HAL Id: jpa-00234110
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Submitted on 1 Jan 1948
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Étude photométrique de la bande λ =4280 Å de CuH à
haute température
Jaume Roig Guitart, van der Linden
To cite this version:
et
(2);
les résultats sontreprésentés figure
i. Onconstate que : 1° la méthode de la réflexion donne
un résultat moins bon que
l’intégration complète;
20
l’intégration complète
conduit à une courbequi
ne s’écarte pas deplus
de 1 ~ pour 100 de la courbeexpérimentale,
précision qui
peut
être considéréecomme suffisante étant donné que dans le domaine étudié E varie en valeur relative de 1 à environ 50.
Des calculs
qui précèdent
on pourra tirer desrésultats
plus complets
quand
on connaîtraplus
exactement le
spectre
d’absorption
de CIH dansl’ultraviolet de
Schumann;
ils montrent toutefois que même une courbed’absorption incomplète
1peut
conduire à desinterprétations
théoriques
à condition d’effectuer les calculs avec uneprécision
suffisante.
BIBLIOGRAPHIE.
[I] A. COHEN et K. STUCKARDT, Z. phys. Chem., 1916, 91,
p. 722.
[2] S. LEIFSON, Astrophys. J., 1926, 63, p. 73. [3] H. TRIVEDI, Proc. Nat. Acad. India, 1936, 6, p. 18.
[4] E. U. CONDON, Phys. Rev., 1928, 32, p. 88.
[5] G. E. GIBSON, O. K. RICE et N. S. BAYLISS, Phys. Rev., 1933, 44, p. 193.
ÉTUDE
PHOTOMÉTRIQUE
DE LA BANDE 03BB =4280 Å DE CuH A HAUTETEMPÉRATURE
(1)
Par J. ROIG et VAN DER LINDEN. Institut de
physique
de Lille.Sommaire. 2014 Mesures précises (à 1 OU 2
pour 100 près) de l’intensité des raies de la bande 42800 Å de Cu H (bande 103A3 2014 103A3*
(o 2014
o) par photométrie photographique, en employant des sources à tempé-rature élevée (chalumeau air-hydrogène, 2300° et oxhydrique, 2800° C). La technique expérimentale est soigneusement décrite et discutée. Les résultats obtenus correspondent aux raies des branches P et R de la bande 4280, et ont en outre permis d’identifier une bande plus faible 103A32014 103A3* (1 2014
1). Les
premières raies P sont anormalement faibles, ce qui pourrait s’expliquer par un début de dissociation,
mais pas par autoabsorption ou renversement, ni par un empiétement des raies. Les raies R ont des
intensités 1,35 fois plus faibles que celles correspondant à la règle de Honl et London, pour la source
la plus poussée.
LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. SÉRIE VIII, TOME IX, MAI 1~~5.
Nous allons considérer une molécule sur la
struc-ture de
laquelle
iln’y
a pasbeaucoup d’hypothèses
à faire
puisqu’elle
necomporte
que deux atomes.Mais
je
désire enparler
pour montrerl’importance
de mesuresphotométriques précises.
Généralement laposition
des raies est déterminée avec une excel-lenteprécision,
mais les mesures d’intensitémanquent
ou donnent
simplement
un ordre degrandeur.
Or il y a intérêt très souvent à pousser au maximumla
précision
de ces mesures d’intensité et l’onpeut
atteindre i à 2 pour Ioo par laphotométrie
photo-graphique.
La molécule Cu H et ses bandes d’émission dans
le
spectre
visible ont été étudiées vers1938
par H. Schüler et ses élèves(2).
La bande
Q280 -k
de CuH est une bande(o-o).
Des mesures sur la distribution lumineuse del’intensité dans les raies de cette bande ont été
faites par Schüler :
a. A basse
température :
la source est unelampe
à cathode creuse refroidie par l’air
liquide.
Larépar-tition
théorique
de Boltzmann n’est pas vérifiéeb. Dans l’arc intermittent entre électrodes de
cuivre dans une
atmosphère
d’hydrogène. D’après
les résultats
publiés
onpeut
évaluer latempérature
de cette source à
~50~
C. On trouve larépartition
théorique
de l’intensité.Nous avons
repris
ces mesures pour des sourcesà
plus
hautetempérature :
chalumeauair-hydrogène
à 2250°
C;
chalumeauoxygène-hydrogène
à 2 8 00~ C. Nous avons renoncé à l’alimentation au gaz d’éclai-ragequi
donne une forte bande del’oxyde
de carboneau
voisinage
de la bande étudiée.Nous
pensions
surtout utiliser ces mesures pourcontrôler la méthode
photométrique;
mais pourles deux sources nous avons trouvé des écarts
importants
à la distributionthéorique.
Les chalumeaux
employés
ont un fonctionnement(1) Communication présentée au C3110que de Spectroscopie . moléculaire, Paris, mai
(2) SCHULER et GoLLNoiv, Z. für Physik, 1938, 108, p. f I 4.
-
SCHULER-GOLLNOW-HABER, Z. finir Physik, 1938, 111,
p. 484.
169
un peu
particulier.
Nous avons recherchésystéma-tiquement
ce que les chimistes s’efforcenttoujours
d’éviter :
le chalumeau brûle en dedans.Un anneau
évidé,
placé
dans le tube d’arrivéed’hydrogène,
auvoisinage
de l’extrémitéchaude,
était
chargé
d’iodure cuivreux enpoudre.
L’iodure se volatilise et se dissocie dans laflamme;
le cuivre libéré etl’hydrogène
donnent des molé-cules Cu H(fig. 1).
~
Fig. i.
Les raies observées
s’échelonnent
del’ori-gine
428o
Àjusqu’à
P32,
4t,58
Á,
soit sur unintervalle de
200 À
environ. Ladispersion
estde 20
Á :
mm; lespectrographe sépare
deux raies distantes de o,3~.
Les mesures de Schülerportaient
sur un domaine de
4o
Á,
cequi
ne soulevait aucunedifficultés au
point
de vuephotométrique.
Mais surun intervalle de 200 .~. nous
ignorons
si la sensibilitéde la
plaque
est constante et si ladiaphragmation
du faisceau n’a paschangé.
Il nous a donc parunécessaire de tenir
compte
des variationspossibles;
et
l’expérience
a montré que la correction étaitimportante.
Étu,de
photométriques
Nousenregistrons
surla
plaque photographique
desspectres
d’étalonnage
avec un secteur tournant à 1 o
plages
dutype
Zeiss.Jones
(3)
a montré que cetéclairage
intermittent donne unétalonnage
correct pourvu que ledisque
tourne à
plus
de 200 tours : mn, cequi
est facile à réaliser. Letemps
de pose pour lesspectres
d’éta-lonnage
est le même que pour lesspectres
de bandes. Le secteur tournant est éclairé par une source delumière blanche. Le mieux serait
d’employer
uncorps
noir,
pour connaître larépartition
spectrale
del’énergie
incidente. Nous aurions puprendre
le cratère
positif
de l’arc aucharbon,
mais nousn’avions pas le moyen d’en mesurer la
température.
Nous avons utilisé unelampe
à filament decarbone,
dont la
température
mesurée aupyromètre
Ribaud était 1605° C. Larépartition
spectrale
del’énergie
(3) JONES, Sc. ef Ind. Phot., 1923.
est la même que pour le corps
noir,
àtempérature
égale.
Nous avons utilisé des
plaques
Lumière,
bleues,
qui
étaient d’ailleurs les seules dont nouspouvions
disposer
àl’époque
de ces recherches. Nous avonsd’abord établi leurs
caractéristiques
denoircis-sement pour diverses
longueurs
d’onde. Ces courbes sontrectilignes
dans unlarge
intervallecorres-pondant
à 7o
mm sur lepapier enregistreur
dumicro-photomètre
Moll;
nous avonstoujours
utilisé desnoircissements
correspondant
à lapartie rectiligne
des
caractéristiques
( fig.
2).
Dans le domaine de200 ~
Fi g. 2.
étudié,
quelle
que soit lalongueur
d’onde,
lescaracté-ristiques
ont la même forme et sontsuperposables
par une translation
parallèle
à l’axe desabscisses;
sauf toutefois pour la
région
desous-exposition
oùles mesures sont moins
précises
et que nous n’avonspas utilisée.
Les
plages
d’étalonnage correspondent
à différentspoints
de la hauteur de lafente ;
ilimporte
que cettefente soit uniformément éclairée. Pour le
vérifier,
il suffit de faire une pose en enlevant le secteur tournant. En
fait,
dans nosexpériences,
nous avions une variation linéaire dulogarithme
de cetéclaire-ment le
long
de lafente;
la loi était la mêmequelle
que soit la
longueur
d’onde. Il était facile de faire la correction.Pour la commodité de
l’exposé, je
supposerai
pour la suite que l’éclairement de la fente est
uniforme.
Dans ces
conditions,
quelle
est l’influence de lalongueur
d’ondes surl’étalonnage
photométrique ‘’
Deux effets sont
possibles :
~ ~ Pour une
énergie
lumineusedonnée,
le noir-cissementdépend
de~.;
2~ La
pente
y de la courbe de noircissementpeut
varier avec 2,. Nous avons vu que dans le domaine étudié elle est constante.Il fallait
pouvoir
comparer lesénergies
reçuespar la fente pour les diverses
radiations;
pour leslongueurs
d’onde inférieures ào,6 ~.,
larépartition
spectrale
du corps noir est bienreprésentée
parNous
avons
exploré
un desspectres
d’étalonnage
dans toute salongueur
et construit une courbe donnant les déviations dumicrophotomètre
enfonction de E,,. Sur cette courbe r nous
indiquons
à côté de
chaque
point
lalongueur
d’ondecorres-pondante.
Sil’étalonnage
nedépendait
pas de?,,
la courbe r serait
identique
à une courbe denoircis-sement C en lumière
monochromatique.
_
Fi g. 3.
En
réalité,
nous obtenons pour F une courbe à peuprès rectiligne,
mais dont làpente
estbeaucoup
plus
forte que pour les courbes C. Pour la mêmeénergie
reçue sur la fente d’entrée, le noircissement obtenu varie donc avec lalongueur
cl’onde;
il nousimporte
peu de savoir dans cette étude si cela est dû à la variation de sensibilité de laplaque,
de ladiaphragmation
des faisceaux ou du coefficient detransparence
dusystème
optique.
La courbe r nous donne ainsi pour
chaque longueur
d’onde un
point
de lacaractéristique;
par chacunde ces
points
nous menons une droite depente y
dans le
diagramme
donnant la déviation dumicro-photomètre
en fonction dulogarithme
del’éclai-rement reçu par la fente.
On obtient ainsi un réseau de
caractéristiques
qui permet
de comparer dans le domaine étudiéles intensités de deux radiations
quelconques,
connaissant les noircissementobtenus,
c’est-à-dire les déviations dumicrophotomètre
(fig.
3).
On déduit facilement de ce réseau les résultats
suivants :
1° La courbe
qui
donne la déviation obtenueau
microphotomètre
en fonction de lalongueur
d’onde,
pour uneénergie
incidenteconstante;
2° La courbequi
pour une déviation constanteau
microphotomètre
donne en fonction de lalongueur
d’onde lesénergies
reçues par la fente duspectro-graphe.
Il fautplus d’énergie
pour les courteslongueurs
d’onde;
dans le domainespectral
étudié la variation est de 3 o pour i oo.Ceci montre la nécessité de la correction
photo-métrique.
Nous avons vérifié que pour toutes les
plaques
d’une même émulsion le réseau descaractéristiques
est lemême,
mise àpart,
une translation d’ensembleparallèle
à l’axe des éclairements. Le réseaupeut
donc servir pour toute uneémulsion;
le fait denégliger
les translations revient àmultiplier
toutesles intensités par un même
nombre,
cequi
ne modifiepas leur
rapports.
Études
des bandes de La bande4280
possède
une branche P et une branche .R. Nousavons d’autre
part
identifié une bandeplus
faible 1l: ---1~~‘
(1 - 1) 4337
Á.
Enfin,
nosspectres
comportent
un faible fond continuqui présente
unenette
augmentation
vers4411 ~.
On ne l’observe pas sur lesspectres
publiés
parSchüler,
soit que sa source ne leproduise pas,
soit que sonspectro-graphe
soitplus dispersif.
Frerichs attribue cespectre
àCuO;
il a constaté que son intensitéaug-mente si l’on introduit de
l’oxyde
de cuivre dansla flamme.
Quoi qu’il
ensoit,
nous avonstoujours
retranché de l’intensité des raies
mesurées,
l’inten-sité
du fond continusous-jacent.
La
figure
4
reproduit
la distribution des inten-sités dans lesbandes;
en abscisses sontportées
leslongueurs
d’onde,
en ordonnées les intensités desraies. La courbe en cloche tracée en traits
pleins
représente
la brancheP;
la deuxième courbe enpointillé
est la branche R. Engénéral
lespoints
s’alignent
sur des courbesrégulières;
mais neuf raiessont anormales et toutes
trop
fortes. Or nous avonsconstaté que ces raies anormales de la bande
intense,
coïncident à moins de
0,2 Á
avec des raies de labande
faible;
les raiescorrespondantes
manquent
précisément
dans la série des raiès ae la banaefaible;
parinterpolation
onpeut
déterminerprincipale;
lespoints
reviennent seplacer
sur lacourbe. Une seule anomalie n’a pu être
expliquée,
Fig. 4.
Distribution de l’intensité lumineuse dans les bandes.
il
s’agit
de la raie R 21432 1,8 Â, légèrement
trop
forte dans tous les les dichés. Le Tableau Iindique
cettecorrespondance;
les raies P et Rappartiennent
à la bandeintense; P’,
R’ à la bande faible.TABLEAU 1.
P, R, bande 4280; I’’, R’, bande
-fl337-Nous avons donc tracé la courbe
représentant
la distribution lumineuse dans labande;
ce tracéa
permis
d’atténuer les erreurs accidentelles demesure. C’est maintenant cette courbe que nous
allons comparer à la
répartition théorique.
La branche Pcorrespond
à une transition m, m + i,la branche R : m, m --a I.
La loi de Boltzmann et les
règles
de Honl etLondon,
donnent alors( a, b = const.,
T, température absolue, ni
entier).
Si nous
portons
en abscisses les valeurs desproduits
m(m -
I)
ou m(m ~ y
et enordon-nées
log
nous
devrions obtenir sur lediagramme
m
deux droites confondues.
Schüler trouve effectivement dans ses mesures
que les courbes P et .R sont confondues. A basse
température
les intensités des raiescorrespondant
aux
plus
faibles valeurs de m, c’est-à-direprès
del’origine,
sonttrop
fortes.Avec la source utilisée la durée de vie de la molé-cule est
beaucoup plus
courte que l’intervalle de deux chocs. Leprofesseur
Schüler a été amenéà conclure
qu’il
observe non la distribution desniveaux de rotation donnée par
l’équilibre thermique,
mais celle
qui
existe au moment de la formationde la molécule.
Dans l’arc
électrique
intermittent,
Schüler avérifié les lois
théoriques;
d’après
larépartition
des
intensités,
onpeut
calculer latempérature
On trouve
environ 750°
C.Dans le chalumeau
air-hydrogène
la courbe Pn’est
rectiligne
qu’au
delà de P8;
lespremières
raies P sont d’autant
plus
faibles que l’on estplus
près
del’origine
et la raie P 1 n’a pu être mesurée.Fig. 5.
La
partie rectiligne
donne unetempérature
de 2260°C. Ribaud(4) indique
que latempérature
de ce chalu-meau estcomprise
entre 1800 et2300°C,
nous sommes bien dans la margeindiquée,
car notresource était très
poussée.
La courbe R et la courbe Pcoïncident
(fig.
5).
Nous avons ensuite utilisé le chalumeau
oxygène-hydrogène ;
nous avons fait deux séries de mesurescomplètes
sur cette source; et il a été réconfortantde voir que les courbes obtenues sont
superposables;
ce
qui
démontre la valeur des méthodesphoto-métriques
utilisées. Les anomalies constatée pourla loi de Boltzmann
s’aggravent.
La courbe ~’ n’estFi g. 6.
une
droite
qu’au
delà de P 13. Deplus
la branche Rest au-dessous de la branche
P;
il faudraitmultiplier
toutes les intensités R par le facteur~,3 5
pour vérifier larègle
de Honl etLondon;
l’écart est absolumenten dehors des erreurs de mesures
photométriques.
Les
parties
rectilignes
de R et P sontparal-lèles et donnent une
température
de 2800~ Cpour une
première
série de mesures et 27700 C pour la deuxième. Ribaudindique
pour cechalumeau
275oO
C6).
Conclusions. --~ Lespremières
raies Pcorres-pondent
aux états moléculaires dontl’énergie
deformation. est la
plus
grande;
auxtempératures
élevées que nous avons
étudiées,
il sepeut
que semanifeste la dissociation de la
molécule,
qui
affec-teraitd’abord
les moléculesayant
laplus
grande
énergie
de formation. De même l’émission d’une raie P faisant passer lequantum
de rotation de mà m + I, c’est-à-dire donnant une molécule
d’énergie
de formation moins
grande,
serait favorisée parrapport
à l’émission d’une raie R pourlaquelle
la transition se fait de m à m - I.La
disparition
despremières
raies P nepeut
être attribuée à un
phénomène d’auto-absorption
ou de renversement par une coucheplus
froide;
car les raies -les
plus
intenses,
auvoisinage
de P 10 à P 12 ont une intensité normale.Lochte-Holtgreven
et Maecker(5)
ontmontré,
en discutant un tel effet sur une bande de
CN,
que les raies telles que P 1 et P 2 ne seraient pas
affectées par
l’absorption
ou le renversement.On ne
peut
nonplus penser
qu’au voisinage
del’origine
de la bande les raiesdisparaissent
parempiètement
mutuel,
car leur écart est de l’ordrede 3 À et
lepouvoir
séparateur
deo,3
Â.~b) LOCHTE, HOLTGREVEN et MAECKER, Z. für Phys.,
193~, 105, p. 1.
QUELQUES ÉTUDES
INFRAROUGES(1)
Par H. W. THOMPSON.(Oxford.)
Sommaire. 2014 Brefrapport relatif aux recherches faites sur les spectres infrarouge et Raman au
Laboratoire d’Oxford : Étude des spectres d’un grand nombre de carbures d’hydrogène, des dérivés
de la cellulose, des résines et des substances d’intérêt biologique : pénicilline, protéines, amides, substances
carcinogènes. Détermination des fréquences de vibration de substances contenant la liaison C2014F. Étude
des variations d’intensité et des déplacements par substitution de la bande 671 cm-1 du benzène.
Comparaison des spectres d’une même substance prise dans les différents états. Études en lumière
infra-rouge polarisée.
.
LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. ~ SÉRIE VIII~ TOME IX; MAI 1948.
Je vais vous faire un
rapport
assez bref ausujet
des recherches que nous avons faites à Oxford
pen-dant les dernières années sur les
spectres infrarouges.
(1) Communication présentée au Colloque de Spectroscopie
moléculaire, Paris, mai
Pendant la guerre il était nécessaire pour nous
d’approfondir
lesquestions
relatives àl’analyse
desmélanges
deshydrocarbures,
et deplusieurs
autrestypes
de substanceschimiques.
Pour cesétudes nous avons construit des