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The Physical Review ; t. xv; 1902; et xvi; 1903

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(1)

HAL Id: jpa-00240860

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Submitted on 1 Jan 1904

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The Physical Review ; t. xv; 1902; et xvi; 1903

L. Houllevigue

To cite this version:

L. Houllevigue. The Physical Review ; t. xv; 1902; et xvi; 1903. J. Phys. Theor. Appl., 1904, 3 (1),

pp.177-189. �10.1051/jphystap:019040030017701�. �jpa-00240860�

(2)

pour lequel le milieu a une constante de réfraction positive doit

tourner autour des parties les plus denses; un autre pour lequel

cette constante est négative contournera les parties raréfiées. Les rayons coronaux sont parfois extrêmement longs; i il n’y a qu’à sup- poser que la terre était exactement dans la direction d’un de ces

rayons au moment du spectre anormal pour que les irrégularités

observées deviennent claires.

M. Julius explique encore, d’après la même théorie, pourquoi,

dans le spectre ordinaire du soleil, certaines lignes, et des plus intenses, ont des intensités et des positions variables, pourquoi enfin

l’ombre qui entoure les raies H et K est parfois brisée en une série

de faibles raies nébuleuses (Voir JEWEL, Astroph. J o’Urn., t. Ili,

p. 108).

J. HARTMANN. 2013 The wave-lengths of the silicon lines 03BB 4128 and X 4131 and of the carbon line 03BB 4267 (Longueur d’onde des raies de la silice a 4128, À 4131,

et de la raie du carbone À 4267).

-

XVIII, p. 65-66.

Voici les longueurs d’ondes de ces raies, mesurées sur des pho- tographies de spectres de tubes de Geissler contenant l’un du

tétrafluorure de silicium à basse pression, l’autre du cyanogène.

4.128.204 4.131.040 4.267.301

J. BAILLAUD.

THE PHYSICAL REVIEW ;

T. XV; 1902; et XVI; 1903.

F. ALLEN. - Persistence of vision in color-blind subjects (Persistance des impressions lumineuses chez les daltoniens).

-

P. 193-225.

L’auteur a étudié 26 cas de daltonisme, en déterminant pour cha-

cun d’eux la courbe de persistance des impressions lumineuses en

fonction de la longueur d’onde. D’après les différences entre ces

courbes et la courbe normale, il répartit les différents cas étudiés

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019040030017701

(3)

178

par lui en sept classes. Il remarque en outre que les courbes de

persistance désignées ci-dessus présentent pour les daltoniens un ou deux maximums, qui se présentent en général dans le rouge, le vert

ou le violet.

Les résultats obtenus sont en opposition absolue avec l’hypothèse

de l’existence de quatre couleurs fondamentales; en revanche, ils

s’accordent avec l’existence du rouge, du vert et du violet comme couleurs primaires. Ils portent à admettre en outre l’existence d’une sensation indépendante du blanc.

R. DREW. - Interference in thin films-a graphical treatment (Construction graphique des franges d’interférences).

-

P. 226-232.

Il s’agit d’une méthode graphique pour déterminer la position des franges d’interférences localisées fournies par les lames minces.

L’auteur, qui cite les travaux de Michelson, Feussner et Pocklington,

ne paraît pas avoir aucune connaissance de ceux de Macé de

Lépinay et Fabry.

E. POUCHER. - Attractive force and magnetic induction (Force attractive et induction). - P. 233-236.

Il s’agit d’une vérification de la formule F = SB2 803C0, qui donne la

force attractive d’un solénoïde armé. Cette relation, qui s’applique à

l’électro-aimant, n’est pas vérifiée pour les corps magnétiques pla-

cés dans son voisinage.

W. DIG WIDDIE. - A cele for measuring the electrical resistance of liquides (Mesure de la conductibilité des liquides).

-

P. 23’I-238.

Méthode simple pour obtenir une colonne d’électrolyte de dimen-

sions connues, dont on mesure la résistance par la méthode de Kolhrauch.

G. BURGESS. - ALFRED CORNU. 2013 P. 239-242.

Résumé historique de l’oeuvre scientifique de Cornu, et son

influence sur la science française et universelle.

(4)

J. SHEARER. - References to papers on low temperature research (Bibliographie sur l’étude des basses températures). - P. 243-254.

Il s’agit d’une liste bibliographique, qui paraît très complète,

relative aux questions suivantes : Liquéfaction de gaz;

-

Mesure des basses températures ;

-

Phénomènes électriques et magnétiques

aux basses températures ;

-

Phénomènes calorifiques, lumineux, chimiques ; autres actions diverses.

-

Cette liste ne comprend que les publications postérieures à 1889.

R. PRENTISS. - Practical application of Fourier’s series to barmonic analysis (Application des séries de Fourier à l’analyse des harmoniques). - P. 25’7-270a

Exercice pratique de détermination des coefficients.

L. BEVIER. - The vowel 1 (La voyelle I).

-

P. 271-275.

Application à la voyelle 1 (prononcée à l’anglaise) des méthodes de détermination graphique indiquées à propos des autres voyelles

dans une série d’articles précédents.

E. JOHONNOT. - Rayleigh’s alternat current phasemeter (Phasemètre de Rayleigh pour courant alternatif).

-

P. 276-290.

Application de l’appareil à diverses mesures, entre autres à celle de l’hystérésis, pour laquelle il ne paraît pas donner de bons résul- tats.

H. PENDER. - On the magnetic efiect of electrical convection II

(Effet magnétique de la convection électrique).

-

P. 291-305.

L’auteur décrit les expériences par lesquelles il a essayé de réfuter

les déterminations de Crémieu. Ces expériences sont assez connues en France pour qu’il soit inutile de les résumer, malgré l’intérêt qu’elles présentent (’ ).

(1) Le J. de Phys. a publié, série, t. Il, p. 641; 1903, les recherches contra-

dictoires de MM. H. Pender et V. Crémieu.

(5)

180

G. STE WART. - The températures and spectral energy curves of lumino us flames

(Répartition de l’énergie dans les flammes). - P. 306-315.

Lummer et Pringsheim reprochent à la méthode de Kurlbaum,

pour la mesure de la température des flammes, de négliger le pou-

voir réflecteur de la flamme vis-à-vis de son pouvoir absorbant.

Cette critique paraît juste à l’auteur. En revanche, l’assertion de Kurlbaum d’après laquelle la radiation des particules du carbone

dans une flamme est plus sélective que celle du platine poli, est

correcte. Le maximum des courbes de distribution de l’énergie dans

les flammes dépend presque uniquement de leur température, de

telle sorte que la relation i,m T - A, établie pour un corps noir,

leur est applicable. La valeur de A déterminée expérimentalement

pour la flamrne de l’acétylène est de 2282, et l’équation Àm T = 2282

lui est applicable, aussi bien qu’à celle de la bougie et du gaz.

W. WHITE. - An alternating current model

.

(Imitation mécanique du courant alternatif).

-

P. 316-318.

E. RHOADS. 2013 A relation between the changes of length and the changes in

thermo-electric power cauted by magnetization (Relation entre les variations de longueur et celles du pouvoir thermo-électrique causées par l’aimantation).

P. 321-326.

Le procédé expérimental employé est analogue à celui que Chassa- gny et moi-même avons employé en 1893 et 1896. Le champ magné- tisant, produit par un solénoïde, ne dépasse pas 400.

Les expériences, faites avec le fer doux et le nickel, semblent indiquer quelque analogie des variations thermoélectriques et

des variations longitudinales. Mais il est clair qu’on n’arrivera à rien de précis dans cet ordre d’idées tant que les mesures thermo-

électriques et d’allongement ne seront pas faites sur les mêmes

échantillons ; l’auteur nous promet d’ailleurs d’autres expériences

sur le même sujet.

A noter encore, dans son mémoire, la formation de courbes

cycliques qui prouvent nettement l’influence de l’hystérésis du fer

sur la variation thermo-électrique par aimantation; j’avais déjà eu

l’occasion de signaler cet effet.

(6)

K. GUTHE. - On the theory of the electrolytic rectifier (La théorie des redresseurs électrolytiques).- P. 327-334.

Certaines considérations portent à attribuer l’action des soupapes à aluminium, non à une pellicule d’oxyde, mais à la couche liquide

au contact avec l’électrode, couche modifiée par des gaz dissous;

elle constitue une sorte de paroi hémiperméable, puisqu’elle laisse

passer certains ions de l’électrolyte et empêche d’autres ions de

passer. Aussi a-t-on étudié comparativement une cloison hémiper-

méable de ferrocyanure de cuivre, formé dans un vase poreux ; dans l’intérieur était une solution de sulfate de cuivre, avec élec-

trode de cuivre, et extérieurement une électrode de platine plongée

dans une solution de cyanure jaune.

Or il semblait qu’une grande résistance s’opposât au passage du courant du cuivre ou platine, tandis que le passage inverse s’effec- tuait librement.

En terminant, l’auteur se demande si la polarisation électroly- tique ne serait pas due, très généralement, à une lame très mince

fluide et isolante, d’eau pure, par exemple, qui doit être tout d’abord

brisée avant que les ions n’atteignent les électrodes.

P. HEYL. - Crystallization from a current bearing electrolyte (Cristallisation

à l’intérieur d’un électrolyte traversé par un courant).

-

P. 335-344.

Des cristaux d’iodure de mercure et de sulfate de cuivre, formés

au sein d’un electrolyte traversé par un courant, présentent les

mêmes angles cristallographiques que ceux qui se forment dans les conditions ordinaires.

C. CHILD. - Electrical discharge from hot carbone (Décharge électrique

par le carbone chauffé).

-

P. 345-354.

Quand on chauffe un cylindre de carbone, il laisse échapper les charges positives; à température plus élevée, ce sont au contraire

les charges négatives qui s’échappent de préférence. Les deux catégories de décharges passent par un maximum quand la tempé-

rature s’élève. D’une manière générale les effets observés sont les

mêmes qu’avec le platine chauffé. La vitesse des ions est diminuée

à cause de la présence de particules projetées par le carbone.

(7)

182

A. LONGDEN. - Carbon resistances (Résistances en charbon).

-

P. 355-365.

Une lame de verre est argentée à ses deux bouts, où sont les pièces

de courant. On la recouvre ensuite d’une même couche de noir de fumée obtenue par la combustion du camphre. On l’expose en-

suite dans la vapeur d’alcool bouillant, qui donne de la consistance à la couche de carbone. On enlève la vapeur en excès par exposi-

tion dans une étuve à 110°, puis on recouvre de gomme laque ou de paraffine. Les résistances ainsi préparées, valant plusieurs mégohms éprouvent un accroissement sensible pendant 50 à 100 jours, puis

restent presque constantes. Elles ont donné de meilleurs résultats que toutes les autres résistances au carbone qui ont pu être essayées

par l’auteur.

S. MACKENZIE. - On instrument for drawing a sine curve (Machine à tracer

des sinusoïdes).

-

P. 366-367.

J. BARNES. - The light scatered and transmitted by fine particles (Dispersion

et transmission de lumière par les milieux troubles). - P. 368-373.

On employa d’abord le précipité de soufre obtenu par réaction de l’acide sulfurique sur l’hyposulfite de soude ; mais ayant reconnu que les molécules de soufre s’aggloméraient rapidement les unes

aux autres, on fit usage d’une solution alcoolique de mastic étendu

d’eau.

On a déterminé les intensités des lumières transmises et réfléchies pour différentes longueurs d’ondes en faisant varier l’épaisseur du liquide trouble et le nombre des particules de mastic. Pour les

grandes longueurs d’ondes, on trouve que l’absorption est propor- tionnelle au nombre de particules rencontrées par le rayon lumineux.

J. ROGERS. - Frequencies of a horizontally suspended coiled spring (Vibration

d’une hélice élastique suspendue horizontalement).

-

P. 374-375.

Un fil enroulé en hélice et suspendu dans un plan horizontal

forme des noeuds et des ventres quand on donne à son extrémité

des vibrations parallèles à l’axe. La longueur d’onde correspon-

dante est calculée, puis déterminée expérimentalement.

(8)

K. TSURUTA. - Optical notes; on a spectroscopic application of Talbot’s interference fringes (Application spectroscopique des franges de Talbot).

-

P. 380-382.

On remplace le micromètre du spectroscope par un appareil à franges de ’ralbot; les franges constituent une division superposée

au spectre, et qui permet de répérer les différenses couleurs.

H. STERNS.- The magnetic susceptibility of water (La susceptibilité magnétique

de l’eau).

-

P. 1-10.

Les valeurs de K données par différents physiciens pour l’eau sont

assez différentes, comme le tableau suivant permet d’en juger :

Les nouvelles déterminations de l’auteur sont exactes, dans son estime, à moins de 2,5 0/0 près, et donnent K.10-6=2013 0,733, à la température de 22°.

J. BENTON. - Thermodynamic formuloe for isotropic solids subjects to ten-

sion in on direction (Etude thermodynamique des solides isotropes soumis à

une tension).

-

P. 1i-16.

Le mémoire débute par l’établissement des formules relatives à l’état de solides isotropes soustraits à toute action extérieure autre

qu’une tension uniforme en grandeur et direction ; en conséquence

de ces formules, on démontre que le coefficient de dilatation et la chaleur spécifique des corps isotropes augmentent avec la tension, l’accroissement de la chaleur spécifique étant d’ailleurs très petit.

J. BENTON. - Elasticity of copper and steel at

-

1.86° C. (Elasticité du cuivre

et de l’acier à - 186,).

-

P. 17-27.

On détermine le module de Young et le module de rigidité pour

des fils de cuivre et d’acier suspendus dans l’air liquide. Les résultats

(9)

184

obtenus se raccordent avec la série très complète de déterminations de Pisati(1) faites entre + 20° et + 300°.

S. MOSS. - Generalization of Carnot’s cycle (Généralisation du cycle Carnot).

P. 28-34.

L’auteur appelle transformation à chaleur spécifique constante

celle où dv est choisi de telle sorte que dQ dT garde une valeur fixe dé- terminée. Pour les gaz parfaits, les hyperboles pvn - Cte définissent de semblables transformations.

Cela étant, on peut remplacer, dans le cycle de Carnot, les iso- thermiques par les lignes à chaleur spécifique constante sans changer

le coefficient économique. Les cycles nouveaux sont utiles à consi-

dérer pour la théorie des moteurs à gaz et des moteurs à froid où à chaud.

W. COBLENTZ. - Some optical properties of iodine (Propriétés optiques

de l’iode).

-

P. 35-50 et 723-9.

On a mesuré l’absorption de l’iode en solution dans le sulfure de carbone jusqu’à 03BB - 2,7 03BC. Pour le spectre visible, on a utilisé un spectrophotomètre, et pour l’infra-rouge, un radiomètre à réflexion.

Dans le spectre visible, les solutions dans le sulfure de carbone pré-

sentent une forte bande d’absorption dont le maximum est voisin de 0,515 pL, tandis que, pour les solutions alcooliques, le maximum est dans l’ultra-violet ; ces dernières solutions sont dichroïques lors- qu’elles sont étendues.

Toutes les solutions dans le sulfure de carbone sont transparentes

au-delà de 1,1 p, tandis que les solutions alcooliques présentent

une absorption variable avec la concentration et deviennent, comme

le dissolvant, opaques à partir de 1,4 p.

La transmission de l’iode solide a été mesurée jusqu’à 13 l-L; il y a deux bandes d’absorption, l’une dans le spectre visible, l’autre à 7,4 p.

L’iode liquide a été étudié jusqu’à 2,7 03BC ; son absorption ne dépend

pas de la température, mais est inférieure à celle de l’iode solide.

Les deux rayons polarisés par l’iode cristallisé sont inégalement absorbés ; l’iode solide se comporte donc comme la tourmaline.

Dans tous les états, l’iode présente la dispersion anomale.

(1) PISATI, Nuovo Cimento, 3e série, t. J, p. 181;

-

II, p. 137;

-

IV, p. 152;

-

V, pp. 34, 135, 145.

(10)

F. JEWET. - The effect of high temperatures ou the change of resistance of bismuth in a magnetie field (Variation de résistance du bismuth dans un champ magnétique, aux températures élevées).

-

P. 51-59.

Les graphiques qui résument les expériences donnent les valeurs

d. R Ro en fonction du champ jusqu’à H = 1500 pour différentes

températures jusqu’à 2400. Chaque isotherme est composée de deux lignes droites raccordées par une partie courbe.

E. VAN AUBEL. 2013 Note on magnetostriction in bismuth (La magnétostriction

dans le bismuth). - P. 60-62.

En rappelant l’historique des recherches faites sur ce sujet,

M. Van Aubel conclut que, dans tous les cas on a opéré sur du

bismuth pur, on n’a observé aucune déformation dans un champ magnétique. Les nouvelles expériences de Wills apportent une nou-

velle confirmation à cette proposition.

H. BARNES et L. C00R. - Note on the variation of the specific heat of mercury with temperature. Experiments by the continuous-ffo«T method of calorimetry (La chaleur spécifique du mercure aux différentes températures, déterminée par la méthode calorimétrique à température constante).

-

P. 65-71.

Les résultats obtenus entre 00 et 85° sont pleinement d’accord

avec la représentation proposée par Winkelmann :

La valeur de Co est également d’accord avec le nombre donné par

Regnault.

W. UEER. - The radiant efficiency of the mercury arc

(Rendement lumineux de l’arc au mercure). - P. 94-104.

L’arc employé est conforme aux indications d’Arons. Les mesures

du rendement E sont faites par application de la formule de Nichols :

(11)

186

où A désigne l’énergie totale de la source, a’ l’énergie transmise à travers une couche d’eau distillée, et é l’énergie transmise une

couche d’eau et une couche de sulfure de carbone saturé d’iode.

Voici le résultat obtenu, comparé à celui donné pour d’autres sources lumineuses :

R. RAMSEY. - The change of volume in Clarke and Cadmium cells and its relation to change of electromotive force due to pressure (Variations de volume dans les étalons Clarke et au cadmium ; leur relation avec la variation de force élec- tromotrice due à la pression).

-

P. 105-lli.

La force électromotrice des éléments Clark et au cadmium croît

avec la pression. De là résulte que leur volume doit s’accroître par le passage d’un courant dans leur masse. La valeur mesurée de ces

accroissements de volume s’accorde passablement avec les valeurs calculées.

J. IVES. - On the dimensions of large inductance coils

(Dimensions des bobines de large inductance). - P. 112-114.

Calcul des bobines de self ayant la forme de tores à section rec-

tangulaire ; détermination des dimensions et de l’enroulement les

plus avantageux.

W. HUMPHREYS. - A convenient storage battery installation (Modèle d’ins- tallation d’une batterie d’accumulateurs pour laboratoire).

-

P. 115-’!’! 8.

W. COBLENTZ. - Note on the selective obsorption of fuchsine and cyanine (Absorption sélective de la fuchsine et de la cyanine).

-

P. I’19-122.

Les spectres d’absorption de la cyanine et de la fuchsine présentent

une analogie frappante, qui permet de déterminer la structure

chimique encore incertaine de la molécule de cyanine ; ce dernier

(12)

composé C30H39Az2I, bien que contenant une molécule d’iode, ne pré-

sente aucune bande d’absorption commune avec ce corps simple.

G. SETWART. -- The spectral energy curve of the acetylene flame (Distribution de l’énergie dans la flamme d’acétylène).

-

P. 123-126.

Note rectificative d’une communication antérieure(1) ; la répar-

tition de l’énergie dans la flamme de l’acétylène, en fonction de la

longueur d’onde, est calculée d’une façon plus correcte, qui donne 0,039 pour la valeur du rendement lumineux.

P. NUTTING. - The ultra-violet reflecting power of selenium, cyanine and glass (Pouvoir réflecteur pour l’ultra-violet du sélénium, de la cyanine et du verre).

-

P. 129-139.

Les déterminations d’intensité lumineuse sont faites à l’aide de la

photographie. Aucune des courbes obtenues pour le pouvoir réflec-

teur ne montre d’accroissement brusque au voisinage des bandes

d’absorption. Il n’y a aucune indication de l’existence d’une disper-

sion anomale.

P. SHAW. - An electric micrometre for laboratory use (Micromètre à contacts électriques).

-

P. 140-157.

L’appareil est une sorte de sphéromètre à contacts électriques per- mettant de faire des mesures à moins de 0mm,005; on en fait l’appli-

cation à un certain nombre de déterminations : modules de Young,

dilatation d’un tube, mesure directe d’une longueur d’onde, etc.

0. STEWART. 2013 The damped ballistic galvanometer (Le galvanomètre balistique amorti).

-

P. 158-165.

Dans les théories présentées ordinairement du galvanomètre balistique, l’amortissement est supposé nul ou petit; l’auteur exa-

mine le cas d’un amortissement fini et conclut, tant de ses calculs

que de ses mesures, que l’élongation est encore proportionnelle à la quantité d’électricité transportée.

(1) Phys. Review,,vol. XIII; novembre 1901.

_

(13)

188

F. ROGERS. - Reflection from walls of photometer room (Réflexion latérale

des salles photométriques). - P. 166-169.

En cherchant à vérifier la loi photométrique de l’inverse du carré

des distances, on a trouvé non pas 1 = KD- 2, mais 1 = KD-1,92;

cette divergence tient à des réflexions de la lumière sur les parois

de la salle.

W. DAY. - An experiment relating to the application of Lagrange’ s equations

of motion to electric currents (Une expérience relative à l’application des équa- tions de Lagrange au mouvement des courants électriques).

-

P. 114-175.

Mémoire’déjà analysé antérieurement (1) dans ses parties essen-

tielles.

R. WOODWARD. - A new method of integrating one of the differential equa- tions of the theory of heat diffusion (Intégration d’une des équations différen-

tielles de la théorie de la conductibilité calorifique).

-

P. 176-177.

Il s’agit de l’équation

A. EWELL. - Rotary polarization rnechanically produced (Production

.

mécanique de la polarisation rotatoire).

-

P. 178-180.

De la lumière polarisée rectilignement traverse, suivant son axe,

un cylindre de gelée en rotation rapide., Dans ces conditions, on

constate une rotation du plan de polarisation. La gelée employée

est faite de gélatine, d’eau et de glycérine. Les nombres donnés dans ce mémoire ne paraissent pas permettre de se faire une idée

nette de la grandeur de l’effet observé ; on sait d’ailleurs que l’exis- tence de cet effet a été contestée par plusieurs physiciens.

(1) J. de Phys., 46 série, t. II, p. 146 ; 1903.

(14)

E. NICHOLS et G. HULL. 2013 The pressure due to radiation (Pression produite par la radiation).

-

P. 180-181.

Les parties importantes de ce mémoire ont été analysées antérieu-

rement (1) .

E. RUTHERFORD. - The magnetic and electric deviation of the casily absorbed

rays from radium (Déviation électrique et magnétique des rayons absorbables du radium). - P. 182.

En mesurant la déviation par un champ magnétique et par un

champ électrique, on a pu déterminer la vitesse des ions émanés du radium : V == 2,5 X 109 centimètre par seconde. On trouve

aussi - = 6 X 103 pour le rapport de la charge e des ions à leur

masse m.

E. RUTHERFORD et H. COOKE. - A penetrating radiation from the earth’s

surface (Radiations pénétrantes émanées de la surface du sol).

-

P. 183.

J.-M. LENNAN et E. BURTON. - Some experimente on the electrical conduc- , tivity of atmospheric air (Conductibilité électrique de l’atmosphère). -

P. 184-I92.

Les auteurs ont opéré sur l’air atmosphérique confiné dans des

vases clos formés de différents métaux. Ils ont constaté que cet air était toujours conducteur, et, que sa conductibilité dépendait très largement de la matière du récipient ; les effets observés portent à

conclure que tous les métaux sont, à des degrés différents, des

sources d’une émanation radioactive ; les sels de thorium ne sont donc pas seuls à jouir de cette propriété.

L. HOULLEVIGUE,

(L) J. cle Phys., série, t. 1, p. 522; 1902.

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