dtt jém1tr. Actes Soc. helv. Sc. Nat., 11, 1915. - Section d'Anthropologie er d'Etbnographie.

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100 HENRI LAGOTALA •

fémm

à:-pHïtymérié transversale ( 107. r) long de 4S8mm. La différence entre le maximum et le minimum s'élève à 9° 1/~ ce qui est énorme.

Comparant cette valeur d'oscillation à celle de la moyenne générale : ro0 6/10 nous voyons qu'elle représente du 89,_S 0/0 • La variation de la longueur absolue maximale calculée de même façon donne du 21,71

°Io·

Nous avons réparti les fémurs par groupe de IO, en fonction de la longueur absolue croissante. Ceci nous a donné les résultats suivants:

(les fractions d'angle sorit en centièmes)

Groupes Groupes

(. I 1°,45 6. 10°,25

2. 11°,60 7· 90,16

3. 90,40 8. 10°,ro

4· 12°,oS 9· 9°,94

5. I !0 ,60 ro. w0 ,o5

Nous prenons les So fémurs les plus courts et les So les plus longs et nous obtenons un angle de:

11,0,22 pour les fémurs courts et de 9°,9 pour les fémurs lon9s.

Nous voyons nettement que la taille du fémur est eri relation avec l'angle de la diaphyse. Un fémur .long a un angle diaphysaire plus petit qu'un fémur court.

Le graphique de l'angle du fémur est régulier. Sur 98 fémurs dont nous connaissons l'angle, le 81 ,6

° /

0

-,.1 (80 fémurs) est compris entre 9° et 12°,·

>

le 9,18

°/

0 entre 5° et 8° y compris, le le 9,18

°/

0 également entre 13° et 15°.

Le sommet de la courbe montre que 26 fémurs (soit le 26,5

°/

0 ) atteignent la valeur de 11°.

La moyenne de 11 '\60 est donc bien une expression de moyenne réelle et non le fait d'une égale et forte répartition sur deux valeurs extrêmes.

1• i" r r ~ ~ ~· ~· ,.. , ~ · Nous avons ensuite constitué deux

groupes de 10 fémurs chacun. L'un comprend les 10 fémurs à angle le plus petit, l'autre les 10 fémurs à angle très grand. Nous avons établi les caractéristiques de ces deux groupes (I et II).

F1G. 1. - Répartition des valeurs de l'angle . de la diaphyse.

(4)

:l

" •

Groupes : 1 II

Angle de la diaphyse 70 ,35 130,45

Longueur absolue 460,2 447,o

)) trochantérienne 443,5 431 ,3 D. A. P. région du 1/3 supérieur 28, 1 26,8

D.T; )) )) 3o,6 3o.3

D. A. P. du pilastre 3o,o 27,S

D.T. )) 27,1 26,9

D. A. P. de la région poplitée 33,6 32,7

D.T. )) )) 40,2 38,7.

•·

Indice de platymérie 92,17 88,7

)) pilastrique 112,14 102,43 .

)) poplité

..

84,0~ 84,73

Longueur du col 96,5 96,3

D. A. P. du col 25,7 26,3

D. T. du col . 33,5 3r,9

Angle du col . 133, 1 133,5

Un premier coup d'œil indique nettement que le groupe 1 (angle petit) a un fémur plus développé que le groupe Il. Mais il s'agit ici des valeurs absolues. Considérant les indices nous voyons que l'indice de platymérie du groupe 1 est plus grand (92,17 et 88,7) que celui du groupe Il. De même en ce qui concerne l'indice pilastrique (112,14 et 102,43). L'indice

poplité reste sensiblement le même. .

Nous pouvons en déduire qu'il semble que le D. A. P. de la région supérieure et moyenne de l_a diaphyse est relativement au D. T. plus développé chez ces fémurs à angle petit; il y aurait une tendance chez ces derniers à un aplatissement transversal.

Quatre fémurs du groupe II sont platymériques antéro-post~rieure­

ment, et 2 sont platymériques transversalement. Le groupe 1 ne montre aucune platymérie antéro-postérieure, mais trois des fémurs possèdent la platymérie transversale. C'est peut-être ici un fait du hasard. Nous ne pouvons conclure, avec des séries si faibles, que d'une façon toute pro- visoire. Pour serrer le problème de plus près nous avons pris ro fémur~

à platymérie antéro-postérieure et 1 o à platymérie transverse :

1 o fémurs de pla.tymérie de 74,46 donnent un angle moyen de 10° ;75 ; 10 fémurs de platymérie de rn5,31 donnent un angle moyen de 10°,35.

Or la moyenne générale est de 10° ,60. Ceci nous indiquerait qu'il n'y a aucune influence de l'angle de la diaphyse sur la forme de la section du fémur platymérique .

~

(5)

102 HENRI LAGOTALA

La région du col du fémur est également (en valeur absolue) déve- loppée en longueur. Mais étant donné que le groupe II a un fémur plus

court que le groupe 1, le col serait relativeme1it à la longueur absolue du fémur plus long dans le groupe II (angle diaphysaire grand, fémur court).

L'angle du col avec la diaphyse reste sensiblement le même dans les deux groupes (133°,rn et i33°,5o).

Etant donné que la plupart des valeurs absolues sont plus fortes dans le groupe I que dans le second, il nous faut rechercher si ce groupe 1 est constitué par des fémurs plus robustes. Nous avons supposé dans chacun d'eux la valeur longueur absolue= à roo et ramené les autres dimen- sions à cet étalon.

Nous obtenons alors le tableau suivant:

II II-1

D. A. P. du tiers supérieur 6,10 5,gg - 0,11

D. T. )) )) 6,64 6,75

+

0,11

D. A. P. pilastré ·. 6,51 6,r5 - o.36

D.T. )) 5,88 6,01

+

o,r3

D. A. P. poplité 7,30 7,31

+

o,or

D.T. )) 8,73 8,65 -0,08

Nous voyons immédiatement que les deux groupes de fémurs sont développés harmoniquement. Nous pourrons donc conclure provisoire- ment : L'angle que ferait le fémur avec le plateau tibial serait d'autant plus petit que son allongement augmente. Cet allongement du fémur réduisant l'angle, la longueur du col diminuerait aussi1 • Et ceci est tout à fait normal car à égalité d'angle, un fémur long correspondrait à un bassin extrêmement large ce qui romprait l'équilibre du corps, ou bien alors à un col très long. Mais ce col subirait du fait de sa longueur un travail à la flexion énorme. Il faut donc au point de vue mécanique que l'allongement du fémur soit compensé par une réduction de l'angle que fàit sa diaphyse avec le plateau tibial et que son col diminue relative-

ment de longueur.

b) Angle du col du fémur avec la diaphyse

Cet angle a été mesuré sur 92 fémurs. Sa moyenne s'élève à 135° 8

/rn

avec, dans cette série, un maximum de 147° pour un fémur long de 454mm, et un minimum de 126° appartenant à un fémur de 448mm de

1 Relativement à la longueur.

(6)

~-

longueur absolue. L'écart entre le maximum et le minimum est de 21°.

Par rapport à la moyenne 135° 8/ 10 cet écart représente du 15,46

°Io·

L'angle du col varie donc moins que l'angle de la diaphyse (89,S Ofo).

Le graphique (fig. 2) montre beaucoup d'irrégularité; un premier sommet représente des angles de 132° et r 33° ( 17 fémurs) soit du 18,47

°Io·

Un second sommet de la courbe indique des an- .gles variant de 140° à

141°, soit du 13,07

°Io

(12

fémurs).

Comme le montre le graphique, la moyenne

r3~ 8/ 10soit 136° est l'ex- pression de la moyenne entr.e deux groupes de fémurs dont l'un a un

fB

"

,. ,,

f ·

,,

.angle compris entre 126° _ _ __

1 d:d ll9 l)O IJ.2. IJ" tJr IJ6 ff'O JtJl. ""' 1 .. 6'

et 136° et l'autre entre 'H /l9 ''' 13! 1u '~~ 119 ,~, 1~i '"" '~' r36° et 146°. Il y aurait

donc bien comme Char- py' l'indique deux types

FIG. 2. - Répartition des valeurs de l'angle du col.

de fémurs, l'un à grand angle, /'autre à angle petit. Si nous répartissons les fémurs en fonction de la longueur absolue croissante puis en fonc- tion de la longueur trochantérienne croissante (élimination du col), nous trouvons pour l'angle du col les valeurs suivantes (fractions en centièmes) :

Fémurs ra!zgés en séries de IO : Longueur

absolue croissante Longueur

trochantérienne croissante

1 135°,75 I 136°,17

2 136°.95 2 136°,17

3 134°,28 3 134°,28

4 I 38° ,34 4 136°·20

5 133°,75 5 132°,50

6 136°,- 6 135°,95

" I 8 136° 133°,25 ,os 7 8 134°,50 !370,90

9 I 37° ,23 9 134°,53

IO I 370 ,34 IO 140°' 15 Moyenne 135°,89 Moyenne 1 35° .83

1 Le col du fémur,

- -

Bull. Soc. Anthropologie, Lyon, 1881.

(7)

104 HENRI· LAGOTALA Les So fémurs les plus courts :

r 35°,8r 135°,06

Les So fomurs les plus longs:

135°,97 r36° ,60

Nolis voyons que la longueur absolue ne semble pas influencer la valeur de l'angle du col. Cependant en étudiant l'influence de la valeur croissante de la longueur trochantérienne nous voyons que lorsque la diaphyse fémorales' allonge, le col a un angle qui augmente.

Dans une précédente communication, étudiant les diamètres longi- tudinaux du fémur 1 nous disions:

<< Lorsque la longueur absolue s'accroît ·:

1° La longueur trochantérienne s'accroît relativement moins vite: ce qui montre que les fémurs longs le sont par un fort développement de l'espace compris entre le grand trochanter et la tête fémorale. Les fémurs seraient donc longs par un grand allongement du col et par un moindre écrasement de celui-ci. »

La présente étude viendrait donc confirmer ce que nous disions alors.

Nous avons établi deux groupes : l'un comprenant les ro fémurs dont l'angle du col est le plus petit, l'autre les ro fémurs dont ce même angle est le plus grand. Nous présentons ici les m.oyennes :

Groupes I II

Angle du col . 128,20 144,35

Longueur absolue

.

450,2 448,5

)) trochantérienne . 432,2 435,8

)) du col (L) 94,7 99,3

D. A. P. du col 25,8 25,8

D.T. )) 33,6 33,6

D. A. P. de la tête 46,2 45,9

D. T. )) 47,r 46,2

IL

A. P. du 1

/a

supérieur 26, I 27,2

D.T. )l ))

.

' 30,1 31,2

D. A. P. du pilastre . . 28,8 28,3

D. T. l) 26,2 27,4

1 Henri LAGOTALA, Première note art sujet du fémur lrnmai11, Arch. Soc. phys. et nat., IV• période, T. XLI, mars 1916.

(8)

111 c

1

..

105

Groupes 1 Il

D. A. P. poplité . 32, l 33,3

D.T. )) 39,4 39,7

Indice de platymérie 86,92 88,06

)) du pilastre J I0,29 103,92

)) du poplité 81,72 84,32

)) D. A. P. X L 100 d u CO • l 27,26 26,16

)) - -- ·-D . A. P. X - 100 d - U CO • l

D . T . 76,74 77,85

)) D. T. X L !OO d u CO • 1 35,47 33,80

)) de la tête . 101,95 100,67

Nous constatons que le groupe I (angle petit) a une longueur absolue supérieure (450,2) à celle du second (448,5). Cependant la longueur tro- chantérienne est plus forte dans le groupe à grands angles. Ce dernier point est conforme à ce que nous avons trouvé en sériant les fémurs selon la longueur trochantérienne croissante. La longueur du col est beaucoup plus développée aussi chez les fémurs à angles grands (99,3 contre 94,7). Il semble qu'il y ait une contradiction entre le fait que la longueur trochantérienne, l'angle du col, la longueur du col soient plus forts dans un groupe que dans l'autre tout en donnant au groupe ainsi avantagé une longueur absolue plus faible. Ceci est dû à l'intervention · d'un fémur très court, 416mm, relativement aux autres dans le groupe à angles grand0s. Si nous l'éliminons nous obtenons une valeur de 452mm,5 supérieure donc à celle du groupe I à angles petits pour la longueur absolue et 439mm pour la longueur trochantérienne. Constatons donc que l'influence de la valeur de l'angle du col sur la longueur absolue n'est pas très claire.

A un fémur à angle du col développé correspondrait probablement une diaphyse plus loizgue et un col plus long aussi.

Le manque de netteté dans ces résultats provient vraisemblablement de la coexistence de deux types de fémurs. Ceci explique que nous ayons un résultat différent selon que nous rangeons les fémurs par la valeur de la longueur diaphysaire croissante ou selon la valeur de l'angle du col.

Rappelons que Charpy admet que l'angle du col n'est pas influencé par la longueur du fémur. Kuhff trouve que l'angle diminue de valeur lorsque le fémur s'allonge, Humphry prétend le contraire . . Quant à

(9)

J06 HENRI LAGOTALA

nous tout en tendant à croire que Humphry à raison nous restons sur la réserve pour le moment. Nous sommes porté à croire que, un fémur long, plus robuste, possède un trochanter plus développé. La masse du trochanter augmentant donne un allongement à la valeur

<< longueur trochantérienne » qui n~a rien à faire directement avec

l'allongement diaphysaire. Ce serait alors l'allongement du col et la croissance de l'a,ngle qui jouerait un grand rôle dans la ·valeur de la longueur absolue du fémur. Seule une étude plus serrée pourrait éclairer ce sujet.

Quant aux autres valeurs nous constaterons que le fémur à angle du col petit possède un col dont les D. A. P. et D. T. sont semblables à ceux qui ont un col à grand angle, la différence dans l'indice D . A. P.xr oo D. T. prov1ènt e ce que nous onnons a va eur moyenne . d . d 1 1 des indices et non l'indice des moyennes.

Il nous reste à chercher maintenant si la platymérie ahtéro-posté- rieure, et-transverse a une influence sur la valeur de l'angle du col.

Voici ce que nous trouvons :

valeur de l'indice valeur d'angle

ro fémurs 74,Sg 1370

a;IO

IO )) JOS,31 1360 5/ 10

Moyenne de 92 fémurs 1350 8/ 10

Il n'y a pas d'influence caractérisée de la platymérie sur l'angle du col.

Les résultats que nous exposons ici n'ont pas la prétention d'être généraux. Ils sont simplement relatifs â une série de 100 fémurs.

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