Le système des 24 heures et la montre à 2 faces

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suisses 20 ct., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes Ta ligne

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Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

Les C o n s u l a t s s u i s s e s a l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t le j o u r n a l

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 5 1 , rue Leopold Robert, LA CHAUX-OE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

Office central suisse pour les expositions Zurich.

Le quatrième rapport annuel publié en deux langues parait en ce moment. Il traite de plusieurs problèmes économiques du domaine des expositions, signale les fré- quents rapports avec les représentants di- plomatiques et consulaires de la Suisse à l'étranger, ainsi que ceux entretenus avec les institutions similaires d'autres pays, avec le public et avec les organes de la presse.

Le rapport indique les raisons pour les- quelles la Suisse ne participe pas à l'Ex- position Universelle de Gand, ni à l'Expo- sition internationale de la construction à Leipzig. L'attitude nettement favorable des sphères intéressées à l'égard de l E x p o s i - tion internationale du Livre, Leipzig 1914 est mentionnée brièvement et quant à l'Ex- position Universelle de San Francisco, une décision définitive n'était pas encore prise à la fin de l'exercice 1912. Cette exposition, on le sait, est destinée à célébrer l'ouver- ture du Canal de P a n a m a : elle attirera sans doute une grande affluence de toute l'Amérique et des continents voisins et on peut s'attendre à ce qu'elle exercera une influence considérable sur le marché inter- national.

L'Office central des expositions a prêté son concours à plusieurs expositions du pays. 1\ a été amené à donner des rensei- gnements sur 22 entreprises de l'étranger.

Aux terme* de son règlement organique, l'Office est chargé par le Conseil fédéral, entre autres, de la répression des exposi- tions truquées et du trafic des médailles.

Ce chapitre du rapport est relativement le plus long, car la matière est riche et l'Office a eu plusieurs occasions d'intervenir. O n est en droit de s'étonner que ce trafic puisse encore être lucratif au point qu'il occupe en Suisse, spécialement à Zurich, plusieurs agents — tous des étrangers — qui vivent sur un grand pied. En général, les victimes sont de petites gens, des per- sonnages persuadés d'avoir fait une inven- tion merveilleuse et qui se décident à ex- poser pour obtenir une médaille d'or on

une croix d'honneur, distinctions parfaite- ment imméritées pour la plupart. Les in- sensés, qui ne se disent pas que le diplô- me n'a aucune valeur, mais que les traites vont s'acharner sur eux !

Le rapport de l'Office central préconise une revision de la loi fédérale de 1890, afin d'obtenir une arme plus efficace con- tre les agissements des aigrefins d'exposi- tions.

Un chapitre est consacré à la Fédération internationale des Comités permanents d'expositions, à laquelle l'Office est affilié, ainsi qu'à la Conférence internationale di- plomatique. Convoquée à Berlin en octo- bre dernier, cette conférence a durée trois semaines. 17 nations y étaient représentées.

Une convention internationale en est résul- tée réglant une série de questions relatives aux expositions. Elle sera publiée ultérieu- rement lorsque les différents Etats auront d o n n é leur adhésion.

La «Conclusion» relève l'importance des expositions internationales, fait qui n'a pas échappé à nos concurrents des pays étran- gers, et auxquelles ils vouent une attention toujours plus grande. Ce serait une erreur de penser que les expositions ont vécu et qu'on pourrait dès lors s'en désintéresser.

Bien au contraire, il y a quantité de rai- sons pour croire qu'elles constituent de nos jours encore une excellente propagande et réclame commerciale et que, organisées rationnellement, elles pourront à l'avenir rendre de précieux services.

L'Office central suisse pour les exposi- tions adressera son rapport à toute per- sonne qui lui en fera la demande.

La prospérité de l'Angleterre M. Lloyd George, chancelier de l'échi- quier, en présentant son budget à la Cham- bre des communes, a prononcé un dis- cours dont nous détachons les passages suivants :

« L e gouvernement, à la fin de l'année présente, aura amorti 102 millions de livres sterling de la Dette nationale, et économisé ainsi 2.600.000 livres sterling d'intérêts. Il

a réduit de cinq millions de livres sterling les impôts sur les denrées alimentaires • il a réduit de 25 millions de livres sterling les impôts qui frappent les petits revenus, les propriétés rurales, tout en consacrant 12 millions de livres sterling de plus à la défense nationale et 20 millions de livres sterling pour les malades et les vieillards.

« L e commerce britannique se trouve dans une situation des plus brillantes. Le chômage est a son niveau le plus bas, et les bénéfices atteignent le chiffre le plus élevé. Les droits de timbre, qui indiquent mieux que tout autre droit l'état du com- merce, accusent de grandes augmentations de recettes. Le produit de l'impôt sur le revenu des grandes fortunes a augmenté.

Les recettes ont dépassé les prévisions de 1.600.000 livres sterling ; le trafic maritime local et d'outre-mer n'a jamais atteint de pareilles proportions ; rarement l'Angle- terre n'a connu autant de prospérité.»

M. Lloyd George constate que la guerre d'Orient a ralenti les affaires dans toute l'Europe.

« Les industriels et les commerçants, dit-il, se tiennent sur la réserve et atten- dent l'issue des événements. Les capita- listes craignent de risquer leur argent.

Néanmoins le sentiment de confiance va croissant.

« T e n a n t compte de ces faits, je crois pouvoir conclure que l'année qui s'ouvre sera la plus brillante que le commerce an- glais ait jamais vue. »

En résumé, l'Angleterre sort plus pros- père d'une crise redoutable, à tel point que le gouvernement peut réduire les im- pôts.

Le système des 24 heures et la montre à 2 faces

La montre à deux faces n'est pas nouvelle;

mais, à ma connaissance, on n'avait pas cons- truit ces instruments avec nos méthodes actuelles d'industrie.

Quelques amateurs seulement avaient com- mandé des montres à deux faces, pour leurs usa- ges personnels.

En réglant une face sur l'heure française par exemple et les aiguilles de l'autre face sur le

272

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

temps de Chicago, on avait sans autre confusion, les deux temps de ces pays éloignés. Sans faire aucun calcul, il suffit de regarder le cadran voulu pour avoir l'heure de France, ou celle de la ville de Chicago.

L'adoption pour les chemins de fer et peut-être un jour pour tout le monde du système des 24 heures, a fait créer de nombreux types de mon- tres, pour faciliter cet emploi.

J'ai montré plusieurs fois, dans les colonnes du Moniteur, que cette réforme était bien em- barrasante. Le principe est bon, mais l'applica- tion pratique est plus difficile. Si on met 2 tours d'heures, on se trompe pour la lecture, ou on lit de travers, à cause de la petitesse des nombres 13, 14, 15, etc., etc.

Si on prend une montre divisée en 24 heures les intervalles sont si petites, que pour lire l'heure avec précision, il faut mettre l'œil et le nez sur la montre.

Le Moniteur du 10 avril annonce l'apparition d'une montre à 2 faces, avec un côté affecté aux temps de 12, 13, 14, 15 etc., heures pour la pério- de du soir.

Cette 'application esta mon avis des plus heu- reuse ; elle montre nos moyens modernes de fa- brication facilement utilisables à des instruments à la portée de toutes les bourses.

La disposition à 2 tours d'heures est vraiment incommode; une séparation complète des 2 pé- riodes d'heures du matin et d'heures du soir vaut beaucoup mieux.

Il suffira de tourner la montre à partir de mi- di et de la placer ainsi dans le gousset du gilet;

il deviendra impossible de se tromper dans la lecture du temps.

Enfin, en retournant la montre, on lit le temps à l'ancienne mode du matin et du soir; on voit que 18 h. 30 m. valent 6 h. 30 m. du soir.

J'insiste pour faire voir les avantages qu'on tire d'un instrument à 2 faces. L'industrie horlo- gére, n'avait pas encore à ma connaissance, es- sayé d'en faire une application en grand. On vient de le faire, c'est une tentative qui mérite d'être signalée, car elle permettra par des perfec- tionnements, qui se produiront d'arriver à la confection d'instruments variés très utiles aux voyageurs, aux commerçants, qui ont intérêt à connaître les heures des localités éloignées.

La loi du progrès simplifie, mais par des moy- ens généraux.

11 fut un temps où les Parisiens allaient cher- cher l'eau à la Seine; chacun a aujourd'hui l'eau chez lui, grâce aux canalisations.

La montre à deux faces, entrant dans la voie industrielle pourra, à mon sens, rendre de réels services, en utilisant la deuxième face à des usa- ges variés ; [calendrier par exemple, ou temps décimal.

Dans un prochain article, je développerai l'idée d'un instrument à 2 faces, adopté à la mesure du temps d'après le système métrique décimal.

Les inventeurs qui veulent prendre part au Concours international des montres décimales doivent s'adresser à la Chambre syndicale de l'Horlogerie de Paris. J. de Rey-Pailhade.

Douanes américaines

O n mande de New-York que par suite des sentiments qui se manifestent dans le Sénat, le président Wilson a laissé entre- voir qu'il accepterait certaines modifica- tions au bill des tarifs.

Les droits de douane en Turquie On apprend de bonne source que les Turcs, en présence de la situation financière qui leur est faite, ont l'intention de demander aux puis- ' sances de porter les droits de douane perçus sur les marchpndises étrangères importées dans l'empire, de 11 à 1 5 % c'est-à-dire de les majo- rer de 4 °/o. Il est à peu prés certain que les puis- sances accepteront, mais il est vraisemblable que l'on profitera de cette occasion pour exiger quel- ques réformes — et en premier lieu une protec- tion réelle des marques de fabrique.

La loi actuelle, pleine d'obscurités, comme toutes les lois turques, est le plus souvent inter- prétée contre l'étranger. Du reste les Turcs, qui n'ont pas d'industrie, n'ont pas de marques otto- manes à protéger, et les nationalistes ottomans en arrivent à considérer la contrefaçon comme une industrie nationale, un juste tribut prélevé sur l'Europe.

La France est particulièrement intéressée à obtenir sur ce point une réforme du gouverne- ment turc, car sur cent marques imitées, il y en a soixante-quinze françaises, si ce n'est davan- tage. On affirme d'ailleurs que l'Angleterre et l'Italie appuieront toutes deux, avec énergie, les demandes françaises sur ce terrain.

Le commerce extérieur de l'Allemagne Pendant;le premier trimestre de 1913, les im- portations de'l'Allemagne représentent une som- me de M. 2.629 millions, contre M. 2.636 millions pour la même période de 1912. Les exportations se sont élevées à M. 2.444 millions, contre M.

2.066 millions.

Il y a done, à l'importation, une diminution de M- 7.000.000 par rapport à l'année dernière.

A l'exportation on constate une augmentation de M. 378.000.000 sur 1912.

Le commerce extérieur de la Belgique Le commerce extérieur de la Belgique, pour le premier trimestre des années 1913 et 1912, pré- sente les chiffres comparatifs suivants:

Aux importations, en 1913, 1.208.142.000 fr., au lieu de 1.112.751.000 fr. en 1912, soit, pour 1913, une majoration de 95.391.000 fr. ou 8,6 %.

Aux exportations, en 1913, 880.506.000 fr.

889.149.000 fr. en 1912, ce qui donne pour 1913 une diminution de 8.643.000 fr., ou l0/»-

Les droits de douane perçus pendant le pre- mier trimestre de 1913 se sont élevés à 20 mil- lions 064.997, au lieu de 18.475.7.41 fr. en 1912:

il y a donc, pour 1913, augmentation de 1 mil- lion 589,256 fr. ou8,6°/'o.

Les industries en Suisse

La revision de la loi sur les fabriques a donné naissance à des études complexes, à des rapports approfondis. Naturellement la statistique est in- tervenue, sur une vaste échelle, dans ces travaux préparatoires.

Le département de l'industrie a établi le recen- sement des établissements industriels en 1911, et il est intéressant d'en extraire quelques données.

Le nombre des établissements recensés s'éle- vait à mi-juin 1911, date du recensement, à 7,785, en constant progrés depuis 20 ans, puisqu'en 1892 on n'en comptait guère que 2,642. Parallèle- ment, le total des ouvriers est passé dans le mê- me temps de 134,862 à 328,841.

En prenant seulement pour base de comparai- son les années 1901 et 1911, on constate une augmentation de 28 pour cent dans le total des ouvriers ; d'autre part, il n'existait que 73 ouvri- ers de fabrique pour 1,000 habitants en 1901 ; on en a relevé 187 pour 1,000 en 1911 ; et il est à remarquer que c'est dans les cantons où l'in- dustrie est la plus ancienne que les progrès dans ces deux directions ont été ies plus sensibles et qu'ils sont surtout notables dans les cantons de- meurés jusque là principalement agricoles.

Par contre, il ne semble pas que la concentra- tion ait suivi chez nous un mouvement aussi ra- pide que dans les autres pays. D'autre part, en effet, le nombre moyen des ouvriers par établis- sement n'a passé que de 41 en 1901 à 42 en 1911.

Il est vrai que le chiffre s'est assez sensiblement accru dans les établissements de plus de 500 ou- vriers puisqu'il s'est élevé assez rapidement de 711,5 à 962,8. Mais ailleurs on constate que la proportion des établissements occupant moins de 20 ouvriers s'est légèrement élevée dans ces dernières années (57,6 pour cent en 1888 contre 58,7 pour cent en 1911), que celle des fabriques employant de 20 à 500 ouvriers a plutôt fléchi (41,7 en 1888 contre 40,5 en 1911), le recul étant surtout sensible dans la catégorie des établisse- ment occupant de 200 à 500 ouvriers, et qu'enfin la proportion des usines comptant plus de 500 ouvriers est restée à peu près stationnaire (0,7 pour cent en 1888, et 0,8 pour cent en 1911). On ne compte du reste que 58 établissements de cette dernière catégorie, appartenant surtout à l'indus- trie mécanique : le total des ouvriers qui y tra- vaillent ne dépasse pas 55,754 unités. Il n'y a donc là rien d'inquiétant, au point de vue social notamment.

Il faut noter que le chiffre global de la force motrice employée va toujours en augmentant, puisque le nombre des établissements avec mo- teurs est passé de 1,472 en 1892, à 6,595 en 1911, représentant un total brut de 964.400 chevaux- vapeur. Ce sont surtout les progrès de l'utilisa-

tion de la force électrique qui expliquent ce phé- nomène, puisqu'elle est employée aujourd'hui par 7°/» des établissements.

L'enquête a relevé que peu à peu la main- d'œuvre féminine pénètre dans des industries où les hommes seuls trouvaient jadis un emploi.

Ainsi que le nombre des établissements n'emplo- yant pas de femmes est tombé de 12,7 pour cent en 1901 à 7,5 pour cent seulement en 1911. Cela tient sans doute aux progrès réalisés par certai- nes industries et notamment par les industries textiles qui peuvent utiliser avec profil le travail des femmes dans un grand nombre d'emplois.

En fait le personnel féminin représentait, en 1911, 35,8 pour cent de la population ouvrière totale.

Près du quart de ces ouvrières ont un ménage à soigner, ce qui leur donne droit à un repos supplémentaire d'une demi-heure à midi.

Il est à remarquer aussi que, pour ne s'accroî- tre que lentement, le nombre des jeunes gens des deux sexes de moins de dix-hui ans employés dans l'industrie est cependant en progrès marqué dans la dernière période décennale. Toutefois, cela tient principalement à l'extension de la bro- derie à la navette, industrie dans laquelle, pa- raît-il, près du tiers du personnel est composé de jeunes gens.

Enfin, il est curieux de constater quelle place importante occupe dans certaines industries la main-d'œuvre étrangère. La population indigène, en effet, ne s'est pas accrue assez vite pour pou- voir faire face à toutes les exigences de l'indus- trie ainsi développée, et il a fallu faire appel dans d'assez fortes proportions à l'immigration d'ou- vriers français, italiens, allemands ou autrichiens.

Ainsi, en 1895, sur 100 ouvriers occupés dans les fabriques, on comptait 87,3 Suisses, 7,4 Alle- mands, 1,7 Français, 2,6 Italiens et 0,9 Autri- chiens. En 1911, les proportions sont singulière- ment modifiées puisque les ouvriers suisses ne représentent plus que 77,7 pour cent du total et les étrangers 22,3 pour cent ; on compte, en effet, 255,508 Suisses contre 73,333 étrangers. Ainsi le nombre des étrangers employés dans l'indus- trie suisse s'est accru de 33,265 unités au profit surtout de la main-d'œuvre italienne et allemande.

Il y a là un phénomène: grave, qui n'est pas sans préoccuper les meilleurs esprits, qui ne voient pas sans quelque appréhension se produire cet afflux constantj d'éléments empruntés aux pays voisins.

Dans la boîte argent

Le débat pendant entre patrons et ou- vriers de la boite argent semble être à la veille de s'aggraver par suite de l'expira- tion de la convention qui liait les parties.

On affirme d'une source que j ' a i lieu de croire renseignée, que les ouvriers deman- dent une augmentation de 15°/° sur les anciens tarifs et que, si les patrons des Franches-Montagnes ne s'y rallient pas, les patrons des autres régions seraient dispo- sés à donner, dans une certaine mesure, satisfaction aux demandes ouvrières.

Cette situation, si elle se prolonge encore quelque t e m p s , pourrait provoquer un conflit général dans la boîte argent, ou tout au moins entre la Fédération ouvrière et les chefs d'ateliers des Franches-Mon- tagnes, ce qui, dans ce dernier cas, pro- duirait une division entre les patrons de cette région et ceux du centre, ce qui les affaiblirait, comme je vous l'ai signalé dans une précédente lettre.

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Pour concurrencer le platine Un bijoutier de New-Jersey vient de faire bre- veter un alliage de son invention, qu'il prétend être un succédané du platine pur. Cet alliage peut, paraît-il,.remplacer le platine dans maints usages, et son'prix de revient n'est que de trois pour cent de celui du platine. Le mélange fond à six cents degrés Fahrenheit de moins que le platine. Il n'est pas sujet à corrosion et ne se ternit pas sous l'influence de vapeurs atmosphé- riques et des acides. Le nouvel alliage est égale- ment plus résistant à l'usure que l'or.

Liste des dessins et modèles

N

N

D é p ô t s .

' 23243. 31 mars 1913, 7 h. p. — Ouvert. — 1 modèle. — Machine à adoucir les creusures aux cadrans de montres. — E. Mejyer-Tièche, Bien ne (Suisse).

' 22257. 8 avril 1913, 8 h. p. — Ouvert. — 1 modèle. — Mouvement de montre ancre. — Henry & Thiebaud, La Ghaux-de-Fonds (Suis- se). Mandataire : P. Ghopard, La Ghaux-de- Fonds.

N» 22266. 9 avril 1913, 8 h. p. — Ouvert. — 1 modèle. —Dispositif pour montres 24 heures.

— Emile Christen, Le Locle (Suisse).

N° 22267. 10 avril 1913, 7 h. p. — Cacheté. — 2 modèles. — Cartes destinées à l'encartage d'aiguilles de montres. — Société Générale des Fabriques d'Aiguilles « Universo» S.

A., La Chaux-de-Fonds (Suisse).

N° 22276. 12 avril 1913, 8 h. p. — Cacheté. — 13 modèles. — Bijoux-montres. — P a u l Ditis- heim, La Chaux-de-Fonds (Suisse).

N" 22277. 12 avril 1913, 8 h. p. — Cacheté. — 13 modèles. — Bijoux-montre*. — Paul Dilis- heim, La Chaux-de-Fonds (Suisse).

P r o l o n g a t i o n « .

N" 9484. 30 mars 1903, 3 h. p. — (IIIe période 1913/1918). — 5 modèles. — Boite et tiges pour montres boutonnière. — Robert Giger, Bienne (Suisse); enregistrement du 11 avril 1913.

N° 15138. 9 mars 1908, 8 h. p. — (IIe période 1913/1918), — 2 modèles (sur 6). — Calibres de montres en toutes g r a n d e u r s . — Ed. Kum- mer, Beltlach (Suisse); enregistrement du 10 avril 1913.

N° 15197. 23 m a r s 1908, 5 h. p. — (IIe période 1913/1918). — 1 modèle. — Calibre de montres.

— A. Schild, Granges (Suisse). Mandataire:

F. Homberg, B e r n e ; enregistrement du 5 avril 1913.

N° 15417. 22 mai 1908, 7'A h . p. — (IIe période- 1913)1918). — 1 modèle. — Calibres de mon- tres. — Golay Fils & Stahl (S. A.), Genève (Suisse). Mandataire: E. Imer-Schneider, Ge- nève ; enregistrement du 8 avril 1913.

i t i M l l n t i o i i w .

No 9316. 4 février 1903. — 1 modèle. — M o n t r e - pendulette.

No 9323. 7 février 1903. — 34 modèles (sur 35).

— Calibre de montres.

N" 9337. 13 février 1903. — 1 modèle. — Montre- chronographe à balancier visible.

No 9338. 13 février 1903. — 2 dessins. — Cata- logues d'outils et fournitures d'horlogerie N° 15011. 1e r février 1908. — 1458 modèles. —

Fonds de boites de montres décorés, médailles et bijouterie.

N° 15019. 4 février 1908. — 1 dessin. — Fond de montre décoré

N° 15023. — 5 février 1908. 1 modèle. — Etui- support pour mouvement de montre pour automobiles, canots et voitures.

N° 15035. 4 février 1908. — 1 dessin. — Cadran de montre décoré.

N° 15036. 10 février 1908. — 1 modèle. — Baril- let, arbre, grand'moyenne et chaussée pour montre de toute g r a n d e u r .

N° 15042 5 février 1908. — 1 dessin. — Cartes- réclame pour horlogerie.

N° 15047. 11 février 1908. —. 3 modèles. — Ca- drans et aiguille pour montres 24 heures.

N° 15056. — 13 février 1908. 1 modèle. — Boite de montre-bracelet.

N" 15058. 14 février 1908. — 1 modèle. — Cali- bre de montres en toutes g r a n d e u r s , lépine et savonnette.

N° 15060. 13 février 1908. — 1 modèle. — Cabi- net de pendulette en bois plaqué de nacre.

N" 15064. 15 février 1908. — 6 modèles. — Cali- bres de montres, mécanisme de mise à l'heure et mécanisme de mise à l'heure négatif.

N° 15110. 8 février 1908. — 6 modèles. — Mon- tres-bijoux-décorées.

N° 15111. 8 février 1908. — 17 modèles. — Mon- tres-bijoux décorées.

N° 24873. 24 janvier 1913. — 1 modèle. — Cali- bre de montre.

Les lois antijaponaises aux Etats-Unis

Le gouverneur de !a Californie annonce qu'il va promulguer la loi récemment votée, dans le but d'empêcher les Japonais d'acquérir des pro- priétés immobilières, en Californie.

On sait que la population de Californie se plaint de l'infiltration des Japonais, qui font une concurrence désastreuse aux travailleurs cali- forniens, monopolisant certains métiers, comme celui de blanchisseur.

Nouvelles diverses

C o r p s d i p l o m a t i q u e . — Le Conseil fédéral a nommé conseillers de légation MM. Dr Charles Paravicini, secrétaire de première classe à la lé- gation suisse de Londres ; Dr Arthur de P u r y , secrétaire de première classe à la légation de Sl-Petersbourg, et Dr Jean-Albert von Segesser, secrétaire de première classe à la légation de Vienne.

C o n s u l a t s é t r a n g e r s . — Le Conseil fédéral a accordé l'exéquatur au consulat général de Colombie à Genève, M. Jorge Posada Munoz.

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