HAL Id: jpa-00236932
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Submitted on 1 Jan 1874
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Expériences de Galilée sur la pesanteur.
Ch. Thurot
To cite this version:
Ch. Thurot. Expériences de Galilée sur la pesanteur.. J. Phys. Theor. Appl., 1874, 3 (1), pp.160-165.
�10.1051/jphystap:018740030016001�. �jpa-00236932�
H STREINTZ.- Chanvements d’elasticite et de longueur d’un fil traverse par un
courant, p. 58.
L’auteur
determine,
par la lnethode de latorsion, l’elasticité d’un
fil chauffé dans unbain
de stéarine.Il repete l’cxperience
avecle
même
fil.
traverse par un courantqui l’échauffe
assezpour fondre
une couclie
de
Stéarinequi le
recouvre.11
niesurel’allongeinent
dans 1(,- deux cas.
L’elasticite
estla
nieme dansles
deux series dexpériences. L’allongement des fils
defer,
decuiv re,
deplatine
est
plus grand
sousl’influence du
courantque
par1’action
dela clialeur seule.
L’aciertrempe fait exccption : il ne
subit pas de dilatationparticuliere duc
au courant.HORNSTEIN. - Relation entre les variations diurnes barometriques et la rotation du Soleil, p. 63.
De scs
formules
et d’une séried’experiences
faites äPrague, l’au-
teur
deduit des
variationsdiurnes
unev aleur
dela
duree dela
ro-tation
solaire : a4 jours
ä24j, 24, voisine
dccelle que
donnel’ob-
servatioiides taclies
pourla
zoneequatoriale, 24j, 56.
E.
GRIPON.
EXPÉRIENCES
DEGALILÉE
SUR LA PESANTEUR.PAR M. CH. THUROT.
Ce n’est pas par la
Physique,
par l’observation desphénomènes
naturels que Galilée a été conduit à rechercher les lois de la chute des corps : c’est la Méca-nique
pure, la considération du mouvement in abstractoqui
l’aguidé
danscette étude. L’un des
professeurs qu’il
avait eus àPise, lorsqu’il
y étaitétudiant, Bonamico,
s’étaitbeaucoup occupé
du mouvement, et il en avait traité endisciple d’Aristote;
d’autrepart, Guidubaldo,
avecqui
Galilée entretint de bonneheure un commerce
scientifique,
avaitpublié,
en1 5i7,
un Traité deMécanique
où il avait
consigné
ce que l’on avait retrouvé des travaux des anciensgéo-
mètres sur la
Statique. Quand
Galilée vint àPise,
en1589,
pourprofesser
lesMathématiques,
il étaitconvaincu,
dit sonbiographe
Viviani(Opere
diGalileo,
éd. Alberi
(1 ),
t.XV,
p.335),
« que, pour faire des recherches sur lesphéno-
(1) Je cite partout soit la biographie de Galilee par Viviani, soit Galilée lui-mème, d’aptes cette édition de ses OEuvres publiées par Alberi à Florence
(1842
et suiv.),16 ’°1. iii-8.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018740030016001
menes
naturels,
il fallait bien connaître la nature du mouvement, suivant l’axiomephilosophique
etvulgaire |ignorato
ntotu,ignoratur
natura; il se donna donc tout entier à l’étude du mouvement, et, à lagrande
confusion detous les
philosophes,
ilconvainquit
de fausseté, par desexpériences
et des dé-monstrations, beaucoup
d’assertions d’Aristote touchant le mouvement,qui
avaient été tenues
jusque-là
pour évidentes et indubitables ». A Padoue, ou Galiléeenseigna
de1592
à1610,
il continua ses recherches sur le mouvement, mais sans sepréoccuper
de réfuter les erreurs accréditées dans les écoles. Ses méditationsparaissent
avoirporté
surtout sur les lois du mouvement unifor- mément accéléré et le mouvement desprojectiles,
en un mot sur lessujets qu’il
a traité dans ses fameuxDialogues
les Scienceszioiivelles, publiés
seulement en
1638; mais,
aurapport
de Viviani(p. 358),
le fond des raison- nements que Galilée ydéveloppe
et lesexpériences qu’il
yrapporte
datent deson
séjour
à Padoue et à Venise.L’originalité
de la méthode de Galilée est d’avoirsongé
à mesurer lesphéno-
mènes observés. A propos du mouvement par
lequel
lapesanteur
entraîne les corps vers le centre de laTerre,
il dit( ’ ) qu’il
ne suffit pas de savoir que ce mouvement est enligne droite,
maisqu’il
faut encore savoir s’il est uniformeou non, et s’il est accéléré ou
retardé,
et il ne suffit pas encore de savoirqu’il
est
accéléré,
il faut déterminer laproportion
de cette accélération. Ilparait
que Galilée a constaté ces loisexpérimentalement
avant de lesdémontrer;
car ildit lui-même
(1, 58):
« Je tiens pour certainqu’Aristote
aemployé
lesecours des sens, de
l’expérience
et de l’observation pour s’assurer de la vérité de saconclusion,
etqu’ensuite
il a cherché le moyen de ladémontrer;
carc’est ainsi que les choses se
passent,
pour laplupart
dutemps,
dans les sciencesqui procèdent
par voie de démonstration. La raison en est que, si la conclusion estvraie,
en se servant de la méthodeanalytique,
on rencontre aisémentquelque proposition déjà démontrée,
ou l’on arrive à unprincipe
évident parlui-méme; mais,
si la conclusion estfausse,
onpeut
aller à l’infini sans rencon- trer une véritédéjà établie,
si l’on ne tombe pas sur une absurdité ou uneimpossibilité
manifeste.Soyez
sûrs quePythagore, longtemps
avant d’avoirtrouvé la démonstration pour
laquelle
il offrit unehécatombe,
s’était assuréque le carré du côté
opposé
àl’angle
droit dans letriangle rectangle
estégal
àla somme des carrés faits sur les deux autres côtés. La certitude de la conclusion n’est pas de peu de secours pour faire trouver la
démonstration,
bienentendu,
dans les sciences
qui procèdent
par voie démonstrative. »Les
expériences
dont Galilée s’est servi pour constater les lois de la pesanteursont au nombre de trois : les
expériences
du clocler dePise,
celles duplan incliné,
celles dupendule.
(1) Dialogo dei massimi sistemi, Giorn. sec. (1, 181): Non basta iie sia rettu, ma hisugna saperc che sia uniforme o pure difforme; cloe, se miintenga rempre un’ istesba velocità, o pur si vadia ritardando o accelerando... ne questo basta, ma converrebbe sapere seconde qual proporzione si faccia tal’ accelerazione.
Expériences
dit clocher de Pise. - Viv ianirapporte
dans sabiographie
deGalilée que. du temps où Galilée était
professeur
deMathématiques
à Pise( 1589 - 1592),
il démontra par desexpériences répétées
faites du haut du clo- cher dePise,
enprésence
desprofesseurs
et desétudiants,
que des corps de mêmematière,
mais depoids différents,
tombent avec la mêmevitesse,
contrai-rement à
l’opinion
d’Aristote et de ses sectateursqui
soutenaient que des corps de même matière tombent d’autantplus
vitequ’ils
sontplus
pesants. Ce témoi- gnage deViviani,
le seulauthentique
que l’onpossède
sur cesexpériences
de
Galilée,
fait voir que c’est à tortqu’on
a dit que cesexpériences
avaient été faites du haut de la tourpenchée
dePise,
et que Biot s’esttrompé quand
il aprétendu ( article
Galilée dans laBiographie
Michaud et dans sesMélanges, II, 431 ) qu’elles
avaient pour but de démontrer que « tous les corps,quelle
que soit leur nature, sontégalement
sollicités par lapesanteur,
et que, s’il y a des différences entre les espacesqu’ils
parcourent dans leur chute entemps égaux,
cela tient à
l’inégale
résistance que l’air leur oppose, selon leurs différents volu-mes ». Du reste
Stévin, contemporain
deGalilée,
avaitréfuté,
de soncôté,
lamême
opinion
en faisant tomber en même temps deux boules deplomb
l’unedix fois
plus pesante
quel’autre,
sur uneplanche
de bois. Il estétrange,
maisintéressant pour l’histoire des
sciences, qu’on
n’eût passongé,
avant Galilée etStévin,
à faire une vérificationexpérimentale
aussisimple
de la vérité ou de la fausseté de l’assertion desPéripatéticiens.
Expérience
duhlan
incliné. - Si Galilée avait étudié enphysicien
les loisde la chute des corps, il faudrait se demander comment il aurait eu
l’ingénieuse
idée de substituer à la chute libre la descente sur un
plan
incliné pour observerplus
exactement; mais sonpoint
dedépart
a été l’étude duplan incliné, qui
avait
déjà
étél’objet
des recherches des anciens. Il avait de bonne heure(XI, 56)
recherchépourquoi
un même mobilepesant,
descendant naturellementsur des
plans
inclinés àl’horizon,
descendplus
vite sur ceuxqui
font avecle
plan
de l’horizon unangle plus
voisin d’unangle droit,
etquelles
étaient lesproportions
de ces mouvements suivant les différentes inclinaisons: «question », dit-il,
«qui
n’ajamais
ététraitée,
queje sache,
par aucunphilosophe.
» On voitclairement que Galilée
prenait
sonpoint
dedépart
dans l’ancienneStatique;
car il pose en
principe qu’un
corpspesant
seporte
en bas avec autant de forcequ’il
en faudrait pour le tirer enhaut,
en d’autres termes,qu’il
descend avecautant de force que celle avec
laquelle
il résiste à l’ascension. Galilée démontre ensuite(1)
que le corpspesant
descend suivant la verticale avec une forcequi
est
plus grande
que celle aveclaquelle
il descend suivant unplan incliné,
dansla
proportion
où laligne
deplus grande pente
duplan
estplus longue
que la verticale.La considération du
plan
incliné sereproduit
encore dans unepremière
(1) Sermonis de molli gravium (XI, 58): Constat igittir tanto minori ii tr ahi sur-
sum idem pondus per inclinatum ascensum quam per rectum, quanto rectus ascensus minor est obliquo, et consequenter tanto majori vi descendere idem grave per rectum descensum quam per inclinatum, quanto major est inclinatus descensus quam iectus.
esquisse
de ses vues sur le mouvement uniformément accéléréXI. 74-78;
suivant Galilée la nature nous offre dans la chute des corps pesants une cer- t.aire
espèce
de mouvement accëléré. et, comme elleemploie toujours
les voiesles
plus simples,
comme parexemple
iln’y
a pas de maniereplus simple
devoler et de nager que celle que l’instinct naturel
indique
aux oiseaux et auxpoissons,
de même lapierre qui
tombe doit avoir le mouvement accéléré leplus simple.
Or il n’est pas de mouvementplus simplement
accéléré que celui dont la vitesse croittoujours
de la mêmemanière,
devient double au bout d’un tempsdouble, triple
au bout d’un tempstriple,
etc. ; mais il faut remarquer que le mêmedegré
de vitessepeut
êtreacquis
dans des tempstrès-différents,
sui-vant l’inclinaison du
plan
danslequel
tombe le mobile. Ainsi un corps pesant,en tombant suivant la
vertical,
peutacquérir
au bout d’une minute une vitesse que par unplan
incliné il n’aura pas au bout d’uneheure,
d’unjour,
d’un mois,d’une année.
Dans son
séjour
à Padoue et à Venise. Galiléeemploya
leplan
incliné à véri-fier ou,
plus probablement,
à trouver la loi des espaces. Dans sesDialogues
surles Sciences l1ouf’elles
(XIII, 171-172), après
avoir démontrégéométriquement
que les espaces parcourus par lemobile, qui
a un mouvement uniformémentaccéléré,
sont comme les carrés des
temps,
il fait dire à l’un desinterlocuteurs, Simplicius:
« Je
comprends bien qu’il
doit en êtreainsi,
la définition du mouvement unifor- mément accéléréétant admise;
mais l’accélération dont la nature se sert dans les corpsqui tombent,
est-elle réellement ainsi ? C’est ce dontje
ne suis pas encore biensûr,
et il serait utile deproduire
iciquelque expérience
lm - accordâtavec les conclusions démontrées. » Un autre
interlocuteur,
le Vénitien Salviati, ditqu’en
effet il aplus
d’une fois vérifié cette loi avecGalill’e,
de la manière suivante. Onprenait
une barre de boislongue
d’environ 12 brasses’’.4),
et
large
d’un côté d’une demi-brasse(0m,311),
de l’autre de 3doi- 8),
et du côté où elle était le moins
large,
on avait creusé un canal d’uii peuplus
de i
doigt (0m, 026)
delargeur. Après qu’on
s’était assuré que le canal était laiendroit, qu’on
l’avait bienpoli
etlissé,
on y collait duparchemin
aussi bien1 ustru que
possible,
et l’on y faisait descendre une boule de bronze très dure exactement arrondie etpolie ;
ensuite éleBant la barre de bois à l’unextrémités,
de 1 brasse(0m,622)
ou 2 àvolonté,
on faisait descendre laboule dans le
canal,
en notant le tempsqu’elle
mettait à leparcourir
entièrement.On recommencait
l’expérience plusieurs
fois pour bien s’assurer de la durée dutemps,
et l’onn’y
trouvait pas de différence, même de la dixième pal tie d’un battement dupouls;
ensuite on faisait descendre la boule seulementjusqu’au
quart ducanal,
et en mesurant le temps un trouvaitquïl
était exactement la moitié de l’autre. En comparant le temps que la boule mettait a parcourir toute(1) Merscnne dit (Cogitata physicomathematica, III, 218; Paris, 1647) que la brasse de Florence répond satis
pr0153cise
à 23 pouces de France et que le doigt t’st peut- être (forte) le fi de cette brasse. Alors cette brasse serait de 0m,622 et le doigtde 0m,022. Prony, dans son évaluation des mesures linéaires (Annuaire de Bureau
des Longitudes, 1846, p. 62) donne 0m, 594 à la brasse de Florence.
I64
la barre avec celui
qu’elle
mettait à enparcourir
la moitié ou les deux tiers oules trois quarts ou
n’importe quelle
autrefraction,
et enmultipliant
lesexpé-
riences, on trouvaittoujours
que les espaces parcourus étaient comme les carrés destemps,
et celaquelle
que fùt l’inclinaison de la barre. Pour mesurerle temps, on élevait un
grand
seauplein d’eau, qui
avait au fond unpetit
ro-binet. par
lequel
coulait un mince filet d’eauqu’on
recueillait dans unpetit gobelet pendant
tout le temps que la bouledescendait;
l’eau ainsi recueillie étaitpesée
à une balancetrès-exacte ;
les différences et lesproportions
des dif-férentes
pesées
donnaient les différences et lesproportions
de temps, et celaavec une telle
justesse,
que lesopérations répétées
ungrand
nombre de fois n’offraient pas de variations notables.Expérience
dupendule. -
Viyiani araconté,
dans une lettre du 2o aoùt1659
àLéopold
de Médicis(XIV, 342),
que Galilée se trouvant versl’âge
devingt
ans,vers 1583, à
Pise,
dans le dôme de cetteville,
avaitremarqué qu’une lampe
écartée de la verticale décrivait des arcs de différentes
longueurs
dans destemps toujours égaux. A
Padoue il se servit de cefait,
mais à un autrepoint
de vue,pour confirmer le
postulat
que les vitessesacquises
par un même mobile surdifférents
plans
inclinés sontégales
si la hauteur de cesplans
est la même(XIII, 163).
On fixe(p. 164)
à une muraille un clouauquel
estsuspendue,
àune distance de deux
doigts
environ de lamuraille,
par un fil AB(fig. i) long
Fig. i.de 2 ou 3
brasses,
une boule d’une once ou deux. On trace sur la muraille laligne
CD coupant àangle
droit laperpendiculaire AB; puis
ontransporte
AB enAC,
et on le laisse en liberté : B parcourra l’arc CBD et remontera presquejusqu’en D,
à unetrès-petite
distanceprès,
à cause del’empêchement
causépar l’air et le fil. Ainsi l’élan
(Ùnpeto)
de la boule en B est telqu’il
lui faitencore décrire l’arc BD. Maintenant
enfonçons
dans lamuraille,
en E ou enF,
touchant le
fil,
un clouqui
soit de 5 ou 6doigts.
Le filAB, reporté
en C etlaissé en
liberté,
rencontrera en arrivant en B le clou E et décrira l’arc de cercle BG dont le centre est enE;
si le clou est enF,
il décrira l’arc de cercleBI,
dont le centre est en F. Or les deux arcsCB,
BD étantégaux
et sembla-blement
situés,
la vitesseacquise (1)
en descendant l’arc CB estégale
à celle(1) L’acquisto di momento fatto per la scesa dell’ arco B.
qui
estacquise
en descendant DB : mais la vitesseacquise (1)
en B dans ladescente de CB peut faire monter le mobile de B en D ; et en
général
toutevitesse
acquise
en descendant un arc de cercle estégale
à cellequi
peut faireremonter au même mobile le même arc. Mais toutes les vitesses
acquises
qui font remonter tous les arcsBD, BG,
BI sontégales puisqu’elles
sontacquises
endescendant le même arc
CB;
donc toutes les vitessesacquises
en descendant lesarcs DB,
GB,
IB sontégales.
Galilée reconnait d’ailleurs que cette démonstration ne
s’applique
pas sansquelque
difficulté au mouvement sur desplans inclinés,
parce que l’accélération dans une courbe n’est pas la même que sur unplan; cependant,
suivantlui,
elle permet d’admettre que la vitesseacquise
au bout de la descente d’unplan
incliné
pourrait
faire remonter le mobile à la mêmehauteur,
s’iln’y avait
pas de choc au moment où le mobile passe d’unplan
sur l’autre. « Prenons donc,ajoute Galilée (p. 166),
cetteproposition
comme unpostulat
dont la vérité sera établiequand
nous verrons d’autresconclusions, qui
reposent sur le mèmefondement, répondre
exactement àl’expérience. »
SOCIÉTÉ
FRANÇAISE DE PHYSIQUE.Séance du 27
février I874.
M.
Jungleisch
expose commentl’opinion
deBiot, généralement adoptée,
surla nécessité de l’intervention des
phénomènes
vitaux dans laproduction
du pou- voir rotatoire doit être absolumentrejetée.
En
effet,
enpartant
de corpsqu’on peut
obtenir parsynthèse directe,
M.Jung-
fleisch a obtenu des corps
jouissant
depouvoir
rotatoire.M. Cornu résume ensuite
quelques-uns
des travaux effectués par la Commission du passage deVénus,
en vue de l’obtentiond’images photographiques
du Soleil.Séance du 13
mars 1874.
M. Mascart expose devant la Société
quelques
résultats relatifs à la double réfraction du verretrempé spécialement
dans le cas des lamesbataviqucls : quelques expériences
depolarisation chromatique projetée
seront appuyerses
explications.
Il
présente
ensuite unpetit aspirateur
construit par M. Golaz. C’est unetrompe qui,
sous unepression
de 5 ou 6 mètresd’eau, peut
raréfier un gazjusqu’à
lapression
de z centimètres de mercure.(1) Il momento acquistato in B per l’arco CB è potente a risospingere i n su il
medesimo mobile per 1"arco BD... ogni momento acquistato per la scesa d’un lico 1 CO
eguale a quello che puo far risalire l’istesso mobile pel medesimo arco. Ma i momenti tutti, che fanno risalire per tutti gli archi BD, BG, BI sono equali, poichè son fatti
dall’ istesso medesimo momento acquistato per la scesa CB...; adunque tutti i mo-
menti che si acquistano per le scese negli archi DR, GB, IB sono ecuali.