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Mouvement oscillatoire et mouvement uniforme des liquides dans les tubes cylindrique. Frottement interne

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00241721

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241721

Submitted on 1 Jan 1911

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Mouvement oscillatoire et mouvement uniforme des liquides dans les tubes cylindrique. Frottement interne

M. Menneret

To cite this version:

M. Menneret. Mouvement oscillatoire et mouvement uniforme des liquides dans les tubes cylindrique. Frottement interne. J. Phys. Theor. Appl., 1911, 1 (1), pp.753-766.

�10.1051/jphystap:0191100109075301�. �jpa-00241721�

(2)

753 La pyrrhotine ne permet donc pas de constater l’existence d’une

région de ferromagnétisme sollicité par le champ extérieur, ayant le

même caractère que pour les autres corps. Il est à peine possible qu’elle existe dans le voisinage immédiat du point 0 qui, d’après nos

expériences, semble être à 3 t 8° et qui, par d’autres expériences

directes non publiées, a été trouvé à 3i9°. Cette manière d’être de la pyrrhotine, qui, sous d’autres rapports, s’accorde si bien avec la

théorie, est assez énigmatique. (A suivre).

MOUVEMENT OSCILLATOIRE ET MOUVEMENT UNIFORME DES LIQUIDES DANS LES TUBES CYLINDRIQUES. FROTTEMENT INTERNE;

Par M. M. MENNERET (1).

On sait depuis longtemps que : Dansles fluides réels en

les forces moléculaires ont une coYnposante tangent¿’elle, et ceci est prouvé par ce fait : le débit d’un liquide qui s’écoule par un tube est

toujours plus petit que celui que l’on calcule en appliquant le principe

de Torricelli. On donne le nom de viscosité à cette propriété des liquides.

Navier, en 1822, a donné la théorie mathélnatique du mouvement

uniforme des fluides dans les tubes cylindriques et introduit un

coeffiçient ~, caractéristique de la viscosité du fluide, et que l’on peut définir ainsi représente la force à appliquer par centi1nètre eccrré de sur faee pour que la vitesse v diz liquide parallèlement à la paroi augmente de l’unité quanclla distance 4 la paroi aug1nente de 1 cen- Les mouvements les plus simples que l’on puisse employer pour

déterminer , sont le mouvement uniforme et le mouvement pério- dique du liquide, à condition pourtant que l’on se place dans un cas

où l’intégration des équations de Navier soit possible. J’indiquerai cependant une méthode qui permet de se passer de cette intégration.

Je résume brièvement les résultats obtenus jusqu’ici.

l11éthode de l’o’cotfle»ieJi t 1>i ifoInnte dans un tube

-

C"est

( 1) Cette note est le résumé d’un mémoire publié dans les Annales de la Facullé de Grenoble, présenté comme thèse à la Faculté des Sciences de Paris (mai 1911)

et portant le même titre.

J. de Phys., 5e série, t. I. (Septembre 1911.) 52

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100109075301

(3)

754

surtout depuis Darcy (Mémoires cles savants étrangers, 1857) que l’on sait que cet écoulement peut se faire suivant deux régimes ,

y

dans un tube donné : le premier régime, dit régime de Poiseuille , pourles faibles vitesses; le deuxième régime, dit hydraulique, pour les grandes vitesses.

Osborn Reynolds a montré (1), que la vitesse critique Vc qui

marque le passage d’un régime à l’autre est donnée par :

~., masse spécifique du liquide ; ’1, son coefficient de viscosité, et r,

or

le rayon du tube.

Poiseuille (Recueil des Savants étrangers, 1846) a montré que, tant que la vitesse est très petite, le premier régime est représenté

par:

D, débit en centimètres cubes par seconde; H, différence de charge

entre les deux bouts du tube de longueur l.

Mais la formule ne s’applique plus quand la vitesse devient un

peu grande, quoique encore notablement inférieure à Vc. La raison

est qu’une partie F, de la charge est employée à communiquer au liquide sa force vive, le reste H~ = H - e est employé à vaincre les frottements. Pour les faibles vitesses, s est négligeable. Nous ver-

rons plus loin la forme que l’on a donnée à ce terme correctif.

Pour représenter le régime hydraulique, on a proposé un grand

nombre de formules empiriques qui, toutes sans exception, ne

tiennent aucun compte de l’existence d’une vitesse critique qui est

le point de départ du deuxième régime. Toutes en effet supposent implicitement que le régime hydraulique commence à la vitesse zéro .

0-

De plus le coefficient -~ n’y figure pas explicitement. Dans la for-

mule empirique que je propose plus loin, ces deux lacunes n’existent

plus.

Méthode du cylindre tournant 1nouvernent

-

C’est la rotation uniforme d’un cylindre autour d’un autre cylindre fixe, de

même axe, de diamètre un peu différent, l’intervalle entre les deux

(1) Philosophicallfonsaclions (Royal Society of London), 1883.

(4)

755

cylindres étant rempli par le liquide. Le deuxième cylindre est

maintenu fixe, en équilibre, par la torsion d’un fil par exemple.

Cette torsion mesure le frottement.

Cette méthode a été bien étudiée par M. Couette (thèse, 1890).

encore il existe deux régimes selon la vitesse, et la mesure der

n’est possible encore que pour les faibles vitesses du premier régime.

lWéthode du disque oscillcult ou J.1£éthode de Un disque plan horizontal, plongé dans le liquide, oscille dans son plan autour

d’un fil métallique vertical auquel il est suspendu. On détermine

le décrément logarithmique ~ de ce mouvement oscillatoire amorti.

La relation théorique établie entre 1, ui et les dimensions de l’appa-

reil permet de calculer -~. Mais cette relation théorique ne peut être

établie que d’une façon approchée, aussi cette méthode donne pour

des nombres un peu forts.

A côté de ces trois méthodes je n’en connais aucune présentant

une réelle importance.

J’ai songé alors à utiliser le mouvement oscillatoire d’une colonne de liquide dans un tube en U.

PRElB1IÈRE PARTIE.

ÉTUDE DES OSCILLATIONS D’UNE COLOINNIF, DE LIQUIDE

DANS UN TUBE EN U.

Appareil et méthodes

--

Le tube (fig. 1) est appli - qué verticalement contre une lame de verre dépoli éclairée par d er- rière. Cette lame porte des divisions horizontales et distantes de 2 centimètres environ. Les oscillations sont observées au cathétomètr e

placé à 2 mètres environ du tube, et portant une lunette de champ

assez large. Pour écarter le liquide de sa position d’équilibre A,,

on aspire (ou on souffle) par un tube de 2 mètres de long et de 4 cen -

timètres de diamètre relié en 1 au tube en U, on serre le tube de caoutchouc qui le termine et on le lâche ensuite brusquement (A, se

trouve en face d’une des divisions de la lame et on l’écarte en l’ame- nant en A,, en face d’une autre division). La colonne, abandonnée à

elle-même, retombe jusqu’en A,, puis remonte en A3’ Il est facile de

placer le réticule horizontal de la lunette de façon que le sommet

du ménisque, en arrivant en A,, soit juste tangent à ce réticule. La

(5)

756

première amplitude a,

=

A,A, est connue, mais ce serait une erreur

de prendre pour l’amplitude suivante a3 la longueur AoA3’ car du liquide est resté adhérent à la paroi et A,A, est trop faible. Pour

~

FiG. 1.

,

corriger cette erreur, on produit le même écart initial a1, vers le bas,

ce qui donne pour l’amplitude suivante une longueur A,A, trop grande pour la même raison. La valeur exacte de l’amplitude ([,3 est alors donnée par :

En opérant ainsi pour différentes valeurs de l’amplitude initiale a1,

on voit alors comment l’amortissement l~-1

dépend de l’amplitude a,.

a:1

Le rayon du tube est déterminé par un jaugeage au mercure.

J’emploie pour cela une colonne de mercure un peu plus longue que la partie courbe du tube. Je mesure la longueur qu’elle occupe suc- cessivement dans la partie courbe, puis dans chacune des deux branches. J’en déduis les sections moyennes 82’ S3 de ces trois ré-

gions, et je n’emploie que les tubes pour lesquels s’ ~ s~ + 83 diffère

de moins de 1,/40 des valeurs extrêmes.

La longueur de la colonne liquide est facile à mesurer au cathéto- mètre, si on.a préalablement déterminé la longueur de la courbure.

Pour cela on a mesuré d’avance, au cathétomètre, les distances de

quelques traits fins tracés sur la courbure entre a et b, puis on mesure

Aoa et Bob.

(6)

757

Étude du premier régime d’oscillation.

-

Je dis du premierrégime,

parce que nous verrons que, selon la valeur de l’amortissement le Cl3 mouvement peut se faire suivant deux régimes.

Je rapporte seulement quelques-unes des expériences que l’on trouvera plus nombreuses dans ma thèse.

Alcool isoamylique

=

0,815

(les valeurs de u. aux autres températures sont calculées par la for- mule de dilatation).

Ces expériences, et toutes celles que j’ai faites, montrent nette-

ment que :

Loi DE L’AMORTISSEMENT DANS LE PREMIER RÉGIME D’OSCILLATION.

-

Pour une colonne de liquide donnée, a. est constant: les amplitudes

~3

décroissent en progression géo1nétrique.

-

Résultat, sans doute, déjà

(7)

758

connu, mails dont les valeurs numériques sont nécessaires pour pou- voir : 10 établir la relation avec le coefficient de frottement; diffé-

rencier les deux régimes d’oscillation.

RiEpp,ÉSE--,-TATIO,N ALGÉBRIQUE DU PREMIER RÉGIME D’OSCILLATIO-N.

COEFFICIENT DE FROTTEMENT.

-

Puisque les amplitudes décroissent

en progression géométrique, ceci prouve qu’une force constamment

proportionnelle à la vitesse d s’oppose au mouvement. Cette force dt

due au frottement est évidemment proportionnelle à la longueur 1. Si donc est un coefficient constant, elle se représente P par P dt . c Si

alors on désigne par m

=

la masse de la colonne liquide, a l’élongation à l’époque t, c la force nécessaire pour écarter la colonne

liquide de 1 centimètre de sa position d’équilibre (c

=

2- r2 l’équation du mouvement oscillatoire est :

Le mouvement est sinusoïdal amorti lorsque

et l’équation qui le représente est :

En identifiant ( 1 ) et (2) et appelant T’ la période, on a :

On déduit de là :

et si on pose :

on a :

l, r, ~,, A ayant été déterminés par 1"expérience, on pourra donc

calculer T’ et par suite

(8)

759 Le tableau suivant contient les résultats d’une partie de mes expé-

riences :

Mes expériences ont porté encore sur l’acétone, l’eau distillée, la b enzine, l’alcool isobutylique, la nitrobenzine, le nitrotoluène. Les résultats montrent que :

Pour un liquide doiiiié à 2cne te1npéra tEJ’P dont2oe, ( est

dant de l et de r. C’est une caractér£stique clu liquÙle : /1 est (loiîc un

de f’rotte»io>it se pré.sente ici conune

dant de toute hY1Jothèse szcr la façon dont les 1nolécules glt’ssent les

unes sur les autres.

(9)

760

SIGNIFICATION PHYSIQUE DU COEFFICIENT SA RELATION AVEC LE COEFFICIENT Yl.

--

On peut écrïre : 1

D’autre part, le coefficient -n que l’on détermine par la méthode de Poiseuille est donné par :

que l’on peut écrire :

.

On doit donc avoir d’après cela :

Les nombres inscrits dans le tableau précédent (et ceux que l’on trouve encore dans le mémoire détaillé) vérifient parf itement cette

relation.

Nous avons donc là une nouvelle méthode simple et commo de

pour la détermination du coefficient de frottement interne des

liquides. Je préciserai plus loin dans quelles conditions il faut se

placer pour l’appliquer.

La formule obtenue peut s’écrire :

D’où :

LOIS DU PRElBIIEH RÉGIME D’OSCILLATION.

-

Pour un liquide donné,

le logarith1ne de tarnortissement .’

1" 4 la période (loi des périodes) ;

21 A du carré (loi des diamètres).

RECHERCHE DU DÉBUT DU MOUVEMENT APÉRIODIQUE.

-

Le mOUVe-

ment est apériodique pour les longueurs 1 définies par :

(10)

761 La longueur apériodique minimum est alors donnée par :

ou

J’ai fait quelques bonnes vérifications de cette formule, et je me

propose de voir s’il est possible d’en déduire une deuxième nouvelle méthode de mesure précise de -1.

Étude du deuxième régime d’oscillation.

-

Dans les expériences précédentes, dites du premier régime, l’amortisseinent ’ est toujours

CG 3

> 5. C’est que, comme nous allons le voir, pour les amortissernents

faibles, le phénomène change de nature.

Voici quelques-unes des expériences que’ j’ai faites avec l’éther

ordinaire ou oxyde d’éthyle :

(11)

762 d’où :

d’où :

d’où :

Mes autres expériences ont porté sur le chloroforme, l’acétone,

l’aldéhyde, le CCI’, le bromure d’éthylène, le sulfure de carbone : toutes conduisent aux conclusions suivantes visibles sur le tableau

précédent :

Pour les faibles «nioi"lisseinent1, a1-

=

A est une fonction

CG 3

lique de

.

Il existe donc un deuxième d’oscill«tion (la limite com-

mune aux deux régimes sera précisée plus loin).

Il est bien entendu que les expériences n’ont pas été faites jusqu’à

des amplitudes voisines de 0. L’équation précédente signifie simple-

ment que A = a1’ représente l’amortissement pour de très faibles

0

amplitudes en admettant que la nature du phénomène reste la même

que pour les amplitudes qui ont été utilisées.

On peut dire alors que, dans ce deuxième régime, pour les ampli-

tudes infiniment petites, le rapport 2013* est encore constant et égal à

CG 3

(12)

763

Au

=

( 2013 ) . Et alors, pour ces amplitudes très petites, l’équation du

a3 0

mouvement s’écrit :

et de même que dans le premier régime on en déduit :

et

~., r, l, A~, ayant été déterminés par l’expérience, on peut calculer T’, puis f2.

Voici les résultats de quelques-unes de mes expériences :

Ces expériences, et toutes mes autres, montrent que, pour un

liquide donné, f2 lJas constant: il dépend de l et de î-.

Mais on y voit aussi très bien que pour un liquide donné :

(13)

764

ce qui, en-tenant compte de l’équation (4), s’écrit :

Ce qui fournit une nouvelle méthode pour la détermination expéri-

mentale du coefficient f, ou ~.

On verra dans le mémoire complet que pour les dix corps que

j’ai étudiés par cette méthode les valeurs de ~ obtenues sont d’accord

avec celles de Thorpe et Rôdger.

La formule ci-dessus peut s’écrire :

B .

D’où :

.

.

LOIS DU DEUXIÈME RÉGIME D’OSCILLATION.

-

Pour un liquide donné, le carré du logarithlne de Z’conortissement (oscillation8

ni1nent petites) est proportionnel.

1° A la -Période (loi des périodes);

20 A l’in zerse du carré du dianlètre (loi des diamètres).

REMARQUE. - On verra dans mon mémoire que les valeurs du coef- ficient a de l’équation

satisfont à la température de 151, à la relation :

il en résulte que, à 100, une seule mesure de A suffit pour que la for- mule donne Ao et par suite , .

Analogie entre les deux régimes d’oscillation et les deux régimes

d’écoulement uniforme.

-

Dans le premier régime d’oscillation, f,

est constant; il en résulte que la force de frottement est proportion-

nelle à la longueur et, alors, il est naturel d’admettre que les molé- cules glissent les unes sur les autres uniquement dans le sens de la longueur : c’est le point de départ de la théorie de Navier, qui con-

duit à la formule de Poiseuille : le premier régime d’oscillation est donc l’analogue du régime de Poiseuille.

Dans le deuxième régime d’oscillation, et pour les amplitudes infi-

(14)

765

niment petites, la force de frottement a pour expression :

et on peut dire alors que tout se passe comme si, le coefficient de frottement fj étant le même que dans le premier régime, les molé-

cules glissaient les unes sur les autres suivant un chemin de lon- gueur 1, = toujours plus grand que 1, car nous verrons que

og A

e est toujours plus grand que A,. En d’autres termes, le mouvement

n’est plus linéaire : il se produit des tourbillons. Ce régime est donc l’analogue du régime hydraulique, dans lequel Reynolds a montré

l’existence de tourbillons au moyen de filets liquides colorés.

Passage d’un régime à l’autre .

-

Point critique.

-

Région cri- tique.

-

Imaginons un tube assez long pour que, avec un liquide donné, on puisse, en diminuant progressivement la colonne, obtenir

successivement les deux régimes :

FIG. 2.

Portons 2) en abscisses les valeurs de T’ et en ordonnées les

log A et log Ao : le premier régime est représenté par la droite AC,

le deuxième régime par l’arc de parabole BC. Leur point de ren-

çontre C définit algébrique}nent le passage d’un régime à l’autre. On

a en ce point :

.

L’amortissement critique est donc A, -- e 7= 2,7~, et la période cri-

(15)

766

tique est définie par :

D’où les énoncés suivants :

LOIS DU POINT CrilTIQUE.

-

’1° Pour tous les liquides et les

est le

.-

2° La critique est

Au "l} ,

,4ît carré du rayon du tube.

( Loi analogue à celle du point critique de Reynolds citée précé-

1

-

1 B

y, - 11- r.

demment :

Vc _ 1000 r.

RùGio-x CRITIQUF,.

-

J’appelle C le point critique mais

il est certain que, en réalité, le passage d’un régime à l’autre se fait

non par un point anguleux, mais par un segment de courbe C1 C2 (en pointillé) ou région critique. Il en résulte que, si on opère avec

un amortissement trop voisin de 2,72, on obtient une valeur de -fi trop forte : c’est en effet ce que l’expérience m’a montré. Pour obte-

nir de bonnes valeurs de r,, il faut s’en tenir à des valeurs de A ~5

ou de Ao :==1,85. On sait que, dans la méthode de Poiseuille, on est

de même ~bligé de s’en tenir à des vitesses notablement inférieures à la vitesse critique.

Lois des états correspondants.

-

Si on tient compte de la relation

qui définü la période critique :

les formules des deux régimes s’écrivent :

LÔI DES ÉTATS COR}{ESPONDANTS.

-

des pér£odes

clantes, l’conortissement est le quels que soient le titbe et le

liquide. (A suivre.)

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