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II. Module et argument d'un nombre complexe.

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Nombres complexes, Partie II T.S.

Pour commencer 1 . Ex 4 p 225 de Déclic sur les coordonnées polaires.

I. Rappels sur les angles orientés

A. Mesures de l'angle orienté formé par deux vecteurs

Idée : L'angle orienté (⃗u1;⃗u2)est l'angle dont on tourne pour aller du vecteur ⃗u1au vecteur⃗u2, en tournant dans le sens trigonométrique. Il n'est défini que si les deux vecteurs sont non nuls.

Plus précisément :

Définition 1 . Le plan est muni d'un repère orthonormé direct (O ,⃗u ,v).

u1=⃗OM et ⃗u2=⃗ON sont deux vecteurs non nuls. Les demi-droites [OM) et [ON) coupent le cercle trigonométrique en deux points A et B. Au couple (⃗OA,⃗OB), on associe une famille de nombres de la forme

+2kπ, (k ∈ ℤ), où  est la longueur ( ⩾0 ) de l'arc de cercle AB, parcouru de A vers B dans le sens direct.

Chacun de ces nombres est une mesure en radians de l'angle orienté des vecteurs (⃗u1;⃗u2).

Propriété 2 . Un angle orienté (⃗u;⃗v) a une unique mesure θ appartenant à l'intervalle ]π;π], on l'appelle mesure principale de l'angle.

Les autres mesures sont les réels θ+ 2kπ, avec k ∈ ℤ.

B. Propriétés des angles orientés

Propriétés 3 . : u1, ⃗u2 et ⃗u3 sont des vecteurs non nuls.

▪(⃗u1;⃗u2)=–(⃗u2;⃗u1)+2kπ

▪(−⃗u1;⃗u2)=(⃗u1;⃗u2)+ π+2kπ et (⃗u1;−⃗u2)=(⃗u1;⃗u2)+ π+2kπ

▪(⃗u1;⃗u2)+ (⃗u2;⃗u3)=(⃗u1;⃗u3)+2kπ (Relation de Chasles)

Deux illustrations de la Relation de Chasles :

Propriété 4 . Les vecteurs non nuls u1 et ⃗u2sont colinéaires

(⃗u1;⃗u2)=0+ 2kπ [colinéaires et de même sens] ou (⃗u1;⃗u2)=π+2kπ[colinéaires et de sens opposé]

(⃗u1;⃗u2)=kπ

Illustration : vecteurs colinéaires et de sens opposé :

Propriété 5 . Soit C un cercle de centre O passant par A et B. Pour tout point M du cercle différent de A et B, on a :

(⃗OA;⃗OB)=2(⃗MA;⃗MB)+2kπ

« L'angle au centre est le double de l'angle inscrit à 2π près».

Autrement dit, en divisant par 2 (y compris le 2kπ !), (⃗MA;⃗MB)=1

2(⃗OA;⃗OB)+kπ

« L'angle inscrit est la moitié de l'angle au centre à π

(2)

II. Module et argument d'un nombre complexe.

Dans tout ce qui suit le plan est muni d'un repère orthonormé direct(O ,u ,v). A. Coordonnées polaires d'un point du plan

Soit M un point du plan différent de l'origine (On impose M≠O pour avoir OM≠⃗0sinon l'angle orienté (⃗u,OM)n'est pas défini). On peut repérer la position de ce point de deux façons :

soit par son abscisse et son ordonnée qui sont les coordonnées cartésiennes du point. Notons que ces coordonnées se lisent directement dans l’écriture algébrique du nombre complexe affixe de M. (Rappel : écriture algébrique : z=x+iyx=Re(z) et y=Im(z))

soit avec la longueur OM et une mesure en radians de l'angle orienté (⃗u ,⃗OM)qui sont les coordonnées polaires du point. Cela donnera une autre façon d’écrire le nombre complexe d'affixe M sur laquelle OM et l'angle orienté se voient directement.

Définitions 6 . Le point M, autre que O, a pour coordonnées polaires (r ,θ) dans le repère orthonormé direct (O ,u ,v) signifie que :

r=OM

▪ θ est une mesure en radian de l'angle orienté (⃗u ,OM). θest défini à 2π près.

P est un point du cercle trigonométrique dont la position sur le cercle est repérée par le réel θ, il a donc pour coordonnées(cosθ;sinθ). De plus, OM=r⃗OP où r=OM . Le point M a donc pour coordonnées

(rcosθ; rsinθ)dans (O ,⃗u ,v).

Lien entre coordonnées polaires et coordonnées cartésiennes d'un point du plan 7 . Coordonnées cartésiennes Passage d'une forme à

l'autre Coordonnées polaires

Coordonnées cartésiennes = (x , y)

M

(

xy

)

dans (O ,u ,v)

x=rcosθ; y=rsinθ

r=

x2+ y2

cosθ= x

x2+y2

sinθ= y

x2+y2

Coordonnées polaires =(r ,θ)

M

(

rrcossinθθ

)

dans (O ,u ,v)

B. Application aux nombres complexes : Module et argument d'un nombre complexe non nul

Notation : «θ=θ'+ 2kπ, k∈ℤ» peut aussi se noter «θ=θ' (mod 2π)» ou «θ=θ' (2π)».

Définitions 8 . Soit z un nombre complexe non nul de forme algébrique z=x+iy et soit M le point d'affixe z. (On impose z non nul pour avoir OM≠⃗0 sinon l'angle orienté (⃗u ,OM)n'est pas défini)

Soient (r ,θ)les coordonnées polaires du point M d'affixe z. Nous dirons que

r=OM est le module de z et on le note ∣z∣.

▪ θ, qui est une mesure en radian de l'angle orienté (⃗u ,OM)est un argument de z.

On note arg(z)=(⃗u ,OM)=θ+2kπ. Notons que θest défini à 2π près.

▪ Comme précédemment, pour passer de (x , y) à (r ,θ) et réciproquement, on a r=

x2+ y2, x=r cosθ et y=r sinθ.

(3)

Premières propriétés du module et de l'argument d'un nombre complexe Rappel :[P9] ∀z∈ℂ,z∣=

x2+ y2 et ∣z2=z z

Module

Argument

Seuls les complexes non nuls ont un argument, d'où les * (= privé de 0 ) qui apparaissent dans les formules ci-dessous) Conjugué [P10] ∀z∈ℂ, ∣z∣=∣z∣ [P11] ∀z∈ℂ*, arg(z)=−arg(z).

Opposé [P12] ∀z∈ℂ, ∣−z∣=∣z[P13] ∀z∈ℂ*, arg(−z)=arg(z)+ π.

Illustration :

Caractérisation des réels et des imaginaires purs au moyen de l'argument [P14].

▪ Un complexe z non nul est réel ssi arg(z)=0+2kπ [z est un réel strictement positif]

ou arg(z)=π+2kπ[z est un réel strictement négatif].

Formulation condensée : Un complexe z non nul est réel ssiarg(z)=kπ.

▪ Un complexe z non nul est imaginaire pur ssi arg(z)= π

2+2kπ ou arg(z)=− π

2+2kπ. Formulation condensée : Un complexe z non nul est imaginaire pur ssi arg(z)= π

2+ kπ. C. Forme trigonométrique d'un nombre complexe

Propriétés et définition. Soit z un nombre complexe non nul.

▪ [P15] Si r = | z | et θ=arg(z), alors z=r(cosθ+i sinθ) (car x=rcosθ ety=rsinθ ).

▪ [D16] La forme z=r(cosθ+i sinθ)avec r>0 est appelée forme trigonométrique de z.

▪ [P17] Si r>0 et z=r(cosθ+i sinθ), alors r=∣z∣ et θ=arg(z). (La forme trigonométrique permet donc de lire directement le module et un argument de z)

▪ [P18] Si r(cosθ+i sinθ)=r '(cosθ'+i sinθ') avec r>0 et r '>0 , alors r=r ' et θ=θ'(mod 2π).

Exemples 2 .

1) Déterminer la forme trigonométrique de z1=−1+i3. Solution : On a ∣z1∣=1+3=2. D'où z1=2

(

−12 +i3

2

)

=2

(

cos3 +i sin 3

)

.

2) Déterminer la forme trigonométrique de z2=2+i. Solution : On a ∣z2∣=4+1=5. D'où z2=5

(

25+i 1

5

)

; ceci est la forme trigonométrique, il existe un réel θ tel que cosθ= 2

5 et sinθ= 1

5 mais il n'a pas une forme simple, θ≈0,46.

۝ Exemples 3 . 1) z=2

(

cosπ3−i sinπ

3

)

n'est pas la forme trigonométrique (à cause du signe « - » devant le sinus). La forme trigonométrique de ce complexe est : . . .

2) z=−2

(

cosπ3+i sinπ

3

)

n'est pas la forme trigonométrique (le nombre est en facteur n'est pas positif).

La forme trigonométrique de ce complexe est : . . .

(4)

III. Effet des opérations sur le module et l'argument

A. Module d'une somme : Inégalité triangulaire

Propriété 19 . Inégalité triangulaire : Quels que soient les complexes z et z' : |z + z'| ≤ |z| + |z'|.

B. Produit

Propriété 20 . Pour tous nombres complexes non nuls z et z' : ▪ ∣zz '∣=∣z∣∣z '∣ ▪ arg(z z ')=arg(z)+arg(z ').

Démonstration : Soient z=r(cosθ+isinθ) et z '=r '(cosθ'+isinθ').

zz '=rr '(cosθcosθ'−sinθsinθ'+i(cosθsinθ'−sinθcosθ'))=rr '(cos(θ+ θ')+isin(θ+ θ')).

D'où, par P17, ∣zz '∣=rr '=∣z∣∣z '∣ et arg(zz ')=θ+ θ'=arg(z)+arg(z ').

On en déduit par récurrence : Propriété 21 .

▪ Pour tout entier naturel non nul n,

zn

=∣zn et arg(zn)=n×arg(z).

▪ En particulier, on a la formule de Moivre : (cosθ+i sinθ)n=cos(nθ)+i sin(nθ). Démonstration :

C. Quotient

Propriété 22 . Pour tous nombres complexes non nuls z et z' :

z 'z

=∣z '∣∣z et arg

(

z'z

)

=arg(z)−arg(z ')

Démonstration :

D. Lien avec le plan complexe : Vital pour les exercices !

Propriété 23 . Le plan complexe est muni du repère orthonormal direct O ,u , v.

▪ Si A et B sont des points distincts d'affixes a et b, alors AB=∣b−a∣, et u ,AB=argb−a

Si A, B, C et D sont 4 points d'affixes a , b , c et d, avec a ≠b et c ≠ d alors(⃗AB ,CD)=arg

(

db−ac

)

.

Démonstration : AB ,CD=AB ,u u ,CD= – arg(b – a) + arg(d – c)=arg

(

db−−ca

)

.

Remarque : Voir la dernière page pour un récapitulatif des formules.

IV. Notation exponentielle

A. Tiens ??? Une fonction qui transforme les sommes en produits ?!? Cela me rappelle quelque chose

Soit ψ:ℝ →

x cosx+isinx. (Cela fait longtemps que je ne vous avais pas présenté une nouvelle lettre grecque, celle-si se lit « psi ».) La fonction ψvérifie ψ(θ+ θ')=ψ(θ)×ψ(θ')(vu dans la démonstration du fait qu'un argument d'un produit est la somme des arguments). Ceci nous donne l'idée d'adopter une notation ressemble à celle de la fonction exponentielle

B. ....d'où la notation exponentielle

Définitions 24 : Pour tout réel , on note eiθ≝cosθ+i sinθ.

On se permettra d’utiliser cette notation après avoir vérifié que les résultats démontrés sur les arguments correspondent bien aux règles de maniement de l'exponentielle (voir P25).

(5)

Exemples 4 .

1. eiπ=cosπ+i sinπ=−1 (c'est la formule d'Euler, souvent considérée comme la plus belle formule des mathématiques)

2. eiπ/2=cosπ

2+i sinπ 2=i 3. e2iπ/3=cos2π

3 +i sin2π 3 =−1

2+i3 2

۝ Exemples 5 .Exprimer cosθet sinθen fonction de eiθet e−iθ.

C. Propriétés reformulées avec cette nouvelle notation : Ça colle ! Propriété 25 . Pour tous les réels et ', et tout entier naturel  n :

▪ ∣eiθ∣=1 et arg(eiθ)=θ : eiθ est le nombre complexe de module 1 et d'argument θ.

eiθeiθ'=ei(θ+ θ'), eiθ

eiθ'=ei(θ−θ'),

(

eiθ

)

=eiθ=e−iθ,

(

eiθ

)

n=ei nθ

Ce sont les règles donnant l'argument d'un produit, d'un quotient et du conjugué ainsi que la formule de Moivre réécrites avec cette nouvelle notation. Les résultats démontrés sur les arguments se reformulent donc de façon compatible avec toutes les règles usuelles de calcul avec les exponentielles et voilà pourquoi on a adopté cette notation.

Application 6 . ei(a+b)=ei aei bpermet de retrouver rapidement les formules d'addition cos(a+b)=...et sin(a+b)=...

(6)

Les principales formules de calcul Module

Argument

Remarque : Seuls les complexes non nuls ont un argument, d'où les * (=privé de 0 ) qui apparaissent dans toutes les formules ci-dessous)

On résume ces deux colonnes en donnant ces formules avec les complexes écrits sous forme exponentielle

Produit

∀z , z '∈ℂ,z×z '∣=∣z∣×∣z ' conduit par récurrence à :

∀n∈ℕ,∀z∈ℂ,

zn

=∣zn.

▪∀z , z '∈ℂ*, arg(z z ')=arg(z)+arg(z '). conduit par récurrence à :

▪∀n∈ℕ,∀z∈ℂ*, arg(zn)=n×arg(z).

▪ formule de Moivre :

(cosθ+i sinθ)n=cos(nθ)+i sin(nθ)

∀r , r ' ,θ,θ'∈ℝ

z z '=r eiθ×r ' eiθ'=r r ' ei(θ+ θ')

zn=

(

r e

)

n=rnei nθ

Quotient ∀z∈ℂ,∀z '∈ℂ*,

z 'z

=∣z '∣z ∀z , z '∈ℂ*, arg

(

z 'z

)

=arg(z)−arg(z ') ∀r , r ' ,r eiθθ,θ'∈ℝ, r '≠0

r ' eiθ'= r

r ' ei(θ−θ') Conjugué ∀z∈ℂ,z∣=∣z∣ ∀z∈ℂ*, arg(z)=−arg(z). ∀r ,θ∈ℝ

(

r e

)

=r e−iθ

Opposé ∀z∈ℂ, ∣−z∣=∣z∣ ∀z∈ℂ*, arg(−z)=arg(z)+ π. ∀r ,θ∈ℝ −

(

r e

)

=−r eiθ=r ei(θ+ π) Somme

Inégalité triangulaire

∀z , z '∈ℂ,∣z+ z '∣≤∣z∣+ ∣z '∣

(rien de mieux ! cessez de rêver et d'inventer des formules fausses.)

(rien du tout ! cessez de rêver et d'inventer des formules fausses...)

Différence

Pas de formule mais une interprétation

en termes de distance:

∀a ,b∈ℂ,∣b−a∣=ABoù A et B sont les points d'affixes respectives a et b.

Pas de formule mais une interprétation en termes d'angles orientés :

∀a ,b∈ℂ, avec a≠b , arg(b−a)=(⃗u ,AB) A et B sont les points d'affixes respectives a et b.

Sources : Site Labomath, manuel Transmaths, manuel Repères, Manuel Hyperbole, manuel Math'x, manuel Odyssée, Manuel Déclic.

(7)

Table des matières

I.Rappels sur les angles orientés...1

A.Mesures de l'angle orienté formé par deux vecteurs...1

B.Propriétés des angles orientés...1

II.Module et argument d'un nombre complexe...2

A.Coordonnées polaires d'un point du plan...2

B.Application aux nombres complexes : Module et argument d'un nombre complexe non nul...2

C.Forme trigonométrique d'un nombre complexe...3

III. Effet des opérations sur le module et l'argument...4

A.Module d'une somme : Inégalité triangulaire...4

B.Produit...4

C.Quotient...4

D.Lien avec le plan complexe : Vital pour les exercices !...4

IV.Notation exponentielle...4

A.Tiens ??? Une fonction qui transforme les sommes en produits ?!? Cela me rappelle quelque chose...4

B...d'où la notation exponentielle...4

C.Propriétés reformulées avec cette nouvelle notation : Ça colle !...5 Bilan

Module

Argument

Remarque : Seuls les complexes non nuls ont un argument, d'où les * (=privé de 0 ) qui apparaissent dans toutes les formules ci-dessous)

Somme

Inégalité triangulaire

∀z , z '∈ℂ,z+ z '∣≤∣z∣+ ∣z '(rien de mieux ! cessez de rêver et d'inventer des

formules fausses.)

(rien du tout ! cessez de rêver et d'inventer des formules fausses...)

Différence

Pas de formule mais une interprétation en termes de distance: ∀a ,b∈ℂ,∣b−a∣=AB

A et B sont les points d'affixes respectives a et b.

Pas de formule mais une interprétation en termes d'angles orientés :

∀a ,b∈ℂ, avec a≠b , arg(b−a)=(⃗u ,AB) où A et B sont les points d'affixes respectives a

et b.

Produit

∀z , z '∈ℂ,z×z '∣=∣z∣×∣z ' conduit par récurrence à :

∀n∈ℕ, ∀z∈ℂ,

zn

=∣zn.

▪∀z , z '∈ℂ*, arg(z z ')=arg(z)+arg(z'). conduit par récurrence à :

▪∀n∈ℕ,∀z∈ℂ*, arg(zn)=n×arg(z).

Quotient ∀z∈ℂ,∀z '∈ℂ*,

z 'z

=z '∣z ∀z , z '∈ℂ*, arg

(

z 'z

)

=arg(z)−arg(z ')

Conjugué ∀z∈ℂ, ∣z∣=∣z∣ ∀z∈ℂ*, arg(z)=−arg(z).

Opposé ∀z∈ℂ, ∣−z∣=∣z∣ ∀z∈ℂ*, arg(−z)=arg(z)+ π.

(8)

Le programme officiel

Notre progression : Partie

I

Partie II Forme trigonométrique, module, argument

arg

acdb

Attention : Les transformations ne sont plus au programme.

Exemple 7 . −14+89 i∈ℂ; 2+i

3∈ℂ; −5=−5+0 i∈ℂ; 43i=0+ 43i∈ℂ.

Pourquoi i et pas

−1 ? On n'a pas gardé la notation

−1 car elle laisse penser que les règles habituelles sur les racine carrées sont applicables et on arrive à

−1=(

−1)2=

−1×

−1=

(−1)2=1. (Dans la réalité, il a fallu 150 ans pour abandonner cette notation et adopter la notation i proposée par Euler.)

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