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Déclaration au nom de la commission économique des nations unies pour l'Afrique

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Distr.

LIMITEE

E/CN.14/SWCD/INF.13 13 Ootobro 1969 FRANCAIS

Original: ..U,GLAIS

COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE Conference regionale sur une politique

harmonisee de developpement rural en Afrique Moshi (Tanzania), 13-24 octobre 1969

DOCUMENTS OFFlCE

FILE CO Pf

NO TO BE

TAKEN

OUT

DECLARATION AU NOM DE LA COMMISSION ECONOMIQUE DES NATIONS UNIES POUR L1AFRIQUE

par

J. Rib;y-Williams, Direoteur de la Division du developpement des ressources

humaines de la CEA

(2)

E/CN,14/SWCD/INF.l~

C'eet pour moi un privilege que de prendre la parole au nom de la Commission economique dos Nations Unies pour 11Afrique, ! la seance d'ouverture de cette Conference et o'est un plaisir personnel que de m•aasocier au distingue representant du Gouvernement d'accueil, S.E •

M. A.M. Babu, Ministre du commerce et des industries de la Republique*Unie

de Tanzania, pour souha.iter chaleureusement la bienvenue

a

tous lee parti- cipants et obsarvateurs qui ont repondu

a

notre invitation et se sont rendus da.ns gette ville historique de Moshi. • Je peux me risquer ! affirmer que c 'est da.ns un dessein oommun qus ohac,un de nous a abandonne pour deux

semaines des oce;upations ha.bituelles pour venir ici. Exprime succinctement, ce deeeein est de trouver des solutions pratiques Aun problime qui s1est revels comme l'un des plus pressants et des plus complexes du developpement et qui retient aotuellement l'attention des planificateurs, des responsa- bles des politiques, dee adminietrateurs et de taus ceux qui ont une contri- bution essentielle A e.pporter

a

la modernisation de vastes collectivites rurales da.ns notre region. En d'autres termes, nous sommes ioi non eeulement pour mettre en evidence et exposer lea problemes qui g~nent le developpement nais surtout pour chercher

a

formuler une strategie en vue d'a.border ces probl~mes et, en outre, proposer lea moyens de msttre cette strategie en oeuvre.

Les divers documents que vous avez re9us au sujet de cette conference vous indiquent que pas mains de 10 insti~utions intergouvernementa.lee et autres qui patronnent ou a.dministrent deu programmes de developpement dans la region a~rioa.ine, ont uni leurs resso1rces ~ celles de la. Commission economique pour 11Af'rique pour l'organisition de la reunion, Et si vous preriez le temps d''5tudier la liste des peerticipants et observa.teurs insorits, vous ne manquerez sOrement pas d I litre fr:1.ppes pa.r le nombre et la gra.nde variate des domaines d'inter~t et des disoiplines representes a.ujourd'hui dans cette salle, Vous-;; trouverez des r,presentants officials des Souverne- ments a.fricains, des representants des .. nsti tutions specialise es et opera.- tionnelles de !'Organisation des Nation" Unies, ainsi que d'orga.nisations intergouvernementales et non gouverm mell' ,ales, d 'universi tee et d 'insti tuts ce recherohe.

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Page 2 ·

La diversite de notre co~position peut parattre alarmante, mais oollecti- vement, nous sommes tous resolus

a

apporter la contribution de nos connais- sances particulieres et specialisees dans nos domaines respectifs, qui toucherit ·.e.· des dis•iplines diverses telles que planifioation et strategie du developpern.ent, main-d'oeuvre et uti:lisation G.es ressouroes humaines, developpement oommunautaire et rural, sante et nutrition, administration publique et autres ·secteurs ou a.tivites dont l'ensemble constitu-e.le developpement rural.

Monsieur le President, c'est la ce 4ui,

a

men sens, imprime

a

o.itte

conference son caractere exceptionnel. Ce n'est pas par accident que toutes ces disciplines et tous ces representants ont ete reunis: lee problemes du developpement rural ne sont pas et ne doivent pas ~tre consideres comme etant la prerogative exclusive ou le droit particulier et le privilege d'un seul secteur ou d'une seule dsioiplinc du developpement national ou r8gional;

de m~me 4ue le developpement rural ne peut ~tre con9u comme un domaine susceptible d'~tre fragmente et strictement scinde en compartiments

sectoriels etanches. Si nos collectivites rurales etaient ici presentes, elles pourraient au mains temoigner dans ce sens.

Si nous reconnaissons le fait essentiel que la principale caracte- ristique de la sociologie de nos communautes rurales est la nature extr~me- ment integree des activites economi4ues, des valeurs sociales, des atti-

tudes et des relations dans taus les milieux, il devient evident que les plus avantageux seront vraisemblablement les politiques, les organismes et les mesures de developpement con9us sur une base integree et de fa9on telle que les institutions agricoles et rurales, les mo;yens d'information et l'education des adultes, la sante et la nutrition rurales, la protection sociale et le developpement rural, la science et la technique soient organises conjointe- ment pour se renforcer mutuellement, Il ne peut ;y avoir d'autre solution, Et I comme il est di t au paragraphe 12 de l 'Aide-memoire de la Conference,

"une telle action concertee en vue du developpement rural impliquerai t aussi la stimulation d'un complexe de facteurs, notamment en ce qui concerne la participation active de la population rurale aux activites de developpement, les agents economiques et materiels du progres rural, la raise en valeur des

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(-

..

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ressources humaines du secteur rural (gr~ce

a

l'adaptation de l'enseignement aux besoins des oollectivites rurales,

a

la creation d'emplois d.ans. les campagnee et

a

l'expansion des services ruraux de sante, de nutrition, de logement, de protection sooiale, etc,), les institutions permettant de constituer un cadre solide pour appu;yer et entretenir le developpement rural, ainsi que 11appareil administratif requis pour une telle action conoertee Qt l'instauration de liaisons efficaces

a

taus les niveaux",

Monsieur le President, nos gouvernements africains nous ont donne un mandat tr~.s precis pour la convocation de cette conference. Ce mand.at est inspire des travaux de la neuvieme session de la Commission eoonomique pour l'A.frique1 qui s 'est reunie

a

Addis-Abeba en fevrier dernier. Il se

presente sous la forme d'une resolution adoptee

a

l'unanimite, par laquelle le secretariat de la Commission est notamment prie•

De prendre les mesures necessaires afin d'assurer la plus large cooperation possible des Etats membres pour l'adoption des prin- oipes et de la etrategie d'action conoertee dans leurs programmes de developpement rural;

De convoquer une reunion r&gionale d'experts et d'administrateurs de programmes de developpement r0gional pour etudi,µ la maniere dent les politiques, le mecanisme et l'action de vulgarisation agrioole, les mo;yens d·'i21formaticn, les cooperatives rurales, la protection sooiale et le d.eveloppement oommunautaire, l'h;ygiE!lne rurale, la science et la technique peuvent se renforoer mutuel- lement dans le developpement des oommunautes en A:frique;

D'enoourager la coordination des travaux de la CEA et du FISE, des institutions specialisses des_Nations Unies et des autres organisa- tions oeuvrant pour lBs programmes de developpement rural en Afrique, de fa9on que ces programmes exeroent un effet maximum sur le progrE!ls social et economique de la region.

Cette resolution precede du fait bien connu que depuis des siE!lcles, nos communautes villageoisas men~nt leur propre vie, sans !ltre etroitement integreee au gouvernement central ni

a

d'autres elements de la sooiete elargie.

Le gouvernement et les colleotivites locales rurales en sent ainsi venue A

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constituer deux mondes distinots, a~ant dos •ontacts limites et compren~nt mal leurs situations respectives. Les reseaux de transport et de communi- cations, que nos gouvernements africains ont herite des puissances colo- niales, a.vaient ete con9us non pour ouvrir l 'a coils aux regions rural es, ciais pour les depouiller de leurs precieux produits et pour fournir des debouches commodes aux ienrees rurales exportables vars lee ports mari times et, de li'l., vers le monde exterieur. 1euoun reseau do transport interieur n 'avai t et&

mis en place pour relier les differents points d'un m~me territoire et par conSGquent aucune eoono~ie nationale ou torritoriale n1avait

ete

oreee. Les sJstemes d'enseignement qui avaient pu 6tre instaures etaient insuffisants et mal congus pour les besoins des vastes oommunautes rurales et plus mal encore pour les besoins partiouliers de la oroissance eoonomique e11 Afriq_ue.

Il en eta.it de m@me pour le developpement des centres commerciaux qui sont maintenant devenus oe qua nous appelons fi~rement nos villes et nos capitales administratives, et qui tendent ~ rendro plus evident encore le contraste entre nos zones urbaines et rurales.

Il n I est done pas surprenant, Monsieur le President, qu 'en se degageant de la domination coloniale pour aooeder ~ l 1independanoe, nos gouvernements afri•ains aient naturellement souhaite porter en priorite leur attention sur le developpement rapide et la modernisation des zones rurales. illt de nos jours, le secteur rural est de plus en plus considere comme le secteur cle du developpement afrioain, ~ la fois en tant 1ue strategie du deve- loppament national et comma la seule option possible pour nos gouvernements s'ils veulent relever les niveaux de vie et amelio~er rapidement le bien-~tre de l'ensemble des populations africaines.

Cetta importance cruciale reconnue au developpem~nt rural tiont non seuleo0nt '1 la prcponu.crance :ies popul-,,tion<J afrioainoe participant t\ .~

1'6oonomie rurale ou meme A la part 6levoe du niveau national et des reoettes en devises ~ue nos gouvernements ti.rent dee produits agricoles, mais surtout au fait que les possibilitss et les perspectives d'accelerer le developpement afrioain sont dans l~immediat beauiac,up meilleures dans le secteur rural qu 'ailleurs.

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Au oours de nos deliberations, nous aurons 11 occasion d 'anal;yser certains des problemes qui se posent individuellement

a

nos gouvernements d.ans leurs plans et programmes de developpement rural, Par exemple, dans la PlUJ?art de_s paJs africains, plusieurs ministeres ou organismes sont int6-- resses

a

divers aspects du developpement rural et ace qui est maintenant oonnu sous le nom de "seryi-ces de vulgarisation"; mais leurs activites sont rarement coordonnees. Cbaque service ou programme est repris, a distanbe, d'un district, d'une region ou de la capitals nationale, place en general sous la responsabilit~ exlusive d'un ministers ou d1un organisms Qt insuffisamment coordonne avec des activites analogues qui sont du

ressort d'autres ministeres.

Il est evident que si nous voulons ici reussir a proceder

a

une analyse ori tique de notre s;ystl\me actuel, nous ne pouvons nous perrnettre de negliger les problemes et les lacunas dont il souffre

a

tous les 6gard.s:

methods de planification, organisation et administration, communications, developpement des ressources hurnaines et leur utilisation effective, recherche et surtout mise en place des structures institutionnelles et des strategies les plus efficaces. Nous devrions pouvoir, sans prejudice professionnel ou personnel, examiner de fa9on critique et objective la fa9on dont les divers gouvernements de la region abordent le problems et avec quels resultats.

Il ne sera peut--etre pas possible, ni d 'ailleurs soubai table, que la Conference parvi,mne

a

des conclusions unanimes et preoonis_e des

methodes et des strategies eprouvees

a

adopter par tousles Etats africains.

La diversite des ec'1elles de valeur qui appara1t dans nos philosophies nationales du deve]oppement, dans nos systl\mes economiques et dans nos niveaux actuals de oroissance ne perm<<ttra sans doute pas une tells una- nimi te, Mais du moins la Conference pourra-t-elle s'efforcer d'identifier les elements et les conditions essen~iels (en matiere de planification et de progra.minatioI1, d ins ti tut ions et d,, strategies, de developpement et d 'utilisation maxirnale de la main-d • oeuvre rurale, ainsi que dans 1 'exe- cution effective des projets de developpement rural) qui para.~ssent les plus pro pres

a

perrr. ,ttre • d' a tteindr a dans les meilleurs delais les objectifs fixes,

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E/CN .14/swcn/nrn, 13

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..

'

Nous devrions en outre &tre capables d'analJser et de definir le r8le essentiel que les institutions spechlisees et operationnelles des Nations Unies ainsi que les autres organisations internationales doivent jouer pour aider l'effort national

Nombre de gouvernements af'ricains, cherchant serieusement

a

accelerer le developpement rural et

a

resoudre les problemes de desequilibre qui se posent dans leurs plans de developpement nationaux, se sont lances dans une grande variate de programmes de developpement national ou regional, tend.ant

a

amenor 10-relevement des niveaux de vie, l'amelioration de l'emploi et le progres socio-econornique de la rnasse des populations rurales.

Certains de ces programmes fonctionnent sous le titre d'animation rurale (dans les paJs francophones) ou de developpement communautaire (dans les pays anglophones),

D'autres ont pris la forrr.e de services ou de moyens de vulgarisation, administres par des organismes publics dans des domaines tels qu'agriculture, lducation et formation, sante, nutrition et protection sooiale •

. Dans un pays au moins, on a oherche

a

mettre en place des unites rurales combinees pour int~grer totalement les services ruraux d'enseignement, de sante, d'agriculture et de protection sooiale, dans le oadre d'un centre rural polyvalent. Dans deux autres pays, des minist?,res du developpement rural ont ete crees pour permettre une meilleure coordination et une plus grande efficacite du programme. ~•autres paJs commencent A reconnaitre les avantages que presentent des centres de developpement agricole implantes A l'echelon local et pouvant etre constitues en oentre3 de developpement

..

rural d'une plus vaste portee pour t:::-aiter taus les as:;iects du developpement rural, tandis que d1autres encore sent en train de met·';re au point, -'i. l'echelon des dietriote, dee c,;ntros de formation rt.rale po1yvale.,ts qui. eeront a.ppelee centres de district pour le developpemont.

Dans un grand nombre de pays en voie de developperr.ent non africains, divers autres s;istemes sont en cours ,'.'application ou d. 'experimentation avec une mesure variable de succ~s. Taus ces s;i,stemes, si d:·.fferents soient-ils, peuvQnt presenter des elements et des c,ncepts integran';s capables de condi- tionner le succes ou l' cchec du program ne. Je crois imiispensable que nous nous efforcions de les determiner, pour l'orientation d2 nos propres pro- grammes nationaux,

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..

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A cet egard, Monsieur le President, je manquerais

a

mes obligations si je ne me referais en particulier a la Declaration d'Arusba de notre Gouvernement h8te, qui vise, 1 juste titre,

a

corriger les injustices causees par la domination des inter~ts de la minorite urbaine sur ceux du la majorite rurale, et qui exprime une grave preoccupation

a

11egard

' ~.

du paysan qui represents plus de 90 pour 100 de la population tanzanienne, dent les efforts sent

a

l'origine de la quasi-totalite des recettes en devises de la Tanzanie, dent l'epargne imposee par la fiscalite finan~e une bonne partie du developpement, y compris le systeme d1enseignement qui produit les ~irigeants du pays, et dent la vie journaliere est oependant marquee en~ore par une pauvrete et une ignorance ecrasantes et par des maladies debilitantes. Je viens de citer ici les observa- tions qu'un auteur a formulees, a l'appui de 11experience tanzaniem1e.

Monsieur le President, coDJDe nous l'avons deja fait observer dans l 1aide-memoire etabli pour la conference, nos collectivi tes rurales qui representent 0n mo;yenne 80 pour 100 de la population totale de l'Afrique,

"semblent avoir ete laissees pratiquement au m~me niveau de subsistance que 4ans le passe" et elles presentent un contrasts frappant avec "la majorite des sous-secteurs urbains, actuellement caracterises par une economie relativement dJnamique". Bien que cette strategie du developpe- ment soit heritee en grande partie de l'epoque anterieure

a

l'independance, nos gouvernements nationaux, cu du moins beaucoup d'entre eux, ont continue

a

exploiter la situation pour se procurer les ressources necessaires ace developpement dent les collectivites rurales ne tirent encore que tres peu d 1avantages. Une telle politique du developpement constitue en soi une injustice sociale, mais surtout elle n'est manifestement pas favorable

a

un developpement accelere et a une croissance economique nationals.

J'estime tres heureux pour nous que cette conference ait ete invitee a se reunir dans ce paJs, si pres du lieu d'origine de la Declaration d'Arusba et dans un etablissement consacre a la formation d'une cate- gorie essentielle de travailleurs du developpement rural. Nous aurons le privilege, au cours de nos deliberations, d'~tre invites par notre Gouvernement hete a voir certains des projets rsalises dans les environs, qui touchent a la fois au theme de notre conference et a la philosophie nationals dont precede la Declaration d1Arusba.

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Je voudrais, au nom de taus les participants, exprimer ~u Gouvernemont tanzanienj par votre interm6diaire~ Monsieur le Ministre:; Goute notre gra- titude pour les dispositions qu'il a prises

a

grand peine afin de nous assurer les conditions de travail les plus agr8ables possibles et d'en- richir notre experience dans les d.omaines qui nous occupent. !!es coll~gues

• du secretariat de la Conference souhaitent que j 1associe egalement le Prin1>ipal du Co-operative College et son personnel

a

ce vote de remercie- ments pour les efforts inlassables qu'ils ont deployes pour nous aid.er

a

la preparation materielle de la reunio~.

Avant determiner, permettez-moi, au nom de la Commission economique des Nations Unies pour l 'Afrique et des autres organisateurs de cette conference, de remercier le Directeur de la Fondation Dag HammarskjSld qui est ici avec nous et les administrateurs de sa F'ondation, pour l'aide, financiere et autre extrememen~ genereuse qu'ils ont apportee

a

l'organisation de la reunion, ainsi que pour toutes les autres preuves que la Fondation Dag Hammarskjold n'a cesse de d.onner de l'interet agissant t1

qu I elle porte au developpement economique et social de l 'Afrique.

Je suis sOr que j 1exprimerai les sentiments de tous ceux qui sont ici en demand.ant

a

I!. Sven Hamrell de transmettre aux ad.ministrateurs de la B'onda tion 11 assurance de not re gra ti tud.e pour cette nouvelle manifesta- tion de leur foi inebranlable dans le progres des Etats africains.

Je vous remercie.

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