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Forme « semi-classique » des raies de résonance cyclotron dans les semiconducteurs avec des surfaces d'énergie constante quelconque. Cas de la bande de valence du germanium

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00206365

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Submitted on 1 Jan 1966

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Forme “ semi-classique ” des raies de résonance cyclotron dans les semiconducteurs avec des surfaces

d’énergie constante quelconque. Cas de la bande de valence du germanium

W. Mercouroff, P. Nozières

To cite this version:

W. Mercouroff, P. Nozières. Forme “ semi-classique ” des raies de résonance cyclotron dans les semicon- ducteurs avec des surfaces d’énergie constante quelconque. Cas de la bande de valence du germanium.

Journal de Physique, 1966, 27 (1-2), pp.45-50. �10.1051/jphys:01966002701-204500�. �jpa-00206365�

(2)

FORME «

SEMI-CLASSIQUE »

DES RAIES DE

RÉSONANCE

CYCLOTRON

DANS LES SEMICONDUCTEURS AVEC DES SURFACES

D’ÉNERGIE

CONSTANTE

QUELCONQUE.

CAS DE LA BANDE DE VALENCE DU GERMANIUM.

Par W. MERCOUROFF

(1),

Laboratoire de

Physique

du Solide de la Faculté des Sciences de Caen

et P.

NOZIÈRES,

Laboratoire de

Physique

de

l’École

Normale

Supérieure.

Résumé. 2014 On donne une méthode de calcul de la forme des raies de résonance

cyclotron

à

partir

de la théorie

semi-classique

du mouvement des porteurs de

charge

en

présence

d’une

induction

magnétique

constante, pour des surfaces

d’énergie

constante

quelconques.

La

méthode est

appliquée

à la bande de valence du

germanium.

Le calcul

numérique

montre

qu’à

côté des raies «

principales

», il peut

apparaître

des maxima

d’absorption

« secondaires », liés soit à des masses effectives

cyclotron

extrêmales pour kz

~ 0,

soit à des masses

limite.

La confrontation avec

l’expérience

permet de

préciser

les coeffcients de la bande de valence du

germanium (A

=

13,21; |B|

=

8,15 ; C = 13,2).

Abstract. 2014 A method for

calculating

the

shape

of

cyclotron

resonance lines is worked out.

The

starting point

is the semi-classical treatment of

charge

carrier

dynamics

in a cons-

tant

magnetic

field for constant energy surfaces of

arbitrary shapes.

This method is

applied

to the valence band of

germanium.

A numerical calculation shows

that,

besides the "

prin- cipal

"

lines, " secondary

" ones may appear :

they

are linked to

either

extremal

cyclotron

effective masses for kz

~ 0,

or

limiting

masses.

Experimental

check

gives précise

coefficients for the valence band of

germanium (A = 13.21 ; |B|

=

8.15 ;

C

= 13.2).

PHYSIQUE 27, 1966,

1.

Introduction.

- Dans la théorie semi-clas-

sique

du mouvement des

porteurs

de

charge

dans un

solide,

en

présence

d’un

champ

d’induction

magné- tique

constant

B,

on

néglige

l’effet de

l’induction

sur la forme des bandes

d’énergie (2),

et les

trajec-

toires dans

l’espace

des vecteurs d’onde k sont des

intersections des surfaces

d’énergie

constante

E =

E(k)

par des

plans perpendiculaires

à B

(fig. 1).

Si cette

section

de cote

kz

et

d’énergie s

est

fermée,

on sait que la

fréquence

«

cyclotron

» mc, de circu-

lation sur la

trajectoire

est telle que

e est la

charge

du

porteur

et A l’aire de la section.

Par

analogie

avec des électrons

libres,

on

peut

intro-

duire

une « masse effective

cyclotron

» telle que

Si on soumet les porteurs à un

champ électrique

haute

fréquence

normal à

B,

il se

produit

une

absorption cyclotron quand

w = (Oc. Pour des

porteurs

de masse effective scalaire

in*,

on véri fie

immédiatement que inc == m* et la raie

d’absorption

FIG. 1. - Orbites

électroniques

en

présence

d’une induction

magnétique.

est une raie lorentzienne telle que la

puissance

absorbée soit de la forme

[1]

où v =

(’t’

= temps de

relaxation)

et ; ~

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01966002701-204500

(3)

46

On a

supposé

dans cette formule que le

champ électrique

a une

polarisation circulaire ;

le

signe + dépend

du sens de

polarisation.

Dans le cas

général

de surfaces

d’énergie quel-

conques, la masse

cyclotron

n’est pas

unique ;

il y a

une distribution en fonction de a et

kZ

et la raie n’est

plus

lorentzienne

(3).

II. Cas

général.

- Dans le cas

général

1ne

dépend

de a et

ka,

la f orme des raies

peut

être obte-

nue en calculant la conductivité

complexe

du corps

en

présence

de l’induction.

Plaçons-nous

dans le cas

des semiconducteurs le

champ électrique polarisé circulairement,

est uniforme dans l’échantillon. Si

f (E)

est la fonction de

répartition

des

porteurs (à l’équilibre thermique, f ( s)

est une

répartition

de

Boltzmann),

la conductivité

complexe

est

avec

soit:

L’absorption

est donnée par la

partie

réelle de la

conductivité ;

elle

dépend

non seulement des sur-

faces

d’énergie

constante, mais aussi de la

tempé-

rature

(même

si T n’en

dépend pas),

par l’inter-

médiaire du facteur

f( a) .

On

peut prévoir

un maximum

d’absorption,

c’est-

à-dire une « raie »

quand

la masse

cyclotron

est

stationaire.

C’est le cas pour les sections par un

plan

diamétral

passant

par un centre de

symétrie

0. Au

voisinage

de

kZ

=

0,

est

parabolique

en

k,

me passe donc par un extremum

pour

k~

= 0 : il

apparaît

une « raie » au

voisinage de (J.

=

mt.

En

général,

on ne considère que ce

type d’orbites,

et on lui attribue des raies

d’absorption

lorentziennes. Cette manière de

procéder

est incor-

recte

puisque

la raie

peut

être fortement déformée par la distribution de masse

cyclotron (il peut

même

apparaître

d’autres

maxima, correspondant

à des

orbites non

extrémales).

Supposons

d’abord les surfaces

d’énergie

cons-

tante

ellipsoïdales,

mais non

quadratiques

en

)k) .

En

rapportant

les

ellipsoïdes

à leurs axes

principaux, (3)

Si les surfaces

d’énergie

sont

ellipsoïdes

et si l’éner-

gie dépend quadratiquement

de

Ikl,

la masse

cyclotron

est

indépendante

de E et kZ

(bien

que variable avec l’orientation de

B),

et la raie est encore lorentzienne.

on

peut

écrire leur

équation

sous la forme

[2] (4)

2013~ s

lorsque s

- 0. Pour une direction

donnée de

B,

de cosinus directeurs oej la masse

cyclotron

est

égale

à

où mo est la masse « en bas de bande

» ( e

-~

0) . dépend

de

l’énergie,

mais pas de

kZ.

En notant que

nous pouvons écrire la conductivité sous la forme

La forme de raie donnée par

l’intégrale (10) dépend uniquement

de la distribution

/(s)y

c’est-à-

dire de la

température.

On

prévoit

une raie au

voisinage

de mo, favorisée à basse

température.

A

température plus élevée,

la variation de

dylds peut

rendre la raie

large

et

asymétrique.

L’autre cas intéressant

correspond

à des surfaces

d’énergie

constante

quadratique

en

Ikl,

mais non

ellipsoïdales. L’énergie

des

porteurs

est de la forme

k

dénote la direction de k. Introduisons la variable

et

repérons

k par ses coordonnées

cylindriques (d’axe B)

p et

k.L

==

ykz.

La masse

cyclotron

peut

s’écrire

[3].

0

est l’aire d’une section x = Cte de la surface réduite

en coordonnées

polaires y,

cp, x. La conductivité se met sous forme d’un

produit

de deux

intégrales :

(4)

C’est le cas par

exemple

de la bande de conduc- tion des

composés

AnI

Bv,

pour

laquelle

où mo et E~ sont des constantes.

(4)

Le

premier

facteur ne

dépend

pas

de w

et fixe la

valeur absolue de

l’absorption.

Le second donne la forme de la raie à T

donné ;

dans la mesure où T est

indépendant

de la

température,

la forme de rai e l’est aussi. Les valeurs stationnaires de donnent des contributions

importantes

à

l’intégrale

et con-

duisent à des maxima

d’absorption.

Nous allons

voir sur

l’exemple

de la bande de valence du ger- manium que ces extrema

peuvent

se

produire

en

dehors des orbites extrémales.

Ill. Cas de la bande de valence du

germanium.

-L’équation

des surfaces

d’énergie

constante est de la forme

On étudie en

général

la résonance

cyclotron pour B

dans un

plan

Il suffit d’écrire cette

équation

en coordonnées

polaires

réduites

~y,

ç,

x)

avec Oz

dans ce

plan.

En

appelant

0

l’angle

de B avec la

direction 110 >, on obtient

[4]

Les sections x = Cte sont des courbes du 4e

degré

dont la forme

peut

être discutée facilement

[4].

On peut alors f aire le calcul

numérique

de

et du

f acteur

de

forme

Choix des

coefficients

ABC : Ce choix est assez

délicat. Il en existe de nombreuses déterminations

[1, 5, 6J,

mais les valeurs

numériques

ne sont pas

toujours concordantes,

d’une

part

à cause des erreurs

expérimentales,

d’autre part à cause de

l’ignorance

sur le facteur de

forme, qui

fausse

l’interprétation

des résultats. Dans un

premier calcul,

nous avons

utilisé les coefficients obtenus dans les références

[4],

calculés de telle mani ère que :

(i)

Les masses

cyclotron

des orbites extrémales coïncident avec les raies

principales.

(ii)

n2~

présente

un extremum pour Tnc =

0,265

rra

dans la direction 110 >,

permettant d’expliquer

la raie intense observée dans les échantillons très purs

(5) (même lorsque

les effets

quantiques

ne

peuvent

être

invoqués [4, 7]).

En

fait,

un calcul de

forme montre que cette raie est décalée

(de

t-L =

0,265

=

0,280).

Nous avons donc

réajusté

nos coefficients aux valeurs

(6).

FiG. 2. - Variation de

rn~

en fonction de x =

pour les trous lourds.

(~)

Cette raie

n’apparaît

que dans les échantillons les

plus

purs et n’a pas été observée dans les pre- mières

expériences.

Ceci peut

s’expliquer

de deux

f açons :

d’une part, on constate

expérimentalement

que l’intensité des raies de trous est très sensible à la

présence d’impuretés,

de sorte

qu’elles

sont facilement

marquées

par les raies d’électrons. D’autre part, le temps de relaxation sur les

impuretés

peut

dépendre

de

l’énergie ;

en ce cas, on ne peut

plus dégager

de factenr

de

forme,

et

l’intégration

sur

l’énergie

défavorise le extrema secondaires de

m. (x).

(’)

Ces dernières valeurs sont d’ailleurs

proches

de

celles choisies par

Stickler, et

al.

[6]

pour

interpréter

les effets

quantiques (A

=

13,2 1 BB

=

8,2;

C =

13,3).

(5)

48

Les

figures

2 et 3 montrent la variation de mec

pour les trois directions

principales (’7).

Il existe

toujours

au moins deux

branches, correspondant respectivement

aux trous lourds

(fig. 2)

et auX

FIG. 3. - Variation de

m*c

en fonction de x == 2ms

/h2 kz

pour les trous

légers.

trous

légers (fig. 3).

On vérifie bien que les orbites

extrémales,

sections par des

plans

diamétraux

(x

-

oo), correspondent

bien à des masses extré-

males

(notées

m_ pour les trous lourds et m+ pour les trous

légers).

Dans la direction 100

>,

la courbe pour les trous lourds

possède plusieurs branches,

en

particulier

une branche de masses

négatives qui correspondent

en fait à des orbites

«

électroniques

». Dans la direction 110

>,

la branche de trous

lourds, après

un accident

qui

rend

mc infini (passage

par un

point col),

passe par un

maximum pour x ~

4, puis

tend vers la valeur m- ;

il existe donc une seconde masse extrémale en

plus

de celle

correspondant

à x -~ oo. Dans la direc-

tion 111 >, l’allure de la branche de trous lourds est

simple

avec

cependant

une

légère

inflexion vers

son

départ,

que l’on

peut comprendre

comme un

« souvenir )) du minimum dans la direction 110 >.

Les

figures 4,

5 et 6 donnent les formes de raies calculées

(8) d’après

la formule

(18)

pour les trois directions

principales,

pour v = or =

10,

20 et 1~0.

Ces résultats

appellent

un certain nombre de

commentaires.

Ci)

Les raies les

plus

intenses

correspondent

aux

masses ni, des orbites

extrémales,

comme

prévu.

Il faut

cependant

noter que, du fait de

l’asymétrie,

les raies sont

légèrement décalées,

de

quelques

pour

cent, et ce d’autant

plus

que v est

plus

faible.

(ii)

Dans la direction 110 >, on observe une raie de trous lourds pour mc =

0,26, correspondant (1)

Nous remercions M.

Fonteyn

du Centre de Calcul

numérique

des Laboratoires

Philips, Eindhoven,

pour les calculs

numériques

de

(8)

Nous remercions NI.

Fayet

du Laboratoire de

Physique

de

l’École

Normale

Supérieure,

pour les calculs

numériques

sur machine.

FIG. 4. -

Absorption (en

unités

arbitraires)

dans la

direction 100 > :

a)

trous

lourds ; b)

trous

légers.

au minimum de cette raie est presque aussi

marquée

que celle de l’orbite extrémale

(me ==

A noter le

décalage appréciable

du maximum

d’absorption

par

rapport

au

minimum

de l’ne

(N

6

%1, qui

nous a amené à modifier la valeur des

paramètres A, B,

C.

Dans les directions 100 > et 110 >, les orbites

multiplement

connexes donnent une con-

tribution

négligeable

à

l’absorption (c’est

le cas aussi

(6)

FIG. 6. -

Absorption (en

unités

arbitraires)

dans la

direction 110 > :

a)

trous

lourds ; b)

trous

légers.

des orbites à « masse

négative »

de la direction

100 >

correspondant

à un mouvement d’élec-

trons).

(iiii)

Dans les trois

directions,

la distribution de

masse des trous

légers possède

une borne infé-

rieure

correspondant

aux

points

oc,

~3, y de la figure

3. De

même, la

branche

principale

de trous

lourds

possède

une borne inférieure dans la direction 111 >. Ces «

points

d’arrêt » donnent

naissance à des accidents de la courbe

d’absorption,

v

FIG. 5. -

Absorption (en

unités

arbitraires)

dans’la

direction 111 > :

a)

trous

lourds ; b),trous légers.

d’autant

plus marquée

que mi+ est mieux

séparé

de

la valeur limite m:i:’

Les

épaulements correspondants

se voient claire-

ment pour les trous lourds 111 > et les trous

légers

100 > ; ils se devinent pour les deux

autres directions de trous

légers.

Ils sont

légèrement

décalés par

rapport

à la valeur limite ml::i:, et

s’estompent rapidement lorsque v

diminue. Dans le

cas des trous lourds dans la direction 111 >,

cet accident est observé

expérimentalement [4].

(7)

50

IV.

Conclusion.

- Il ressort de cette étude que la forme des raies de résonance

cyclotron dépend

beau-

coup de la structure de bandes du semiconducteur étudié. En

plus

des raies habituelles

correspondant

aux orbites

extrémales,

il

apparaît

des

irrégularités correspondant

aux extrema secondaires de la distri- bution de masses

(extrema proprement dits,

et

extrémités de la courbe En outre les raies

sont

asymétriques, légèrement

décalées et

élargies

par

rapport

au

simple

modèle

lorentzien.

Les

spectres d’absorption

calculés pour le

germanium

sont en bon accord avec

l’expérience.

Des calculs

préliminaires

effectués pour le silicium donnent des résultats

semblables,

avec encore

plus

d’accidents secondaires.

Manuscrit reçu le 27

septembre

1965.

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