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Étude sur les courants de Foucault

A. Golombani

To cite this version:

(2)

ÉTUDE

SUR LES COURANTS DE FOUCAULT

Par A. GOLOMBANI.

Faculté des Sciences de

Dijon.

Sommaire. - Les équations de

l’Électromagnétisme

classique applicables dans l’hypothèse du

« cylindre indéfini », permettent, néanmoins, dans l’état « quasi stationnaire », de calculer les champs

résultants en chaque point d’un conducteur tubulaire d’axe parallèle au champ inducteur, mais de

longueur finie et grande par rapport au diamètre.

L’intégration des champs rendue possible par les propriétés particulières des fonctions de Bessel

permet de calculer le flux total résultant et la variation du flux initial à l’intérieur du solénoïde

contenant le noyau.

Les énergies localisées s’en déduisent. Et, de là, les variations de self et de résistance de l’enrou-lement ainsi que la self et la résistance propres du noyau tubulaire, fonctions de ses dimensions radiales et de la fréquence des oscillations.

On parvient enfin aisément à l’étude de facteurs très importants dans la technique des bobines destinées aux circuits oscillants pour toutes fréquences : le facteur de qualité, la perméabilité appa-rente et la résistance de pertes.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. SÉRIE VIII, IX,

Un noyau tubulaire

magnétique

et

conducteur,

long

par

rapport

à son

diamètre,

est

placé

dans un

solénoïde indéfini

qui produit

un

champ magnétique

uniforme,

sinusoïdal,

de

pulsation

m,

parallèle

à

son axe. La

fréquence

des oscillations est telle que la

longueur

d’onde

correspondante

est

grande

par

rapport

aux dimensions du tube. Dans ces

condi-tions,

le

système

se trouve dans un état

quasi

station-naire,

ce

qui permet

de définir l’uniformité du

champ

dans un domaine limité.

Soit

(r,

0,

z)

le

système

de coordonnées

cylin-driques (fig.

I)

qu’impose

la

symétrie

du

problème.

Fig. i.

+

Appelons

avec Planck Ce = Hejwt

[2]

le

champ

magnétique global

résultant des interactions du

champ

inducteur et du

champ

créé par les courants

de Foucault et 6 = hejwt le

champ électrique global.

+

Ce dernier est

perpendiculaire

à Je en

chaque point

et est

tangent

aux

lignes

de courant

qui

sont des cercles centrés sur l’axe et

perpendiculaires

à l’axe.

-Le

champ électrique G

se réduit à sa

compo-sante be = h. Le

champ magnétique

se réduit à la

composante

jé= _ ce. Tous deux sont

indépendants

de z et 0 et restent donc fonction de r et f.

D’ailleurs,

1. Calcul des

champs. -

10 DANS LA CAVITÉ.

-

Appelons

po et Eo la

perméabilité

et le

pouvoir

inducteur

spécifique

du vide. Les

champs

magné-- +

tique Je

et

électrique 6

sont donnés par les

équa-tions

-avec 80 =

-L?

(c

vitesse de

propagation

des ondes

électromagnétiques

dans le

vide),

(1.3)

entraîne

En

prenant

le rotationnel de

(1. 2),

un calcul

clas-sique

donne

l’équation

scalaire

-et en

posant q

=

iw,

on aboutit à

l’équation

de

e

Bessel :

Sa solutïon est

(3)

Jo

et

"’B’"0

étant les fonctions de Bessel et de Neumann d’ordre

zéro,

...4 et B étant des constantes

dépendant

des conditions limites.

H doit être fini pour r = o. Donc B = o. La

solu-tion

représente

donc une onde de

pénétration

convergente

dans la cavité

(1).

De

plus,

t

désignant

la densité de courant

+

-Jé et v étant

harmoniques,

en

passant

aux valeurs

imaginaires,

on déduit

Sans passer par l’intermédiaire

de ï,

on

peut,

d’ailleurs,

écrire

qui,

par

(1.4)

donne

(1.5).

2° DANS LE MÉTAL, -

Appelons y la

conducti-bilité du

métal,

y et E sa

perméabilité

et son

pou-voir inducteur

spécifique supposés

constants. En

employant

immédiatement la notation

imaginaire,

les

équations

de Maxwell s’écrivent

En

prenant

le rotationnel de

(1.7),

on obtient la

relation scalaire

-Le

terme EjWb correspond

au courant de

dépla-cement

et 4Ri

au courant de conduction. Le

rapport

du

premier

au second

vaut,

en

( f

étant

2"’{

la

fréquence).

Le

quotient

E pour

les métaux étant

de l’ordre de

10-17,

on

peut

donc

négliger

le courant

de

déplacement

devant celui de

conduction,

même

pour des

fréquences

très élevées.

Cependant,

cette

approximation

n’est

légitime

que si la

longueur

d’onde des oscillations est

grande

devant les

dimen-sions du conducteur

(2).

Dans cette

hypothèse

de

(1) Jo(s) fonction de Bessel d’ordre zéro est égale à I

pour s = o, mais N,, (s) devient infinie quand s + o.

(2) Pour f == 10’0 par exemple 1. = 3 cm.

phénomènes quasi

stationn aires,

on

peut

alors

définir un

champ magnétique

uniforme dans un

domaine limité. Dans ces

conditions,

on

peut

écrire

et, en

posant

p =

I

on aboutit à la solution

Í ;: 1-1:’; (1)

complète

de

l’équation

de Bessel

qui

est

Il y a, cette

fois,

superposition

de deux

ondes,

l’une due à

JO,

convergente,

qui

reste finie

puisque

r

ne devient pas

infini,

l’autre

divergente

correspon-dant à la fonction de Neumann

qui

reste

également

finie

puisque

r ne s’annule pas

(3).

Enfin,

le

champ électrique

dans le métal

tangent

aux

lignes

de courant

circulaires,

est

Pour achever le calcul de H et

h,

il reste à

déter-miner les constantes

A, B,

C. CONTINUITÉ. -

Appelons

ro

et Ti

les rayons

exté-rieur et intérieur du tube.

Exprimons

la continuité

du

champ

électrique

et du

champ magnétique (qui

sont

tangentiels)

au contact du métal et de la cavité. On obtient les deux

équations

suivantes :

Il continu :

h continu :

Enfin,

sur la surface extérieure ~ ~

Ho

donne

une troisième relation

Si l’on remarque que est très

petit

En tenant

compte

de la relation

C est la constante d’Euler: o,55~2..2Vo~~/) devient infini

(4)

et en

posant

=1

(s

rayon

réduit),

on déduit des

égalités (1.11),

(1.12), (1.13) :

p

(Sans produire

d’ambiguïté,

on

peut

simplifier

l’écriture en

supprimant

l’indice zéro des

fonc-tions

Jo

et

No).

2. Calcul des flux. - Le flux

magnétique

total

se compose :

10 du flux à travers le métal

d’épaisseur

20 du flux dans la cavité de rayon r,

CALCUL

Or

Donc

~2

dépend de so

par l’intermédiaire de A.

En utilisant les relations

et

cas

particuliers

pour = i de

et

on trouve

En

remplaçant

A, .B,

C par leur valeur et en

supprimant

momentanément afin

d’alléger

l’écri-ture le

symbole 1’-j après

les variables so

et si

dans

J,

J’,

N,

N’,

on obtient tous calculs faits

(5)

J,

N et leurs dérivées

J’,

1~’

peuvent

être

exprimées

par leurs valeurs

asymptotiques

qui

sont

En effectuant les calculs et en

posant - - s,

- si

(o-

est

l’épaisseur

réduite),

on trouve fir_alement

Le flux total résultant à travers la section droite du noyau est

VARIATION DE FLUX. - Avant l’introduction dans le

champ

du tube

magnétique

et conducteur,

le flux était

1 Il’

Supposons

maintenant c

petit

(c’est-à-dire

e = r.o -

r,

petit

devant

p).

On

peut

remplacer

les

exponentielles

par leurs

développements

en série :

En

négligeant -

devant

l’unité,

la variation à4J

s’écrit finalement

(l’indice

zéro de la variable s

peut

être

supprimé).

APPLICATION. - C’est cette valeur de ~~

qui

doit intervenir dans la mesure de la

perméabilité

des

La variation de flux est donc

soit

couches minces

cylindriques

par les méthodes

d’in-duction.

La variation du flux d’induction mesurée avec

Po

l’unité

O0

et

produite

par l’introduction de la

substance est

La

partie purement

magnétique

de cette varia-tion

(y

=

o)

est

(6)

277

Foucault à cette variation de flux est donc

qu’on peut

écrire

le

déphasage

de sur

.po

est

- QS .

Par

rapport

à la f. e. m. induite eo il est

égal

à

L 1 AOy t d.. d,

Le module de vers i si s

augmente

indé-(DO

finiment et b

AOy

-

2013 ’

Enfin,

si

’-2-,L2

est

grand

2JJL P. 03BC2

lorsque (7

tend vers i,

AOy

tend vers 1

(6).

Par

contre,

(Po

tend vers zéro si s

augmente

indéfi-O0

niment ou si 0’ tend vers zéro

La variation

d’amplitude

due aux seuls courants

induits,

rapportée

à celle

qui

est due au seul

magné-tisme,

est

Nous verrons

plus

loin que le module de

l’inten-sité totale dans le noyau est I,, = Ho c s

.

4R03BCV

1 4 +

u2

Si s croît à a-s

constant, Is

et

tg

q restent

inchangés,

Mais à varie comme s2. ainsi que

o

0 .

Mais A varie comme s .

EXEMPLE. - Cas d’un tube de nickel

(en

couche

cylindrique mince).

ce

qui correspond

à un rayon de 5 mm et une

épais-seur e

= 2

p

(~

= micron).

On trouve .1 = o,gg.

Les courants de Foucault n’introduisent

qu’une

variation

égale

au centième de celle due au

magné-tisme seul. De

plus,

tg Q = JS

= 10-,.

5 AO03BC 7 »

.1 1-P,

varie comme

O, tandis varie comme :7 s.

0 à

0

(a) Pour des couches métalliques minces

G"2 S2

4.

Dans les mêmes

conditions,

avec s = 5o

(r=25 mm)

on aurait obtenu A

= 0,75

et

tgQ

= 5.10-4. Le

je .2-S2 ,

terme étant très

petit

pour des couches minces :J.’2

devant

4,

l’importance

des courants induits croît

comme le carré du rayon

Supposons qu’on

opère

à une

fréquence

plus

élevée : 105 avec = I o. Alors p = o, 1 mm. S. Si r r ’"" == 5 mm, mm, s s ’"" = 5o. 50. S. Si e e

1

03BC, on ,.,..,

== -

p, on a OE == 5.

Dans ces

conditions,

l’importance

des courants

induits devient environ

sept

fois

plus

grande

que

celle due au

magnétisme

seul

2.io-2).

On est donc

obligé,

en haute

fréquence, d’employer

de très

petits

rayons. Avec s = 5

(r

=

o,5

mm),

on

aurait,

dans les mêmes

conditions, A

= 1

2013 2013

=

o,g3.

100

Et avec s

= 2,5

(r

=

o,25

= g8,3

pour 100. En

définitive,

l’étude du

magnétisme

des couches minces en haute ou moyenne

fréquence

conduit à

utiliser des

dépôts cylindriques

pour

lesquels s

est

petit,

c’est-à-dire de

petits

rayons

’sera voisin

de I et p

négligeable).

On

peut

arriver facilement à

ce résultat par

projection

cathodique

cylindrique

sur des tubes de verre, de

silice,

etc.

(1).

3. Force électro motrice induite dans le solé-noïde. Intensité dans le noyau. - La variation de flux A4J

produit

dans le solénoïde une f. é. m.

induite

Dans

l’hypothèse

de s

grand

et a-

petit,

cette f. é. m. a pour valeur

En admettant que l’enroulement inducteur

porte

(1) Dans la théorie, on a supposé que la cavité était le vide.

Dans le cas d’un diélectrique, il suint de remplacer la vitesse c

par V =

20132013.

Pour du verre, u. = 1, S = Les calculs

B 03BCE V"

restent absolument inchangés ainsi que toutes les

approxi-mations.

(8) Dans tout l’exposé, je suppose pour simplifier quel le solénoïde porte une spire par centimètre et que le noyau a une longueur unité. Si le solénoïde porte n spires par centimètre

et si le noyau a une longueur I, les valeurs de Rl et Li seront

multipliées par n2 1. Les valeurs de (î, divisées par 1,

(7)

une

spire

par

centimètre,

on a

Ho

=

4 7": l p, l pétant

l’intensité maxima

qui parcourt

l’enroulement.

Remarquons,

dès maintenant, que

l’expression

de e

(3 .1 )

permet

de calculer l’intensité totale du

courant induit. En

effet,

le coefficient d’induction mutuelle du solénoïde et du tube

d’épaisseur

c et

de rayon s est

Donc l’intensité induite est

Nous retrouverons cette valeur directement.

L’expression

de e

qui

est

complexe

indique

qu’une

partie

de la f. é. m. induite :

produit

un accroissement de résistance du solé-noïde

représenté

par le coefficient de

- I,,.

Par

contre,

le coefficient de

Ip

dans le terme

représente

une variation d’inductance de

l’enrou-lement

(positive

ou

négative).

L’accroissement de résistance

correspond

à une

dépense

d’énergie

sous forme d’effet

Joule dans le tube

12

soit

Lorsque

0- varie

(0-

«

I)

cette

énergie

passe par un

.

maximum pour

c’est-à-dire une

épaisseur

en

posant

-

(9).

Tous les termes du

V2R03BCyw

développement

obtenus, en

supposant ,j s

petit,

sont

indépendants

de p. En

fait,

seul le

premier

terme, e =

~--=

2

est

important.

D’autre

part, si y

est

trés

grand,

les

phénomènes

d’aimantation

superfi-cielle interviennent et les

équations

de

départ

n’en

tiennent pas

compte. L’indépendance

de e

optima

vis-à-vis de est donc un peu illusoire dans ce cas.

2 li- ,

Pour ’7= 203BC, on trouve ¿

,S

la

tangente

à

l’origine

de la courbe de

l’énergie

en

r jL- -. -, y w .

fonction de o-

S3 Hfi

isoit201320132013 ( / -2013

2).

4-P.-’" 0 y !) La valeur du maximum ne

dépend

pas

de li.

~

Fig. 2.

(toujours

dans

l’hypothèse

~. pas très

grand),

mais l’inclinaison à

l’origine

est inversement

proportion-nelle à

~/ ~a .

Toutes les autres variables contribuent

à l’acuité du

phénomène,

particulièrement

le

rayon

(r3).

Le

premier

terme donnant la valeur

optima e

= a été trouvé la

première

fois par J. J. Thomson

[4]

qui

évalua la

quantité

de chaleur

produite

dans l’in-duit en utilisant la valeur moyenne du vecteur de

Poynting

(1a). Depuis,

le

phénomène

a été étudié

théoriquement

et

expérimentalement

par G. Ribaud.

Dans de nombreuses

publications,

ses résultats

confirment l’existence et l’exactitude de la valeur

optima [3].

(1) Un développement de plus poussé conduirait à une

valeur de l’épaisseur optima

n ro ,

A partir de maintenant, nous désignons par e la

cons-tante / 2 T:

-

qui a les dimensions d’une longueur (effet

de peau).

(10) Voir plus loin [paragr. 5, form. (~ .10)] le calcul de la

(8)

CALCUL DE L’INTENSITÉ ET DE LA DENSITÉ DE

COURANT. - Dans le

métal,

on a les relations

sui-vantes :

En

remplaçant .H

par sa

valeur,

on a

et

le calcul donne

Comme

précédemment,

l’écriture a été

simplifiée

en mettant

Jso

ou

Nso

à la

place

de

J,,,V-- 1

ou

-1

En

remplaçant B

et C par leur valeur

(1.15), (1.1 ~),

on trouve

En

remplaçant

J,

J’, N,

NI par leurs valeurs

asymptotiques (2.3),

on obtient finalement

et,

en faisant u

petit,

ou

avec

Puisque a-

est

petit,

on

peut prendre

pour densité de

(11) On retrouve bien la valeur de 1, (3.2) obtenue par

l’intermédiaire de et M. Remarquons que c’est le terme

en quadrature avec le champ qui correspond à l’énergie Joule.

courant i =

ij

= Ii

soit

e

Si e tend vers

zéro,

la densité

superficielle i,

_

~~~

ry r~>

est décalée

de 7"

sur

Ho

ainsi que

hs=ls.

A ce moment,

9 ...,

la f. é. m. induite est évidemment

1

montre que si e

croît,

l’amplitude

de h

diminue.

Mais la

composante

réelle RH0r2w2ye passe Mais la

composante

réelle

1+4R2e2r2w2y2

passe

.

par un maximum pour e -

7

a

9’-L

A ce

moment,

-. /..l.

Y = R.

l

4. Variations de self et de résistance de l’inducteur. Résistance et self de l’induit. -La connaissance de

permet,

par l’intermédiaire de la f. é. m. e écrite sous la forme

complexe,

de

calculer

l’augmentation

de résistance de l’enrou-lement et sa variation de self.

On a

trouvé,

pour la f. é. m.

induite, l’expression

d’où

l’augmentation

de résistance de l’enroulement

Elle passe par un maximum pour o

= s

et vaut

ce

qui

correspond

bien à une

2y03BC

énergie

Joule

".> ... TT

Comme

Ri peut

encore s’écrire sous une forme

symétrique

par

rapport

à e et y :

on voit que si w y est très

grand,

Rl

tend

Remarquons

enfin que si la ’

2Rrew

correspondant

à

Rl

maximum est

faible,

il est

néces-saire,

pour observer ce

maximum,

d’avoir une

grande

(9)

La variation d’inductance sera donnée par

soit

Si e -~ o, o.

Enfin,

l’énergie

électromagnétique

a pour valeur

qui présente

un minimum pour

Pour 1, cette valeur de e devient

rapidement

égale

à la valeur e =

~‘

qui

est

l’épaisseur optima

correspondant

au maximum d’effet Joule.

CALCUL DE LA RÉSISTANCE ET DE LA SELF DU

TUBE. -

Écrivons

que la

puissance

dépensée

par effet

Joule

dans l’enroulement est

égale

à la

puis-sance

dépensée

par effet Joule dans le tube.

Nous avons vu que la valeur de

Ii’

dans le tube H20 o2 S2i 1

était

2 j«2.

Il vient

donc,

en

appelant

Ol,

16R203BC2

’ ,

o2s2

03BC2 la résistance du tube

d’où

(12) La valeur R = 21:,. est celle que 1 on pourrait calculer

,je’

directement en supposant une densité de courant uniforme

dans une couronne d’épaisseur e, de rayon r et de

conducti-bilité y.

(par

unité de

longueur)

et

En

appelant £

la self du tube, un calcul

identique

portant

sur la valeur

imaginaire

de e :

conduit à écrire

ce

qui

donne

Ainsi,

lorsqu’un

tube

métallique magnétique

est

placé

dans un

champ

magnétique

sinusoïdal,

son

rayon r étant

grand

et son

épaisseur

e

petite,

vis-à-vis

de p p

B

= 1

, il se

produit

une distribution

de courants dans

l’épaisseur

du tube telle que la self

qui

en résulte est .

La

présence

de e en dénominateur semble

indiquer

que 1-’

peut

devenir extrêmement

grand

si e tend vers zéro

(13).

f! passe par un minimum pour

si F

est assez

grand.

Enfin,

(13) Le coefficient de self d’un circuit parcouru par un

courant i et dont l’épaisseur tend vers zéro devient infini.

Le champ

~1

à une distance d augmente, en effet, indéfiniment

si d - o, à moins que 1 tende plus rapidement que d vers zéro.

En fait, la façon dont nous avons obtenu (4.5) ne nous

permet évidemment pas de faire tendre e vers zéro. Le

(10)

En dehors de ces

valeurs,

si cay est très

grand,

Nous avons ainsi calculé 1" et iR dans le cas du tube : s

grand, 7 petit.

Le calcul

peut

être conduit dans

n’importe quel

cas

et de manière

identique

par l’intermédiaire de

Mais il faut évidemment

utiliser,

dès l’instant où l’on ne se

place plus

dans des cas

limites,

les tables

de fonctions de Bessel

(14).

5. Cas du

cylindre

plein.

- Comme nous le

verrons

plus

loin,

ce cas est très

important

dans la

pratique.

Les

équations

de

départ

sont évidemment

beaucoup

plus

simples

que pour le tube.

Toujours

en

négligeant

le courant de

déplacement

devant celui

de

conduction,

elles donnent Le

coefficient de la fonction de Neumann étant nul

et H devant être

égal

à

Ho

pour s = so, on obtient

immédiatement

Supposons :

petit.

On en

déduit,

après

calcul,

(en

mettant s à la

place

de so pour

alléger

l’écriture).

20 s

grand.

-

Ici,

en

appelant

Rs et

I,

les

parties

réelles et

imaginaires

(14) Ainsi, la transformation d’un cylindre plein en tube entraîne l’apparition de la fonction de Neumann dans les équations des champs et de la densité de courant. En même

temps, apparaît, sur la face interne du tube, une couche de

courant. Ce n’est que lorsque la fréquence devient suffisamment

élevée que la couche interne disparaît. Il ne reste plus que la couche externe pour laquelle ;~ = (Le flux interne est

nul.) Si l’inducteur et le noyau sont de même nature, le

cou-rant et l’induction dans l’inducteur, se reproduisent à ce

moment dans le noyau comme des images réflétées.

En

remplaçant

Rs et

I,

par ces valeurs dans

et en faisant s

grand

dans

l’expression

obtenue,

on obtient ii Ce résultat est

évident,

le

LI- ’" Y

champ

dû à la nappe de courants

superficiels

devant

s’opposer

au

champ

inducteur pour

créer un

champ

résultant nul sur l’axe du

cylindre.

Nota. - Pour les

grandes

valeurs de s, la formule

asymptotique

donnant est

qui,

par la relation

donne

Ces

développements

conduisent à des formules

simples

pour les fonctions

(11)

D’où Comme et il vient . ffi tl (1 ,s"

qui,

" avec

’P 0 = -’--’

" donne

(en supprimant

l’indice zéro à

s).

D’où

Comme

précédemment,

on en déduit une augmen=

tation de résistance

primaire

La

puissance dépensée

par effet Joule est

La résistance du

cylindre

est donnée par la rela-tion

D’où

La variation de self

L,

du

primaire

sera donnée par

Soit

Le coefficient de self

apparent

pour la hauteur icm

est donc S’il croît avec >,

c’est tout

simplement

parce que

l’hypothèse

du

cylindre

indéfini

supprime

le

champ démagnétisant.

La self Jfi du noyau sera donnée par

l’égalité

D’ où

s’annule donc pour p. == i, ce

qui

est normal.

j

/8

La valeur r =

V83 E

n’est

pas

acceptable, puisque,

par

hypothèse,

r s.

2° s grand.

D’où

(12)

aupa-ravant, on déduit

et

On en

déduit,

pour la chaleur

dégagée

dans le

noyau,

Remarquons

que, dans

l’expression générale

de ~~ obtenue dans le cas du tube

(2 . 7),

si o n’est pas

petit,

la

partie principale

de A(D a pour valeur

D’où

qui

est

identique

à la valeur de e trouvée

direc-tement

(5.9).

Tout se passe donc à ce moment comme si le

cylindre

était

plein.

Si l’on fait le

rapport

de

l’énergie

dépensée

dans

le tube pour

l’épaisseur

optima (3.3),

à celle

dépensée

dans le tube

plein

de même rayon

exté-rieur

(et

de même

nature),

on trouve

Ce

rapport

étant

beaucoup

plus

grand

que I, la

chaleur

dégagée

dans le tube est

beaucoup

plus

grande

que dans le

cylindre

plein

(15).

En

employant

les valeurs

asymptotiques (5.4)

pour

Jo

et

J,,,

on aboutit à une

énergie

L’augmentation

de résistance du

primaire

est donc

et la ,variation de self

(15) Je n’insiste pas sur cette discussion, qui a déjà été

approfondie théoriquement et expérimentalement par G.

Ribaud [31.

D’autre part, Marc Jouguet a fait une étude complète des

valeurs Rl et Li dans le cas du cylindre plein et de

l’ellip-soïde [6].

Cette

valeur tend vers la limite

évidente -+ ;:2

r2

ou y

augmente

indéfiniment

(16).

Enfin,

L,

s’annule

pour r == t/ 2013±2013 == 1l.Z. Si ia est assez

grand,

ce

V 2Rwy c

zéro

peut

s’observer et

correspond

d’ailleurs à un

maximum de

L1 CD.

Cependant,

pour des valeurs

de ~.

élevées,

ce résultat n’est pas à

retenir,

car nos

équations

de

départ

ne tiennent pas

compte

du

champ

démagnétisant.

Pour cette

raison,

on ne

peut

pas déduire des

expressions

de

Ri

et

L,

que,

lorsque 03BC

croît

indéfi-niment

.R1

devient infini

positif

et

L,

infini

négatif.

D’ailleurs,

une théorie

identique

portant

sur la

sphère

ou

l’ellipsoïde

montre que

.~1

tend vers une limite

finie,

tandis que

R1

tend vers zéro

quand j

croît

indéfiniment.

Cependant,

pour des valeurs normales de 1-j-, les variations de W,. en fonction de [1. ont

qualitati-vement la même allure pour la

sphère

et le

cylindre

indéfini. La

puissance

absorbée croît avec p.

[6] (17).

CALCUL DE LA RÉSISTANCE ET DE LA SELF DU NOYAU. - On déduit aisément des

égalités

et

les valeurs

et

représente

la section utile 1

Ainsi,

la self propre du noyau pour la distribution de

courant existante

comporte

une

partie

constante

et une

partie

variable

2Rr V2R03BC

qui

décroît si ü)y

wy

croît. -La

première partie

correspond

à la localisation

superficielle

du courant à la limite.

(is) Je suppose néanmoins que w reste toujours inférieur à

une limite telle que la longueur d’onde correspondante soit

grande devant les dimensions du noyau, afin de négliger les

courants de déplacement devant ceux dus à la conduction.

(17) Notons aussi que les phénomènes d’aimantation super-ficielle qui prennent naissance pour y très grand, ne modifient pas la valeur de l’intensité superficielle dans le

(13)

REMARQUE. 2013

Supposons

que, dans un

champ

magnétique

alternatif,

on

place

un tube constitué

par des

spires jointives d’épaisseur

e et de rayon

moyen r, au nombre de n par centimètre. Si r est

grand

et e

petit

vis-à-vis de E, on a vu que cR., ==

~^;‘’~ .

Si l’on déroule les n

spires,

on forme un

cylindre

de

diamètre e, de

longueur 2Rnr qui,

placé

parallè-lement au

champ prend

une résistance

-2étant

petit

par

rapport

à ê.

r>>

Donc,

(Ils =

2 R r2 Rc.

r étant

grand

par

rapport

e2

à e, 6ts est

beaucoup plus grand

que Rc.

Pour les

selfs,

on a de même

_ , 1 _, ’B

et

avec n

= I

et r

grand

par

rapport

à 8, on trouve

e 1 7U

que Ls = çzj - - f(, ,

8 E4 * -

1

Au

point

de vue des

puissances dépensées

dans

chaque

cas, on aura

et

Si,

en

particulier,

e =

"2013 ?

on tire

e étant

petit

vis-à-vis de s, l’enroulement du conduc-teur favorise la

production d’énergie

Joule.

6. Self et résistance de

pertes

d’une bobine. Surtension. - Nous avons

jusqu’ici

raisonné

sur 1.p et sa dérivée par

rapport

au

temps

pour

calculer £,

cu,

Li,

Rl.

En

opérant

sur

2013 .

bt

(+1

+

$2)

ou

(Dl

+

O2

= Y

est le flux résultant

total,

il est

évident

qu’on

est conduit à considérer la self totale

de la bobine

(enroulement

et

noyau)

ainsi que

l’indique

l’équation

où U est la tension aux extrémités et

R~

la

résis-tance

électrique

de l’enroulement.

Le

flux ut

== ~1 +

~2

étant

complexe, ’~

=

’~7 - j ~.; ~,

(6.1)

peut

s’écrire

R1=

que nous avons

déjà

calculé est une r

ésis-I>>

tance de

pertes

due à l’existence des courants de Foucault. La ,

correspond

à une

induc-Ip

tance L. Nous allons calculer dans

chaque

cas les

’valeurs de L et

R1

de

façon

à

exprimer

le quo-tient

LU’

qui

caractérise la

surtension,

ou facteur

Ri

, i

de

qualité

de la bobine. Le

rapport

p."

= O0

o nous

, .., 03BCa , i

donnera la

perméabilité

apparente

et r =

1 -

_

03BCO0

, ; u

le facteur de réduction du flux de la bobine. l’

Remarquons

que

(D,

est le flux à travers l’enrou-lement en l’absence de noyau. Donc est le flux

à travers le noyau pour des oscillations de très basse

fréquence.

Lw

Le facteur

Ri

ne tient

compte

que des

pertes

par courants de Foucault. En

réalité,

pour

déterminer le facteur de

qualité

réel de la

bobine,

il faudrait tenir

compte :

10 due la résistance de

l’enroulement;

20

des

pertes

par

hystérésis

et par effet de retard. Dans ces

conditions,

on aboutit à la formule

dans

laquelle

~,l constante de l’effet de retard est

indépendante

de c~ et

Ho;

oc constante de

Rayleigh

règle

la montée

quadratique

de la courbe d’induc-tion

(1s).

D’autre

part,

dans le calcul de

QF,

nous

suppo-sons B en tous

points

du corps. En

r éalité,

si l’on veut tenir

compte

de

l’hystérésis

et de l’effet

de retard dans le domaine de

Rayleigh,

il faut écrire

le

développement

de B

en ne considérant que le terme fondamental de

pulsation

oj

(20).

(18) Nous supposons n = i. U correspond donc à la

diffé-rence de potentiel sur cm de longueur du solénoïde. Pour

n spires et une longueur de noyau 1, il faut multiplier R1

et L par l dans tous les cas envisagés.

(19) Les trois angles QF,

.) ,,1 ’ï: xjf°

étant petits, le principe

5 j, a

de superposition s’applique. Mais l’expérience montre que, pour des poudres, E,, n’est pas toujours indépendant

d e et H~.

(2°) D’ailleurs, la théorie montre que la présence de termes

en cos 3 w 1 « produit des voix voisines » sur les lignes de

transport à différentes ondes porteuses, car la pulsation

tombe, en général, dans une autre bande de fréquence. Mais

ce terme parasite est proportionnel à R~ résistance de pertes

(14)

Enfin, les bobines étant

toriques,

dans la

majorité

des cas, il

n’y

a pas de

champ démagnétisant

aux extrémités.

CAS DU CYLINDRE PLEIN. -

a. s

pefit (r ; E).

-Les

équations

précédentes

nous donnent

Donc,

et

d’où

Donc,

F, Y) ~ I.

Q F

est inversement

propor-tionnel à s2.

On en tire d’ailleurs la formule connue

qui

donne la résistance de

pertes

par courants de Foucault en fonction de l’inductance.

l’intermédiaire des valeurs

asymptotiques,

on trouve

D’où

Donc

Si s est

grand,

i.

Ri

son module

i ~~ ; N 2 ‘~

tend vers zéro si s

augmente

indéfiniment.

Son

module !

1°f)

= 2

=

I

tend vers zéro si

, s

r GR03BCyw

s

augmente

indéfiniment.

1.

Cas du tube

(s > 1, ~ I).

- Les résultats sont

évidemment

plus complexes.

De

l’expression

En utilisant la valeur de »

déjà

calculée

(2.7),

on obtient

qui

donne

Lorsque c

tend vers

zéro, s

étant constant

ce

qui

est normal.

Donc r -~ o,

puisque

e E et E tend alors vers zéro.

Enfin,

ce

qui

donne

d’où

Si p. est

grand, o-

étant

petit,

pour des valeurs de s de

quelques

unités

Qp peut

être très

grand.

On voit

aussi que si s - x

r

constant) Ql: -~

o et o

a s constant sc. De

plus, Q f,

passe par un

1

minimum Pour a "

== 2013201320132013

]J

et croît ensuite

(ü 1).

Ce minimum

peut

d’ailleurs s’écrire

Pour des valeurs de y très faibles

(poudres

ou

semi-conducteurs), w peut

se trouver en dehors de la

gamme de

fréquence

d’utilisation : le minimum ne

(15)

Signalons

que la résistance de

pertes

Ri

passe

par un maximum pour o- =r

~S ,

ce

qui

donne

Si la nécessité conduit à la construction d’un noyau

tubulaire,

il y a donc intérêt à se tenir

éloigné

de la

condition (j === 2 :J..

s

Dans

l’ensemble,

une

augmentation de p

fait

croître

et

une

augmentation

de 1

fait décroître

QF

et p..a. Il faut donc éviter

qu’un

accroissement

de 1-,t

dans la fabrication du noyau

s’accompagne

d’un accroissement de y. De cette

façon,

QF

et Il,, pour-ront rester

importants.

CONCLUSION. -- Les

qualités

d’une bobine

dépendent

de

QF

et n. Dans le cas du

cylindre plein,

ces deux

paramètres

sont fonction de s seulement

Pour un matériau donné

(ia,

y

donnés)

et une

même

fréquence QF

croît si r décroît

(toujours

dans

. l’hypothèse

r >

~).

D’où l’intérêt de la division du matériau servant de noyau. Par contre, si s

croît,

QF-i,

d’où amortissement du circuit oscillant contenant la bobine. Notons aussi

qu’une

diminu-tion de ’Y ou r

augmente

Qr~

et fJ-a. Mais une

dimi-nution de li.

augmente

Qr

et diminue N t,.

Enfin,

r et M étant

donnés,

03BCa varie comme

V03BC.

,

,

Mais

QF

varie

comme 20132013 ’

Une

augmentation

, 03BCy

de li.

fait donc croître et décroître

QF.

Il y a

donc intérêt à diminuer y. Autrement

dit,

deux

noyaux de

même t..t,

peuvent

avoir des surtensions

différentes si

leur pi,

est différent et inversement.

La

technique

actuelle recherche donc des noyaux de forte résistivité

(poudres

agglomérées

de substances

ferro-magnétiques

et même

semi-conductrices)

qui

possèdent

cependant

une valeur

de p

assez

grande

pour conserver un fJ-a

important.

Mais une difficulté

surgit

dans cette voie car les

pertes

par

hystérèse

sont

proportionnelles

au coefficient oc de

Rayleigh.

Je donne ci-dessous

quelques

valeurs obtenues au

laboratoire du

Magnétisme

à Bellevue

(Tableau

II).

Qu’il

me soit

permis,

pour

terminer,

d’exprimer

ma reconnaissance à MM. Ribaud et Bauer,

qui

ont

bien voulu s’intéresser à ce

travail,

ainsi

qu’à M.

Bou-taric,

qui

a mis à ma

disposition

une utile

docu-mentation.

Manuscrit reçu le 5 juillet 1948. BIBLIOGRAPHIE.

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[2] Max PLANCK,

Électromagnétisme.

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