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2009 France Bac S

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D.Pinel, http://mathemitec.free.fr/

Corrigé Bac France 2009 Exercice 1.

On considère la suite u définie par 1

0

1 4

3 1

n n

u u

u

+

= +

=

et vn =un6.

1a. On a 1 1

( )

1 1 1 1

6 4 6 2 6

3 3 3 3

n n n n n n

v+ =u + − = u + − = u − = u − = v donc la suite v est géométrique de raison 1/3.

1b. Par conséquent, 0 5 1 3

n n

vn v q  

= = −  

  mais puisque vn =un6 on en déduit que 6 6 5 1 3

n

n n

u v  

= + = −  

  . 1c. Comme –1 < 1/3 < 1, on sait que lim 1 0

3

n n→+∞

  =

   et par conséquent la suite u tend vers 6.

2. Considérons la suite w définie par

( )

1

0

1 1

1

n n

nw n w

w

= + +

 = .

2a. Pour n = 10, on obtient 10 10 11 9 1 10 11 9 1 21 10

w = w + ⇔w = w + = .

2b. Vu le tableau fourni, il semble que la suite w soit arithmétique de raison 2 et de premier terme 1.

Prouvons alors par récurrence que pour tout entier naturel n on a wn =2n+1. Soit P(n) la proposition « wn1 =2

(

n− +1

)

1 », n supèrieur à 1.

P(1) est vraie puisque 2 1 1

( )

− + = =1 1 w0.

Supposons qu’au rang n non nul wn1=2

(

n− +1

)

1.

Dans ce cas, nwn =

(

n+1 2(

)(

n− + + =1) 1

)

1 2n2− + + + =2 n 1 1 2n2+n d’où on déduit que 2 2

2 1

n

n n

w n

n

= + = + ce qui correspond bien à P(n+1).

La suite est donc bien arithmétique de raison 2 et on a w2009 = ×2 2009 1+ =4019. Exercice 2.

Soit f la fonction définie par f x( )=ln 1

(

+xex

)

, x>0.

I-1. D’après les résultats de croissance comparée, lim x 0

x xe

→+∞ = . Comme ln(1) = 0 on obtient par composition que lim ( ) 0

x f x

→+∞ = .

I-2. f est dérivable sur son domaine et on a ( )

(

1

)

'

(

1

)

1 1 1

x x x x

x x x

xe e xe e

f x x

xe xe xe

+

= = =

+ + + .

Or pour tout x, ex>0 et comme x est positif, 1+xex >0 : f’(x) est donc du signe de 1-x sur son domaine.

I-3. Comme 1− > ⇔ <x 0 x 1 on en déduit que f croit sur [0 ;1] et décroit sur [1;+∞[. II- On pose

0

( ) ( )

Aλ =

λf x dx pour λ>0.

II-2a. Comme sur [0; ]λ f est continue (car dérivable) et positive (car minorée par f(0) = 0), on en déduit que A

( )

λ est l’aire du domaine ci-dessous (lire λ à la place de L).

II-1b. Comme f est majorée par f(1) (d’après ses variations), le domaine ci-contre est inclus dans le rectangle de base de longueur λ et de largeur f(1).

On en déduit la majoration cherchée.

L 2 3 4

0 1 x

y f(1)

(7)

II-2a. Effectuons une intégartion par parties (f est dérivable de dérivée continue) avec

1

' x ' x

u x u

v e v e

= =

= = −

.

Il vient alors

0 0

0λxe dxx = − xexλ− −0λ e dxx = −λeλ+ − exλ = −λeλeλ+1

∫ ∫

.

II-2b. Puisque pour tout u >0 on a ln(1+u) u, en posant u=xex >0 pour x >0 on en déduit que

( ) x

f x xe .

Puisque l’intégration conserve l’ordre, on en déduit que

0

( ) x

Aλ

λxe dx d’où le résultat cherché à l’aide du II-2a.

Exercice 3.

I- Il suffit de mettre au même dénominateur pour trouver l’égalité cherchée.

Rappelons aussi que

(

k− × =1 !

)

k k! pour tout naturel k. Il vient alors

En effet,

( )

( ) ( ) ( )

( )

( )

( ) ( ) ( )

( ) ( ) ( )

( )

( )

( )

1 ! 1 !

1 1

1 1 ! ( 1) ( 1) ! ! ( 1) !

1 ! 1 ! 1 !

! ! ! ! ! !

1 !

! !

n n

n n p n p

p p p n p p p n p n p

p n n p n n n p p

p n p p n p p n p

n n n

p p n p

 + = × + ×

 

− − − −

 

× − × − − × − +

= + =

× −  

= = 

 

.

II-1a. Il y a 7 jetons blancs donc 7

2

  

  façons de les piocher. Ainsi

7

2 7

( ) ...

10 15

2 p A

  

= = =

.

II-1b. Il y a 6 jetons impairs donc 6

2

  

  façons de les piocher. Ainsi

6

2 1

( ) ...

10 3

2 p A

  

=   = =

.

II-1c. Les évènements A et b sont indépendants si p A

(

B

)

= p A

( )

×p B( ).

Il y a 4 jetons blancs impairs donc 4

2

  

  façons de les piocher. Ainsi

( ) ( )

4

2 2

... ( )

10 15

2

p A B p A p B

  

=   = = ×

.

Les évènements sont donc dépendants.

II-2a. Il y a 3 valeurs possibles pour X. La loi de X est la probabilité de chacune d’elles.

p(X = 2) = ( ) 7 p A =15.

p(X = 0) =

3

2 1

10 ... 15

2

  

  = =

car il y a seulement 3 jetons non blancs.

P(X = 1) = 1 - P(X = 0) - P(X = 2) = 7

15.

(8)

D.Pinel, http://mathemitec.free.fr/

II-2b. On a alors ( ) i

(

i

)

0 151 1 157 2 157 1521 75

i

E X =

x p X =x = × + × + × = =

Exercice 4 (non spé).

On a en résumé M(z), M1 1 z

  

  et M’ le milieu de [MM1] (son affixe est calculée plus tard).

1a. On a OM =|zM zO | | |= z et

1 1

| M O| |1|

OM z z

= = z . Par conséque.nt OM1 OM | | |z 1| |z 1| | 1 | 1

z z

× = × = × = = . De même,

(

u OM, 1

)

arg

( )

zM1 [2 ] arg 1 [2 ] arg( ) [2 ]z

(

u OM,

)

[2 ]

π  z π π π

= =   = − = −

  .

2a. L’affixe du milieu du segment de [MM1] est donné par ' 1 1 1

2 2

M M

z z

z z

z

+

= = +

. 2b.

si B(2i) alors B’ a pour affixe ' 1 2 1 1 2 3

2 2 2 2 4

b i i i i

i

= + = =

.

si C(-2i) alors C’ a pour affixe ' 1 2 1 12 ' 3

2 2 2 4

c i b i

i

= − + = − = −

.

3. M est un point fixe pour la tranformation ssi M’ = M ssi z’ = z ssi

0

2 2 2

1 1

2 1 1 1

2

z

z z z z z z

z

= + = + ⇔ = ⇔ = ±

.

4. Si M est sur le cercle de centre O et de rayon 1, on a z=eiθ(puisque son module vaut 1).

Le 2a donne alors z' 12 ei 1i 12

(

ei ei

)

sin

e

θ θ θ

θ θ

= + = + =

puisque par définition on a eiθ =cosθ+isinθ.

Par ailleurs comme θ est un réel quelconque, le réel z'=sinθ parcourt l’intervalle [-1 ;1] d’où le résultat demandé.

Exercice 4 (spé).

1a. Soit (E) l’équation diophantienne 8x-5y = 3.

Il est clair que le couple

(

x y0, 0

) ( )

= 1,1 est solution particulière de (E).

Ainsi (x,y) est solution ssi 8x-5y = 8x05y0 8

(

xx0

) (

=5 yy0

)

(E’).

Par conséquent, 5 divise 8 x

(

x0

)

et comme 5 est premier avec 8, d’après le théorème de Gauss on obtient 5 | x

(

x0

)

donc il existe un relatif k tel que xx0 =5k⇔ =x x0+5k.

Subsituons cette valeur de x dans E’, il vient 8 5× k=5

(

yy0

)

⇔ =y y0+8k. Ainsi l’ensemble des solutions s de (E) est inclus dans

{ (

x0+5 ,k y0+8k

)

,k

}

.

L’inclusion réciproque étant évidente, on obtient les solutions voulues.

1b. Soit m tel que m = 8p+1 = 5q + 4.

(p,q) est solutions de (E) puisque 8p-5q = m-1 – (m-4) =3.

D’après 1a, p est donc de la forme p = 5k + 1 donc par subsitution, m = 8(5k+1) + 1 = 40k + 9.

On a donc bien m0 40

( )

.

1c. Le plus petit m2000 est obtenu pour k = 50. On trouve alors que p = 251, q = 401 et m = 2009.

2a. On a

( ) ( ) ( ) ( )

2 3

2 2 7

2 4 7

2 8 7 1 7

donc par propriétés,

( )

23 k =23k 1 7

( )

.

(9)

2b. Comme

3

2009 2007 2

divisible par

= + , on a 22009 22

( )

7 et comme 0≤ <4 7,’ est bien le reste de la division euclidienne par 7.

3. Ecrivons N =a00b en base 10.

3a. On a

( )

( ) ( )

( ) ( )

2 3

10 3 7

10 9 7 2 7 10 6 7 1 7

≡ − .

3b. N est divisible par 7 ssi N0 7

( )

⇔ ×a 103+ ≡b 0 7

( )

⇔ − + ≡a b 0 7

( )

⇔ ≡a b

( )

7 .

Les nombres N sont donc les suivants : 1001, 2002, …, 9009, et 1008, 8001 et 2009, 9002 et 7000.

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