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IA T M M n O N HORLOGÈRE

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La Chaux-de-Fonds, Mercredi 16 Décembre 1931. Bureau* : Rue de la Serre 58. Quarante-sixième Hnnée. — N° 98.

IA T M M n O N HORLOGÈRE

• S U I S S E -

ORGANE de la CHAMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, des CHAMBRES DE COMMERCE, des BUREAUX DE CONTROLE, des ASSOCIATIONS PATRONALES de INFORMATION H0RL06ÈRE SUISSE et de la FIDUCIAIRE H0RL06ÈRE SUISSE (Fidhor)

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Ce mode de faire est de beaucoup préférable en raison des pertes de change, des frais élevés de recouvrement, de l'impossibilité même de pren- dre remboursement.

JSHBHS^ N o u s i n v i t o n s i n s t a m m e n t n o s

« P H P a b o n n é s à v o u l o i r b i e n p a y e r l e u r a b o n n e m e n t a v a n t l e 3 1 D é c e m - b r e 1 9 3 1 ; p a s s é c e t t e d a t e l e s r e m - b o u r s e m e n t s s e r o n t m i s a l a p o s t e .

L ' a d m i n i s t r a t i o n d u J o u r n a l .

La Suisse dénonce le traite de commerce avec l'Allemagne

Lundi, le Conseil fédéral, après avoir entendu un rapport très détaillé du chef du Département de 1 économie publique, a décidé de dénoncer le traité de commerce avec l'Allemagne du 14 juillet 1926, pour le 4 féyr.er 1932. En même temps, le Conseil fédéral se déclare prêt à reprendre des négociations avec le gouvernement allemand pour régler la si- tuation qui résultera après le 4 février.

L a dénonciation d'un traité de commerce ne veut pas dire nécessairement qu'elle sera suivie d'une guerre de tarifs. O n peut rappeler, à ce propos, qu avant la guerre, nombre de dénonciations se sont produites sans que de grands différends en naissent.

L e Conseil fédéral est cependant décidé à défendre, avec la dernière énergie, les intérêts compromis de notre pays. L'autorité fédérale étant prête à négo- cier, il faut espérer que l'Allemagne fera preuve de bonne volonté et qu'ainsi, une guerre de tarifs, fort regrettable, pourra être évitée. .

Limitation des importations

Dans sa séance de lundi, le Conseil fédéral a ipprouvé un projet d'arrêté d urgence concernant la limitation des importations et le message qui l'ac- compagne. Les Chambres liquideront encore cet objet pendant la présente session.

L e dit arrêté prévoit que le Conseil fédéral peut, en vue de la protection de la production nationale, pour autant que ses conditions sont menacées, et notamment pour lutter contre le chômage, faire dépendre de mesures restrictives ou d'autorisations spéciales, l'importation de marchandises. Il peut accorder certaines autorisations d'importation et fixer une taxe en relation avec le prix et la valeur des marchandises. Mais avant de recourir à de sem- blables mesures, le Conseil fédéral prendra contact avec une commission comprenant des représentants des principales associations économiques. L e Con- seil fédéral devra mettre au courant l'Assemblée fé- dérale, dans chaque prochaines sessions, au sujet des mesures prises, et celle-ci décidera si elles doi- vent rester en vigueur. E n outre, le Conseil fédéral a l'autorisation de prendre des mesures pour la protection des intérêts à l'égard des pays qui intro-

duisent des restrictions dans le domaine des paie- ments; des conventions de courte durée pourront être conclues. Cet arrêté, applicable de suite, restera en vigueur jusqu'au 31 décembre 1932.

On apprend à ce sujet que le Conseil fédéral ne fera usage des pouvoirs conférés par cet arrêté que dans la mesure où ce sera absolument nécessaire.

Cependant, dans la situation où nous nous trouvons, le contingentement des marchandises étrangères ou l'octroi d'autorisations d'importer sont devenus indis- pensables pour la protection de notre économie na-

tionale.

* * *

Dans son message, le Conseil fédéral constate que la Suisse, pourvue d'une monnaie saine, attire comme un aimant les marchandises étrangères, en particulier celles qui proviennent des pays où le coût de la production est moins élevé que chez nous et que les circonstances obligent à développer le plus possible leurs exportations; par des chiffres significatifs, il montre ensuite ce qu'est devenue noire exportation par rapport à l'énorme importation des marchandises étrangères, ces dernières années.

Pour les trois premiers trimestres de 1931, l'excé- dent des importations se chiffre par 625,4 millions de francs contre 572,4 millions pour la période correspondante de 1930 et 474,9 millions pour 1929.

L'accroissement des entrées est particulièrement sen- sible pour un grand nombre d'articles importants, parmi lesquels il faut signaler les bois, meubles, chaussures, textiles, etc. L e recul de nos exporta- tions est général, il affecte toutes les grandes indus- , r e s travaillant pour l'étranger.

A l'étranger, on ne s'est pas borné à relever les

•arifs douaniers, certains Etats ont non seulement restreint les importations, mais les ont parfois for-

mellement interdites. Dans divers pays d'Europe, on a eu également recours de nouveau aux limitations d importation.

En ce qui concerne notre pays, des mesures res- trictives sont réclamées d'urgence par plusieurs branches très importantes. Dans ses considérations sur la situation actuelle, le Conseil fédéral, tout en montrant que la situation économique de notre pays est sérieuse, relève que, dans la vie économique, il arrive souvent que les événements se précipitent;

aussi l'autorité fédérale demande-t-elle aux Cham- bres de se prononcer immédiatement sur l'arrêté.

L e danger d'une importation excessive de produits étrangers est si grand que le Conseil fédéral ne peut plus prendre sur lui de maintenir un pareil état de choses.

A propos du coût de la vie

L'Association des constructeurs de machines et industriels en métallurgie, dans son rapport de 1930, publie sur ce problème des considérations intéres- santes et qui ne font que confirmer ce que nous avons toujours soutenu dans notre journal.

Il compare tout d'abord le coût de l'alimentation en Suisse et celui d'autres pays, en prenant pour base

!e franc-or et l'année 1914.

Cette comparaison est d'autant plus suggestive pour l'alimentation qu'elle représente à elle seule la moitié environ des dépenses totales de ménage d'un ouvrier marié de l'industrie. Les dépenses d'alimentation in- fluencent fortement la valeur or des salaires de cha- que pays et par là même la capacité de concurrence internationale. Le tableau ci-après indique de combien l'indice de l'alimentation des 13 pays suivants était inférieure à l'indice de l'alimentation en, Suisse (moyenne de l'année 1930: 1914 = 100).

Hongrie 47 o/0 Belgique 36 o/o Autriche 34 o/0 France 29 o/0

Pologne 29 o/„ Tchécoslovaquie 28 <y0

Italie 16 o/0 Suède 15 o'„

Danemark 13 o/0 Angleterre 9 °/o Allemagne 9 o/o Pays-Bas 7 o/o Norvège 1 o/o

Le renchérissement général survenu en Suisse peu»

dant la guerre n'a rien à voir avec ce qu'on appelle communément la dépréciation monétaire. La cause de ce renchérissement est principalement imputable à l'importation déficitaire de produits alimentaires indis- pensables, de matières premières, de produits mi- fabriqués, à la pénurie générale de marchandises et, d'autre part, à l'augmentation du coût de production résultant notamment de l'augmentation des frets. La demande intensive de produits pendant la guerre favorisa la marche des affaires, ce qui entraîna une augmentation des prix et des salaires. Nous n'exami- nerons pas ici la question des hauts prix ou réci- proquement. L'intervention de l'Etat dans tous les domaines de l'économie, pendant la guerre et notam- ment l'après-guerre, l'extension des entreprises pu- bliques, les monopoles d'Etat et notre législation éta- tiste, favorisèrent et consolidèrent le renchérissement général.

Lorsque survint la crise d'après-guerre, causée par la baisse mondiale des prix, les producteurs travail- lant pour le marché national, qui s'étaient habitués à vendre h des prix de vente élevés, ne voulurent rien savoir d'un ajustement de leurs prix de vente à la baisse survenue dans les prix de gros. Ils s'ef- forcèrent bien plus de défendre leur position, au

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716 LA F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE N

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98. — 16 décembre 1931.

moyen de conventions de prix et d'autres mesures étatistes telles que restrictions à l'importation et majorations des droits de douane. L'introduction de la semaine de 48 heures ainsi que l'augmentation considérable des impôts et taxes publiques — depuis 1913, le contribuable suisse a dû verser plus de 10 milliards de francs au fisc — contribuèrent à consolider le renchérissement en Suisse.

L'a diminution du renchérissement spécifiquement suisse, demandée par l'industrie d'exportation au cours de l'après-guerre, a été combattue par l'asser- tion que le niveau de vie dans les autres pays concurrents se hausserait au niveau suisse. Un tel ajustement ne s'est toutefois opéré que d'une ma- nière infime. Malgré la stabilisation des monnaies, le niveau de vie, le coût de la vie et les salaire:}

des pays qui nous font concurrence jouissent ainsi, dans le domaine commercial, d'une plus grande liberté de mouvement que nos fabriques. Lorsque des exploitations industrielles réduisent leur production ou ferment leurs portes et transportent leur fabri- cation à l'étranger, cela veut dire qu'en ce qui con- cerne les salaires, le coût de la vie, la durée du travail et les conditions de production en général, ces entreprises ont trouvé ailleurs des allégements qui n'existent pas en Suisse ou plus que d'une ma- nière insuffisante.

Le niveau de vie auquel se sont habituées toutes les classes de notre population est très élevé; il est peut-être le plus élevé du continent européen. Les exigences des consommateurs en matière de produits de "consommation, de logement, et autres besoins culturels en sont la cause. Avant la guerre, la popu- lation suisse vivait mieux que celles des autres pays. D'aucuns prétendent que la Suisse devait con- sidérer la question du niveau de vie du point de vue social et qu'il fallait préférer le maintien du ni- veau de vie actuellement atteint à l'industrialisation de notre pays.

Notre industrie estime qu'un niveau d'existence indépendant de la situation présente du marché mon- dial, tel que celui que l'on constate en Suisse, ne saurait être maintenu indéfiniment. Un ajustement doit survenir et notre politique économique devrait ('préparer cet ajustement inéluctable. Lorsqu'on envi- ' sage le niveau des prix et salaires considérablement

intérieur des nations environnantes et les baisses de prix et de salaires qui s'opèrent dans tous les pays industriels afin de faciliter la réintégration des chô- meurs dans la production, il appert que l'économie suisse se verra obligée d'ajuster au mieux ses prix et salaires, ainsi que son niveau d'existence à la situation du marché international. Le recul de l'ex- portation suisse, qui atteint 337 millions de francs en 1930 par rapport à l'année antérieure, constitue à cet égard un sérieux avertissement.

Etant donné les relations étroites de notre pays avec l'économie mondiale, nous devons nous em- ployer à ajuster notre niveau des prix à celui des pays avec lesquels nous sommes en relations d'af- faires, faute de quoi l'industrie périclitera, au grand dommage des autres branches de l'économie. Il con- vient de réduire, par tous les moyens possibles, les prix de revient des services publics et de l'éco- nomie nationale tout entière et d'augmenter qualitati- vement et quantitativement notre productivité. Nous . devons nous efforcer de produire meilleur marché, si

nous vouions avoir du travail.

L'étalon or en Suisse

n.

Quelles sont les dettes directes et indirectes de la Banque Nationale envers l'étranger? 11 y a une cir- culation de billets de 1417 millions — dont, selon notre propre estimation, 700 millions sont thésaurises à l'étranger, notamment en Europe centrale et en Europe orientale. Ces billets thésaurises à l'étranger sont des créances à vue sur notre pays. Espérons qu'une partie au moins sera dépensée chez nou-3 pour des buts touristiques quand les conditions serom redevenues normales. D'autre part, les engagements à vue de la Banque Nationale Suisse envers des banques suisses s'élevaient la semaine passée, à 930 millions dont, toujours selon notre estimation, 801 millions environ correspondent à des engagements à vue de nos grandes banques envers l'étranger.

Dans ces conditions, la Banque Nationale Su:sse doit directement ou indirectement à l'étranger l,50i) mil lions. Rappelons que la couverture-or est de 2205 millions. Les engagements vis-à-vis de l'étranger sont donc couverts à raison de 167 <y0. Et pour ses engagements envers la vie économique suisse, la Banque Nationale a donc disponibles 705 millions d'or métallique. Quelle est la dette de la Banque Nationale Suisse envers la vfc économique de notre

pays? Le montant des billets circulant chez nous et les engagements à vue correspondant- à des dettes intérieures des banques forment un total de 937 millions, auxquels il faut opposer les 124 millions de créances de la Banque Nationale sur la vif économique intérieure (escompte et avances). La dette nette de la Banque Nationale envers l'économie na- tionale intérieure s'élève donc à 813 millions et est couverte par 705 millions d'or effectif. La cou- verture des engagements intérieurs de la Banque Nationale est donc de 87 ofo, après avoir réservé une couverture intégrale de 100 o/o pour les engagements vis-à-vis de l'étranger. Or, selon l'expérience et la loi, les engagements intérieurs d'une banque d'émis- sion doivent être couverts par environ 40 o/o. On voit donc qu'il y a encore une marge de 960 mil- lions avant que le franc suisse soit menacé. Or, sup- posons que ni la Confédération, ni les cantons et ni les communes ne possèdent aucune réserve finan- cière quelconque et que l'année 1932 soit si mauvaise que les déficits des comptes publics soient égaux à ceux de 1921, c'est-à-dire 120 millions; supposons que la Confédération, les cantons et les communes ne trouvent aucun autre moyen que l'escompte de leurs rescriptions auprès de la Banque Nationale pour couvrir ces déficits de 1932; eh bien! même dans ce cas, cela durerait huit ans avant que la couverture-or actuelle du franc suisse devienne insuffisante pour couvrir les engagements internes de la Banque Natio- nale — la couverture intégrale des engagements extérieurs étant toujours assurée. Nous le répétons, toutes ces suppositions sont fausses; car la grande majorité de nos communes, de nos cantons, et même de la Confédération ont des réserves liquides suf- fisantes pour ne pas être obligés de couvrir leurs déficits de 1932 au moyen de crédits bancaires.

D'autre part, nos banques privées et cantonales sont suffisamment fortes pour ne pas être obligées de rées- compter ces rescriptions cantonales, communales et fédérales qu'on émettrait éventuellement auprès de la Banque Nationale. Enfin, n'oublions pas que tous nos cantons et toutes nos communes — et la Con- fédération naturellement aussi — jouissent d'un tel crédit d'émission qu'iis pourraient facilement couvrii des déficits en renonçant temporairement à réduire leurs dettes obligataires. Notre public souscrirait même volontiers les emprunts cantonaux et munici- paux que des déficits budgétaires rendraient néces- saires. Pour toutes ces raisons, supposer que des déficits de nos comptes publics seraient intégralement à la charge de la Banque Nationale est une exa- gération ultrapessimiste. Mais cette supposition était utile pour faire voir que, même dans des conditions aussi défavorables, il faudrait huit ans avant que la valeur du franc suisse puisse être ébranlée. Or, il est pour ainsi dire certain que la crise ne durera pas huit ans; elle ne durera même pas trois ans.

Telles sont les raisons pour lesquelles nous avons confiance dans le franc suisse même dans le cas où il y aurait quelque part, à Berne ou à Zurich, des éléments peu clairvoyants qui voudraient le saper;

ils n'atteindraient pas leur but.

Dans le Jura bernois horloger

ii.

Pour donner un aperçu exact de la situation dans es régions jurassiennes les plus durement frappées par la crise, y compris celle de Bienne, le rapport utilise diverses méthodes de calcul ingénieux.

Par exemple, pour donner un aperçu fidèle du chômage, il exprime les résultats des recensements effectués le 3 janvier, le 3 mars et les 25 avril 1931 à l'aide d'un dénominateur commun, « l'unité masculine de chômage total », en multipliant le nom- bre des ouvriers au chômage intégral par 1, celui des ouvrières par 0,7, celui des ouvriers au chô- mage partiel par 0,6 et celui des ouvrières d t même catégorie par 0,4. L'addition de tous ces produits énonce l'état du chômage en « unités mas- culines de chômage total ».

D'un autre côté, pour déterminer les charges des communes, il établit la relation et enfin il fait inter- venir concurremment ces deux facteurs pour le clas- sement des communes quant à leurs charges de chômage. Et cela a lieu en multipliant par 3 le nombre des chômeurs — par million de capacité contributive — et en additionnant le chiffre ainsi obtenu à celui des chômeurs sur 100 personnes exerçant une activité professionnelle. Autrement dit, on prend comme élément d'évaluation le o/o de chômeurs, augmenté du nombre de ces derniers par tranche de 3 millions de force contributive nette.

Avec cette méthode, on trouve pour le Jura — Bienne compris — sur la base des 3 pointages men- tionnés plus haut et pour 100 personnes exerçant

une activité professionnelle selon le recensement de 1920, une moyenne de 9,55 et, par tranche de 3 millions de capacité contributive nette un chiffre de 10,44 «unités masculines de chômage intégral».

Le facteur des « charges » est ainsi de 19,99, soit, arrondi, de 20 et les communes qui ont un facteur supérieur à 20 doivent être réputées particulièrement frappées par la crise du travail.

Des 148 communes de la région entrant en ligne de compte

34 accusent un facteur de 0 31 » » » » 0,1 à 10 17 » » » » 10,1 à 20 17 » » » » 20,1 à 30 18 » » » » 30,1 à 40 8 » » » » 40,1 à 50 23 » » supérieur à 50

En se basant sur ces méthodes, le facteur par 100 travailleurs recensés en 1929 ajouté à celui calculé par 3 millions de capacité productive serait pour Bienne de 17,3, St-Imier de 22,9, Sonceboz de 21,8.

Tramelan-dessus 51,6, Tramelan-dessous 61,7, Delé- tnont 5,0, Les Bois 12,1, Saignelégier 24,4, Moutier 34,2, Tavannes 42,7, Neuveville 6,8, Porrentruy 5,7.

Le facteur le plus élevé est celui de la Chaux par 165,3.

Le facteur déterminé pour chaque commune est propre à fixer le degré des charges par chômeur.

Pour obtenir le chiffre absolu de ces charges, il suffit de combiner ce facteur avec le nombre total des chômeurs de l'endroit, calculé selon la méthode indiquée plus haut. On obtient ainsi, par exemple, les charges suivantes:

Bienne. 1764 unités masculines de chômage total, mul- tiplié par 17,3 = 30,517,2 ou, en chiffres ronds 30,500.

Tramelan-dessus. 404 X 51,6 = 20,846.4 ou 20,800.

St-lmier. 4 1 7 x 2 2 , 9 = 9,549.3 ou 9,500.

Absolument, donc, la commune de Tramelan-des- sus, notablement plus petite, a plus besoin d'aide que St-Imier, et cela dans une mesure qui ne le cède pas de beaucoup, à celle qu'il faut à Bienne.

C'est dans ce sens qu'il faut entendre et interpréter le facteur des charges de chômage.

** *

Après cette revue sur la situation économique du Jura Bernois, le rapport examine les mesures actuelles qui sont prises pour remédier au chômage; il cite en premier lieu la création de possibilités de travail.

La direction cantonale des Travaux publics a entre- pris et mis à exécution des travaux pour une somme de près de 3 millions de francs, celle de l'Agricul- ture pour près de 4 millions et celle des Forêts pour fr. 400,000, soit au total 7 i/2 millions de fr., travaux pour lesquels 169 chômeurs sont occupés. Les Che- mins de fer fédéraux occupent de leur côté 334 chômeurs, l'Office cantonal du Travail à Liestal pour travaux privés 84, au total 587 chômeurs.

En outre, des subventions ont été accordées aux communes, en vue de favoriser les travaux de chô- mage entrepris par elles.

Tout d'abord, un crédit extraordinaire de fr. 100 mille voté dans ce but le 24 février 1931 par le Conseil Exécutif, la même somme fut accordée par le Conseil fédéral. Grâce à ces subsides, 41 travaux de chômage furent entrepris avec devis total de 3 millions de fr.

La crise continuant à sévir, une seconde action de secours débutant actuellement est intervenue. 43 communes ont annoncé un total de 151 travaux nécessitant une dépense totale de fr. 5,289,000 dont fr. 2,100,000 pour les salaires.

Calculé sur les salaires, les subventions extra- ordinaires du Canton devront se monter à fr. 700 mille, environ, mais peut être réduite à fr. 350,000, le Conseil fédéral mettant une même somme à dispo- sition.

** *

En ce qui a trait à l'assurance-chômage, les se- cours ont dû être prolongés et portés à titre provi- soire à 180 jours. La subvention cantonale aux caisses d'assurance-chômage est élevée de 10 à 20 o/o avec effet pendant l'année 1931 et, enfin, des secours ont été accordés aux chômeurs pendant les périodes d'attente résultant des dispositions de l'article 2, chif- fre III, lettre e) de la Loi fédérale du 17 octobre 1924.

Les subventions fédérales votées dans ce but s'élè- vent mensuellement à fr. 30,000 pour la période de septembre à décembre et, de son côté, le canton a voté une subvention de 120,000 frs. Pendant ces 4 mois, le montant des secours d'attente s'élève à en- viron 288,000 à répartir par parts égales entre la Confédération, les communes et les cantons.

** *

En terminant son rapport, le Conseil Exécutif formule certaines propositions quant aux nouvelles

(3)

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N° 98. — 16 décembre 1931 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E 717

mesures à prendre et quant à la continuation des mesures appliquées jusqu'ici.

Tout d'abord, une modification partielle et pro- visoire de la réglementation de l'assurance-chômage est inévitable et, dès le 1er janvier 1932, les sub- ventions du canton et des communes seront limi- tées à 150 joirrs par an, mais avec effet restreint à la durée de la crise.

Pour le reste de l'année, il sera versé des secours de crise aux chômeurs se trouvant dans le besoin.

Les taux des secours de crise seront fixés sur la base des conditions locales d'existence et de la situation personnelle des chômeurs en prenant aussi en considération les taux de l'assurance-chômage.

Le rapport envisage ensuite la réadaptation profes- sionnelle dies chômeurs. La Suisse, ayant au point de vue de la main-d'œuvre toute une série de professions déficitaires, il est indiqué de chercher à faire passer dans ces professions les sans travail des industries en chômage et de leur faire acquérir, au moyen de cours spéciaux, les connaissances et capacités nécessaires pour qu'ils puisssnt remplacer les ouvriers étrangers.

Un projet d'arrêté fédéral, sur lequel les Cham- bres se prononceront dans la session de décembre, autorisera le Conseil fédéral à accorder, dans ce but, des subventions aux cantons.

Le canton de Berne a grand intérêt à encourager;

tous les efforts tendant à orienter vers de nouvelles professions certaines catégories de chômeurs. Mais avant de pouvoir prendre aucune mesure en cette matière, il lui faut attendre que les prescriptions du Conseil fédéral soient édictées.

Enfin, le Conseil Exécutif demeure d'avis, quant aux mesures de prévoyance en faveur des chômeurs, qu'il convient en premier lieu de créer des occa- sions de travail, soit en faisant exécuter par le canton, en période de crise, des travaux de chômage dans les limites des crédits accordés ou en encou- rageant les travaux de chômage entrepris par les communes.

Aussi cette autorité ne manquera-t-elle pas de faire étudier immédiatement par les directions cantonales de nouveaux projets de travaux de divers genres ainsi que les programmes financiers y relatifs, de manière que la seconde action extraordinaire de subventionnement soit suivie d'une troisième grande campagne de travaux de l'Etat.

Les causes de la crise

On nous écrit:

On parle tant de la crise actuelle, qu'en notre qualité d'ancienne maison, nous nous permettons de donner notre appréciation sur la question. •

Premièrement, d'après notre opinion, la semaine de 48 heures, ou plutôt la fixation d'une limite rigide pour la durée du travail, sans tenir compte des possibilités de travail, est une des causes de la crise actuelle.

Nous aimerions en donner ici quelques preuves:

La population paysanne abandonne la campagne pour la ville; ce mouvement d'immigration est si considérable qu'il en résulte une recrudescence d'ac- tivité dans le bâtiment qui, cependant est entravée aussitôt qu'une crise se fait sentir.

D'autre part, le travail à domicile s'est déve- loppé pour certaines industries, l'horlogerie et la bijouterie en particulier,, ce qui représente un réel danger pour bien des entreprises soumises à la loi sur les fabriques.

Pendant les bonnes années, de nouvelles maisons, qu'on pourrait qualifier d'éphémères, surgissent de toutes parts, comme les champignons après la pluie.

Malgré leur existence passagère, elles n'en causent pas moins de graves dommages aux anciennes mai- sons. Dès que les affaires se ralentissent, elles n'hé- sitent pas à liquider à vil prix leurs marchandises pour se procurer coûte que coûte de l'argent et pouvoir végéter un peu plus longtemps. Ajoutons aussi que l'abus des arrangements joue dans ce do- maine son rôle néfaste.

11 devrait, par conséquent, être admis que dans les périodes où les affaires marchent, une augmentation correspondante des heures de travail puisse être autorisée. On éviterait de cette façon des agrandis- sements inutiles de fabriques, la création de nou- velles entreprises et la dépopulation des campagnes, car la prolongation de la durée du travail permettrait alors de couvrir le besoin momentané de main- d'œuvre supplémentaire. ,

L'ouvrier ainsi que les caisses d'assurance-chô- mage profiteraient en outre de cette source de gain supplémentaire. Les capitaux ainsi versés trouve- raient alors leur emploi en temps de crise, où les heures de travail doivent être réduites en proportion.

Il est évident que les crises ne peuvent être évi- tées complètement, mais on pourrait certainement faire en sorte qu'elles n'aient pas les conséquences déplorables que nous devons subir aujourd'hui.

Chronique des Associations patronales

A s s o c i a t i o n c a n t o n a l e b e r n o i s e d e s b r a n c h e s a n n e x e s d e l ' h o r l o g e r i e .

L'Assemblée générale de cette Association, à la- quelle assistaient plus de 120 membres, s'est tenue le vendredi 11 décembre 1931, dans la grande salle de l'Hôtel Elite à Bienne, sous la présidence de Monsieur Charles Monfrini, industriel à Neuveville.

L'ordre du jour statutaire, comportant notamment un rapport de M. le Dr. Clerc, secrétaire général et l'adoption du budget pour 1932 fut rapidement liquidé.

L'entrée en vigueur effective du nouveau régime conventionnel qui a subi tant de vicissitudes jusqu'à ce jour fut l'objet d'une intéressante discussion.

En particulier, le Comité fut assailli de questions en ce qui concerne les lenteurs qui se sont produites dans la mise en état de fonctionnement de la Super- Holding, votée avec l'appui des pouvoirs publics et des milieux bancaires.

Les Groupements professionnels du dorage-nicke- lage et des polissages d'acier se sont vivement plaints de la situation qui leur est faite depuis l'entrée en vigueur du nouveau régime conventionnel qui les ignore totalement. — Un rapport circonstancié exposa .es différentes démarches qui ont déjà eu lieu, aussi bien auprès des organes compétents de la F. H.

que des pouvoirs publics et l'assemblée fit confiance à ses dirigeants pour la continuation de l'action en ireprise.

La procédure adoptée par la Caisse Nationale d'As surance en cas d'accidents pour percevoir des primes supplémentaires pour les accidents non profession- nels, en raison de l'augmentation du chômage, fut vivement critiquée. Le taux de cette prime supplé- mentaire est apparu réellement exagéré et suscep- tible d'être réduit au moins de moitié..

D'un autre côté, la décision prise par la Caisse Nationale de ne plus couvrir les risques encourus lors de l'emploi de véhicules à moteurs fut vive- ment condamnée.

L'Assemblée décida de joindre sa protestation à celle qu'a déjà votée l'Association Cantonale Ber- noise des Fabricants d'Horlogerie et manifesta son intention de provoquer une intervention aux Cham bres fédérales si la Direction de Lucerne ne donne suite aux justes revendications qui ont été présen- tées dans l'intérêt même du personnel, déjà durement éprouvé par la crise.

La mauvaise marche des affaires amena la votation en fin de séance d'une résolution recommandant la fermeture des fabriques et ateliers appartenant aux membres de l'Association pour la période du mer- credi 23 décembre au soir jusqu'au lundi 4 janvier prochain.

Une décision semblable a déjà été prise il y a 8 jours par les fabricants d'horlogerie bernois et il ressort de celle qui vient d'être arrêtée, que, pratiquement, la crise supprimera complètement l'ac- tivité des usines et ateliers du Jura Bernois pour une dizaine de jours au moins.

A la suite de l'assemblée générale, trois Groupe- ments professionnels importants de l'Ubah, égale- ment rattachés à l'Association Cantonale Bernoise des Branches Annexes de l'Horlogerie, ont tenu leur assemblée plénière simultanément pour liquider des questions les concernant.

G r o u p e m e n t s u i s s e

d e s D o r e u r s N i c k e l e u r s - A r g e n t e u r s d e m o u v e - m e n t s e t r o u e s d ' h o r l o g e r i e .

Ce Groupement, affilié à l'Ubah et réunissant plus de 70 maisons de toute la région horlogère a tenu son assemblée générale vendredi 11 courant à l'Hô- tel Elite à Bienne.

Il a décidé de décréter obligatoire la fermeture de tous les établissements de ses membres, en raison de la crise, pour la période du mercredi 23 décembre au soir au lundi 4 janvier 1932.

Cette décision est portée à la connaissance de MM. les Fabricants d'horlogerie en les priant de bien vouloir prendre leurs dispositions en conséquence.

Chronique financière et fiscale

venant d'un de leurs clients autrichiens porte la men- tion «Autorisation d'exportation, procès-verbal No...»

afin que la banque chargée plus tard de l'encaisse- ment soit en mesure d'indiquer ce numéro. A défaut de ces mentions, les autorisations pourraient subir des retards et l'on courrait le risque de voir périmer les délais de protêt et de perdre, de ce fait, ses droits de recours en matière de change.

B u l g a r i e . — C o m m e r c e d e s d e v i s e s . Le « Journal officiel bulgare » du 2 décembre pu- blie qu'à partir de ce jour, la Banque nationale bulgare n'accorde plus de devises pour marchan- dises importées avant l'expiration d'un délai de trois mois depuis que l'importation a eu lieu (date de la déclaration douanière).

E s t h o n i e . — C o m m e r c e d e s d e v i s e s . La F. O. S. C. du 14 courant publie l'ordonnance sur le commerce des devises, du 18 novembre der- nier, que le parlement esthonien a voté, en vue de réglementer Le commerce des moyens de paiement et des métaux précieux avec l'étranger.

F i n l a n d e . — C o m m e r c e d e s d e v i s e s . Jusqu'ici existait en Finlande un système de « li- bre réglementation des devises», c'est-^-dire que les Banques sur la base d'une entente librement con- ies Banques, sur la base d'une entente librement con- viées des intérêts des dettes publiques et privées, ainsi que pour les importations de produits de pre- mière nécessité. Pendant cette période les réserves étaient si minimes qu'elles suffisaient à peine à cou- vrir partiellement les besoins des devises de l'Etat, tandis que le trafic commercial couvrait ses besoins complètement en se servant à des « bourses noires ».

Suivant les cours purement nominaux des banques — la banque nationale finlandaise ne cote pas de cours officiels — le dollar est monté jusqu'à 45 °/o au- dessus de la parité pendant ces derniers jours, tan- dis que la prime dans la « bourse noire » atteignait jusqu'à 90 o/o. Le commerce des devises est main- tenant de nouveau libre en ce sens que les banques privées ont mis à la disposition du commerce, les devises nécessaires, aux cours fixés par elles, sur la base des demandes rentrées. On vit alors les cours ainsi cotés, bondir au niveau de ceux pratiqués à la « bourse noire », tandis que la demande était loin de pouvoir être satisfaite. A côté de ces cours effec- tifs, on continuera à coter les cours nominaux comme jusqu'ici. Les banques privées sont, en effet, dans l'obligation de délivrer à la banque nationale, à ce cours réduit, le dixième des devises rentrées. Cette mesure a été envisagée comme étant de toute néces- sité, car des achats de devises faits par l'Etat aux cours effectifs bouleverseraient complètement ses fi- nances. La balance commerciale étant fortement ac- tive — de janvier à novembre 1931 elle présente un solde actif de 805,4 millions de marks finlandais, contre 192 millions pour l'année précédente — on s'attend à un allégement sur le marché des devises.

I (Nouvelle Gazette de Zurich).

N o r v è g e . — C o m m e r c e d e s d e v i s e s . Les importateurs norvégiens sont invités par les banques du pays à annoncer au préalable leurs ber soins en devises étrangères, celles-ci ne pouvant être fournies qu'avec des restrictions et sous certaines conditions. Il ne sera pas délivré de devises pour des importations forcées.

Informations

A u t r i c h e . — R é g i m e d e s d e v i s e s . Les commerçants suisses .sont rendus attentifs au

fait que chaque lettre de ' change ou chèque pro-1 suivants

Avis.

La maison

AjB. O. Schnabel, à Stockholm,

est en faillite. Les créanciers sont priés de nous envoyer le relevé de leur compte en quatre exem- plaires, afin que nous puissions produire dans les délais.

— On est prié de se renseigner avant d'entrer en relations avec:

KABESO O.m.b.H., Solingen-Merscheid.

— Nous mettons en garde contre / . E. Apter, Casablanca.

L'Information Horlogère Suisse La Chaux-de-Fonds. Rue Leopold Robert 42.

R e n s e i g n e m e n t s c o n f i d e n t i e l s . Les intéressés peuvent obtenir à la Chambre suisse de l'horlogerie, Serre 58, La Chaux-de-Fonds, des renseignements confidentiels provenant de l'Office suisse d'expansion commerciale, Zurich et Lausanne, concernant une étude sur la situation financière et perspectives d'avenir (en français) pour les pays

.

(4)

718 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE N 98. - 16 décembre 1931

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iOuhalt8 d e frlouveiI«A.n

Comme chaque année, „La Fédération Horlogère Suisse"

publiera dans son dernier numéro de l'année, une série d ' a n n o n c e s - s o u h a i t s d e N o u v e l - A n . dont ci-contre un modèle de grandeur et de texte (celui-ci est variable à vo- lonté). Grâce à cette publicité, étendue et peu coûteuse, vous pouvez supprimer l'envoi des cartes habituelles de bonne année. De plus, vous atteignez chacun et vous évitez de froisser des susceptibilités par suite d'oubli dans l'envoi des cartes.

Le dernier délai pour l'acceptation des annonces expirant le 20 décembre, nous engageons les clients à nous communiquer immédiatement le texte à publier en spécifiant bien le nombre

de cases désirées.

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A La Maison X-

remercie son honorable clientèle, etc.

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adresse à ses nombreuse clients ses meilleurs vœu*, etc.

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N° 98. — 16 décembre 1931.

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L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E

... . •

719

No. 32. Argentine No. 33. Chili No. 34. Paraguay No. 35. Uruguay.

Prière de joindre une enveloppe affranchie pour la réponse.

Douanes

U . S. A . — M o n t r e s s a n s a i g u i l l e s e t h e u r e s s a u t a n t e s .

Dans notre numéro du 21 octobre 1931, nous informions nos lecteurs que les douanes américaines avaient décidé que les montres avec cadrans tour- nants, mais sans aiguilles, l'heure étant indiquée à travers des ouvertures de la boîte, devaient être marquées conformément aux dispositions du para- graphe 367 du tarif de 1930, si la partie extérieure de la boîte était marquée et si l'un des cadrans est marqué avec le nom du pays de fabrication, de façon qu'il puisse être vu à chaque révolution du cadran.

Or, sur les démarches immédiatement entreprises par la Chambre suisse de l'horlogerie, les douanes américaines accordèrent un délai de 60 jours pour l'application de cette mesure, qui entrera donc en vigueur le 20 décembre courant.

Registre du commerce

Ouverture de faillite:

1 12/31. — Burkhardt Adolf, fabricant d'horlogerie, Stlzach.

Liquidation sommaire: art. 231 LP.

D^lai 'pour productions: 31 décembre 1931.

C O T E S

15 décembre 1931 Métaux précieux

Argent fin en grenailles

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» 3575.— »

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Pour platine fourni par les clients, majora tion de fr. 1.75 dès le 8 juin 1931.

Boites or et bijouterie, Cote N° 3 en vigueur dès le 7 juin 1929.

C o m p t a n t A t e r m e London 10 déc 11 dec. 10 dec. 11 dec.

(Ces prix s'entendent par conne anglaise de 1016 kg.

en £ stg.).

Aluminium inter. 95 95 — -

» export. 95 95 — — Antimoine 4Î-42.10/ «-42.10/ - - Cuivre 37.11/3 37.10/7!/j 3S.3/1' , 38.3/l'/j

» settl. price 37.10/ 3/. 10/ — —

» électrolytiq. 43-47 44-46 - -

» best, selected 39-40.5/ 38.15/-40 — —

» wire bars 47 46 — Etain anglais 138.10-140.10 138.15-140.15 —

Escompte et change.

Suisse: Taux d'escompte 2 %

» » avance s/nantissement 3 % Parité Esc. Demande

en francs suisses °/o

Offre

» étranger

» settl. price

» Straits Nickel intérieur

» exportation Plomb anglais

> étranger

» settl. price Zinc

» settl. price

136.16/3 136.15/

139.15/

S50 37c/d 16 10/

15 15

14.1/3 14 i 6

137.Î 6 137 140 Ï50 37 c d 16.10/

14.18/9 14.17/6 14.3,9 14.5/

139.16/3 140.8/6

15.5/ 15.3/9 14.11/3 14.139

C o m p t a n t

Paris 9 déc 10 déc. H déc. 12 déc.

/Ces prix s'entendent en francs français par kg. 1000/1000)

Nitrate d'argent Argent

Or Platine

» iridié 25 <y0

Iridium

206 293 17.500 32 OuO 45.250 75.000

206 295 17.500 32.000 45.250 75.000

206 295 17.500 32 000 45.250 75 000 (en francs français par gramme).

Chlorure de platine Platinite

Chlorure d'or .

14,20 16,50 9,25

14,20 16,50 9,25

14,20 16,50 9,25

206 295 17.500 32 000 45.250 75.000 14,20 16,50 9,25 London 9 déc. 10 déc. 11 déc. 12 déc.

(Ces prix s'entendent par once troy (31 gr. 103) 1000/1000).

Or (shill.) 126/6 Palladium (Lstg.) 43y 5 Platine çshlll.) 233/6

125 3 43/,-5

233/6 125/

5V2

233/6

122/9 5V2

233/6 (par once standard 925/1000 en pence).

Argent en barres 19.3,4 | 20.3,16 | 20.7/16 | 20.1/16 New-York 9 déc. 10 déc. 11 déc. H déc.

(Ces prix s'entendent en cents par once de 31 gr. 103).

Argent en barres 29.1/8 | 29.5/8 | 30.1,8 | 29.3/4 France Or. Bretagne U. S. A.

Canada Belgique Italie Espagne Portugal Hollande Indes néerl.

Allemagne Dantzig Autriche Hongrie Tchécoslov.

Esthonie Lettonie Lithuanie Russie Suède Norvège Danemark Finlande Pologne Yougoslavie Albanie Orèce Bulgarie Roumanie Turquie Egypte Afrique Sud Australie Argentine Brésil Chili Uruguay Colombie Pérou Equateur Bolivie

Venezuela

Mexique Philippines Indes brit.

Chine Japon

100 Frs 1 Liv. st.

1 Donar 1 Dollar 100 Belga 100 Lires 100 Pesetas 100 Escudos 100 Florins 100 Guilder 100 Reichsmk.

100 D.Gulden 100 Schilling 100 Pengô 100 Cour.

100 Cour.

100 Lats 100 Lits 100 Tchervon.

100 Cr. sk.

100 Cr. sk.

100 Cr. sk.

100 Markka 100 Zloty 100 Dinars 100 Francos 100 Drachmes 100 Leva 100 Lei 100 Livres t.

Livres ég.

Liv. st.

Liv. st.

Pesos 100 Milreis 100 Pesos 100 Pesos 100 Pesos 100 Soles pér 100 Sucres 100 Bolivianos 100 Bolivars 100 Pesos 100 Pesos 100 Roupies 100 Taels 100 Yens 100

1 1 100

20.305 25.22

5.18 5.18 72.06 27.27 100.—

22.29 208.32 208.32 123.45 100.88 72.93 90.64 15.35 139.—

100.—

51.80 2666.- 138.89 138.89 138.89 13.05 58.14 9.12 100.—

6.72 3.74 3.10 2278.40 2592.—

25.22 25.22 220.—

62.08 63.—

536.—

504.—

207.50 103.60 189.16 100.—

258.32 258.—

189.16 258.33

2'A 6

3V, 2V.

7 67s 7 3 7 5 8 8 6V2

6V. 6 8Vi 8 6 6 6 8 VU

n

8 11 91/..

8 6 6-7

6 8-9

7 7 10

20,05 17,50 5,10 4,10

"71,- 26 10 42,75 16,50 206 80 121 — 100,—

6.57 15,10 1 4 1 . -

95.50 48.—

96,—

9 6 , - 9 6 , - 9,25 56,50

3,50 3.—

248,—

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225,—

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20,25 17,90 5,14 4,40 71,75 26,50 43 75 17,25 207,50 122,50 100,40 15,30 143.—

99.50 52.—

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