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Sur le mécanisme de l'effet photovoltaique dans les photopiles au tellurure de cadmium

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00242719

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00242719

Submitted on 1 Jan 1966

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Sur le mécanisme de l’effet photovoltaique dans les photopiles au tellurure de cadmium

J. Bernard, R. Lancon, C. Paparoditis, M. Rodot

To cite this version:

J. Bernard, R. Lancon, C. Paparoditis, M. Rodot. Sur le mécanisme de l’effet photovoltaique dans les

photopiles au tellurure de cadmium. Revue de Physique Appliquée, Société française de physique /

EDP, 1966, 1 (3), pp.211-216. �10.1051/rphysap:0196600103021100�. �jpa-00242719�

(2)

SUR LE MÉCANISME DE L’EFFET PHOTOVOLTAIQUE

DANS LES PHOTOPILES AU TELLURURE DE CADMIUM

Par J. BERNARD, R. LANCON (1), C. PAPARODITIS et M. RODOT.

Laboratoire de Magnétisme et de Physique du Solide, C. N. R. S., Meudon.

Résumé.

2014

On emploie, pour préparer les cellules photoélectriques au CdTe, soit avec des

cristaux uniques, soit avec des couches minces, une méthode qui dérive de celle de Cusano [1].

Elle consiste à déposer une couche de CdTe de grande résistance, puis une couche de tellurure

de cuivre par évaporàtion instantanée.

On indique les variations des propriétés électriques et optiques du tellurure de cuivre en

fonction de la teneur en cuivre, voisine de celle de Cu2Te. On détermine les propriétés élec- triques et photoélectriques des cellules, y compris les caractéristiques de diode et la capacité C

en fonction de la température, la réponse spectrale, ainsi que la variation avec la température

du signal photovoltaïque et des caractéristiques (I, V). De ce que Cu2Te est grandement dégénéré, que C(V) suit une loi en V20141/3, que la barrière atteint de 1 à 1,3 eV, que les niveaux

d’accepteur du cuivre dans CdTe sont responsables du courant inverse produit dans la région

de charge d’espace et que les seuils d’absorption et d’effet photovoltaïque coïncident, on

déduit que l’accord avec l’expérience s’obtient en représentant la cellule par une jonction p-n.

Le meilleur r endement d’un cristal unique employé comme convertisseur solaire a été de 5 %,

et d’autres ellules ont fonctionné comme détecteurs de rayons 03B1 [2].

Abstract.

2014

A method derived from that of Cusano [1] has been used to prepare CdTe

photocells, with either single crystal or thin film CdTe. The method includes depositing a high resistance CdTe film and then a film of copper telluride obtained by flash evaporation.

Electrical and optical properties of copper telluride are given as a function of copper content

near Cu2Te. Electrical and photoelectric properties of the cells have been measured, inclu- ding diode characteristics and capacity C as a function of temperature, spectral response and temperature dependence of the photovoltaic signal and the photovoltaic I

2014

V charac-

teristic. From the facts that Cu2Te is highly degenerate, that C(V) follows a V20141/3 law,

that the barrier is as high as 1.0 to 1.3 eV, that the copper acceptor levels in CdTe are res-

ponsible for inverse current generated in the space-charge region and that the thresholds for absorption and for the photovoltaic effect coincide, it is deduced that a representation

of the cell as a CdTe p-n junction is in agreement with experience. The best efficiency of

the single crystal cell as a solar converter was 5 %, and other cells have been used as 03B1 - par- ticle detectors [2].

PHYSIQUE APPLIQUEE 1, 1966,

1. Propriétés des tellurures de cuivre.

-

Les

premières cellules solaires utilisant CdTe, cons-

truites par Cusano [1] comportaient une couche

mince de tellurure de cuivre CU2-aeTe déposée par

une méthode chimique. Leur rendement très inté-

ressant (5 à 6 %) justifiait de nouvelles études,

notamment sur la nature exacte du tellurure de

cuivre, sur les propriétés électriques de telles cel- lules et sur leur mode de fonctionnement. Nous rendons compte ici de quelques résultats à ce sujet.

Pour pouvoir contrôler la composition x du tel-

lurure de cuivre avec précision, nous avons formé les couches minces de ce matériau par évaporation

du composé. Après essais, l’évaporation flash a été jugée préférable à l’évaporation lente du composé dajà formé ou des é’émrnts. Kieu et H. Redoit [3] i

ont précisé la nature des phases possibles dans le système Cu-Te. La figure 1 rappelle les limites de stabilité des phases a (weissite, hexagonale, oc’ et oc"

désignant des surstructures), 03B2 (rickardite, quadra- (1) Détaché du Centre d’Énergie Nucléaire de Grenoble.

tique) et y (vulcanite, orthorhombique). Nous ren

voyons à une publication récente [4] pour l’exposé

de la microstructure des couches minces de weissite

et de rickardite.

FIG. 1.

-

Système Cu-Tc.

La figure 2 donne le résultat de mesures de résis- tivité pour différentes compositions. La constante

de Hall, inférieure à 10-3 em3/coulomb, n’a pu être mesurée. La transmission et la réflectivité de la weissite sont illustrées par la figure 3 pour 36,1 % Te

et varient peu avec x ; par contre la rickardite, de

couleur violette, est fortement absorbante entre 0,7

et 1 micron, ce qui la rend inutilisable en vue des

photopiles. Le meilleur compromis entre résistivité

et absorption, pour cette dernière application, est de

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:0196600103021100

(3)

212

FIG. 2.

-

Résistivité du tellurure de cuivre pour différentes teneurs atomiques en tellure.

retenir la phase weissite avec une composition proche de 35 % Te, que nous désignerons dans la

suite par « Cu2Te ».

FIG. 3.

-

Transmission et réflectivité du tellurure de cuivre à 36,1 % Te.

Ces résultats indiquent que Cu 2Te possède un gaz de porteurs très dégénéré et a des propriétés sem-

blables à celles d’un métal.

2. Technologie des photopiles.

-

Nous avons

utilisé comme matériau de base, soit des mono-

cristaux de CdTe tirés par la méthode de Bridgman,

soit des couches minces de CdTe préparées par éva-

poration du composé. Les propriétés de ces dernières

ont été décrites antérieurement [5]. Les mono-

cristaux avaient une résistivité, soit due 2 à 10 03A9 cin, soit de 2 000 Q cm (cette dernière pureté étant plus particulièrement destinée à la construction de détec-

teurs de particules, dont des résultats préliminaires

viennent d’être publiés [2]) ; les couches minces avaient une résistivité de 103 à 105 Q cm à l’obscu-

rité, mais les photopiles actuellement construites

ont utilisé les couches les plus résistantes, ce qui

réduit leur rendement. Les monocristaux, comme les couches, étaient du type n, dopés à l’indium.

De la même façon que Cusano [1], une couche

mince de CdTe de haute résistivité (> 1.06 03A9 cm,

qualifiée dans la suite d’ « intrinsèque ») a été inter- posée entre le tellurure de cadmium de base et la couche évaporée de Cu2Te. Cette couche intrinsèque

est obtenue par évaporation de CdTe sur le maté-

riau de base porté à 300 °C. Après évaporation, la préparation se termine par un recuit (éventuel) et

par la constitution des contacts. Le recuit (250 °C, 1/2 heure) est nuisible pour les photopiles, dont il

réduit le courant de court-circuit ; par contre il améliore notablement la caractéristique V(I) des diodes, en diminuant le courant inverse de plusieurs

ordres de grandeur. Pour diminuer la résistance- série des photopiles, une grille de cuivre a été déposée sur Cu2Te. Les contacts sur ce cuivre ont

été réalisés par soudure à l’indium ou par pression.

Les contacts sur la base de CdTe ont été réalisés de deux façons différentes : sur les monocristaux par

évaporation d’indium suivie de soudure, sur les

couches minces par un dépôt d’aluminium effectué

avant la première évaporation de CdTe, ces deux dépôts étant obtenus successivement sans casser le vide (de tels contacts ont été trouvés ohmiques).

3. Caractéristiques électriques des diodes. Dis- cussion.

-

La figure 4 donne quelques résultats typiques de mesures de capacité au pont de Sauty.

Quelles que soient les conditions de préparation,

nous avons toujours trouvé une loi C oc (03A6 + V)-"

avec n

=

0,33 = 0,01. Cette loi est compatible avec

Fie. 4.

-

Capacité en fonction de la tension inverse

pour diverses diodes.

(4)

213

l’hypothèse que la partie active du dispositif est

une jonction p-n progressive ; pour une jonction p-n

abrupte ou une jonction métal-semiconducteur, on

trouve usuellement, au contraire, une loi en (V + V)-1/2. La hauteur de barrière (D déduite de

ces mesures est reportée sur le tableau ci-après,

ainsi que l’épaisseur d de la zone chargée, qui est

déduite de la capacité à polarisation nulle en utili-

sant une constante diélectrique e = 11. La valeur

0 = 1,3 eV pour la diode A sera confirmée ulté-

rieurement ; même si les valeurs de 03A6 portées au

tableau ne sont précises qu’à 0,1 eV près, on observe

une tendance de 0 à décroître quand on passe de CdTe de 5 03A9 cm à CdTe de 2 000 03A9 cm. Cette tendance va dans le sens de la variation du niveau de Fermi, qui est cependant de 0,1 eV seulement entre ces deux cas.

Les caractéristiques de diodes ont été mesurées

à 300 OK et, pour certaines d’entre elles, entre 77

et 300 °K. La meilleure diode obtenue [2] possède

à 77 °K une tension de claquage de près de 25 volts

et un rapport Id/Ii du courant direct au courant

inverse pour 1 volt, supérieur à 1 000 (fig. 5).

FiG. 5.

-

Caractéristique de redressement de la diode 3B.

Les mesures les plus détaillées ont été effectuées

sur la diode A, qui est du type des photopiles ayant le meilleur rendement de conversion. Aux faibles

polarisations, on décèle à 77 OK une conductance de fuite égale à 1,5 X 10-5 (ohm)-’. Aux polari-

sations plus élevées, le courant direct (déduction

faite du courant de fuite) est une fonction expn.

nentielle de la tension (fig. 6) de la forme :

FiG. 6.

-

Caractéristique de la diode A.

(5)

214

On trouve, pour toutes les diodes -=-- 2,5 à 3,0.

Conformément à cette formule, Io varie exponen- tiellement avec 1/T, au voisinage de la température

ambiante (fig. 7a) ; une interprétation numérique

de cette variation conduit à une forme exponentielle

de 7o(T*) dont l’énergie d’activation est de 0,3

à 0,6 eV suivant la tension, ce qui est inférieur à la largeur de bande interdite 0394E du tellurure de cadmium. Aux polarisations directes supérieures

à 2 volts, la loi I(V) exponentielle cède la place à

une loi linéaire, indiquant une résistance-série de

1,7 ohm et une extrapolation de V pour I

=

0 : 0 = 1,3 eV, en accord avec la détermination ci- dessus de la hauteur de barrière. La variation du

courant inverse avec la température est aussi expo- nentielle au voisinage de l’ambiante (fig. 7b) ; la

pente de la droite représentant In Ii en fonction

de 1 jT indique une énergie d’activation de 0,37 eV ;

à plus basse température on trouve une autre pente de log Ii = f(1/T), correspondant à une énergie

d’activation de 0,04 eV.

Ces résultats sont explicables, dans l’ensemble,

si on admet que la partie active de la diode est une jonction p-n de tellurure de cadmium et que le

courant inverse est dû à une génération de porteurs dans la zone de charge d’espace. Cette jonction

serait produite par la diffusion de cuivre dans le tellurure de cadmium de type n de la base : le cuivre diffuse en effet très rapidement dans CdTe,

et une profondeur de diffusion de l’ordre d’une fraction de micron est compatible avec le traitement

effectué. Même les cellules n’ayant pas subi de recuit après le dépôt de CdTe ont été, en fait, forte-

ment chauffées (vers 150 OC) lors de l’évaporation

flash de Cu2Te.

A l’appui de cette hypothèse, on peut noter d’abord le caractère progressif de la jonction, déjà

démonté. De plus la théorie de Marfaing [6] prévoit

dans ce cas, pour des jonctions de grande surface, un coefficient 03B2 compris entre 2 et 4, ce qui s’accorde à

nos résultats. Enfin on peut déduire, des pentes des courbes log Ii = ¡(1fT), les positions des pièges

dans la bande interdite. Utilisant la théorie de San, Noyce et Shockley [7] et choisissant pour CdTe

mn = 0,10 mo et mp

--

0,35 mo, nous trouvons

respectivement 0,35 eV et 0,02 eV pour les deux domaines de température de la figure 7b. Or il est

connu que, dans CdTe, le cuivre fournit un niveau accepteur à 0,34 ± 0,01 eV au-dessus de la bande de valence, et l’indium un niveau donneur à 0,022 eV

au-dessous de la bande de conduction.

Cependant deux difficultés subsistent dans le cadre de cette interprétation. Il a été mentionné que

l’énergie d’activation de I,(T) est dépendante de la tension, et de plus la variation de ij avec V

FiG. 7.

-

Variation avec la température du courant~

direct et du courant inverse de la diode A, pour

différentes tensions.

(6)

FIG. 8.

-

Propriétés de la diode en couches minces XI.

a) Caractéristique de redressement à l’obscurité (300 °K).

-

b) Variation de la capacité.

(ci. fig. 7b) est un peu plus rapide que la loi théo-

rique [8] Ii = ed G ( G = taux de génération) qui implique ici que Ii oc (03A6 + V)1/3 puisque la capa-

cité, inversement proportionnelle à d, varie comme (O + V)-1/3. Ces difficultés peuvent provenir sim- plement du fait que nous avons des jonctions de grande surface qui, par certains aspects, ont des

propriétés s’écartant notablement des jonctions

usuelles [6].

Mentionnons enfin que les propriétés des diodes préparées entièrement en couches minces ne se dis-

tinguent pas notablement de celles utilisant des monocristaux de CdTe (fig. 8).

4. Propriétés photoélectriques.

-

Les courbes des figures 9, 10 et 11 représentent respectivement,

pour la diode A : la réponse spectrale de l’effet photo- voltaïque, la variation avec la température du cou-

rant de court-circuit et de la tension de circuit

ouvert et la caractéristique courant-tension. Compte

tenu de la surface perdue par la grille de cuivre, le

rendement de conversion atteint 5 % dans cette

cellule. Les meilleures cellules en couches minces n’ont encore, par contre, que des rendements infé- rieurs à 1 %, par suite notamment d’une résistance- série trop élevée.

On remarquera d’une part, que l’extrapolation

de Vco(T) vers T

=

0 conduit à une nouvelle esti- mation de 0 (très peu précise) : 1,1 eV, en assez

bon accord avec les déterminations précédentes ;

d’autre part, que la longueur d’onde de coupure de la réponse photovoltaïque coïncide avec celle de l’absorption (ou de la photoconductivité) de CdTe :

ceci constitue une confirmation de notre hypothèse

sur la présence d’une jonction p-n de CdTe ; on n’a

pas ici d’anomalie de la réponse photovoltaïque

telle qu’on en constate dans les photopiles ai, CdS-CU2S.

FiG. 9.

-

Réponse spectrale du courant de courtr

circuit et de la tension de circuit ouvert pour la

diode A.

(7)

216

FIG. 10.

-

Variation avec la température de et V( 0

FIG. 11.

-

Caractéristique courant-tension.

5. Conclusions.

---

Le schéma de la figure 12, qui

rassemble un certain nombre de données déter- minées plus haut, semble compatible avec l’en-

FIG. 12.

semble de nos mesures. Il implique que les cellules

CdTe-Cu2Te soient en fait des jonctions p-n de tel- lurure de cadmium, la région p étant produite par la diffusion du cuivre, et le matériau métallique ou quasi-métallique Cu2Te jouant seulement le rôle d’électrode semi-transparente. On remarque d’ail- leurs que la substitution de Cu à Cu2Te (cellule EC2),

si elle diminue évidemment les performances photo- électriques, ne modifie pas sensiblement les pro-

priétés de la diode.

D’un point de vue pratique, nous retiendrons

qu’un rendement de conversion de 5 % a été atteint

pour des cellules à base monocristalline ; rien n’em- pêche, a priori, qu’une amélioration des procédés technologiques ne conduise nos cellules en couches minces, actuellement encore nettement inférieures,

à s’approcher de ce rendement.

Remerciements.

-

Nous exprimons notre grati-

tude à Mme H. Rodot et M. R. Triboulet pour la fourniture de monocristaux, à M. J. C. Bonnier pour la préparation des couches minces de CdTe et à MM. Y. Marfaing et G. Cohen-Solal, avec qui nous

avons eu d’utiles discussions.

BIBLIOGRAPHIE

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