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Etude par frottement intérieur et impédance complexe d'une zircone calciée cubique ZrO2-CaO

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(1)

HAL Id: jpa-00212503

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Submitted on 1 Jan 1990

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Etude par frottement intérieur et impédance complexe

d’une zircone calciée cubique ZrO2-CaO

S. Pelaud, P. Mazot, J. Woirgard

To cite this version:

(2)

Etude

par

frottement intérieur

et

impédance

complexe

d’une zircone calciée

cubique

ZrO2-CaO

S.

Pelaud,

P.

Mazot

et

J.

Woirgard

Laboratoire de

Mécanique

et de

Physique

des Matériaux

(*),

E.N.S.M.A., 86034 Poitiers Cedex,

France

(Reçu

le 12 janvier 1990, révisé le 22 mars 1990,

accepté

le 3 mai

1990)

Résumé. 2014 Des

mesures de frottement intérieur et

d’impédance complexe ont

été réalisées sur

des échantillons monocristallins de zircone

cubique

stabilisée à la chaux. L’étude en

fréquence

des

spectres obtenus à différentes

températures

en frottement intérieur et en pertes

diélectriques

permet la mise en

évidence,

par les deux méthodes,

d’énergies

d’activation très similaires

(1,29

et

1,26 eV), l’énergie

obtenue pour la conductivité en courant continu étant

légèrement supérieure

(1,34 eV).

On peut conclure que les mécanismes de saut de

l’oxygène

induits sous contrainte

mécanique

ou

électrique

sont très vraisemblablement

identiques ;

les temps de relaxation limites mesurés par les deux méthodes sont en effet dans un rapport de l’ordre de 3

proche

des

prévisions

théoriques

de Nowick.

Abstract. 2014 Internal friction measurements and

complex impedance experiments

have been

performed

on

single crystal specimens

of cubic stabilized zirconia. The

frequency

spectra

observed for different temperatures,

by

internal friction and dielectric loss,

give

similar activation

energies (1.29

and

1.26 eV),

while the value obtained

by

D.C.

conductivity

is

lightly

higher

(1.34 eV). Thus,

it can be assumed that the oxygen

jumps

induced

by

mechanical or electrical

sollicitation are very

probably

the same ; the relaxation times deduced from the two sollicitation modes are

effectively

in a 3 ratio, in a

good

agreement with Nowick’s theoretical

approach.

Classification .

Physics

Abstracts

62.40 - 66.30D - 66.30L - 77.40

1. Introduction.

Bien que les

applications technologiques

des

électrolytes

solides obtenus à

partir

des solutions solides de zircone soient très

répandues,

les

aspects

fondamentaux des

propriétés

de

transport

dans ces structures restent très mal connus. Une bonne connaissance de ces

propriétés,

et tout

spécialement

celle concernant

l’oxygène,

est essentielle pour la

synthèse

de nouveaux

oxydes

de conductibilité

plus

élevée.

La zircone

possède

normalement la structure fluorine

uniquement

à haute

température,

au-dessus de 2

400 °C,

en raison de la faible taille des cations de zirconium

Zr4+.

Le domaine de

stabilité de la

phase cubique

peut

être étendu par l’introduction de cations hétérovalents par

exemple

Ca2+,

nettement

plus

gros. La faible mobilité

cationique

permet

alors de conserver

la structure fluorine à la

température

ambiante. Le

respect

de la neutralité

électrique

entraîne

(3)

1980

la

présence

de lacunes

anioniques

structurales

chargées [V 0 "] responsables

de la conductibilité

électrique.

Dans le cas du

calcium,

la stabilisation nécessite l’introduction d’au moins 8 % de chaux et

le formalisme établi dans le cas des solutions diluées ne

peut

plus

être

appliqué,

l’observation

de

phénomènes

de

transport

étant

compliquée

par la difficulté d’obtenir des structures

d’équilibre

et

l’apparition

de

phénomènes

de mise en ordre même à

température

modérée

[1-3].

Le mouvement des lacunes

d’oxygène

peut

être étudié soit par mesures

électriques,

soit par

mesures

mécaniques.

Ces mesures

permettent

de mettre en évidence la

migration

de lacunes

associées à des cations hétérovalents pour former des défauts

plus complexes susceptibles

de

se réorienter sous l’action d’un

champ électrique (mesures

de

pertes

diélectriques)

ou sous une contrainte

mécanique (mesures d’anélasticité).

Des mesures de frottement

intérieur,

sur des échantillons

polycristallins

de zircone contenant de 10 à 20 % de

chaux,

ont ainsi

permis

à Watchman et Corwin

[4]

de déterminer les

énergies

d’activation relatives à la réorientation des

dipôles élastiques

attribués à l’association d’une lacune

anionique

et d’un cation

Ca2+

en

position

substitutionnelle. Les

valeurs des

énergies

d’activation ainsi

obtenues,

entre

1,25

et

1,85

eV selon la

composition,

sont assez

imprécises,

l’incertitude

atteignant

0,4 eV.

Ces valeurs restent

cependant

compatibles

avec celles obtenues par

Simpson

et Carter

[5]

par mesure directe de la diffusion

de

l’oxygène

dans une zircone stabilisée par 15 %at. de CaO :

1,34 ± 0,2

eV.

Divers auteurs ont

également procédé

à des mesures

d’impédance complexe

permettant

d’obtenir les

énergies

d’activation associées à la conductibilité en courant continu de zircone

polycristalline

stabilisée à

l’oxyde d’yttrium.

P. Abelard

[6]

propose, selon la

température

de

mesure, pour les

oxydes

0,91

Zr02-0,09 Y203

et

0,88 Zr02-0,12 Y203,

des

énergies

d’activation

comprises

entre

1,17

et

1,33 eV.

Plus récemment Weller et Schubert

[7]

ont

comparé

les

propriétés mécaniques

et

électriques

de zircones

yttriées tétragonales polycristallines.

Dans ce

travail,

nous nous sommes

proposé

de comparer les résultats obtenus par mesures

isothermes

d’impédance complexe

et de frottement

intérieur,

sur des zircones monocristalli-nes stabilisées à la chaux.

2.

Technique expérimentale.

Les échantillons que nous avons étudiés

proviennent

de deux

monocristaux,

l’un stabilisé à

17,5

% CaO sera étudié en frottement

intérieur,

l’autre stabilisé à 16 % CaO en

impédance

complexe.

Ces monocristaux ont été élaboré par la méthode de

l’autocreuset ;

ils nous ont été

fournis par la Société Hrand

Djevahirdjan. Après

orientation du

cristal,

les échantillons sont

ensuite taillés à la scie diamant sous forme

parallélépipédique

de dimensions 20 x

5 x 1

mm3 ;

les faces

correspondent

à des

plans

de

type

(110).

2.1 MESURE D’IMPÉDANCE COMPLEXE. - Pour ce

type

d’essais,

les échantillons sont

métallisés avec une

laque

de

platine

Degussa

308 A et

portés

à 1 000 °C

pendant

1 h pour cuisson de la

laque.

Une

grille

de

platine

apposée

sur l’échantillon vient d’améliorer les

contacts

électriques.

Une tension alternative de

fréquence

variable s’étalant de

0,5

Hz à 200 kHz est

appliquée

au circuit constitué de l’échantillon ainsi

préparé

et d’une résistance étalon variable R.

L’utilisation d’une détection

synchrone double-phase

permet

la détermination simultanée des

composantes

en

phase

et en

quadrature

de la différence de

potentiel

mesurée aux bornes de la résistance étalon par

rapport

au

signal appliqué.

Les mesures

peuvent

se faire

jusqu’à

(4)

2.2 FROTTEMENT INTÉRIEUR. - Les études de frottement intérieur ont été faites sur un

pendule

de torsion réalisé au laboratoire

[8].

Les échantillons de zircone ont été testés par

mesure isotherme entre 300 et 600 K et en

balayage

de

fréquence

entre

10-4

et 100 Hz

[9].

3. Résultats

expérimentaux.

3.1 IMPÉDANCE COMPLEXE. - Selon les

équations

de

Maxwell,

la densité de courant

Jo

au sein de l’échantillon soumis au

champ électrique

E, peut

s’écrire :

a étant la conductivité de

l’échantillon, e

la fonction

diélectrique, 0 l’angle

de

perte

diélectrique

et eo la

permittivité

du vide.

La conductivité totale

uT( (J)),

ainsi que l’admittance

Y(w )

de l’échantillon se déduisent de cette relation :

où e

représente l’épaisseur

de l’échantillon et S sa surface.

L’intersection du cercle avec l’axe des réels

correspondant

à la résistance

Ro,

on

peut

ainsi

isoler la conductivité ao à

fréquence

nulle. La variation de uo, en fonction de la

température,

suit

généralement

une loi d’Arrhénius. Sa

représentation

dans le

système

de coordonnées

(10910(UT) -

1/1)

alors

adopté

dans ce

type

d’études

[6]

permet

la détermination d’une

énergie

d’activation

caractéristique

du mécanisme lié à cette conductivité.

Dans le

diagramme

de

Cole-Cole,

la

représentation

de

1 / Y

est un cercle le

plus

souvent

décentré par

rapport

à l’axe des réels

(Fig. 1).

Fig.

1. -

Représentation

dans le

plan complexe

des

impédances

pour des

températures

variant de 529 à 674 K.

[Complex impedance plot

for measurement temperatures between 529 and 674

K.]

(5)

1982

Fig.

2. - Etude de la conductivité en courant continu en fonction de la

température.

[Variations

of the D.C.

conductivity

with

temperature.]

Fig.

3. -

Spectres

de pertes

diélectriques

d’échantillons de zircone calciée

cubique

pour des

températu-res

comprises

entre 577 et 664 K.

[Dielectric

loss of a cubic stabilized zirconia for measurement temperatures between 577 and 664

K.]

Fig.

4. -

Diagramme

d’Arrhénius du maximum du

pic P,

en frottement intérieur et de celui observé en

pertes

diélectriques.

(6)

Connaissant ao, on définit ensuite une fonction

diélectrique généralisée ET ( (J) ) :

A

partir

de

ET ( w ), l’angle

de

perte

diélectrique

est donné par :

La

figure

3

représente

les

spectres

obtenus à diverses

températures.

On observe un

pic

très

dissymétrique

dont le sommet

apparent

se

déplace

en

fréquence

avec la

température.

Les valeurs

correspondant

aux sommets de ce

pic

sont

réparties

dans un

diagramme

d’Arrhénius

log

F =

f (

( T )

io,

(Fig. 4).

On obtient ainsi :

3.2 FROTTEMENT INTÉRIEUR. - Les

spectres

obtenus par frottement intérieur isotherme

[9]

sont

présentés

sur la

figure

5,

ainsi

qu’un exemple

de

décomposition

en deux

pics

élémentaires sur la

figure

6,

pour une

température

de 175 °C. On obtient ainsi les

temps

de

relaxation

respectifs

d’un

pic principal Pl :

Fig. 5. - Spectres

de frottement intérieur d’échantillons de

Zr02-17,5

% CaO pour des

températures

comprises

entre 348 et 473 K.

[Internal

friction

peaks

of

Zr02-17,5

% CaO

specimens

for measurement temperatures between 348 and 473

K.]

Fig.

6. -

Décomposition

du spectre de frottement intérieur en deux

pics

élémentaires obtenu à T = 448 K.

(7)

1984

et d’un

pic

annexe

P2

à

plus

basse

fréquence :

moins bien défini et dont

l’interprétation

ne sera pas

envisagée

dans cet article.

4. Discussion.

Les lacunes

anioniques

ne sont pas libres mais associées aux cations stabilisants pour former des défauts

complexes.

Dans le cas de la zircone stabilisée à la chaux seul le défaut neutre est

possible [10] (notations

de

Krôger [11]) :

En l’absence de

dissociation,

tous les cations stabilisants sont associés à des lacunes

d’oxygène : l’oxygène

forme un réseau

cubique,

dans

lequel

une lacune

d’oxygène

peut

occuper l’un des huit sommets du cube

et former

ainsi un

dipôle

avec le cation

Ca2+

situé au centre de la maille.

L’énergie

d’interaction cation stabilisant-lacune

anionique

est due essentiellement à l’attraction coulombienne

correspondant

aux

charges

effectives des défauts dans le réseau

(CaM

et

VÕ)

ainsi

qu’éventuellement

à la relaxation du réseau autour du défaut liée à la

charge,

la taille et la

polarisabilité

du cation.

Sous l’action d’une contrainte

mécanique

ou d’un

champ

électrique,

le défaut est

susceptible

de se réorienter et la similitude des

énergies

d’activation observées en frottement

intérieur,

pour le

pic P1 :

1,29

eV et en

pertes

diélectriques :

1,26

eV,

semble

indiquer

que le

même mécanisme de saut de

l’oxygène

est à

envisager.

En ce

qui

concerne les

temps

de relaxation limites des effets

diélectriques

et

anélastiques,

Nowick

[12]

a montré que dans la structure

fluorine,

ces

temps

devaient être dans un

rapport

2.

Les valeurs

reportées

ci-dessus donnent en fait un

rapport

de l’ordre de 3

proche

de cette

prédiction

compte-tenu

des incertitudes

expérimentales.

La conductibilité en courant continu conduit à une

énergie

d’activation un peu

plus

forte :

1,34 eV.

Cette différence

peut

provenir

de l’interaction cation-lacune

signalée plus

haut. En effet la conductibilité

implique

un transfert à

longue

distance,

contrairement au frottement

intérieur ou aux

pertes

diélectriques qui

ne sont liés

qu’à

des réorientations locales. Il en

résulte,

dans le cas de la

conductibilité,

la nécessité de

ruptures

plus

ou moins

importantes

des liaisons

lacunes/stabilisant.

Dans le cas de solutions diluées

(

8

%),

il est

possible

de calculer

l’énergie

d’activation de la conductibilité

[10].

Dans le cas des solutions concentrées

(>

8

%),

la situation est

cependant beaucoup

plus complexe

comme le montre par

exemple

l’existence d’un maximum

de conductibilité avec la concentration en

stabilisant,

ou les variations de

l’énergie

d’activation et du terme

préexponentiel

de la conductibilité avec la concentration.

La conductibilité

peut

également

être influencée par la tendance à la mise en ordre des

stabilisants ou des lacunes

qui

ne

peuvent

plus

être considérés comme

indépendants.

Ces solutions concentrées

posent

d’ailleurs d’autres

problèmes

dus notamment à l’influence de l’état d’ordre. En

effet,

des

composés chimiquement

définis tels

CaZr409

peuvent

(8)

traitements

thermiques

effectués.

Ainsi,

il faut vérifier l’état de l’échantillon par des

diagrammes

de

poudres.

Afin de s’affranchir d’un’ certain nombre de

problèmes

dus à ces

phases,

nous avons

procédé

à des

trempes

à l’air

depuis

1 500°C. Les

premiers

résultats en courant continu sont tout à fait

satisfaisants ;

nous trouvons effectivement une même

énergie

d’activation mais un

décalage

des droites d’Arrhénius vers les conductivités

supérieures,

tendant à prouver

l’existence d’un état réordonné à basses

températures.

En vue de

compléter

cette

étude,

il reste à

exploiter

les résultats en

fréquence

variable des

états

trempés

par mesure de frottement intérieur et

d’impédance complexe.

Une étude de l’influence de la concentration sur les

énergies

d’activation observées en

frottement intérieur et

perte

diélectrique

doit

également

être

entreprise

afin de voir si les effets observés par conductibilité se retrouvent, c’est-à-dire si ces effets sont liés ou non à

l’énergie

de liaison et, par

conséquent,

aux interactions entre stabilisants.

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