HAL Id: jpa-00238096
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Submitted on 1 Jan 1883
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Sur la puissance des appareils dioptriques
Adrien Guébhard
To cite this version:
Adrien Guébhard. Sur la puissance des appareils dioptriques. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1),
pp.266-272. �10.1051/jphystap:018830020026601�. �jpa-00238096�
verres non
trempés,
y ce fait est établi par la concordance des ré- sultats obtenus sur les diverses variétés de verre. Le Tableau ~11 donne les résultats fournis par un même vase de cristaltrempé,
à
cinquante-deux jours
de distance.De 1"ensemble des résultats fournis par ces
recherches,
on peutconclure,
aupoint
de vuepratique,
que les meilleurs isolateurs enverre sont donnés par les verres à base de
plomb,
etqu’il
convien-dra de recuire avec
beaucoup
de soin lespièces qui
constituentces isolateurs.
SUR LA PUISSANCE DES APPAREILS DIOPTRIQUES;
PAR M. ADRIEN GUÉBHARD.
La
hcczssance
d’unappareil diop trique
étantdéfinie, d’après Verdet,
comme la~~rcc)Zdeur
a~l.~~r~e~2 te de Z’ zcl2zté de lon- gueur del’objet,
a pourexpression P # £ H , si l’on appelle
H et
Il deux ordonnées
correspondantes
delainage
et del’objet,
et Dl’abscisse du
plan
del’ilnage
parrapport
aupremier point
nodalde l’oeil
(1 ).
Soient alors 1 l’abscisse de cepoint
nodal etf
celle duFig. 1.
deuxième
plan principal
de l’instrument parrapport
au deuxièmefoyer
de celui-ci : l’abscisse del’image H,
parrapport
à ce mêmefoyer,
seraD -1- ~,
et la formule fondamentale des instruments( 1 ) Plaçant l’oeil à la gauche de la fibure, nous prenons pour direction positive
celle du regard et, pour direction négative, celle de la lumière incidente, confor- mément aux conventions habituelles de la Géométrie.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020026601
267 réduits à leurs
points
cardinaux donne immédiatementd’où
expression qu’il
convient de discuteralgébriquement,
en donnantà 1 et à D toutes les valeurs
compatibles
avec la nature de l’instru-ment et de l’oeil.
Or celui-ci
peut
voir distinctement à toutes les distances com-prises
entre son putîctiimproximum
et son punctuln relnotum;d’autre
part,
il n’estpoint
d’instrumentqui
nepuisse,
soit par des mouvements detotalité,
soit par destirages d’oculaires, pla-
cer
l’image
en telpoint
del’espace qui peut convenir;
en consé-qL1e11CE’~ D n’aura pas d’autres limites que les abscisses m
eu o
des deuxpoints
extrêmes de la visiondistincte,
abscisses queje
sup- pose mesurées àpartir
dupoint
nodal et dont lapremière, géné-
ralement
plus petite
que laseconde,
esttoujours positive,
tandisque,l’autre,
p,peut
devenirnégative
dans le cas d’un oeilhyper- métrope.
Quan t
à 8qui,
dans le sensnégatif,
n’a d’autre limite que le reculpossible
del’oeil,
il se trouvearrêté,
du côtépositif,
par divers ob- stacles matériels : d’unepart,
les tutaminctoculi)’
d’autrepart,
la monture del’appareil.
La cornéeprécède
lepoint
nodal anté-rieur de l’oeil à une distance
qui,
pour tous les yeux(t),
est com-prise
entre~nlnl, 5 i 5
dans l’accommodation laplus forte,
et6~’l’1,95 ~
dans le relâchement
complet
du muscle ciliaire( ‘-’ ).
Deplus,
la
paupière
et les cilsexigent
un espacequ’on peut estime,
aubas mot
( 3~,
à5mm;
mettons, en chiffresronds,
12mm pour laplus petite
distancepossible
dupoint
nodal à l’exli-éinité laplus
voisinede
l’appareil
et, si nousappelons a
l’abscisse de cette extrémité parrapport
au deuxièmefoyer
total del’instrument,
nous sommes cer-tains de ne pas rester en dessous de la vérité en
assignant
la valeur(x - l~~nl"’
comme limitesupérieure
aux variations de b.( 1 ) On sait que les amétropies ne portent ordinairement que sur la longueur
axiale de l’oeil et point sur les constantes de la réfraction.
) H~L~fI~I~LTZ~ Optique physiologique, traduction Javal, p. i5~4.
(~) D’après M. le colonel Goulier, ce serait ¡mm qu’il faudrait compter dans la pratique ordinaire. Les opticiens cnlptent toujours 3mm de la cornée à leurs
verres correcteurs.
Il s’ensuit
que ~
ne pourra admettre des valeurspositives
que si a_ > I2mm.Alors,
mais alorsseulement, s’appliquera
larègle,
ordinairement donnée pour la
loupe
sans distinction de distancesfocales,
de la visée au punctulnproxzmzcn2,
D devant êtrepris
leplus petit
eu ~ leplus grand possible,
c’est-à-dire l’oeil etl’objet rapprochés
du verre autant que lepermet
la netteté de la vision.Cette
règle
est d’ailleursdémentie,
on lesait,
par lapratique
constante des
micrographes
et des astronomesqui,
tous, ont pour habitude de relàcher leplus possible
leur accommodation. C’est que,effectivement,
le cas ne seprésente
presquejamais
dans lapratique :
en dehors des verresfaibles,
dontl’usage,
commeloupes, est justement rejeté
à cause de lafatigue qu’il
donne et du peu de bénéficequ’il rapporte (1 ),
la considération de l’ct~z2ec~zcoculaire,
à défaut de données
numériques qu’il
ne m’a étépossible
de trou-ver ni dans les
livres,
ni chez les constructeurs, prouve que, danstous les instruments
qui
n’ont pas leur deuxièmefoyer principal
virtuel
~(x C o~
comme les oculaires de Galilée et déBrücke],
outrès
rapprochés
de la monture[microscopes
deStanhope,
Wol-]aston,
etc., oculaire de la lunette terrestre(2)@
oculairenégatif d’Huygens,
oculaire à cezZZeto~z de la lunetteastronomique ( 3 ~, etc.]
le
foyer principal tombe,
dans les conditions. ordinaires d’observa-tion,
à unep.etite
distance en avant dupoint
nodal antérieur de l’oeil. Onsait,
eneffet,
que les constructeurs, pour des raisons declarté,
s’efforcenttoujours
de faire coïncider l’anneau de Rams- den avec leplan
de lapupille,
c’est-à-dire avec la face antérieure ducristallin ;
or cet anneau et le deuxièmefoyer principal
totalde
l’appareil
ne sont autre chose que lesimages,
fournies parl’oculaire,
de lapremière
ouverture et du deuxièmefover
de(t) Les verres biconvexes employés pour atténuer la presbyopie ou pour cor-
riger l’hypermétropie agissent toujours de cette façon, c’est-à-dire avec fatigue d’accommodation, leur but étant moins d’augmenter la puissance de la vue que de ramener à des positions normales, soit au punctum remotuln (que nous dési- gnerons, dorénavant, par l’abréviation classique w. r.), soit le w. P. (punctum _proximum ) .
(2 ) Dans les lunettes, l’image fournie par l’objectif faisant fonction d’objet réel
ou virtuel, mais fixe de grandeur et de position, il n’y a :que la puissance de l’oculaire, seule variable, qui puisse intéresser notre discussion.
(3 ) Leçons de Physique de i~l. P. Desains, t. II, p. 283.
269
l’objectif;
la distance mutuelle de cesimages
a pourexpression
---
AFI- _
--uieiiir focale F de l’ocula*re eu des(A L) L
en fonction de lalongueur
focale F de l’oculaire et des distancesA,
L du deuxièmefoyer
del’objectif
aupremier
verrede celui-ci et au
premier foyer
del’oculaire;
il suffit de mettre, à laplace
de ceslettres,
des valeursnumériques réelles,
pour se con- vaincre de lapetitesse
de cette distance parrapport
à laplus petite
.(3--, 3)
de cellesqui peuvent
exister entre lepoint
nodal de ,l’oeil et la face antérieure du cristallin
(1).
Quoi qu’il
ensoit,
l’oeilpeut toujours
donner à ~ des valeursnégatives; écartons,
une fois pour toutes, le casoï~,
Õsurpassant D
en valeur
absolue,
l’oeil a intérêt àregarder
encore à son j~. p., entre lui et lefoyer, l’image,
soit virtuelle et droite(myope
à hesi-cles
biconcaves ),
soit réelle et renversée(chambre noire, projec- tions, ophtalmoscopie
àl’image renversée)
del’objet placé
leplus près possible
del’objectif.
Il est alors certainqu’à
moinsd’h)7per- métropie,
laplus grande puissance
sera donnée par la n10indre ’a- leur absolue de la fractionnégative -.-7
c’est-à-dire que l’ocil de-vra
rapprocher
leplus possible
dufoyer
de l’instrument sonpoint nodal,
etregarder
à son ~ztnctztmrejnottssimzcj~~,
c’est-à-dire sans accommodation(2), l’image
del’objet, placé
leplus
loinpossible
de
l’objectif’.
Pour les valeursnégatives
deD,
c’est-à-dire pour1 hypermétrope
réunissant sur sa rétine des faisceauxdéjà
conver-gents, la
plus petite
valenr absoluecorrespond
encore au ~9. Il., mais il y a bénéfice alors à augmenter~,
c’est-à-dire àéloigner
IOOmm
(’ ) Les valeurs F 3 A = 18, L = 132 donneraient à peine mm; en exagé-
rant dans le sens le plus défavorable et prenant les chiffres presque invraisem- blables A = 30, L = 120, F = 4o, on n’aurait encore que 2mm
~. On
trouve des don-nées numériques intéressantes dans l’Ouvrage de lU. Léopold Dippel, Das ltTihro- skop und seine Anvvendzcngen, t. l, p. 188 et suiv., 2e éd., 1882). La longueur L y
joue un grand rôle sous le nom de longueur réduite du tllhe; elle acquiert, dans les microscopes anglais, des valeurs encore beaucoup plus grandes que dans les nôtres. Il est bon de rcmarquer aussi que la pratique du relèvement de l’oculaire,
en micrographie, a pour effet de rapprocher du verre le deuxième foyer total.
( 2 ) Il est vrai que le relâchement du muscle ciliaire fait reculer de omm,4 le point nodal en arrière de la cornée; mais cette différence minime sur la valeur de o peut toujours être regagnée par un mouvement de totalité de la tète, en supposant qu’on ne la trouve pas négligeable par rapport aux grandes valeurs que prend alors D. La restriction disparait, d’ailleurs, en cas d’hyperrnétropie.
l’oeil autant que ie
permet
lechamp (1). L Ilypennëtrope
a ainsiun double avantage ;
mais,
tantqu’il
nequitte
pasl’oculaire,
lapuissance qu’il peut
atteindre a pourvaleur,
aussi bien que dans le casprécédente
tandis
qu’avec
les instruments àlong
fo~ er(o,.> 1 2mm)
elle esttoujours représentée
parIl suit de là que, si ces derniers
instruments, généralement faibles,
tirent de Faccommodation un surcroît de
puissance
et donnentles meilleurs résultats avec l’oeil dont le ~. p. est le
plus
rappro-ché,
c’est-à-dire le muscle ciliaire leplus fort,
laplus
nombreusecatégorie
des instruments usuels doits’eniplojer,
aucontraire,
àFêtât de repos
complet
del’oeil,
avec un avantage incontestable pourl’hypermétrope
surl’emmétrope
et, àplus
forteraison,
surle myope.
Mais,
enréali té,
y toutes lesexpressions numériques
de lapuis-
sance différeront très peu de
1,;
et il est à remarquer que cette va- leurparticulière peut
être obtenue soitindépendamment
de l’ac-commodation,
en faisant coïncider lepoint
nodal de l’oeil avec lefoyer
de l’instrument(oc
> I2, à=== 0),
soitindépendamment
de laposition (‘’~,
enproduisant l’image
à l’infini(a
i g-,0 === p
.- ce).
Dès
lors,
lavaleur - 1 indépendante
del’oeil,
devient pour l’instru-f
ment une véritable constante
caractéristique
etpermet
decalculer,
en toute
circonstance,
lapuissance
exacte de l’instrument en fonc-( 1 ) Les hypermétropes ont, en effet, la faculté de se servir de la loupe à dis-
tance et sans fatigue, pour obtenir, de l’objet placé un peu au delà du foyer, des images très agrandies. Impossible d’expliquer autrement l’intéressante expié- rience citée par 31. P. Desains (Leçons de Physique, t. II, p. ~~6 ). C’est ainsi
encore qu’un hypermétrope peut apercevoir directement, à distance, et sans ren-
versement le fond de l’oeil d’un myope. Enfin, la lunette de Galilée et sa réduc- tion, la loupe de Brucke, n’ont pas d’autre efl’et que de fournir à l’oeil l’hypermé- tropie nécessaire pour bénéficier de ce mode d’emploi de la loupe objective.
(2) A moins que l’on ne soit myope, mais sans qu’il soit besoin d’ètre, comme
on dit, irafzjtintertt presbyte.
271
Lion des
paramétres
de réfraction del’oeil,
dès que l’on connaît 7ou la
position
du deuxiémefoyer.
Dans le casparticulier
desverres de
besicles,
on a sensiblement/ ==
x, et l’on saitquel
in1-mense service a rendu à la
pratique
dePoculistique
l’introduction de laconstante f
/ ramenée à l’unitémétrique
sous le nom dediopti-ie (1).
Pour desappareils complexes,
il estvrai,
cela pour- rait nepoint suffire,
sans la donnée corrélative de x ;mais, en
sup-posant
que ce futtrop exiger
des constructeursqu/un
doublechiffre,
on trouverait encore, ce mesemble,
dans lepremier
seul,une indication
beaucoup plus précise
etplus
utile que dans la donnée d’un8’/’ossissement
tout à fait conventionnel(2 ) qui
nepeut
servir ni à uncalcul,
ni même à uneappréciation
exacte dela valeur d’un instrument. En tout cas,
exprimer
endioptries
la.Iorce
des instrumentscomposés
comme des -verressimples
serait(‘) Ce nom, proposé par M. Monnoyer et vulgarisé par les travaux de )1. Javal,
a servi de consécration définitive à une réforrne inuiiiement demandée, il y a
vingt-cinq ans, par un opticien bien connu, Soleil fils (Coinptes rendus des
séances de 1’-Académie des Sciences, t, XLY, p. 3~7).
(2) Le grossissement ayant pour expression, tant qu’il s’agit d’objets ou d’images objectives, rapprochables de l’oeil, G
# 1 :
D uy- - P : 1 ,
zu n’est, en somme,que le rapport de la puissance de l’instrument à celle de l’oeil au maximum d’ac- coulmodation, rapport qui, pour un mème effet produit par l’instrument, c’est-
à-dire pour une même valeur de P,paraîtra d’autant plus grand que la puissance
de l’oeil, réduit à ses propres moyens, sera plus faible, c’est-à-dire !3 plus grand.
Ce caractère variable d’estimation personnelle ne peut disparaître de l’expres-
sion du grossissement que si l’on fixe conventionnellement les conditions spé- ciales de mesure de P et de zu; pour la première, on a été conduit de tout temps à prendre
à.;
mais, pour la seconde, les conventions varient comme doit varier for-. cément une notion aussi vague que celle de ce qui est appelé encore trop sou-
vent LA distance (sans épithète ) de vision distincte ou d’extériorisation des
impression. Cette distance, qui ne pourrait être unique pour un oeil donné, que dans le cas de paralysie absolue du muscle ciliaire, et qui, dans tout autre cas, peut prendre toutes les valeurs possibles, depuis -m jusqu’à p, est fixée, en général ( voir l’Ouvrage cité de L. Dippel) à 250mm, ce qui revient à multiplier par 25o la valeur de
f.
rapportée au millimètre. Mais elle varie, sans règle, d’un pays et d’un constructeur à l’autre. Quelle que soit, d’ailleurs, la valeur choisie, il est évident qu’elle ne peut avoir d’autre eflet que celui de coefficient grossissant par rapport àet
la convention gagnerait en simplicité, si ce n’est en sincérité, en égalant unefois pour toutes à l’unité ce facteur arbitraire et llllltlle.
un pas vers l’unification de la
langue scientificlue ;
introduire le pa- raluèlre deposition
du deuxièmefoyer
fournirait une base exacte à tous lescalculs ;
tels son t les veux queilexprime
en forme deconclusion de cette étude.
SUR LA LONGUEUR D’UNE OU DE PLUSIEURS ÉTINCELLES ÉLECTRIQUES D’UN
CONDENSATEUR, ET SUR LES MODIFICATIONS QU’ELLES SUBISSENT PAR L’EFFET DES DIFFÉRENTES RÉSISTANCES INTRODUITES DANS LE CIRCUIT DE LA
DÉCHARGE;
PAR M. E. VILLARI (1).
Les dimensions des étincelles excitatrices des condensateurs
changent
par suite de différentes causes. J’ai étudié les effets pro- duits surelles,
soit par d’autres étincellesqui
seproduisent
dansle
circuit,
soit par des résistances introduites dans ce dernier.Quand
ondécharge
un condensateur en lui faisantproduire
une seule étincelle ou bien
deux,
lalongueur
de lapremière
11’est. pas
égale
à la somme deslongueurs
desdernières,
et cette sommen’a pas
toujours
une valeur constante. Pour étudier comment etpourquoi
ceslongueurs changent, je
me suis servi d’unappareil
formé par une batterie de
bouteilles,
par unspinthéromètre
et parun excitateur dont les bouts étaient en fils de
platine ayant
1 mm de diamètre. Ils faisaientpartie
d’un seul circuit de résistanceinap- préciable
et ils se réunissaient à la batterie au moment où l’on voulait ladécharger.
Onplaçait
l’excitatetir dev an t unappareil photographique qui reproduisait
en vraiegrandeur
lesimages
del’étincelle excitatrice. Les différents conducteurs étaient
réunis,
soit par desvis,
soit à l’aide de filsamalgamés
et de mercurepour éviter toute étincelle
perturbatrice.
Pour exécuter mes
expériences, je disposais
lespinthéromètre
de manière à lui faire
produire
une étincelleconjonctive L,
delongueur différente,
queje
mesurais directement sur le mêmespinthéromètre.
Lalongueur L,
de l’étincelle excitatrice se mo-(1) Extrait par l’auteur d’un Mémoire de la Reale Accacl. dei Li~aeei, 3c série, vol. XIII; 1882. Roma.