HAL Id: jpa-00240484
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Submitted on 1 Jan 1900
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The Physical Review; Tome X, nos 4 et 5; - Tome XI, n os 1, 2, 3
L. Houllevigue
To cite this version:
L. Houllevigue. The Physical Review; Tome X, nos 4 et 5; - Tome XI, n os 1, 2, 3. J. Phys. Theor.
Appl., 1900, 9 (1), pp.683-694. �10.1051/jphystap:019000090068301�. �jpa-00240484�
Si, avec un même galvanomètre, on fait osciller l’aiguille à circuit
ouvert, puis à circuit fermé, ramortissen1ellt par les courants induits
ne se fera sentir que dans le second cas. M. Solomon a fait Usage
d’un galvanomètre dans lequel l’amortissement à circuit ouvert était
faible, et il a constaté que le rapporta se maintenait rigoureusement
constant; à circuit fermé, il a observé nn accroissement de ce rapport
d’un peu plus de 7 0; 0, quand il a fait varier la durée de l’oscillation de 2,66 à 16,3 secondes.
Il conclut que la variation du rapport - est due, en général, à
l’altération du moment magnétique produite par la variation du
champ.
E. B.
THE PHYSICAL REVIEW;
Tome X, nos 4 et 5;
-Tome XI, nos 1, 2, 3.
L. BEVIER. - The Acoustic Analysais of the Vowels frocTl the Phonographe Record (Analyse des voyelles par un phonographe).- P. 19~-201.
Le bras le plus court d’un levier appuie contre 1 empreinte tracée
sur le cylindre de cire, et porte uni miroir qui renvoie un rayon
lumineux sur un enregistreur photographique. Les empreintes en
creux du phonographe se trouvent reproduites avec une amplification
de 1.000 à 5.000. Les courbes obtenues servent à obtenir les sons
simples constituants par l’emploi de la série de Fourier. On a fait,
par cette méthode, l’étude spéciale de la voyelle il chantée par différentes voix sur différentes notes ; les résultats obtenus, assez complexes, sont impossibles à résumer.
CALLENDAR et BARNES. - Note on the Variation of the Spécifie Ileat of Water between 0 and 100, C. (Variations de la chaleur spécifique de l’eau entre 0 et
100-).
--P. 202-214.
Un courant d’eau, circulant dans un tube fin, est chauffé par un courant électrique qui traverse un fil placé axialeiiieiit. On mesure,
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019000090068301
684
pendant le temps la dépense d’énergie électrique EIt, réchauffe-
ment c10 de la masse d’eau M qui a passé dans le tube, la chaleur FI
perdue par rayonnement (1-1 est rendu minimum par une enceinte vide d’air), et on écrit :
J représente le nombre de joules contenus dans une calorie à la température 6 ; on le détermine par cette équation, et on en tire la
valeur de la chaleur spéci fique à cette températures.
Les auteurs trouvent le minimum de chaleur spécifique de l’eau
à 401, et non à 30°, comme 1"avait indiqué Rowland.
Les résultats obtenus entre 0° et 60° permettent de représenter la
chaleur spéci (iciue vraie à la température 0 par la formule :
De 60° à 220° on a, en utilisant les résultats de l{egnault et les expériences des auteurs :
LIEBIiNECiIT et M-11,LS. - The Magnéto ~Iolecular Susceptibility of Salts of the Tron ~ roup (Susceptibilité magnétique moléculaire des sels, de fer et des métaux analogues).
-P. 215-227.
La susceptibilité moléculaire est définie par i = 20132013) m étant le
poids moléculaire du sel, S l’aimantation spécifique, c’est-à-dire le moment par unité de masse, Il l’intensité du champ. Les résultats sont obtenus par la méthode de du Bois (dissolution dans llll dissol-
vant diamagnétiques jusqu’à ce que le mélange soit inactif) ; ils
indiquent que la susceptibilité moléculaire est, pour les différents
sels d’un même métal, approximativement constante.
BO~TVTTOB . - Gibbs’ Thermodynainical i~Iodel (Sur la surface thermodynamique
de Gibbs). - P. -~28-233.
Il s’agit de la surface dont les coordonnées sont l’entropie, le
volume et l’énergie ; un modèle existe à Clarke University, de Wor-
cester; son étude, faite par l’auteur, soulève des difficultés qu’il signale, mais sans en avoir trouvé la solution.
E.-L. NICHOLS. 2013 On the Température of the Acetylene Flallle (Température
de la flamme d’acétylène).
-P. 234-252.
Le Chatelier indique, pour la flanme de l’acétylène brûlant dans
l’air, des nombres compris entre ~.~OJ° et ~.420% tandis que Lewes donne pour la zone obscure 459% pour le bord de la zone lumineuse
~ .I~~ ~° et pour le sommet de cette zone ~.. ~ 1 i °. Pour décider entre ces
résultats, l’auteur constate d’abord que des fils de platine, pourvu
qu’ils soient assez fins, sont nettement fondus dans la flamme. Puis,
il étudie soigneusement les différentes parties de celle-ci à l’aide de
quatre couples Le Chatelier de diamètres variables, depuis oem,O 1996 jusqu’à Ocm,00821 ; il constate que les couples les plus fins donnent,
pour une même région, la température la plus élevée ; les deux
derniers fonctionnent jusqu’à la fusion du platine, tandis que le plus
686
gros ne monte pas au-dessus de 1.467% et le suivant de 1.715°;
ces résultats expliquent la cause de l’erreur commise par I,ewes ;
une autre provient du dépôt de noir de fumée qui se forme sur
le fil.
L’auteur cherche à conclure, par extrapolation, de ses expériences
la température probable de la flan1111c (I:acétylène; il trouve ainsi
~ . J00°.
Les expériences, conduites d’une façon analogue pour d’autres sources, donnent 1.680° et 1.780° pour les températures probables
des flammes d’une bougie et du gaz d’éclairage (bec papillon).
L’échelle de température employée est celle qui place la fusion de
l’or à ~1.0 i0° et celle de platine à 1.17Jo.
C. BARUS. - The Transmission of the Ionized Exhalations of Phosphorus through Air and other Média (Transport t des vapeurs ionisées du phosphore).
. -
P. 2~’~-2(ii.
Soit, en présence d’un conducteur électrisé, de l’air chargé de particules de phosphore ayant, normalement au conducleur, une
vitesse I~ ; soient n le nombre d’ions par centimètre cube et s un
nombre proportionnel à la charge transportée par chacun. La
charge Q du conducteur variera avec le temps suivant la loi :
son potentiel variera donc suivant la loi :
On pourra donc, en étudiant les variations de ~T, ùétern1Îner la
cltian ti té :
~ -Une des lames d’un condensateur est reliée au sol, l’autre a éié>
chargée par une batterie d’accumulateurs, et est reliée à l’aiguille
d’un electr0111e~,1’e. L’air entre les deux plateaux, distants de 4 centi- mètres, peut être chargé de vapeurs de phosphore ; on trouve alors
(1
=0,0360, tandis que sa valeur est seulement c
=0,0007 en l’absence de ces vapeurs.
Diverses expériences tendent à prouver que cet effet est dii à la
présence de particules et non à une radiation invisible. D’autres
corps volatils ont donné lieu à des >il’ets analogues.
BA1~~lEs
.-An Ilermetically sealed Type of Clark Standard Cell (Etalon Lai imer
Clark rei-mé).
-P. 268-L)16.
Description du procédé à suivre pour construire un étalon scellé
hermétiquement, et comparaison de quelques éléments établis
d’après cette méthode.
E.-H. II.iLL. - Concerning Thermal Conductivity in Iron (Sur la conductibilité
thermique du ferj. - P. ‘?77-3L0.
Examen cri tique des déterrninations faites par de nombreux phy-
siciens et, antérieureme nt au présent travail, par l’auteur lui-même.
On en fait ressortir le désaccord : 0,207 ~For~.~es1 ;
-0,1509 (Mit- chell)~
--0,175 ( ~ tewart’) ;
-0,16,-)5 (iingystrilm) j
-0,1637 (Neu- mann); 2013 0,1665 ( Lorenz) ;
-0,130 (Beglinger), à 0° ;
-0,1587
(l3er~ct), à 15° ;
-0,1328 (Hall), à ~8B
L’aut,eur constate qu’en moyenne les fers les plus denses ont
donné la valeur la plus forte de la conductibilité. Enfin il est tout
particulièrement élogieux pour la méthode employée par Nl. Berget,
tout en regrettant, que cet auteur n’ait pas défini la qualité du fer employé.
W.-J. HUMPIIREYS.2013Spark-length of an Electric Influence Machine as modi- fied by a Small Spark from the Négative Side (Moditication de la longueur
d’étincelle d’une machine à influence, par une étincelle dérivée du pôle négatif).
-P. 811-316.
Les machines de Iloltz, T0153pler et Wimshurst donnent naissance
au phénomène suivant : Qu’on écarte les pôles jusqu"à ce que les étincelles cessent de jaillir; si alors on tire, avec la main ou autre-
ment, une petite étincelle d’une pièce métallique quelconque reliée
au pôle négatif, aussitôt une étincelle jaillira entre les deux pôles séparés. Cette propriété ne se produit que pour les étincelles déri- vées du pôle négatif et permet d’augmenter de 7:5 0/0 la distance
explosive maximum de la machine. L’effet est plus marqué quand
les condensateurs reliés aux deux pôles ne sont ni trop grands ni trop petits.
Les essais d’explication de cette propriété, contenus dans la suite
du niéiiioire, manquent de précision.
688
’.
H.-S. CARHART. - Thern10dynarnics of t1e Voltrtlc Ccll (Théorie thermodynamique de la pile).
-P. ~1-t ~.
L’auteur reprend la théorie classique de llelmholtz, mais en séparant les effets produits aux deux pôles. Pour les piles dont la
force électromotrice est indépendante de la température, comme
l’élément Daniell, le passage du courant produit, à l’un des pôles., un dégagement de chaleur égal à la perte qui se manifeste à l’autre.
Ces deux effets thermiques sont dus aux effets Peltier au contact des deux électrodes, si on néglige l’effet de contact des deux solutions qui environnent chaque pôle.
Ces conséquences ont été vérifiées expérimentalement sur un
élément Daniell de construction appropriée. Le passage de 72 cou- lombs produit entre les deux pôles une différence de température
mesurée de 0°,16~, alors que le calcul donne Oo,160.
L.-J. B.RIGGS.
--A New Form of Condenser having a Capacity Capable, of
Continuous Adjustment (Condensateur de capacité variable d’une manière continue). 2013 P. 14-21.
Les lames d’étain des condensateurs ordinaires sont remplacées
par des lames de clinquant, de forme convexe, séparées par du mica.
Un compresseur à vis permet de les rapprocher plus ou moins,
ce qui fait varier la capacité dans le rapport de 1 à 4. Il paraît
douteux qu’un semblable dispositif reprenne exactement la même
capacités, quand la vis de compression revient au même point de sa
course.
K. GLTHE et A. TR0i"BRIDGE. - On the Theory of the Coherer (Sur la théorie du cohéreur). - P. 2~-39.
Trois théories sont en présence : Branly suppose une modification du milieu compris entre les particules conductrices ; Lôdge imagine
à la surface de celles-ci des couclles minces isolantes, brisées par le passage du courant, tandis que, d’après lluerbach, l’ébranlement
mécanique produit par le passage de l’onde électro-n1agnétique
suffit à établir des contacts plus intimes.
Les auteurs se rallient à la seconde manière de voir; cependant
leurs expériences, bien que très soignées, ne paraissent pas, de
leur propre avis, décisives. Ils ont opéré sur des cohéreurs, furmés
seulement par deux sphères dont le contact peut être réglé avec une
extrême précision ; on y fait passer des courants d’intensités crois-
santes i, et on mesure la différence de potentiel 1) aux extrémités du
cohéreur ; on constate que, pour m réglage donné, on a :
ce qui promve que la résistance du cohéreur diminue à mesure
que i augmente. Les auteurs attribuent ce résultat à ce que le cou- rant détruit, de la couche isolante formée sur les sphères, nne plag e
d’étendue croissante avec son intensité.
A.-C. LONGDEI~.- Electrical Itesistance of Thin Filazs depositedbyliathode Dis- chii1-ge (Résistance électf-idue de lames métalliques minces déposées électrique- ment). - P. 40-55 et ~!~-~~.
"
L’auteur décrit d’abord en détail la méthode employée par le pro- fesseur Wright, pour déposer sur des lames de verre des couclies de platine, d’or, d’argent, etc., à l’aide de décharges effectuées dans le vide; ces couches sont aussi minces qu’on le veut et d’un éclat métallique parfait. Les plus épaisses employées, les seules pour
lesquelles on ait pu faire des mesures avec l’interféromètre de
Michelson, avaient environ 0~,0001 d’épaisseur ; mais d’autres étaient sans doute des centaines de fois plus minces.
Avec ces dépôts métalliques, on a pu faire des résistances com-
prises entre plusieurs milliers d’ollms et plusieurs mégolims. Celles fabriquées avec le platine sont les meilleures; toutefois elles pré-
sentent, dans les premiers mois de leur fabrication, des variations
irrégulières de résistance.
On peut abréger cette période variable par chauffage, à l’air ou
dans l’huile.
Les couches très minces ont un coefficient de température négctti[,
les couches épaisses un coefficient positif, et les dépôts d’épaisseur
moyenne ont unie résistance indépendante de la température. L’au-
teur affirme que l’on peut, par ce procédé, obtenir de grandes
résistances présentant toutes les qualités de précision et de conser-
vation qu’on est en droit d’exiger d’un étalon.
’
690
T’.-J. HOGEHS. - A llethod of studying ElcctrostatÏc Lincs or r Forcc (Etudc
d’un champ électrostatique).
-P. ij6-lix.
L’étucle d’un champ électrique peut se faire aisément avec de
petites aiguilles d’aluminium, pourtant il leurs extrémités deux boules de moelle de sureau.
D.-P. TODD. - Note on the Préparation or Heticles (Sur la fabrication des réseaux).
-P. i19.
’
C’est la description du procédé, indiqué en France par 11~Z. Izarn,
pour la fabrication des réseaux par la photographie, avec application
aux réseaux circulaires.
A.-W. DU~,F. - The Atténuation of Sound (Diminution d’intensité du son avec la distance).
-P. 65-11.
Dans un mémoire analysé précédemment dam ce recueil, l’auteuh
a étudié l’influence de la viscosité de l’air, de la conduction et de la radiation de la chaleur dans l’atténuation du sun transmis. Il a trouvé, par des calculs théoriques, que, pour de faibles distances r, l’inten- sité doit être proportionnelle à :
et, pour de grandes distances, à :
m étant un coefficient qui est la somme de trois ternles dépendant de
la viscosité, de la conduction et de la radiation . Cette dernière loi a été soumise à de nouvelles vérifications expéiiiiientales, faites à peu
près comme les précédentes. Voici quelques résultats :
D’après cela, le coefficient ni aurait pour valeur dans l’air
in
-0,000033, dont la ma,jeure partie 0,000031 est due à la radia-
tion. D’après lord Rayleigh, dont l’autenr semble partager l’opi- nion, ce nombre paraîtrait exagéré pour la part de la radiation calorifique, et il y aurait lieu de supposer qu’il dépend de quelque
autre phénomène non encore analysé; peut-être tiendrait-il à ce que
l’énergie cinétique met un temps fini à se transformer en énergie potentielle.
W.-S. FRANKLIX. - Sonl0 Lectures-roon1 )Iethuds in the Elelnentarv Theor~~ of Elasticity (Expériences sur la théorie élémentaire de l’élasticité).
-P. 1:¡-7uS.
Description des expériences très ingénieuses par lesquelles l’au-
teur montre les déformations éla5tiqnes ; toutes ces expériences peuvent être réalisées en projection.
~G’.-J. HU1~PHRE~ S.
--Sparke-Ienglh as iiioditieci by Solid Dielectrics (Modifi-
cation de la longueur des étincelles par les isolants solides).
-P. ~9-83.
L’auteur a remarqué qu’on peut doubler et au delà la distance explosive maxima d’une machine Wimshurst en approchant un
isolant quelconque, verre, soufre, fil de soie, etc. de son pôle positif, du côté qui regarde l’autre pôle. Les constructeurs aiméri- cains fabriquent d’ailleurs une machine à influence dans laquelle la
boule métallique d’un des pôles est remplacée par une plaque métal- lique portant en son centre un disque d’ébonite.
.J .-8. STEVENS. - Eifect of Magnetization upon the Modulus of Elasticity (Efi’et de l’aiilxantation sur le module d’élasticité).
-P. 9£1-100.
Un fil de fer, maintenu à température constante, est étiré par un
poids et peut être aimanté par un solénoïde; l’étude de ses varia- tions de longueur se fait avec un système amplificateur. Les expé-
riences indiquent que :
1~ Le module d’élasticité croît quand le corps est aimanté;
2° L’accroissement est sensiblement proportionnel à la force ma- gnétisante ;
3° Pour un fil donné, la variation du module dépend du poids
tenseur ;
4° Pour différents fils, et un méme poids teneur, l’accroissement
de module est plus grand pour le fil le plus fin.
692
En opérant, au contraire, par compression d’une barre, on n’a
pas pu constater de changement sensible du module par aimantation.
C.-J. R~)LLEFSON. - Spectra of ~1ixtures (Spectres des mèlanges). - P. 101-140.
Les sels métalliques placés dans l’arc électrique sont analysés par
un réseau, et le spectre résultant est photographié. On remarque que l’activité de certains sels est surexcitée par d’autres sels. Ainsi la présence du lithium avec le strontium rend visibles, dans le spectre de ce dernier corps, toute une série de raies et de bandes dont trois avaient déjà été signalées par Kayser et Runge, tandis que
six raies et une bande n’avaient pas encore été signalées.
W.-C. BAKER. - Description of a New At~-ood’s Machine and Stopc1ock (Nouveaux types de machines d’At~-ood et d’horlo~e). - P. lOj-109.
Quelques perfectionnements sont apportés à la construction de la machine d’~~.twood.
C.-E. I,INEB.~~RGEII. - A New l’orni of the Spiral Spring Balance (Nouvelle
forme de dynan10mètre à ressort). - P. 110-111.
C’est une modification de la balance de Jolly, très employée dans
les laboratoires étrangers.
L.-Vf. ALSTIN. 2013 A Modification of NIaDce’s Nlethod for Determining Battery
Resistance (Modification de la méthode de Mance). - P. 117.
Cette modification consiste à remplacer le galvanomètre par un
téléphone.
C.-T. KNIPP. - The Surface Tension of Water above 100, (Tension superficielle
de l’eau au-dessus de 100°).
-P. 1? J-i ~ ~ ,
Le principe de la méthode employée consiste à évaluer la force nécessaire pour soulever un cylindre platiné, partiellement plongé
dans l’eau ; la force qui le soulève est l’attraction d’une bobine tra- versée par un courant.
La bobine et son noyau étaient fixés sur la face interne d’un
bouchon vissé sur un vase d’acier contenant de l’eau. Des circuits
électriques isolés traversaient la masse métallique pour permettre diverses observations.
Le piézomètre d’acier était en relation avec un manomètre et avec
une pompe qui permettait d’y faire varier la quantité de liquide. Les températures étaient données par un couple cnivre-platine aboutis-
sant dans un trou percé dans la paroi du vase ; l’élévation de tenir-
pérature était prodnite, dans de bonnes conditions de régularité, par
un courant électrique traversant des résistances.
On peut tout d’abord déterminer la tension maximum de l’eau à difï’érentes températures et les constantes critiques.
Température critique
-=3:~9°. Pression critique == 205 atmosphères,
Les mesures de tension superficielles, déduites de l’intensité du courant nécessaire pour soulever le cylindre, présentent plusieurs dif- ficultés, dont la principale tient à la condensation de la vapeur 4
l’intérieur du piézo111ptrc ; uu peut s’eii ~1él~~tiv~~s~er en surchauffant;
d’ailleurs elle disparaît d’elle-même au-dessus de 2’tO,.
Les déterminations ont été prolongées entre 0 et ’100° en rem- plaçant le système de chauffage par un 1>ain-n>ari;.
Le tableau suivant résume les principaux résultats obtenus ; ils donnent, en N, les nombres proportionnels à la tension superticielle.
On aurait les valeurs mêmes de cette tension en multipliant
,