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La Suisse et l'Union monétaire latine

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Texte intégral

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Trente-septième Hnnée. — H° 15. Samedi. 18 Février 1922 Bureaux: rue de la Serre, 5 8 wmm^mmimimmÊmmmmmmmmm

M TMMTION

SUISSE

ORGRNE DE LA CHRMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, DES CHAMBRES DE COMMERCE, DES BUREAU* DE CONTROLE, DE5 ASSOCIATIONS PRTROMRLES

ET DE L'IMFORMRTIOM HORLOGÈRE SUISSE *********************.**»**,*********************_

PARAISSANT I E MERCREDI ET LE SAMEDI A LA CHAUX-DE-FONDS I 8 u | s s e s 3 0* C o f f r e ? " d e m a n d e s : Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal | de places 20 et. la ligne, flrlMOMCES: PÜBLKITA5, S. R. suisse de Publicité, 22, rue Leopold Robert, I étrangères 35 centimes la ligne.

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Dans l'horlogerie américaine

Les causes d'une faillite.

Ceux qui vouent aux «méthodes américaines»

une admiration totale feront bien de ne pas lire cet article. Il leur ôterait une illusion.

Chacun connaît la faillite récente de la mai- son R. Ingersoll & frère, une des grosses firmes de l'horlogerie américaine. Ce que l'on connaît beaucoup moins, c'est la cause, ou plutôt les causes véritables de cette sensationnelle faillite.

C'est la Printers Ink, excellente revue publi- citaire, qui les fait connaître, pour bien mon- trer que l'événement ne fut pas, comme on l'a dit, la conséquence d'une publicité trop large.

En réalité, dit le Printers Ink, la firme Robert H. Ingersoll & frère est une des mal- heureuses victimes de la guerre. Et, comme elle se doute que cette explication ne saurait

suffire à tout expliquer, elle ajoute ceci : Le capital de la firme Ingersoll était propor- tionné aux exigences d'une exploitation nor- male. Vint la guerre, avec ses besoins extraor- dinaires. Le coût des matières premières monta chaque semaine. Le taux des avances en ban- que s'élevait jusqu'à sept pour cent. Le prix de la main-d'œuvre, élément capital de la fabri- cation horlogère, s'élevait aussi. Il fallait donc de l'argent. Et c'est là que commence l'a- venture.

Au lieu d'élever son capital-actions, ou de souscrire des engagements à long terme, par rémission publique d'obligations, par exemple, la firme Ingersoll préféra souscrire des enga- gements à court terme pour pourvoir à ses plus pressants besoins. Mauvaise politique, cela va de soi, puisque les billets sans cesse re- nouvelés arrivèrent à échéance au moment pré- cis où les cours baissaient et où. les ventes s'arrê- taient. Une stupide politique financière avait fait de la firme Ingersoll la prisonnière de l'escompte. On le vit bien lorsque la couver- ture des billets se mit à fléchir, lorsque les amortissements s'imposèrent sur stocks, sur chantiers et sur matières premières, lorsque l'inventaire' annuel accusa un actif notablement déprécié. A ce moment-là, le montant des bil- lets en circulation s'était gonflé dans la mesure exacte des besoins de trésorerie, qui s'étaient accrus dans les premiers temps de la crise, alors que le produit très diminué des ventes ne suffisait plus à couvrir les frais généraux et à faire « marcher » l'entreprise.

La situation était d'autant plus sérieuse, ajoute le Printers Ink, que la maison Ingersoll avait commis l'erreur de ne pas relever ses prix de vente dans la même proportion où s'étaient majorés ses prix de revient. Le prix de la

« Dollar Watch » ne s'était relevé qu'à I dollar et 35 cents, et, dans certains cas, à deux dol- lars et demi. On peut croire que cette majora- tion devait compenser bien mal l'énorme hausse des prix de revient de fabrication et des frais

généraux. C'était la culbute inévitable, causée par une double erreur : une politique finan- cière dont le moins qu'on puisse dire est qu'elle fut imprévoyante et enfantine, une politique de vente a courtes vues, mal adaptée à la no- tion du prix de revient industriel et com- mercial.

Nous avons toujours à apprendre de l'Amé- rique, de son état d'esprit, de ses méthodes, de son organisation précise et de sa tendance constante aux résultats positifs. C'est entendu.

Mais l'observation sympathique et attentive ne doit pas aller jusqu'à l'adoration béate. Puisse cette évocation d'une faillite et de ses causes réelles modérer l'enthousiasme doucement ri- dicule de certains « américanisants » qui croient avoir tout dit lorsqu'ils ont prononcé : Regar- dez les méthodes américaines !

Les méthodes américaines ? Elles ont d'ex- cellents côtés; elles en ont aussi de bien mau- vais. Ce que vous venez de lire vous à fait voir que, même dans les plus grosses firmes, elles admettent des erreurs rie jugement et de mé- thode qui s'expliqueraient difficilement dans notre vieille Europe horlogère.

*

Ce qu'il importe de méditer chez nous, c'est la conclusion du Printers Ink :

« Robert-H. Ingersoll & frère laissent derrière

«eux, aujourd'hui, ce qu'ils ont créé par un

« effort publicitaire de plusieurs années. Leurs

« montres se trouvent par millions dans les

« goussets masculins ; des millions d'hommes

« sont prêts à choisir la marque « Ingersoll »

« dès qu'ils auront besoin d'une montre. Des

« milliers de détaillants tiennent cette marque

«et sont disposés à s'y réassortir dès que s'é-

« puiseront leurs stocks. Toutes ces relations

«commerciales, toute cette large notoriété re-

« présentent un actif remarquable, qu'il a fallu

«mettre de nombreuses années à créer... Ainsi

« donc, la véritable affaire Ingersoll n'est pas

« compromise dans cette faillite. La véritable

« richesse de l'affaire ne réside pas dans les

« fabriques et les bureaux de la société. Elle

«est, sous la forme d'une marque, répandue

«à travers le monde, partout où il existe des

« détaillants pour vendre des montres et un pu- tt blic pour les acheter. »

Débarrassée de sa grandiloquence yankee, cette observation est d'une rare vérité. Elle justifie l'effort patient et coûteux des grandes marques suisses — qui valent bien l'américaine, et au-delà ! — pour se créer à travers le monde un vaste marché et une universelle réputation.

Elle montre que le chemin du succès passe toujours à travers les taillis de la publicité, à condition que la volonté de l'industriel n'y dé- vie pas dans de stériles sentiers. L'industriel averti entend ici, ce que nous voulons dire.

Elle enseigne que les bonnes montres ne se vendent pas toutes seules — comme on l'a cru parfois dans nos Montagnes — et que dans la plus terrible des crises, le soin de sa

marque demeure encore le premier devoir de l'industriel et du grand exportateur de mon-

P. D».

très.

La Suisse et l'Union monétaire latine

Le nouvel accord qui a été conclu le 21 novem- bre écoulé à Paris, pour le renouvellement de l'Union monétaire a fait l'objet d'un message très détaillé du Conseil fédéral aux Chambres.

La Société de Banque Suisse dans son Bulletin de janvier examine aussi la question dont l'impor- tance pour notre commerce et notre industrie est certainement considérable.

L'Union monétaire latine date du traité du 23 décembre 1865 entre la Belgique, la France, l'Italie et la Suisse.

Ces quatre pays jouissaient déjà auparavant, la Suisse depuis 1830, de l'uniformité monétaire ayant comme base le franc d'argent pesant S gram- mes au titre de 900 millièmes et la monnaie d'or au même titre ayant à poids égal une valeur de 15 V« lois supérieur à celle de l'argent.

Mais l'afflux de l'or provenant de Californie et d'Australie altéra profondément le rapport de valeur des deux métaux. Pour restaurer sa circu- lation, la Suisse, la première, abaissa en 1860 à 800 millièmes le titre de ses monnaies d'appoint et l'Italie suivit en 1862 en décrétant la frappe de pièces d'argent divisionnaires à 835 millièmes de fin. L'Uniformité était rompue et de gros obstacles étaient créés à Tinter circulation du franc.

C'est pour établir une communauté monétaire que fut créé l'Union monétaire.

Les contractants sont constitués à l'état d'union pour ce qui regarde le titre, le poids, le module et le cours de leurs espèces monnayées d'or et d'argent.

Les monnaies de billon (cuivre et alliages de métaux communs) sont laissées hors de l'Union.

Les monnaies d'or de 100, 50, 20. 10 et 5 francs au titre de 900 millièmes et pesant à valeur égale 15 '/» fois moins que les pièces d'argent, ainsi que les monnaies de 5 francs d'argent de 25 grammes au titre de 900 millièmes peuvent être frappées pour un montant illimité et les caisses publiques acceptent sans distinction d'effigie les pièces des quatre Etats fabriquées dans les conditions pres- crites et dont le poids n'a pas été réduit d'au moins '/2 % par le frai.

Le traité de 1865 consacra donc le bimétallisme intégral pour les Etats de l'Union.

La frappe des pièces divisionnaires exclues du traité était limitée pour chaque pays à un montant correspondant à 6 francs par habitant

Pourquoi n'a-t-on pas soumis en 1865 les écus de 5 francs au môme régime que les pièces divi- sionnaires: abaissement du titre, limitation du pouvoir de libération, détermination d'un contin- gent? Le moment était cependant très propice pour passer au monométallisme-or, puisque les pièces d'argent au 900 millièmes étaient enlevées de la circulation pour être fondues ou exportées.

La Belgique avait proposé ce changement'; l'Italie et la Suisse l'avaient appuyé ; mais la France s'y opposa, peu désireuse de transformer les bases de son système monétaire de l'an XI de la République.

Le fait de ne pas avoir soumis les pièces de fr. 5 au même régime que les pièces divisionnaires fut une grande faute qui causa de nombreuses diffi- cultés à l'Union latine.

En effet, le rapport de la valeur commerciale entre l'or et l'argent allait subir de grands chan- gements. Tandis que de 1850 à 1866, ce rapport avait été légèrement inférieur à la parité monétaire de 15 7», ce qui tendait à éliminer l'argent de la circulation, c'est le mouvement inverse qui se

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74 L A F É D É R A T I O N H O R L O G Ê R E S U I S S E produit à partir de 1867; l'argent arrive sur le

marché en quantités toujours plus fortes grâce à une production accrue »jar l'exploitation de nou- velles mines et par la mise en œuvre des procédés mécaniques de séparation du plomb argentifère ; d'autre part, l'Empire allemand, nouvellement fondé, réalise son unification monétaire sur la base de l'étalon d'or et vend successivement à Londres et ailleurs plusieurs millions de kilos de metal blanc ; la Hollande cesse la frappe de l'ar- gent ; le Danemark, la Suède et la Norvège adop- tent l'étalon d'or, puis viennent les Etats-Unis.

L'Extrême Orient, qui, précédemment thésaurisait l'argent-métal en grandes quantités, restreint ses demandes. Enfin, dans la période qui va de 1860 à 1885, la production annuelle de l'or, après l'é- norme bond en avant qu'elle avait fait pendant la précédente décade, fléchit peu à peu de 200.000 à ISO.000 kilogrammes par an.

Le métal de valeur inférieure chassait peu à peu l'or de la circulation.

En Belgique, en France et en Italie, on fut forcé de recourir à des mesures limitatives. Dans une conférence monétaire qui se tint à Paris en janvier 1874 on limita la frappe des écus pour l'année 1874 à un total de 120 millions de francs. En février 1875 se réunit une nouvelle conférence, qui fixa à 150 millions le montant des écus à frapper pendant cette année-là. En 1876, la conférence siégea en février ; elle rétablit le contingent général de 120 millions. La baisse du métal-argent s'accentuant et les demandes de frappe d'écus se multipliant, la France supprima cette frappe en août 1876 et la Belgique dès le 1er janvier 1877.

Le traité de 1865 fut remplacé par la Convention monétaire du 5 novembre 1878, qui renouvela pour six ans l'Uuion à laquelle était venue se join- dre la Grèce.

La frappe de l'or continua à être libre, sauf celle des pièces de 5 francs, qui fut provisoirement supprimée. Le monnayage des écus d'argent fut suspendu et il fut stipulé qu'il ne pourrait être repris qu'avec l'accord unanime des contractants.

Enfin, l'Italie demanda et obtint la nationalisa- tion provisoire de sa monnaie divisionnaire d'ar- gent.

Ainsi, après de nombreuses difficultés et des conférences successives, l'Union latine abandonna en 1879 le bimétallisme intégral pour passer pro- visoirement à ce qu'on a appelé le bimétallisme boueux, c'est-à-dire à un système dans lequel, convertis en pièces de 5 francs ou en multiples de 5 lrancs, les deux métaux conservent toute leur faculté libératoire, mais où l'or seul peut être frappé librement, la circulation de l'argent étant limitée au stock d'écus existants.

Une nouvelle convention fut conclue en 1885, elle régit encore les relations monétaires des Etats de l'Union.

Le type des monnaies de l'Union n'est pas changé.

La frappe libre de l'or est maintenue, exception faite pour les pièces de 5 francs.

• Le monnayage des écus est suspendu, sauf pour la refonte jusqu'à concurrence de 10 millions de francs des anciens écus suisses, mais le stock d'écus existant continue à j o u i r d e l ' intercirculation et d'un pouvoir libéral complet.

Mais ce qui caractérise la convention de 1888, c'est '.'introduction, dans son article 14, dans l'ar- rangement relatif à l'exécution de cet article et dans l'acte additionnel du 12 décembre, d'une clause de liquidation concernant les écus.

Le principe général de liquidation est exposé comme suit à l'article 14 : « En cas de dénonciation

«de la présente conveution, chacun des Etats

« contractants sera tenu de reprendre les pièces de

« 5 francs en argent qu'il aurait émises et qui se

« trouveraient dans la circulation ou dans les cais-

« ses publiques des autres Etats, à charge de payer

« à ces Etats une somme égale à la valeur nominale

« des espèces reprises... ».

Les conditions de cette reprise sont déterminées et précisées dans un arrangement spécial de même date.

Il résulte implicitement du texte de l'arrange- ment que l'Etat débiteur a le choix entre les modes de remboursement suivants, la compensation réci- proque des écus ayant déjà été faite : rembourse- ment en or, ou en traites, ou en or et en traites.

Mais l'arrangement prévoit deux dérogations qui intéressent la Suisse.

. La France doit lui rembourser, à leur valeur dominale, tous les écus français retirés de la cir- culation suisse.

Les remboursements de l'Italie sont limités à

30 millions. <

Ceux de la Belgique sont limités à 6 millions de francs.

La Suisse recevra obligatoirement en écus suis- ses et en or au maximum :

de la France : de l'Italie : et de la Belgique :

60 millions de francs, 20 » » »

6 » » » soit en tout : 86 millions de francs.

Cette, somme lui sera versée dans l'année qui suivra la dénonciation de l'Union.

Si les négociateurs suisses de 1888 ont accepté la limitation à 86 millions des remboursements en espèces, c'est qu'évidemment, l'un d'eux ayant éva- lué de 80 à 100 millions la circulation suisse ils ont envisagé que notre pays recevrait une quantité suffisante de monnaie de remplacement sans atten- dre les remboursements échelonnés de trois en trois mois pendant une durée de cinq ans.

La convention de 1885 avait été conclue pour cinq ans avec prorogation par tacite reconduction d'année en année. Dans la pratique, son applica- tion ne donna pas lieu à des difficultés jusqu'à la grande guerre. Cependant, la dépréciation mo- mentanée du change italien fit temporairement disparaître la circulation blanche de la péninsule et une prime même légère du change sur Pai is, amena souvent la raréfaction des écus en Suisse et en Belgique, si bien que les banques d'émission de ces deux pays eurent des frais considérables pour le ravitaillement en pièces de 5 francs.

(A suivre).

Informations

Autriche. — Surtaxe douanière.

Suivant une ordonnance du 25 janvier écoulé, du Ministère autrichien des finances, entrée en vi- gueur le 2 février courant, la surtaxe pour l'ac- quittement des droits de douanes en monnaie- papier, a été portée à 500 fois le montant initial du tarif conventionnel.

Remarquons que les montres de poche de tous genres, continuent à acquitter les droits en or.

Colombie britannique.

Selon une communication du Consulat de Suisse à Vancouver du 15 janvier dernier, plusieurs mai- sons suisses subiraient des pertes pour marchan- dises expédiées à des firmes établies dans son district consulaire.

A l'exception des maisons dont le crédit est hors de cause, le Consulat recommande aux industriels suisses de se renseigner auprès de lui et de ne pas faire d'envoi de marchandises (sinon par l'entre- mise d'une banque) à des maisons inconnues avant de s'être entourés de toutes les information indis- pensables.

§ßf Espagne. — Tarif douanier.

Afin de gagner du temps pour les négociations en cours, les Gouvernements suisse et espagnol ont conclus un nouveau modus vivendi, aux ter- mes duquel sont appliqués jusqu'à fin février aux marchandises suisses à destination d'Espagne les taux de la seconde colonne (taux minima) du nou- veau tarif espagnol, en vigueur dès le 16 de ce mois, les marchandises espagnoles importées en Suisse restant soumises au tarif d'usage.

Cet accord est applicable jusqu'au 15 mars in- clusivement aux marchandises expédiées avant la fin de février.

Les taux essentiels du nouveau tarif espagnol seront publiés dans un des prochains numéros.

Tchécoslovaquie.

M. Gerold Déteindre, consul général de Suisse à Prague, se met à la disposition des industriels et commerçants suisses pour renseignements sur la Tchécoslovaquie 1° à Zurich, le 22 février, au bureau suisse de renseignements pour l'achat et la vente de marchandises, rue de la Bourse, 10 (adresser les demandes d'entretien avant lundi en indiquant la nature des questions à traiter, les simples demandes de renseignements pouvant être envoyées par écrit au même bureau) ; 2° à Lausanne le 23 février, dans les locaux du Bureau industriel suisse, Grotte 1.

Chambres de commerce

Chambre suisse de l'Horlogerie.

Le Conseil d'Etat du Canton de Neuchâtel a nommé, pour la période du 1er janvier 1922 au 31 décembre 1924, comme délégués neucbâtelois, fai- sant partie de l'assemblée générale de la Chambre suisse de l'Horlogerie, les citoyens dont les noms suivent :

1. Paul Mosimann, président actuel de la Chambre, à La Chaux-de-Fonds ;' 2. David Kenel, à La Chaux-de-Fonds ; 3. Henri Richard, au Locle ;

4. Albert Piguet, au Locle ;

5. Isidore Ditesheim, à La Chaux-de-Fonds : 6. Paul Ditisheim, à La Chaux-de-Fonds ; 7. Georges Eberhard, à La Chaux-de-Fonds ; 8. Constant Girard-Gallet, à Chaux-de-Fonds ; 9. Félix Hirsch, à La Chaux-de-Fonds ; 10. Gottfried Scharpf, à La Chaux-de-Fonds : 11. Emile Perrenoud, à Fontainemelon ; 12. Adrien Schwob, à La Chaux-de-Fonds;

13. Ernest Borel, à Neuchâtel ;

14. Charles-Albert Vuille, La Chaux-de-Fönds.

Contrôle de la marche des montres

Concours international de ohronométrie.

Tous les quotidiens ont publié la nouvelle qu'à l'occasion du centenaire de la mort du célèbre hor- loger neuchâtelois A.-L. Breguet, la ville de Paris organisait pour 1923 un concours international de Chronometrie , qu'une commission internationale serait instituée ou figureraient quelques-uns de nos chronomètriers suisses.

Cette information émanant de l'agence Respu' blica, est fausse.

Par contre, nous pouvons annoncer que pour commémorer cet anniversaire le gouvernement du canton de Neuchâtel instituera un pareil con- cours à l'Observatoire de Neuchâtel.

Le J u r y se composerait de M. le chef du Dépar- tement de l'Industrie comme président d'honneur, d'un président effectif, a désigner ultérieurement, et de Messieurs les directeurs des quatre observa- toires chronométriques de Genève, Besançon,' Teddington (Angleterre) et Neuchâtel.

Le programme des épreuves, d'observation et de classement qui sera publié prochainement, a été longuement étudié par une sous-commission

de l'Observatoire de Neuchâtel,

Les intéressés peuTent se procurer le règlement fixant les conditions du concours à la Chancellerie d'Etat ou à l'Observatoire de Neuchâtel.

Chronique des Associations patronales

Allemagne. — Chez les horlogers détaillants.

L'Association centrale des horlogers allemands (Zentralverband der Deutschen Uhrmacher) a con- clu avec les membres de l'Union dès ouvriers hor- logers (Deutschen Uhrmacher-Gehilfen-Bund) une convention, valable dès le 1er février 1922 jusqu'au 1er avril 1923, de laquelle nous extrayons les ren- seignements suivants :

Les ouvriers sont rangés dans 4 classes de sa- laires, soit:

a) ouvriers sortant d'apprentissage, ayant encore besoin de se perfectionner ;

b) ouvriers pouvant rhabiller seul et en un jour au moins deux montres cyl. pour hommes ou deux montres ancre simples ;

c) ouvriers, sûrs et indépendants pour le rha- billage et le réglage de montres de tous genres, de qualité moyenne et bon courant ;

d) ouvriers qualifiés, indépendants pour le rha- billage et le réglage de montres de qualité soignée et compliquée et aptes à confectionner soigneuse- ment les pièces de rechange.

Les salaires sont valables pour quarante-huit heures de travail hebdomadaire. Pour les heures supplémentaires, il est ajouté une augmentation de 2 5 % du salaire normal par heure pour les deux premières heures d'un jour, 80% pour les heures suivantes. Le travail du dimanche est rétribué avec 50 % de supplément.

Il est accordé les vacances payées suivantes : Après 1 an d'activité = 6 jours

» 2 ans » = 9 »

» 3 ans » — 12 »

Le personnel féminin reçoit le même salaire pour travail égal à celui exécuté par les ouvriers.

Voici les tarifs tels qu'ils ont été adoptés :

Cl. A B G D Marks à l'heure

Villes 5000 hab. 4,— 5,— 6,— 7,—

jusqu'à 20000 » 4,50 5,50 6,50 7,80

» 50000 » 5,— 6,— 7,— 8,—

» 100000 » 6,— 7,— 8,— 9,—

plus de 100000 » 7,— 8,— 9,— 10,—

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LA F É D É R A T I O N H O Î t L O G Ê Î t E S U I S S E /o Ces taux peuvent être revisés au commencement

de chaque trimestre, avec dénonciation préalable de 4 semaines.

Commerce extérieur

Le projet de tarif douanier des Etats Unis.

A maintes reprises la Fédération Horlogère a entretenu ses lecteurs de la question du projet de tarif douanier adopté par la Chambré des repré- santants et actuellement en discussion à la Com- mission des finances du Sénat,

Comme nous l'avions signalé, l'accueil qu'à ren- contré le projet au Sénat a été plutôt frais. Le pro- jet y reste en suspens, les enquêtes et les discus- sions se multiplient et l'accord est loin de se fàii'e.

La pierre d'achopement reste toujours «l'americàn valuation», c'est à dire revaluation du prix de vente de la marchandise en Amérique pour la fixation des droits.

La Journée industrielle donne à ce sujet les renseignements suivants. La Commission des fi- nances est partagée en deux fractions, une pre- mière, s'appuyant sur les arguments de W . S. Cul- berton, de l'U. S. Tarift Commission, et de George Davis, agent spécial du service des douanes à New-York, propose de renoncer tout simplement au principe même de 1'« american valuation » et d'établit les droits ad valorem d'après les prix de gros sur les marchés étrangers. On remarquera que cette proposition ne tient aucun compte des prix facturés ; elle permettrait sans doute encore aux fonctionnaires de la douane américaine d'exa- miner les livres des commerçants étrangers. Tou- tefois, il semble que 1'« american valuation » sera maintenu, au moins en principe.

Le projet de Vries modifie la section 403 (rela- tive à 1'« american valuation ») du bill voté par la Chambres des représentants de la façon suivante : elle conserve la définition de 1'« american valua- tion », mais elle spécifie que, [pour établir le prix de gros d'un produit sur le marché américain, on ne se fondera pas sur une ou deux ventes ou offres de ventes plus ou moins fictives, mais sur toute une série d'affaires traitées se rapportant elles- mêmes à des transactions importantes; le texte original risquait, en effet, d'amener les fabricants américains à feindre les transactions à des prix élevés pour faire augmenter les droits de douane, calculés d'après la valeur sur le marché américain.

Les deux parties sont d'accord pour introduire dans le projet une clause imposant une surtaxe aux pays à change déprécié. Jusqu'à présent on n'envisageait guère cette surtaxe et il n'en était nullement question dans le texte voté par la Cham- bre des représentants ; on ne peut s'empêcher de soupçonner dans cette mesure une influence bri- tannique. Soit, en effet, une marchandise dont le prix de revient est de 2 dollars aux Etats-Unis et de 1 dollar en Allemagne ; en Grande-Bretagne, le prix de revient de ce même article sera, en géné- ral, à peu près le même qu'aux Etats-Unis; toute augmentation importante des droits de douane excluera l'article anglais du marché américain, mais non l'article allemand; au contraire, une sur- taxe proportionnelle à la dépréciation des changes rétablira l'équilibre entre les divers concurrents.

Sur un autre point, la Commission du Sénat est fort embarrassée ; comment fixer à l'avance la va- leur des marchandises qui sont commandées plu- sieurs mois à l'avance ? Pour prendre un exemple précis, les importateurs américains passent actuel- lement, ou ont déjà passé, des commandes de lin- gerie livrables seulement dans plusieurs mois;

qui peut savoir ce que seront les prix de gros américains pour la lingerie dans plusieurs mois ? Et pourtant, c'est d'après ces prix, au moment précis où la marchandise quittera le pays d'expor- tation que les taxes ad valorem seront calculées.

Au moment où tous les producteurs réduisent les bénéfices, compriment les prix de vente, où le fac- teur a prix » est devenu le facteur essentiel, une telle incertitude au sujet des droits de douane que la marchandise vendue aura à subir est de nature à paralyser le commerce d'importation aux Etats- Unis.

Union des petits Etats.

H. J. B. — L'on peut discuter à perte de vue sur l'opportunité et l'inopportunité du protection- nisme qui est le régime douanier de l'heure ac- tuelle; ceux qui l'introduisent s'y disent obligés par la force des choses, parce que l'autre Etat avec lequel on ne demanderait pas mieux que de prati- quer le libre échange, n'en fait pas autrement. Ce- pendant, il y a là une chose qu'il ne faut point oublier : il y a deux sortes d'Etats, des petits et des grands, que le protectionnisme frappe très dif-

féremment. C'est en particulier l'opinion d'un journal d'idées de la Suisse allemande, le Neue Schweizer Zeitung qui émet à ce propos l'idée d'une union douanière des petits Etats.

Le journal base cette idée sur une double cons- tatation: les grands États, dit-il, sont en une cer- taine mesure capables de pratiquer la «splendid isolation » si chère aux fiers et habiles politiciens de l'Outre-Manche. Les débouchés nationaux sont assez grands pour que l'industrie puisse y écouler la plus importante partie de ses produits. D'autre part, leurs sources de production permettent aux grands États de faire, pour un laps de temps limi- té, abstraction de l'importation et de suffire à leurs propres besoins. Ils peuvent par conséquent pra- tiquer le protectionnisme avec un certain succès, bien que cette politique doive, un jour ou l'autre, aboutir à l'appauvrissement et à la guerre.

Il en est autrement des petits Etats. L'exiguité de leur superficie ne comporte pas une grande va- riété de produits et le petit nombre des habitants ne constitue pas une clientèle suffisante. Le pro- tectionnisme est pour eux un danger positif. L'idée d'une union douanière entre ces petits Etats — on parle de la Belgique, la Suisse, la Hollande, la Suède, et des autres États Scandinaves, des nou- veaux pays de l'Europe centrale et même des Etats balkaniques — apparait d'autant plus heureuse que leurs produits ne se font pour ainsi dire pas concurrence. Le régime du libre échange pourrait s'établir entre eux sans mettre en cause la prospé- rité des industries nationales. Ainsi nous avons besoin de sucre de Tchécoslovaquie, de charbon belge, du fer et de la pâte de bois de Suède, du beurre de Hollande, etc. En revanche ces pays se- raient sans doute prêts à importer de Suisse de l'horlogerie, nos soieries, nos broderies, nos cho- colats, nos machines de précision, notre lait con- densé.

Une entente douanière entre ces Etats multiplie' rait les changes entre eux sans porter préjudice à aucun d'eux. L'expansion économique que le ré- gime protectionniste empêche fatalement, trou- verait une voie n mvelle. La clientèle plus nom- breuse permettrait une variété plus grande des produits et la satisfaction des plus divers besoins.

L'idée de cette coopération économique mérite d'être connue et étudiée par ceux qui ont le soin de sauvegarder notre économie nationale; peut- être y a-t-il un chemin qui nous sortira un peu du marasme actuel.

Subsides de change

La Commission de surveillance a eu une séance avant-hier, jeudi, à Berne, à laquelle assistaient le directeur de l'Office fédéral du travail et son secrétaire.

Les différentes modifications à l'arrêté, que la Commission pvait proposées au Conseil fédéral, lors de sa dernière séance, ont été discutées et, après entente, seront présentées au Conseil fédé- ral, qui rendra un arrêté spécial, tenant compte des modifications proposées, vendredi prochain 24 courant.

L'arrêté concernant le cours fixe pour la Tché- coslovaquie, qui sera porté de 7,50 à 12 sera rendu, étant donné son urgence, mardi prochain 21 et.

Les informations données par l'agence Bespu- blica à la Sentinelle, sur les différentes décisions prises par la Commission, sont fausses d'un bout à l'autre. Bn particulier, les subsides accordés jusqu'ici aux fabricants d'horlogerie ascendent à un chiffre très sensiblement inférieur aux indica- tions données par cette agence.

Dès que le Conseil fédéral aura voté le nouvel arrêté, nous renseignerons nos lecteurs sur les principales modifications qui vont être apportées à l'arrêté primitif du 12 décembre 1921.

Registre du commerce

E n r e g i s t r e m e n t s ;

1/II/22. — Oscar Vorpc, fabrication de la montre Initia (Initia Watch) (0. V., de Sonceboz), fahr, d'horlogerie, chemin du Canal 38, Bienne.

6/11/22. — Félix Schulz (heimatlose), fabr. d'horlogerie et d'é- bauches, Chemin du Nouveau Stand, St-Georges (Lancy, Genève).

7/II/22. — Theodor Muff (de Neuenkirch), horlogerie-bijoute- rie-optique, Hochdorf (Lucerne).

2/11/22. — Georges Schmidt (G.-Edmond S., de Mumliswil, Soieure), fabr. d'horlogerie, rue D. P. Bourquin 10, La Chaux de-Fonds.

M o d i f i c a t i o n » :

7/11/22. — La soc. an. Usines Sonia S. À., Sl-linier,, fonderie, laminage, tréfilage, réduit son cap. soc. de 550.000 à 110.000 frs. nom.

3/11/22. — La raison «Emile Graupmanu, fabrique d'horlogerie Sîris », esl radiée. Actif et passif sont repris par E. Graap- mann & (lie, fabrique d'horlogerie Siris, successeurs de K. Erlsbacher, soc. n. coll. (Emile G. et Ernest Brehm, de La Chaux-de-Fonds), fahr, et commerce d'horlogerie, etc.', rue Leopold Robert 73', La Chaux-de-Fonds.

R a d i a t i o n s t

7/11/22. — //. Friedli, fahr, de montres, Granges.

li/II/22. — Jacot Guillarmod frères, soc. n. coll., gravure, ciselure, joaillerie, bijouterie et orfèvrerie, Genève.

Brevets d'invention

M o d i f i c a t i o n s

Cl. 71e, No 89274. 1" mai 1920, 10»/« b. — Mécanisme de re- montoir et de mise à l'heure par la lunette. — Charles Von Gunlen, La Chaux-de-Fonds (Suisse). Mandataires: Mathey- Doret 4 Co., Berne. Transmission du 10 décembre 1921, en faveur de G. A. &. O. Maire, Fabrique d'horlogerie Exil, Longeau (Berne, Suisse). Mandataires-: Malhey-Doret 4 Co.;

Berne: enregistrement du 13 décembre 1U31.

COTES

M é t a u x p r é c i e u x (17 février 19221 :

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Bourse Paris i 280 Bourse Londres 34 '/a

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Russie . . Suède . . Norvège . Danemark Bulgarie . Roumanie Yougoslavie

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100 Dinars 100.—

100 Cour. 185 — 100 drachm. 100.—

100 Mks pol. 123.46 1 liv.turq. 22.78 100 Mks fini. 100.—

100 Pesos 220.—

100 Uilreis 1 6 5 . - 100 Roupies 252.—

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