Le plus gros vendeur belge de disques.
Il en a écoulé́ plus de 80 millions ! Il a surtout marqué les années 60 avec des succès comme « Tombe la neige », « Vous permettez, monsieur ? » ou « Les filles du bord de mer ».
Il laissera à la postérité́ non seulement un célèbre pull arc-en-ciel, mais surtout une poésie wallonne attachée au terroir.
Il a aussi servi de "passeur" pour d’autres poètes comme Chavée ou Elskamp.
La plus grande personnalité́ belge de la chanson internationale. Il a écrit une incroyable série de chansons
admirables. Son éblouissante présence scénique reste inégalée à ce jour.
Un poète d’audience universelle
qu’apprennent tous les écoliers belges depuis plusieurs générations, pour la raison qu’il avait une écriture fine et simple, accessible aux enfants.
Le plus grand auteur flamand. Il a tenté́
de multiples expériences littéraires jusqu’à ce qui est son chef d’œuvre :
« Le chagrin des Belges ». Il a collectionné les prix, mais n’a pas (encore ?) eu le prix Nobel.
Elle sait tout faire : chanter bien sûr, mais aussi danser, mener une revue, jouer la comédie aussi bien dans le registre comique que dans le registre dramatique. Une vraie artiste à
l’américaine !
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Les indissociables frères liégeois
laisseront au moins deux grands films réalisés dans les années 90 : « La promesse » qui révèle Jérémie Régnier et Olivier Gourmet et surtout « Rosetta
» qui reçoit la palme d’or à Cannes.
Cinéaste autodidacte. Avec ses films («
Un soir un train », « Benvenutta », « l’œuvre au noir »), il invente un
réalisme magique, où les personnages oscillent entre le rêve éveillé de
l’enfance et la pesanteur du réel.
Influencé par Magritte, il a construit un univers surréaliste mêlant le rêve, l’inquiétude, l’érotisme et une attirance pour les gares de chemin de fer. Une œuvre où solitude et angoisse sont les maîtres mots.
D’abord homme de théâtre, cet italien de La Louvière a su transgresser les disciplines en pratiquant la fusion avec les arts du cirque. Son univers magique a séduit Céline Dion qui lui a confié́ son dernier spectacle...
L’Ostendais fantasmagorique qui aimait les carnavals et qui peignait les
squelettes se chauffant autour d’un poêle est aujourd’hui considéré́ à juste titre comme un précurseur du
surréalisme.
Peintre, sculpteur et affichiste de renom, son style était clair et direct, aux couleurs tendres et raffinées. Son talent s’est exercé́ aussi bien à la télé́
(le célèbre générique de fin d’Antenne 2) que dans la publicité́ ou l’illustration.
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Organiste et compositeur né à Liège, il a fait carrière à Paris. Étonnamment son génie s’est exprimé́ tard, après qu’il eut 50 ans. Sa musique a été́ diffusée
largement chez nous par l’entremise d’Eugène Ysaye.
Un autre grand génie, inventeur de Gaston Lagaffe et du Marsupilami. Son dessin nerveux et expressif, son
humour inspiré restent la plus grande influence de la bande dessinée actuelle.
Dessinateur à succès avec le Chat (créé́
en 1983), Geluck est aussi un homme de média qui après une formidable carrière à la RTBF (« Lollipop ») est devenu le plus célèbre chroniqueur de Michel Drucker.
L’un des auteurs belges de théâtre les plus mondialement connus. Il a aussi écrit des contes étranges dans une veine proche de Poe et Lovecraft, où il explore un monde maudit, en proie à la terreur.
Le maître de la ligne claire reste plus de 20 ans après sa mort le plus grand.
Même si les nouvelles générations éprouvent graduellement de plus en plus de mal à accrocher à Tintin...
Depuis 1985, il aiguise dans la presse un crayon féroce entre dessins
d’humeur ou d’humour, politiques ou polémiques. Il est aussi un pilier de la radio (le Jeu des dictionnaires) et de la télé́ (la Télé́ Infernale et Mise au Point).
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Si tout le monde associe la Belgique au surréalisme, c’est grâce à lui. En nous plongeant dans une autre réalité́, relevée de mystère et de touches
absurdes et humoristiques, il a façonné́
l’esprit belge.
Une des plus belles voix de la chanson française. Son passé de chanteuse de jazz et de choriste lui a donné́ une étoffe peu commune dans la variété́.
C’est une nature, et une showwoman qui sait aussi faire rire.
La romancière vivante la plus lue en Belgique, dans toute la francophonie et ailleurs (elle est traduite en 14
langues). Ses œuvres originales et pleines d’humour reflètent un esprit espiègle et excentrique.
Même les Américains ont craqué devant ses petits bonshommes bleus... Au contraire d’Hergé́, il a transmis ses Schtroumpfs en héritage : son fils continue à inventer leurs aventures.
Il a commencé́ avec des canulars
téléphoniques, il a poursuivi par le one man show, il continue aujourd’hui à colporter sa verve polémique et iconoclaste dans des shows télévisés aux audiences canon.
Culte dès le départ de sa carrière grâce au subversif « C’est arrivé́ près de chez vous », il a, par la suite, montré un tempérament comique digne de De Funès, notamment dans « Podium », son plus gros succès.
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Le géant de notre littérature : une production incroyable, un personnage mythique (Maigret) et un succès
populaire mondial. Il a su donner toute sa noblesse à la littérature de
divertissement.
Celui dont le vrai prénom est Jean, est un harmoniciste hors pair. C’est aussi un grand guitariste, qui a travaillé́ dans les plus grands orchestres américains.
Sa Bluesette a fait le tour du monde.
Ce baryton-basse a entamé́ dans les années 60 une carrière qui lui a donné́
une renommée mondiale. Il a interprété́
tous les grands rôles de sa tessiture et joué sous la direction de Von Karajan, Boulez ou Bernstein.
Un fan de karaté́ ... karéussi ! Le seul Belge à ce jour à avoir séduit Hollywood. Il a su transcender le genre musclé pour devenir un personnage pittoresque, et même un sujet d’étude sémantique pour
universitaires très “aware”.
De grands films (« E pericoloso sporgersi »,
« Toto le héros », « Le 8e jour »), des prix (César du meilleur film étranger, caméra d’or, prix d’interprétation masculine à Cannes), mais plus rien depuis 1995 ... A quand le retour ?
