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The physical review - T. XIV, nos 3, 4, 5; — t. XV, n os 1, 2, 3 ; 1902

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(1)

HAL Id: jpa-00240733

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240733

Submitted on 1 Jan 1903

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1, 2, 3 ; 1902

L. Houllevigue

To cite this version:

L. Houllevigue. The physical review - T. XIV, nos 3, 4, 5; - t. XV, n os 1, 2, 3 ; 1902. J. Phys. Theor.

Appl., 1903, 2 (1), pp.139-147. �10.1051/jphystap:019030020013901�. �jpa-00240733�

(2)

H.-A. LORENTZ. 2014 De draüng van het polarisatievlak in lichamen die zich bewegen (Rotation du plan de polarisation dans les corps en mouvement). 2014 Konink. Akad. wetensch. Amsterdam, t. X, p. 793-804; 1902.

Dans son ouvrage Versuch. einer Theorie, etc., l’auteur donne pour 1’1 rotation du plan de polarisation par unité de longueur la formule :

pour le cas d’un milieu en repos, et

pour le cas d’un mouvement de translation suivant l’axe des ~, dans la direction de propagation de la lumière. Dans ces formules, n’ est

la fréquence pour un observateur prenant part à cette translation, 2c

la vitesse moyenne de la lumière polarisée circulairement dans le milieu stationnaire, c la vitesse de la lumière dans l’éther.

Or M. F. Larrnor (Ether and Matter, Cambridge, 1900) ayant mis

en doute les déductions de l’auteur, celui-ci soumet sa théorie à une

revision dont il résulte que les raisonnements de Larmor, d’après lesquels l’influence d’un mouvement de translation sur les phéno-

mènes en question serait nulle, sont erronés, le désaccord dérivant d’une erreur de calcul. Pour == o, les équations de ces deux phy-

siciens deviennent identiques.

A. GRADENWITZ.

THE PHYSICAL REVIEW;

T. XIV, nos 3, 4, 5; 2014 t. XV, nos 1, 2, 3 ; 1902.

J -W. MILLER. - The elastic properties of helical springs (Propriétés élastiques

des ressorts hélicoïdaux).

-

P. 129-148.

La théorie mathématique établie dans ce travail est soumise à des vérifications expérimentales; on en déduit des méthodes précises

d’évaluation du module de Young et du rapport de Poisson pour les corps qui peuvent être mis sous forme de ressorts hélicoïdaux.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019030020013901

(3)

DUANE. - On Ilie houndary conditions of Ihe electric,-tl field (Conditions

aux limites du eliatiip électrique.

-

P. l~9-157.

Quand on cherche à déduire les expressions courantes des poten-

tiels électrique et magnétique, et les lois générales, des formules fondamentales posées par Ileaviside, puis par Hertz, on se heurte à la nécessité d’hypothèses spéciales sur le caractère du champ élec- tro-magnétique à la limite, ou à l’infini: c’est l’objet des développe-

ments matliématiques coutenus dans cet article.

,

S. Note on Kirchhoff"s theory of malgnetostriction (Théorie

de la magnétostriction, d’après Kirchhoff’).

-

P. 158-170.

Extension de la théorie de Kirclhoff au cas oû la susceptibilité K

et les deux coefficients d’extension (strain) K’ et li" sont des fonctions

de l’intensité de la force magnétisante.

L. BE VIER. - The vo-m el A. Thé rowel E. The vowel I (Les voyelles A, E, 1).

T. XI Y, p. 171-180 et 214-220 ; - t. XV, p. 44-50.

L’appareil employé est un téléphone dont la lame vibrante com-

mande les déplacements angulaires d’un petit miroir. De nombreux

graphiques indiquent les caractéristiques des voyelles étudiées.

C.-C. TROWBRIDGE. - Magnelization of steel at liquid air temperatures (Aimantation de l’acier à la température de l’air liquide).

-

P. 181-191.

Les aiguilles d’acier à aimanter sont placées dans l’air liquide

entouré d’une spirale magnétisante. l’our mesurer leur moment magnétique, on les place soit à l’air libre, soit dans l’air liquide, au voisinage d’un magnétomètre.

Conclusions : 1° l’acier au carbone et l’acier au tungstène ac- quièrent le même moment, qu’on les aimante à la température ordi-

naire ou à

-

18~° ; ‘~° si l’on porte de - ~ 8~° à + 20° une aiguille aimantée, la perte de magnétisme est beaucoup plus grande quand elle a été aimantée à froid que lorsqu’elle a été aimantée à

+ 20°, puis refroidie.

,

(4)

V’.-F. MAGIE.

-

Tlie specific lieat of solutions. A form of tire Pfaundler calo- rimeter (Chaleur spécifique des solutions. Modiucati m du catorimcLre de

Pfaundlei-J. - P. I !)3-200.

La solution à étudier et le liquide auquel on la compare (généra-

lement le dissolvant) sont renfermes dans deux vases semblables, et échauffés en méme temps par le même courant traversant deux bobines d’égales rpsislances. En s’entourlant des précautions décries

dans l’article, on peut obtenir, avec une grande approximation, la

chaleur moléculaire apparente dn corps dissous, c’est-à-dire la chn- leur requise pour échauffer de 10 une molécule-gramme du corps, dans la dissolution. Une application de la méthode est donnée pour le sucre de lait.

E.-L. NICIIOLS. - On somme optical properties oI’ asplialt (Quelques propriétés optiques de Fasphatte).

-

P. 204-213.

Une lame mince d’asphalte, de 01-111,00"j d’épaisseur, obtenue en répandant du vernis sur une lame de verre, absorbe toutes les

radiations pour lesquelles i, 0,5 p.; elle laisse passer à peine le jaune, et est transparente pour le rouge et Finfra-rougc. L’existence de celte absorption correspond avec la dispersion anomale, obser-

vée sur des prismes transparents d’angle très aigu, et qui se mani-

fesle entre le jaune et le vert. Les résultats sont comparés avec ceux

que présentent les lames minces de carbone. L’auteur conclut que

l’asphalte contient vraisemblablement de minimes parcelles de car-

bone suspendues dans un milieu résineux.

C.-D. CHILD. - The velocity of ions fi’omhat platitium wires (Vitesse des ions

émanés du platine chauiîe).

-

P. 221-246 et 265-279.

On étudie la décharge entre un fil de platine Cl13ldTé et un cylindre concentrique, portés à des potentiels différents. La décharge

commence par croître avec le temps, pour décroître ensuite lente- ment. La décharge positive commence un peu au-dessous du rouge, croît rapidement avec la température, pour devenir ensuite a peu

près constante, puis diminuer quand ]la température croit encore.

C:’est alors que la décharge Il é g aL i "C commence ; elle ll’CSL jamais

(5)

aussi forte que la positive ; toutes deux croissent rapidement avec

la différence de potentiel entre le fil et le cylindre.

Quatre méthodes ont été employées pour comparer les vitesses des ions + et -. L’une d’elles compare les vitesses moyennes et montre que celle des ions positifs est supérieure à l’autre. Deux

autres comparent les vitesses maxima, et décident encore en faveur

des ions positifs.

Une dernière compare les vitesses minima : à basse température,

les ions + ont une vitesse minima beaucoup plus grande que celle des ions -. Mais, aux températures élevées, apparait une autre

cl asse d’ions à progression lente, et les résultats en sont mal définis.

Dans l’oxygène, l’oxyde de carbone et le gaz carbonique, les résul-

tats sont pratiquement les mêmes que dans l’air ; ils semblent indiquer que les particules enlevées au platine sont du métal et non

un oxyde.

Dans l’hydrogène, la décharge est beaucoup plus rapide que dans l’air; la décharge positive commence toujours à des tempéra-

tures plus basses que la négative, mais la négative dépasse bientôt

la positive pour lui devenir égale au voisinage du point de fusion du

platine.

Dans le vide, la décharge est beaucoup plus rapide que dans l’air à la pression atmosphérique, et elle n’est que faiblement affectée par la différence de potentiel entre le fil et le cylindre ; ce résultat est

tout différent de celui qui se rapporte à l’air.

G.-K. BURGESS. - A new form of Cavendish balance (Modification de la balance

de Cavendish).

-

P. 247-256;

-

The value of the gravitation constant (Valeur

de la constante de la gravitation).

-

P. 257-264.

Ces deux articles forment le résumé de la thèse Recherches sur la constante de la grctvitation, soutenue à Paris, en 1901, par l’auteur.

n.-W’. %V00D. - Surface Colours (Couleurs superficielles).

-

P. 31~-31H.

Le pouvoir réflecteur, en incidence normale, pour les milieux

d’indice n et de pouvoir absorbant K, est;

(6)

Application est faite à la cyanine. Les résultats du calcul sont confirmés par l’observation de la lumière blanche, plusieurs fois

réfléchie entre la lame considérée et un miroir.

A.-P. IVILLS. - On maînetostriction in bismuth (Dilatation magnétique du bismuth). - P. 1-6.

Contrairement aux résultats indiqués par Bidwell, l’auteur n’a pu déceler aucune trace de variation de longueur pour des cylindres

de bismuth électrolytique, placés dans un champ allant jusqu’à

3~00 unités.

J.-E. YVES. - Contributions to the study of the induction coil (Contribution à l’étude de la bobine d’induction;. - T. XIV, p. 280-314, et t. XV, p. 7-19.

Ce long travail, à la fois théorique et expérimental, est impos-

sible à résumer. La partie essentielle paraît être la détermination d’une capacité optimum; quand elle est réalisée, la théorie de la bobine d’induction se présente sans sa détermination.

F.-R. Viscosity of liquids determined by measurement of capillary

waves (Mesure de la viscosité des liquides au moyen des ondulations superfi- cielles).

-

P. 20-38.

.

L’auteur établit d’abord la relation entre la viscosité, la densité, la

distance au centre d’ébranlement, la longueur d’onde et la période

de vibration ; pour en déduire le coefficient de viscosité, il emploie à

peu près le dispositif expérimental indiqué par lord Rayleigh :

ondulations produites par un cylindre plongeur relié à un diapason,

observées en lumière normale par la méthode stroboscopique. La partie originale est la mesure de l’amortissement, qui se fait en

déterminant le rayon de courbure des ondes, à l’aide d’un viseur observant successivement les ondes en creux et les ondes en relief.

Le résultat général obtenu est que la viscosité des couches super-

ficielles d’un liquide a pratiquement la même valeur que celle des

couches profondes, telle qu’on la détermine par d’autres méthodes.

(7)

A.-Il . T.kiLfiR. - ii"ireless telegraphy u-ith a relaô.-telephon J-eceiver A.-H. TAYLOR. 2013 Wireless telcgraphy with a relay-telephon receiver

(Récepteur relais-téléphone pour télégraphie sans fil).

-

P. 39-43.

Gomrne récepteur, on emploie mn relais à contacts nickelés, un téléphone sensible et une pile sèclie, le primaire du relais étant en

série avec son secondaire et le téléphone.

II.-1’. BARNES et IL-L. CnUIïE. - On thé specific heat of supercooled water (Chaleur spécifique de l’ee,u au-dessous de 0°).

-

P. 65-î2.

Dans zin calorimètre, on introduit en même temps deux fioles,

l’une contenant de l’eau refroidie au-dessous de zéro et l’autre rem-

plie d’eau chauffée, en belles proportions qu’après équilibre la températnre finale dirf’ère peu de la température initiale. On a ainsi les éléments pour calculer les variations de la chaleur spécifique. On

trouve pour cette quantité, en prenant pour unité la chialeur spéci- fique à 16, :

_E. Trie pénétration of totally-ret1ecteù light into the rarer n1cdiulll (l’énétration de la lumière réfléchie totalement dans le milieu le moins rcfrin-

gent). - P. -j3-IOC,.

Cet article apporte une contribution importante à l’étude de la réflexion totale, en déterminant l’épaisseur de la couche du milieu le moins réfringent intéressée par ce phénomène.

Une première métliode expérimentale consiste â former une

couclie mince d’air ou d’un liquide entre les faces hypoténuses, légèrement bombées, de deux prismes à réflexion totale; ou mesure

son épaisseur en chaque point par les anneaux formés, et on déter-

minc l’incidence limite pour chaque épaisseur. Cette Incidence varie

depuis l’angle limite, pour une épaisseur assez grande, jusqu’à 901,

pour une épaisseur nulle. Les détern1inations sont faites d’abord en

lumière blanche, ensuite en utilisant chacune des couleurs du

spectres. Un nicol permet de polariser le faisceau incident dans le

plan d’incidence, ou perpendiculairement à cc plan. L’angle limite

pour chaque Epaisseur n’est pas le même dans les deux cas.

(8)

Une seconde méthode consiste à recouvrir la face hypoténuse du prisme d’une couche de gélatine bichromatée, à grains très fins, ou

d’une couche très mince de collodion, recouverte elle-même sion sensible. Le système, exposé à la lumière sous une incidence

supérieure à l’angle limite, donne une impression et, en reportant la pellicule mince sur paraffine et l’examinant au microscope, on peut

se convaincre que seules les régions voisines de la surface du prisme

ont été impressionnées.

EnCiii, une dernière partie du mémoire contient l’application de la

tlléorie électromagnétique à ce cas particulier. La concordance avec

l’expérience est satisfaisante.

E.-G. COKEII. - On thé effect of tow températures on ttie recovery of overstrai- ned iron and steel (Effet de basses températures sur la récupération de l’état

initial du fer et de l’acier étirés au delà de la limite d’élasticité).

-

P. 107-118.

Tandis que des barres d’acier et de fer étirées recouvrent leur module élastique, progressivement à la température ordinaire et

très rapidement à 100% le froid retarde et souvent arrête absolulueul

ce retour à l’état initial.

WT.-S. I’nANhLIN. - Lecture room démonstrations of asti,-iiiatistii and disfoi°-

tion (Démonstration expérimentale de 1 astigmatisme et de la distorsion pro- duites parles lentilles). - P. 119-1°p0.

R.-W. Thé invisibHity of’ transparent oljccts

(Invisibilité d’objets transparents).

-

P. 123-124.

,

En dissolvant une proportion convenable d’hydrate de chloral dans la glycérine, on obtient un liquide de méme indice et de même dispersion que le verre, qui y est coinplètcnient invisible.

_

C.-T. metliod for Inaintaining inlenllcdiate temperature (Moyen d’obtenir des températures fixes). - P. 125-126.

Le dispositif est fondé sur l’einploi de l’air liquide.

(9)

J.-H. VINCENT. - The density ancl coefficient of cubical expansion of ice (Densité et dilatation cubique de la glace).

-

P. 129-153.

La méthode consiste à évaluer la poussée d’un morceau de glace immergé dans le mercure, par un dispositif qui rappelle la balance

de Joly. On trouve 0,9160 pour la densité de la glace à zéro et

0,0001;)2 pour son coefficient de dilatation cubique.

W.-S. 0.1 Y. - An experiment relative to the application of Lagrange’s equations

of motion to electric currents (Expérience relative à l’application des équations

de Lagrange au mouvement des courants électriques).

-

P. 154-162.

Il s’ag it de savoir si, lorsqu’un fil pouvant être parcouru par un courant tourne autour de son axe, l’ouverture ou la fermeture du courant ont une action sur son mouvement; ou si, réciproquement, la

rotation du fil crée une force électromotrice entre ses extrémités. Les

expériences effectuées n’ont pu révéler aucun effet de cette nature.

Ii.-F. Sparking distances betwecn plates for small distances

.

(Mesure des potentiels explosifs correspondant aux faibles distances).

-

P. 163-171.

L’étincelle jaillit entre un plan et une sphère, dont la distance est mesurée en loiigtieuit-s d’onde avec un interféromètre. Le courant

employé est alternatif.

Les distances explosives sont sensiblement proportionnelles aulx potentiels, sauf pour les distances inférieures à trois longueurs

d’onde du sodium, la loi de variation change.

S.-J. Thé getieralization of thcorem (Généralisation du

théorème de Gauss).

-

P. 172-174 ;

-

On thé Cavendish expriment and the

or inverse squares iii electrostatics (L’expérience de Cavendish et la loi de l’inverse du carré des distances en électrostatique).

-

P.

L’auteur appelle l’attention sur un point obscur dans l’applica-

tion à l’élecLrostatique de l’expérience de Cavendisli-Maxwell.

H.-r1. RANDS. - An acetylene gencrator (Générateur d’acétylène).

-

P. 178-180.

C’est un générateur pour laboratoires, pouvant produire 2 litres

de gaz environ.

(10)

F. ALLEN et W. Test of the liquid air plant at Cornell University (Épreuves de l’appareil à air liquide fonctionnant à Cornell University).

-

P. 181-187.

y

J.-S. SHEARER. 2013 The heat of vaporisation of air (Chaleur de vaporisation de l’air).

-

P. 188-191.

L’air liquide, placé dans un tube à double paroi, reçoit la chaleur

d’un courant électrique traversant une spirale de maillechort immer-

gée. Un compteur donne le volume de gaz produit, dont l’analyse est

faite en même temps à l’acide pyrogallique. On trouve ainsi 44 9

par gramme. D’autres nombres sont fournis par des mélanges plus

riches en oxygène.

L. HOULLEVIGUE.

DRUDE’S ANNALEN DER PHYSIK ;

T. IX, 10; 1902.

L. AUSTIN und H. S’rARhE. - Ueber die Rellexion der Kathodenstrahlen und eine damit verbundene neue Erscheinung secundàrer Emission (Réflexion des

rayons cathodiques et phénomène nouveau d’émission secondaire qui l’accom- pagne). - P. 27I-293.

Les rayons cathodiques tombent sur un réflecteur qui communique

.

avec le sol. Un galvanomètre inséré sur le fil de communication décèle un courant d’électricité négative. L’intensité de ce courant diminue quand on fait croître l’angle d’incidence à partir de 0 ; elle

devient nulle vers l’incidence de 70°, puis change de signe. Elle peut

croître jusqu’à dépasser en valeur absolue l’intensité qui correspond

à l’incidence normale.

Ce courant n’est pas dû à des rayons-canal ; il ne résulte pas de la différence de potentiel au contact du gaz et du métal. Il ne peut être

non plus le fait du gaz rendu conducteur par les rayons cathodiques.

Il résulte d’une émission secondaire d’électricité négative provo- quée par les rayons cathodiques.

On ne saurait, d’ailleurs, vérifier d’une manière directe l’existence

de cette émission, car il est impossible de séparer les "rayons aux=

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