HAL Id: jpa-00241043
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Submitted on 1 Jan 1905
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The physical review;T. XVIII, nos 4, 5, 6; - T. XIX, n os 1, 2, 3
L. Houllevigue
To cite this version:
L. Houllevigue. The physical review;T. XVIII, nos 4, 5, 6; - T. XIX, n os 1, 2, 3. J. Phys. Theor.
Appl., 1905, 4 (1), pp.65-76. �10.1051/jphystap:01905004006501�. �jpa-00241043�
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ménisques est rendue impossible soit par l’opacité du liquide (sang vivant), soit par la nécessité d’opérer dans un thermostat. Voici, pour
quelques liquides étudiés, les coefficients de frottement -1 par rap- port au benzène à 5" (T, température de fusion ; t, température de
la mesure).
Ces recherches montrent que les coefficients de frottement per-
mettent de mettre en évidence des différences de constitution molé- culaire.
J. GUINCHANT.
THE PHYSICAL REVIEW;
T. XVIII, nos 4, 5, 6;
-T. XIX, nos 1, 2, 3.
C.-K. EDMUNIDS. - The metallic reflection of sélénium
-(Réflexion métallique du sélénium). - P. 193-229.
Appelons: à, la différence de phase entre les deux composantes de la lumière réfléchie polarisée elliptiquement, prises dans le plan
d’incidence et normalement à ce plan ; ~, 1°angle du plan d’inci-
dence avec celui de la polarisation rétablie ou détruite ; y, l’angle
d’incidence. L’auteur appelle, avec Drude, incidence principale et ;
azimut principal, les valeurs de cp et de qui correspondent à à .- -
.
J. cle Phys., 4e série, t. IV. (Janvier 1905.) à
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01905004006501
Cela étant, les conclusions principales du mémoire sont les sui- vantes :
Le sélénium, en polarisant elliptiquement la lumière polarisée rectilignement qui tombe sur sa surface, se comporte comme une
substance vitreuse pour les longueurs d’onde voisines du rouge, et
se rapproche de plus en plus des métaux, à mesure qu’on considère
des longueurs d’onde plus courtes; pour le bleu, il se comporte
tout à fait comme un rnétal ; cette propriété le rapproche de la
fuchsine.
Quand la longueur d’onde décroît, l’azimuth principal croît, tan-
dis que l’incidence principale décroît, passe par un minimum au
voisinage de 680 pp, puis varie peu.
Quand on transforme le sélénium vitreux en sélénium cristallin,
il en résulte un accroissement d’absorption pour toutes les longueurs
d’onde du spectre visible, et la polarisation elliptique se rapprocher
de celle que produit un vrai métal. Le vieillissement accroît l’ana-
logie des propriétés du sélénium ei, d’un métal.
En employant les formules établies par Drude pour la polarisation elliptique, on constate que les observations de Quincke, Glan, Cornu
et celles de l’auteur conduisent à des valeurs différentes de l’indice de réfraction et du coefficient d’absorption. Cependant, en général, la
courbe de dispersion s’élève quand la longueur d’onde décroît, et présente un point d’inflexion dans le vert. En même temps l’ab- sorption croît progressivement, et tout semble indiquer l’existence d’un certain nombre de bandes d’absorption dans le bleu et le violet.
A.-H. TA YLOH. - Resonance in aërial systems (De la résonance dans la télégraphie sans fil).
-P. 230-238.
Description de dispositifs propres à exagérer les effets de réso-
nance.
E. MERRITT et 0. STEWART. - On the conductivity produced in ral°efied gases by an incandescent cathode (Conductibilité causée dans les gaz raréfiés par une cathode incandescente). - P. 239-255.
Aux vides les plus élevés produits par la pompe, le filament incan- descent de charbon qui constitue la catliode continue à décharger
l’électricité négative; il est probable que les électrons qui trans-
67
portent la charge proviennent plutôt du corps incandescent que du gaz en contact avec lui.
Une cathode incandescente paraît présenter de grandes analogies
avec une cathode éclairée par la lumière ultra-violette.
Les auteurs discutent, sans paraître pouvoir l’expliquer nettement
l’effet suivant, qui se produit pour des pressions gazeuses voisines.
de omm,5 : Pour de faibles forces électromotrices, le galvanomètre
atteint rapidement son équilibre ; mais, pour des tensions supé-
rieures à 10 volts, le courant de décharge, au lieu de s’établir à un régime fixe, croît lentement pendant plusieurs minutes.
K.-E. GUTHRIE. - Fibers resembling fused quartz in their elastic properties (Fibres analogues aux fils de quartz).
-P. 256-262.
En essayant de fondre et d’étirer au chalumeau oxhydrique divers minéraux, l’auteur a obtenu des résultats satisfaisants avec l’asbeste-
amphibole et surtout avec la stéatite lB1g3 H2Si"0 12.
Ce dernier corps, surtout, s’étire très facilement ; mais les fils, une
fois formés, ne peuvent plus être travaillés à chaud. La ténacité pour des fibres de 0,-,006 atteint 13 X 109 dynes par centimètre carré, et
.
diminue pour des sections plus grandes; elle est donc du même
ordre de grandeur que celle du quartz.
J.-H. The continuous method of steamcalorimetry (Calorimètre
à vapeur à f onctionnement continu). - P. 263-2î4.
Un courant d’eau à la température 0, circule dans un serpentin immergé dans un bain de vapeur et sort à une température 0,. Si m
est le poids d’eau qui circule, S sa chaleur spécifique, et si elle dé-
termine la condensation d’un poids M de vapeur, dont la chaleur de
vaporisation est L, on a :
Le mémoire comprend une étude détaillée de l’appareil construit
pour la mise en application de ce principe.
W. DUANE et C.-A. LORY. - On the ditrerential telephone (Sur le téléphone différentiel).
-P. 2î5-219.
Le téléphone porte deux bobines identiques, mais d’enroulements
contraires. Ces deux bobines sont placées sur deux circuits parallèles
alimentés par la même force électromotrice alternative, l’un de ces
circuits contenant la self-induction à mesurer, une self-induction variable étalonnée et une résistance non inductrice. On règle jusqu’à
extinction du son au téléphone ; la self-induction à mesurer est alors
égale à la self étalonnée. Ce procédé est sensible au cinq millième.
S.-R. WILLIAMS. - On the détermination of refractive indices by means of
channeled spectra (Mesure de l’indice de réfraction par les spectres cannelés).
-
P. 280-294.
Application à l’eau distillée, l’alcool, la monobromonaphtaiine,
l’huile de cassia, le benzol et l’huile d’olive.
A.-G. WEBSTER. - Some practical aspects of the relations between physics
and mathen1atics (Relations entre la physique et les mathématiques). -
P. 297-318.
S.-N. TAYLOR. - Potentiel phenomena in vacuum tubes during the production
and interruption of electiical discharge (Variation de potentiel pendant la décharge dans les gaz raréfiés).
-P. 321-348.
La chute de potentiel entre l’anode et la cathode est mesurée au
moyen d’un tube de Braun. Conclusions :
i° Avec une faible résistance dans le circuit, la décharge d’une
machine électrostatique à influence est continue ; elle devient brus-
quement disruptive quand on accroît suffisamment la résistance. A
ce moments, le tube traverse une phase critique où il suffit de toucher
avec le doigt un point du circuit extérieur pour passer de l’un des états à l’autre;
2° La lueur est plus grande pour la décharge disruptive que pour la co ntinue ; mais l’intensité du courant est aussi plus grande dans
le premier cas ;
3° La chute de potentiel ne tombe jamais à zéro à chaque inter- ruption, mais varie entre un maximum et un mïnimum ;
~° La capacité du tube où éclate la décharge augmente avec la
raréfaction.
A.-L. FOLEY. - On the use of nickel in the core of the Marconi magnetie
detector (Emploi du nickel dans le détecteur d’ondes de Marconi). - P. 349-354.
Il s’agit d’un détecteur d’ondes fondé sur les changements
d’aimantation résiduelle d’un barreau sous l’action des ondes éiec-
69
tromagnétiques. En substituant le nickel au fer, les résultats obte-
nus sont du même ordre de grandeur. L’antimoine donne encore un
résultat appréciable ; le bismuth ne donne rien.
E.-L. NICHOLS et E. MERRITT. 2013 Studies in luminescence. - I. The phospho-
rescence and fluorescence of organic substances at low temperatures (Phos- phorescence et fluorescence des substances organiques aux basses tempéra- tures).
-P. 355-365.
Cette étude préliminaire est purement qualitative. Les substances à
étudier, placées dans l’air liquide, sont éclairées, soit par la lumière
ultra-violette, soit par une étincelle éclatant entre pointes de magnésium, soit par les rayons X. Plusieurs centaines de composés organiques sont ainsi répartis en classes : corps ni fluorescents ni
phosphorescents à - 1860; - corps phosphorescents, mais non fluo-
rescents ; - corps fluorescents, mais non phosphorescents ; - corps
fluorescents et phosphorescents.
F. SANFORD. - Some further experiments on the radiation produced in alternating condenser field (Observations ultérieures sur les radiations émise s par un condensateur qui se charge ou se décharge). - P. 366-369.
Comme suite au mémoire précédemment analysé (1), M. Sanford a
déterminé l’indice des radiations émises par une cathode reliée à une
bobine. Toutes ces radiations sont placées dans l’ultra-violet, à peu de distance du spectre visible. On a ainsi trouvé, pour une cathode
en aluminium ou en argent,
-350 p, ; en cuivre, 372 pp, et en
zinc, 377 pp.
.
C.-D. CHILD. -- The Hall effect in the electric arc
(Phénomène de Hall dans l’arc électrique).
-P. 370-311..
Deux crayons de carbone étant placés dans un arc, de telle sort e
que leurs potentiels soient égaux, il se produit entre eux une diffé -
rence de potentiel voisine de 9., volt quand on crée un champ magnétique dans la région où se trouve l’arc.
(i) .1. due Phys., 4e série, t. III, p. 484 ; 1904.
C. K. EDMUNDS. 2013 The reflective power of sélénium as determined by a spectrophotometer (illesure spectrophotométrique du pouvoir réflecteur du
sélénium. - P. 385-402.
,
En général, le pouvoir réflecteur augmente lorsqu’on considère
les longueurs d’onde décroissantes ; il y a toutefois un maximum
vers 6~~0 pp et un minimum vers 590 t-LI-J.. Quan d on laisse vieillir le
sélénium, le pouvoir réflecteur diminue pour toutes les régions du spectre, sauf vers 525 pp, où il y a, au contraire, accroissement.
Les mesures photométriques effectuées ont vérifié avec une remar-
quable approximation les formules de Cauchy, qui donnent le pouvoir
réflecteur d’un métal, pour les différents angles d’incidence, en
fonction des constantes optiques.
E.-L. NICHOLS et E. MERRITT. - Studies in luminescence. - Il. A spectro- photometric study of flaorescent solutions belonging to Lon1n1el’s first class
(Etude spectrophotométrique des solutions fluorescentes appartenant à la pre- mière classe de Lommel) - P. 403-418.
La première classe des substances fluorescentes comprend, d’après Lommel, les corps dont il est possible d’exciter la fluorescence (con-
trairement à la loi de Stokes) par une lumière de longueur d’onde supérieure à celle d’une portion du spectre de fluorescence, et dans lesquels la réfraction des intensités du spectre fluorescent est indé-
pendante de la nature de la lumière excitatrice ; à ce groupe appar- tiennent le rouge de naphtaline, l’éosine, la chlorophylle et la fluo-
rescéine.
L’étude faite par les auteurs confirme l’affirmation de Lommel ; la plus grande longueur d’onde capable d’exciter une fluorescence observable est 542 pour la fluorescéine, 589 pour l’éosine,
63 ~ pour le rouge de naphtaline. ,
F.-G. REY1TOLDS. - The viscosity coefficient of air, with an inquiry into the
effect of the Rôntgen rays thereon (Viscosité de l’air; action des rayons X sur cette viscosité).
-P. 419-431 et 37-47.
La première partie de ce travail comprend un exposé historique
et une bibliographie fort étendue ; les recherches personnelles de
l’auteur sont faites par la méthode d’oscillation. L’action des
rayons X n’a manifesté aucune variation de viscosité, ce qui n’a rien
71
-d’extraordinaire, si on considère combien est petite la fraction des -molécules ionisées par ces rayons.
F.-C. FRISBIE. - The effect of pressure on mag-netie induction (Effet de la pression sur l’induction magnétique). - P. 432-443.
L’application d’une pression hydrostatique à des anneaux de fer
doux altère le coefficient de perméabilité magnétique ; le magnétisme
résiduel varie quand la pression est produite ou supprimée. Avec le
fer impur, le sens de la variation dépend de la force du champ magnétisant. Avec le fer pur, la perméabilité croît avec la pression
pour les valeurs du champ comprises entre 0,54 et 9,67 unités
.absolues.
K.-E. study of the silver voltameter (Le voltamètre à argent).
P. 445-447.
Comparaison des dispositifs de Leduc et de Richards ; ce dernier reçoit la préférence.
E.-L. NICHOLS et E. MERIIITT. - The effect of light upon the absorption
and the electrical conductivity of fluorescent solutions (Variation de conducti-
bilité des corps fluorescents).
-P. 447-449.
Les solutions fluorescentes présentent toujours un accroissement de conductibilité électrique quand on les éclaire par des radiations
qui provoquent cette fluorescence. L’accroissement mesuré a atteint 1,1 Oj 0 pour l’éosine, 0,11 0/0 pour la fluorescéine, 0,14 0/0 pour la
rhodamine, 0,59 0/0 pour la cyanine. Les auteurs attribuent cet effet à une sorte d’ionisation.
F.-G. NIÀGIE. - The volumes of solutions (De la contraction lors des dissolutions).
P. 449-452.
On représente le volume d’une solution par une expression de la
forme :
où W est le volume de l’eau, n le nombre des molécules-gramme du
corps dissous, p le nombre de ces molécules qui sont dissociées.
F.-A. sAUNDERS. - Some additions to the arc spectra of the alkali metals
(Spectre des métaux alcalins dans l’arc).
-P. 452-454.
P.-G. NUTTING. - Some new rectifying effects in conducting gases
(Sur le redressement du courant par les tubes à gaz raréfiés).
-P. i-7.
L’auteur a étudié un certain nombre de cas dans lesquels une dissymétrie dans le passage dm courant résulte d’une différence de
pression du gaz entre les deux électrodes, d’une différence de dimension des électrodes (redresseur Villard), d’ûiie différence de
température, de nature chimique ou d’état physique.
R.-F. EARHAR’r. - The absorption of energy in condensers
.(Absorption d’énergie dans les condenseurs). - P. 8-17.
Emploi du phasemètre de lord Rayleigh à l’étude de l’absorption diélectrique. Il est difficile de tirer une conclusion quelconque des
rares résultats fournis dans ce mémoire.
E.-L. NICHOLS et E. MERRITT. - Studies in luminescence.
III. On fluorescence spectra (Sur les spectres de -fluorescence).
-P. 18-36.
1° L’éosine, le rouge de naphtaline, la fluorescéine, la rhodamine,
le bleu de résorcine, le sulfate de quinine, la chlorophylle, le spath
fluor, l’esculine, possèdent tous une fluorescence du même type ;
2° Pour chacun de ces corps, le spectre de fluorescence consiste
en une simple bande, bordant la bande d’absorption à laquelle la
fluorescence est associée ;
_3° La position du maximum de cette bande de fluorescence est dans tous les cas indépendante de la longueur d’onde ou de la com- position de la lumière excitatrice ;
.40 La loi de Stokes ne se vérifie pour aucun des corps cités ci-
dessus ;
~° Les corps fluorescents peuvent présenter des bandes d’absorp-
tion de plus grande longueur d’onde que celle à laquelle la fluores-
cence est associée ; c’est le cas du spath fluor et de la chlorophylle.
La lumière absorbée dans ces bandes ne produit pas cependant la
fluorescence ;
-C° Quand il existe plus d’une bande de fluorescence, comme c’est
le cas pour la chlorophylle, il est probable que chaque bande est
due à une substance fluorescente distincte contenue dans la solution.
73
N.-A. DUBOIS. - The application of allotropie silver for the preparation of conducting fibers (Obtention de fibres conductrices au moyen de l’argent allotropique).
-P. 48-50.
L’auteur prépare de l’argent allotropique, d’après les indications de Carey Lea, sous forme d’une poudre brune en suspension dans
l’alcool. On peut peindre avec cette émulsion une surface quelconque (lame de verre, fibre de quartz pour électromètre) ; le dépôt obtenu
est alors très peu conducteur, mais il suffit de le mettre en contact
avec du gaz chlorhydrique pour transformer l’argent allotropique en argent ordinaire, et donner ainsi une conductibilité excellente à la couche métallisée.
C.-W. WTAIDB’ER et H.-C. DICKINSON. - Apparatus for platinum resistance thermometry (Thermomètres à résistance de platine).
-P. 51.
C.-W. WAIDNER et H.-C. DICKINSON. - The intercomparison of primary
standard mercurial thermometers (Comparateur pour thermomètres à mer-
cure).
-P. 52-56.
Appareil peu différent de celui du Bureau international.
E.-B. ROSA et F.-W. GROWER. - Absolute measurement of inductance
(Mesure absolue de l’inductance).
-P. 57-58.
Application de la méthode de Joubert.
E.-B. ROSA et F.-W. GROQVER. - Testing of mica condensers (Essai de condensateurs à lame de mica).
-P. 59-60.
Pour les charges longues, on emploie le balistique, et pour les
plus courtes le pont avec courant alternatif et un galvanomètre
accordé à la fréquence du courant.
A.-P. W ILLS. - The conduction of electricity in mercury vapor (Conductibilité de la vapeur de nlercure J. - P. 65-88.
Étude de la lampe à mercure Hewitt ; on détermine les tempéra-
tures en différents points de la colonne mercurielle, le gradient de potentiel, et la variation de l’intensité du courant avec la pression
intérieure.
VV.--W. COBLENTZ. - Optical notes.
-l. Reflection and refraction at the interfaces of two media having intersecting dispersion curves. - Il. The infrared absorp-
tion spectrum of sélénium (Réflexion et réfraction à la surface de séparation
de deux milieux dont les courbes de dispersion se coupent. - Spectre d’absorption infra-rouge du sélénium). - P. 89-97.
Quand on place une couche de safrol, d’eugénol et de cuménol
entre deux lames de sel gemme, on aperçoit, en regardant oblique-
ment, de belles irisations qui tiennent à ce que l’angle de réflexion totale n’est pas le même pour les différentes couleurs.
P.-G. NUTTING. - Some new theorems analogous to Green’s
(Nouveaux théorèmes analogues à celui de Green). -P. 98-106.
,
J.-C. SHEDD et R.-L. INGERSOL. - The elastic modulus and elastic limit of rubber and their relation to change of temperature (Module et limite d’élasti- cité du caoutchouc, et leur relation avec la température). - P. 107-116.
Tracé des cycles d’hystérésispour le caoutchouc, et leur déforma- tion avec la température à 941).
C.-D. CHILD. - The electric arc (L’arc électrique).
Étude de la variation de potentiel dans l’arc en faisant varier la
pression extérieure. Le chute à la cathode passe par un maximum
vers une pression de 100 millimètres, puis décroît, la variation la plus rapide se produisant vers 30 millimètres. A l’anode, la variation de
potentiel semble décroître d’une façon régulière avec la pression.
La température de l’arc paraît lnoindre aux basses pressions qu’aux pressions élevées. La décharge entre l’arc et un conducteur voisin croît très rapidement quand la pression diminue. La décharge pro- duite par les ions positifs est plus grande à la pression atmosphé- rique, celle produite par les ions négatifs est plus grande aux basses pressions.
K.-E. GUTHE. - A study of the silver voltameter (Étude du voltamètre à argent P. 138-153.
Une étude comparative de différents types conduit l’auteur à don-
ner la préférence au modèle de Richards et au voltamètre à large
anode, qui donnent des résultats identiques. L’équivalent électrochi-
75
mique de l’argent serait, en conséquence, de 1,11683 milligramme
par coulomb.
J.-C. SHEDD. - A new form of magnetie contact-n1aker (Interrupteur
à fonctionnement magnétique). - P. 154-155.
Le pendule oscillant pprte à sa partie inférieure un aimant qui
passe à 1 millimètre de deux masses voisines de fer doux soutenues par deux ressorts. Ces deux pièces se rapprochent l’une de l’autre,
ce qui établit un contact entre une vis et un talon solidaires du ressort.
J.-F. MEYER. 2013 The thermolectromotive force of nickel nitrate in organic
solvents (Force électromotrice thermoélectrique du nitrate de nickel dans les dissolvants organiques).
-P. 156.
La force électomotrice thermoélectrique de l’azotate de nickel dis-
sous dans l’aniline et la pyridine est nulle jusqu’à 80° C. En solu- tion alcoolique, l’électrode chaude est d’abord positive, puis devient négative ; en solution dans l’acétone, l’électrode chaude est toujours positive. La force électromotrice est indépendante de la concentra-
tion jusqu’à 1 50 de molécule-gramme par litre.
H. H0. --- On the differential telephone (Sur le téléphone différentiel)
P. 166-no.
L’auteur propose un mode de bobinage et un montage différents de
ceux indiqués par Duane et Lc>ry. La précision atteinte dans les me-- sures paraît supérieure.
’A.-P. CARMAN. - A wave machine (Modèle de mouvement vibratoire).
P. 111-173.
Appareil construit avec des boules et des ressorts pour figurer le
mouvement vibratoire.
~
A.-L. DAY et E.-T. ALLEN. - Temperature measurements to 1600° C.
(Mesures de température jusqu’à 16000 C.). - P. 17’7-186.
Emploi du four électrique fleroeus, de Hanau, et des couples ther- moélectriques gradués d’après les procédés de Holborn et l’échelIe
du Reichsantalt de 1150" à 1600". On procède par extrapolation. On
a pu fondre de l’anorthite à 1532°.
W.-P. BOYNTON. - The conducLivy of a spark-gap (Résistance du micromètre
à étincelles). - P. 181-195.
,L’étincelle présente une faible résistance lorsqu’elle provient d’un
circuit de forte capacité. Elle présente, sous une longueur de 2 milli- mètres, une résistance assez basse pour qu’on puisse la négliger en première approximation dans les calculs; lorsqu’elle émane d’un condensateur ayant au maximum 0,002 microfarad.
G.-W. PIERCE. - Experirments on resonance in wireless telegraph circuits (Expériences sur la résonance en télégraphie sans fil).
-P. i 96-217.
On mesure directement l’énergie dans le circuit récepteur pour différentes valeurs de la capacité et de l’inductance de deux circuits transmetteur et récepteur. Les déterminations effectuées prouvent
que les phénomènes peuvent être rendus assez réguliers pour per- mettre une étude quantitative.
D.-B. BRACE. -- Notes on the errors in the half shade elliptical polarizer (Erreurs dans l’emploi du polariseur elliptique à pénombre). - P. 218-230.
Il s’agit du calcul mathématique de la sensibilité dans un appareil
.
décrit antérieurement.
P.-G. NUTTING. - Tests of some oils suitables for use in air pumps
’
(Essai de quelques huiles utilisables dans les pompes à vide).
-P. 231-233.
Les pompes Fleuss peuvent être garnies avec différentes marques d’huile de pétrole. L’auteur recommande la
«Standard gas engine
oil », vendue par la Standard oil Company.
L. HOULLEVIGUE.
REMARQUE AU SUJET DU MÉMOIRE DE M. DIETERICI;
Par M. E. MATHIAS.
J’ai dit par inadvertance que, dans la formule (6) de M. Dieterici, (m,p) b n’était pas rigoureusement égal à
mtpt
-MOOO.
Il en est au contraire ainsi. En conséquence, il convient de sup-
primer de l’analyse que j’ai faite ce qui est compris entre la ligne ’1 ~
.et la ligne 26 de la page 941 du tome précédent.
E. MATHIAS.
L s