• Aucun résultat trouvé

Vrai ou Faux

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Vrai ou Faux"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

Vrai ou Faux

1. L’équité signifie traiter uniformément ou également des employés.

Faux. Traiter de manière identique peut avoir des effets différents et même injustes sur des personnes selon leurs caractéristiques.

2. L’exigence d’accommodement a trait à la diversité sur le plan religieux et culturel.

Faux. Cette exigence s’applique à toutes les formes de diversité : handicap physique, sexe, religion, culture, situation parentale, etc.

3. Il importe que les dirigeants et les cadres mènent des actions et donnent des directives concernant les clients et les consommateurs pour optimiser le succès de l’intégration des personnes et des accommodements au travail.

Vrai.

4. Les règles de sécurité ont généralement préséance sur les accommodements liés à des exigences vestimentaires à motif religieux.

Vrai.

(2)

5. Comparativement au secteur privé, le secteur public a une certaine longueur d’avance en matière d’embauche de personnel diversifié.

Vrai.

6. Le syndicat doit veiller à ce que le droit de tout salarié à un accommodement raisonnable ne soit bafoué ni par lui-même, ni par l’employeur, ni par les collègues.

Vrai.

7. Les règles convenues dans les conventions collectives ne sont pas au-dessus des lois et ne sont pas prises en compte par les tribunaux.

Faux. Sans être au-dessus des lois (la loi ayant préséance sur les conventions collectives), les arbitres tiennent compte de ces dernières afin de trouver des solutions qui s’opposent le moins possible aux droits collectifs.

8. La Charte des droits et libertés a généralement préséance sur les droits négociés dans une convention collective.

Vrai.

9. Il est rare que des employés et des cadres se montrent réticents au regard de certains accommodements.

Faux. Il est naturel que les traitements distincts et particuliers engendrent de la résistance, de la peur, de la jalousie, etc. L’important est de gérer les accommodements de manière à faire comprendre leur bien-fondé.

10. En adoptant une politique en matière de diversité, l’employeur s’assure que le climat de travail sera véritablement inclusif.

Faux. L’adoption d’une politique ou d’un texte officiel est importante. Cependant, elle ne suffit pas à créer un climat inclusif. En effet, d’autres préalables doivent être assurés (ex. : appui de la direction, changement des pratiques de GRH, formation des employés).

(3)

QUIZ

1. L’EXIGENCE D’EMPLOI NÉCESSITANT DE TRAVAILLER UN SAMEDI SUR DEUX PEUT ÊTRE UN EXEMPLE DE :

A. discrimination directe.

B. discrimination indirecte.

C. traitement égal.

D. préjugé.

E. B et C.

2. COMMENT QUALIFIE-T-ON UNE DÉMARCHE ET DES ACTIONS VISANT À OBTENIR UNE REPRÉSENTATION ÉQUITABLE DES MEMBRES DES GROUPES « PROTÉGÉS » ET À SUPPRIMER LA DISCRIMINATION DANS LE SYSTÈME D’EMPLOI?

A. Un programme d’équité en emploi.

B. Un programme d’accès à l’égalité.

C. Un programme d’équité salariale.

D. Un programme d’accommodement.

3. QUELS SONT LES CAS DE DÉFAUTS D’ACCOMMODEMENT?

A. L’employeur néglige de prendre des mesures d’adaptation nécessaires pour un employé vieillissant en perte d’acuité visuelle.

B. L’employeur impose un horaire sans égard à la situation familiale de ses employés.

C. L’employeur impose un horaire sans égard aux croyances et aux pratiques religieuses de ses employés.

D. L’employeur interdit tout signe religieux à ses employés en raison de son code vestimentaire.

E. L’employeur refuse de discuter de redistribution des tâches parmi des employés afin de faciliter le retour au travail d’un employé handicapé.

F. C et E.

(4)

4. QUEL(S) ÉLÉMENTS(S) LA JURISPRUDENCE A-T-ELLE RECONNU(S) COMME ÉTANT UNE OU DES CONTRAINTES EXCESSIVES ?

A. Un coût financier excessif.

B. L’atteinte majeure à la convention collective ou aux droits d’autrui.

C. L’incidence sur le moral du personnel.

D. L’atteinte à la santé et à la sécurité des parties.

E. La jalousie ou la désapprobation des collègues.

F. A, B et D.

G. A, B, C, et D.

H. Toutes ces réponses.

5. UN EMPLOYEUR PEUT ÊTRE DISPENSÉ DE SON OBLIGATION D’ACCOMMODEMENT LORSQUE LES ADAPTATIONS ENTRAÎNENT :

A. des attitudes récalcitrantes et des craintes de la part des employés.

B. des insatisfactions ou des plaintes des clients.

C. des griefs ou des plaintes des employés.

D. une contrainte excessive.

E. Toutes ces réponses.

6. LES MESURES OU LES PRATIQUES D’ACCOMMODEMENT PEUVENT PRENDRE DIVERSES FORMES, PAR EXEMPLE :

A. L’accessibilité au lieu de travail.

B. L’aménagement du poste ou du lieu de travail.

C. La gestion des horaires ou du temps de travail.

D. La gestion des congés et des vacances.

E. L’aide aux membres de la famille.

F. Toutes ces réponses.

G. A, B, et E.

(5)

7. LAQUELLE DE CES MESURES VISE À FAVORISER UNE REPRÉSENTATION ÉQUITABLE DES GROUPES PROTÉGÉS DANS LES ORGANISMES PUBLICS ?

A. La Loi sur l’accès à l’égalité.

B. L’accommodement.

C. La Loi sur l’équité.

D. La Charte des droits de la personne.

8. QUEL EST OU QUELS SONT LES GROUPES PROTÉGÉS PAR LA CHARTE DES DROITS ET LIBERTÉS ?

A. Les femmes.

B. Les personnes handicapées.

C. Les autochtones.

D. Les membres de minorités visibles.

E. Les membres de minorités ethniques de langue maternelle autre que le français ou l’anglais.

F. Toutes ces réponses.

G. A, B, C, et D.

9. LE SALARIÉ ACCOMMODÉ A DES RESPONSABILITÉS OU DES OBLIGATIONS SUR LE PLAN LÉGAL. IL DOIT NOTAMMENT…

A. donner l’information nécessaire afin que le syndicat ou l’employeur puisse connaître sa situation et les limitations à respecter.

B. coopérer à la recherche et à l’élaboration de solutions d’accommodement.

C. faire preuve de bonne foi et d’ouverture par rapport aux solutions proposées.

D. accepter des compromis raisonnables afin de favoriser son maintien en emploi.

E. collaborer à l’implantation des mesures d’accommodement.

F. A, C, D, et E.

G. Toutes ces réponses.

(6)

10. AFIN DE DÉMONTRER QU’IL A FAIT TOUT CE QU’IL POUVAIT POUR TROUVER OU MAINTENIR UNE SOLUTION D’ACCOMMODEMENT, L’EMPLOYEUR DOIT :

A. prouver qu’il a cherché à se renseigner sur la condition du salarié visé par l’obligation d’accommodement.

B. remplir son obligation de chercher des solutions de rechange raisonnables permettant le maintien du salarié dans son poste actuel grâce à des adaptations et à l’atteinte d’un niveau de productivité acceptable.

C. analyser les autres postes disponibles au sein de son établissement et même au sein d’une autre unité d’accréditation ou d’un autre établissement.

D. A et B.

E. Toutes ces réponses.

Références

Documents relatifs

La Charte des droits et libertés a généralement préséance sur les droits négociés dans une convention collective.. Il est rare que des employés et des cadres se montrent

PARMI LES CLAUSES SUIVANTES, LAQUELLE EST REPRÉSENTATIVE D’UNE CLAUSE CONTRACTUELLE DE CONVENTION COLLECTIVE (PAR OPPOSITION À UNE CLAUSE NORMATIVE).. Assurer la vie et le

Concevoir un système de veille stratégique est une condition de succès de l’adaptation aux changements dans l’environnement.. La multiplication récente des problèmes

Les relations avec les établissements d’enseignement et de formation sont efficaces pour recruter de jeunes spécialistes.. Un employé engagé envers son organisation tend à

La fiabilité représente le degré de stabilité des réponses d’un candidat lorsque l’on utilise un outil de sélection.. L’entrevue de sélection non structurée a une

doit investir, au cours d'une même année civile, l'équivalent d'au moins 1,5 % de cette masse salariale dans la réalisation d’activités de formation qui visent l’amélioration

L’aménagement du temps de travail est une pratique déterminante pour gérer la carrière des travailleurs expérimentés.. Prévoir des postes clés à la direction générale est

Les syndicats tendent à être plus réceptifs par rapport à un processus de gestion de la performance lorsque les résultats des évaluations de performance