HAL Id: jpa-00240130
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Submitted on 1 Jan 1897
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Potentiels électriques dans un liquide en mouvement
G. Gouré de Villemontée
To cite this version:
G. Gouré de Villemontée. Potentiels électriques dans un liquide en mouvement. J. Phys. Theor.
Appl., 1897, 6 (1), pp.59-66. �10.1051/jphystap:01897006005901�. �jpa-00240130�
59 le corps transparent. Or, ,j’ai vérifié par l’expérience ( ~ ) que la rota- ton pouvait s’exprimer par la formule :
a étant la longueur d’onde lumineuse
unefonction
sansdilen-
sions dont la forme
nousest inutile ici. Nous retrouvons le facteur l~l~’; et, de plus,
nousdevons introduire la période i de la lumière.
On
auradonc :
A dmettons que C est
uneconstante absolue: la rotation étant
unangle dont les dimensions sont nulles, l’homogénéité exige que fil ait pour dimensions I,T-’ . C’est le résultat que j’ai déjà trouvé par
une
autre voie.
4° Conductibilité.
-Le systéme d’unités ainsi déterminé conduit,
comme on
l’a vu, pour les dimensions de la conductibilité à la for- mule 1B1-t L T. Or, dans la théorie électrolytique des ions, la conduc-
tihilité moléculaire
apour expression, à
unfacteur constant près, la
somme U1 -p ~ des vitesses de chacun des ions pour
unedifférence de potentiel égale à l’unité. Ses dimensions doivent donc être :
-C’est la traduction immédiate de la définition précédente,
ceque
n’indique pas le système électromagnétique ordinaire. Il resterait à savoir quelle est cette vitesse dans le
casdes métaux. On est ainsi conduit
auxexpressions
endimensions que j’ai données précédel11-
ment.
POTENTIELS ÉLECTRIQUES DANS UN LIQUIDE EN MOUVEMENT (2) ;
Par M. G. GOURÉ DE VILLEMONTÉE.
L’étude d’une discussion très longue et très vive soutenue dans les
Annales de Poggendorff et de Wiedelnann,
surle développement
de forces électromotrices par l’écoulement de liquides à travers des
(’- j JocBiN, Thèse.
(2) Extrait d’un mémoire plus étendu publié dans r1.’claiJ’aqe électJ’¡que,
année
1896, t. ~’I11, p. !~91-~’i9.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01897006005901
60
tubes, l’incertitude de la part attribuable
aucontact de l’air
avecles corps dans la détermination des différences de potentiels
aucontact,
m’ont amené à chercher si l’écoulement du
mercure oudes solutions salines à travers
untube effilé peut développer
uneforce électro n1o- trice appréciable entre deux points du liquide (1).
A. Expériences
avec lnercure. -L’écoulement était produit à
travers
untube de verre, vertical
ouhorizontal, effilé à l’une de
sesextrémités, relié à l’autre à
unréservoir d’où le
mercurepouvait être
chassé par de l’air comprimé. Les flacons et les tubes, lavés, séchés
avec
des soins particuliers et isolés, ont été remplis de
mercurepuri- fié et séché. Des fils de platine reliaient différents points de la colonne de
mercure auxpôles d,un électromètre capillaire permettant d’ap- précier
unedifférence de potentiel de 0B000i5.
L’isolement de l’appareil, préservé de l’influence extérieure par des écrans
ausol, était vérifié avant chaque expérience.
I.
-Les électrodes, montées toutes deux dans le tube, étaient sé- parées par
unecolonne de
mercure :1° De même diamètre dans toute
sonétendue (3 millimètres et 1 mm , 3) ;
2() De diamètre variable obtenu
enétirant le tube à la lampe.
-
La distance entre les électrodes
avarié entre 4~ centimètres et 520 centimètres.
Les vitesses moyennes par minute ont été comprises entre ~36~°s~,~
et ~3°’~,43.
II.
-L’une des électrodes
aété montée dans le tube, l’autre dans
la partie continue du filet libre.
Dans tous les
casla clifftirence de potentiel a été trouvée nulle.
B. Expérience
avecdes solutions salines.
-L’appareil est formé d’un
tube de 8 millimètres de diamètre et de 3 mètres de longueur, effilé à
l’une de
sesextrémités et fixé à l’autre à la tubulure d’nn flacon
ser-vant de réservoir
auliquide. Un robinet de
verrepermet d’établir
oud’interrompre l’écoulement. Le réservoir est
encommunication
avec une
pompe de compression et
unmanomètre à air libre.
L’appareil est isolé
surdes cales de paraffine, les tubes de
verrequi relient le flacon à la pompe et
aumanomètre, les raccords et les mastics sont enduits de paraffine, de manière à
assurerl’isolement.
Deux dispositions ont été adoptées ; dans l’une, l’appareil horizon-
(1) Comptes Rendus de l’Ac. des Sciences, t. CXIX, p. 1201 ; 1894.
61 tal est placé à l’intérieur d’une longue
cuve enzinc remplie d’eau
pour maintenir la température constante, et protégée par des écrans reliés
ausol ; dans la seconde, l’appareil est vertical, à l’air libre, le
réservoir est
unflacon de Mariette, l’écoulement du liquide
alieu
sous
pression constante.
Les liquides employés ont été des solutions de sulfate de cuivre, de zinc, de nickel, contenant 10 grammes de sel pur par litre d’eau dis- tillée. I,es flacons et les tubes ont été lavés successivement
avecpotasse, acide sulfurique, eau, alcool, et sécllés avant le montage.
La comparaison des potentiels
auxdifférents points du liquide est
faite
avecdes électrodes du métal entrant dans la composition du sel
étudié, reliées à
unélectromètre capillaire permettant d’apprécier
une
différence de 0V,0001~.
L’identité des électrodes
aumoment de l’immersion et l’égalité des
altérations par
unséjour plus
oumoins prolongé dans le liquide,
était obtenue
enrecouvrant d’un dépôt électrolytique (1) des fils de pla-
tine très fins, soudés à l’extrémité de tubes de
verreet montés à l’intérieur du tuhe d’écoulement.
Le réservoir et les tubes remplis de liquide
aurepos,
onvérifie l’isolement de l’appareil, l’absence de charge, l’identité des électrodes.
La comparaison des potentiels est ensuite faite
enmaintenant l’écou- lement du liquide
souspression constante, dans trois séries d’expé-
riences :
Sél’Íe I.
-Les points sont pris dans le tube d’écoulement
avecdes solutions de sulfate de cuivre, de zinc, de nickel,.
Il Les électrodes sont immergées simultanément et comparées :
a.
Immédiatement après l’immersion des électrodes ;
b. Quelques heures et quelques jours après l’immersion, les élec-
trodes restant plongées dans le liquide pendant l’intervalle des expé-
riences.
2° Les électrodes sont immergées à des époques différentes.
Dans l’appareil horizontal, les distances entre les électrodes ont varié de 127 centimètres à 80 centimètres;
,La vitesse d’écoulement
aété : 33mm,3 par seconde.
Dan s l’appareil vertical- les distances entre les électrodes ont varié de 195 centimètres à 40 centimètres ; les vitesses d’écoulement, de J23rnm,3 à 155~,3 par seconde.
(1) J01Jynal de Physique, 3e série, t. 11, p. 213; 1893.
62
Sérine II.
-Un point est pris dans
unerégion
aurepos et
unpoint
dans
unerégion
enmouvement,
avec unesolution de sulfate de cuivre.
L’une des électrodes est montée
surle tube d’écoulement,
commedans le
casprécédent, l’autre est placée dans
untube plus large
formé à la base, rempli de solution et communiquant à la partie supérieure, par
unorifice très étroit,
avecla solution du réservoir.
Lie liquide qui entoure la dernière électrode est immobile.
Série III.
-Un point est pris dans la colonne liquide, à l’inté-
rieur du tube de
verreet
unpoint dans le filet libre sorti du tube
avec une
solution de sulfate de cuivre.
Les expériences ont été faites
avecl’appareil horizontal entouré d’air et isolé ; la pression du liquide dans le réservoir, maintenue
constante pendant chaque expérience,
aété comprise dans la série des déterminations entre ~0 centimètres d’eau et 3 atmosphères. Le liquide formait, à la sortie du tube,
unjet devant
unécran noir. La longueur de la partie continue pouvait être facilement détermi- née.
Les vitesses moyennes par seconde ont été comprises,
avec unpre- n1ier orifice, entre les limites correspondantes suivantes :
496-- dans le tube, 4OOm- dans le filet libre,
et 15~6’~’~ dans le tube, ~l8mm,6~ dans le filet libre.
Avec
unsecond orifice entre :
5mm,16 dans le tube, 220,nln,4 dans le filet libre,
et 31--,4 dans’le tube,
’1250-- dans le filet libre.
Un large étui
encuivre préserve le liquide des effets d’influence.- Des ouvertures permettent de placer les électrodes dans la partie
continue du filet libre. La distance de l’orifice à l’électrode fixée
sur-le tube était 40 centimètres.
Les distances du méme orifice
auxélectrodes du filet ont été
COH1-prises entre :
0 millimètre et 100 millimètres
avecle premier orifice ;
-0 millimètre et ‘?0 millimètres
avecle second.
Le défaut d’identité qui aurait pu résulter-d’une différence de séjour-
des électrodes dans le liquide était évité
enmouillant les électrodes simultanément et
enles maintenant plongées dans le sulfate de cuivre-
pendant les intervalles des expériences.
Les expériences appartiennent à deux groupes :
63 1° L’électrode du filet est
unfil de platine très fin, cuivré, tendu
sur un
cadre de cuivre
oud’ébonite,
oulibre à l’une de
sesextré-
mités. Le fil placé dans la partie continue du filet, à différentes dis- tances de l’orifice, intercepte
unefraction très petite de la section du
filet;
2° L’électrode placée dans le filet est
unelame
ou undisque cuivré
d’étendue
assezpetite pour que la surface soit cônstamment
rocou-verte par le liquide après l’écrasement de la veine liquide ; l’étendue
mouillée pendant l’expérience est invariable.
Les résultats ont été les çsuivants :
Séries I et Il.
-Il Les différences de potentiel ont été trouvées les
mêmes dans les expériences faites
avecles solutions de sulfate de cuivre
et de sulfate de zinc, le liquide était immobile et lorsque le liquide était
enmouveraent, la des périodes de repos et de
mou-vement variant de trer2te secondes à six minutes.
Ces différences sont nulles, lorsque les dépôts électrolytiques sont préparés vingt-quatre heures environ avant l’immersion et lorsque
la durée d’immersion
nedépasse pas trois jours. La différence de
potentiel est comprise entre OV,00045 et OV,00075, lorsque la durée
d’immersion est plus longue.
2° Les altérations chimiques, le passage de bulles d’air entraî- nées, par suite d’un abaissement de niveau dans les flacons réser-
voirs,
oud’une fissure dans les mastics qui retiennent les électrodes,
produisent entre les électrodes des différences de potentiel relative-
ment très grandes et toujours variables
avecl’état de repos
oude mouvement du liquide.
3° Des modifications très promptes des sels
oudes électrodes de nickel n’ont pas permis d’obtenir
avecla solution de sulfate de nickel des résultats concordants pendant des périodes alternatives de repos
ou
de mouvement supérieures à trois secondes.
Dans la série Il, le réservoir était relié
autube d’écoulement par
un
tube de caoutchouc de 52 centimètres, les résultats indiqués sont indépendants de la substance dont sont formés les tubes intermé- diaires.
III.
-La différence de potentiel entre l’électrode du tube et
,
l’électrode du filet est nulle, quelles que soient les vitesses du liquide et
la distance de l’électrode du filet libre cc dans les limites oi Z’on
aopéré .
Les conclusions relatives
auproblème posé sont :
64
Le mouvenîent d’un liquide conducteur à travers des tubes de
verrelarges, isolés, le passage du liquide à tr’a1;ers une pointe effilée
nepro- ctuisPnt
aucunedifférence de potentiel appréciable entre deux points du
dans les limites oit j’ai opéré.
Aucune corréction n’est à faire
auxnombres obtenus dans les déter- minations faites par la méthode d’écoulement.
Les résultats négatifs des recherches précédentes n’impliquent
pas la négation de la production de force électromotrice entre deux
points d’un liquide
enmouvement dans tous les
cas.Le problème
soulevé à la suite d’une observation de M. Zollner, le ~?U octobre 1871, dans les Comptes Rendus de l’Académie Royale des Sciences de et d’une critique très judicieuse de Nl. Boetz (C. R. de l’.Académie
Royole des Sciences de Bavière, le 4 mai 1872, et Ann. de
t. XCLVI,
an.1872, p. 486), est le suivant :
1° Lorsqu’un liquide s’écoule à travers
untube, existe-t-il entre les extrémités d’un fil plongé
endeux points de la colonne liquide
uneforce électromotrice assimilable à la force électromotrice observée entre les pôles d’un élément de pile ?
2° Quelle relation existe-t-il entre la grandeur d’une telle force électromotrice et les constantes du phénomène : nature de la paroi,
dimension des tubes, nature du liquide, vitesse d’écoulement?
3° Quelle est l’origine de la force électromotrice ?
MM. Haga (2), Clark (3), Dorn (4), Edlund(5), Elster (s j,
cherchèrent successivement à résoudre la question.
Un liquide est lancé
souspression à travers
untube, deux élec-
trodes relient les extrémités à
ungalvanomètre
ouà
unélectro-
mètre et mesurent les intensités des courants
oules différences de
potentiel
auxbornes.
Les liquides employés ont été le plus souvent de l’eau (eau de conduite,
eaudistillée), dans quelques expériences des mélanges
(i) Po,qg. Ann., t. XCLVIII, 1813, p. 6!~0-650 ; Pogg. Ann., t. CLVIII, 1876,
p. 497-539.
(2) Wied. Ann., t. II, 1877, p. 326-333; Wied. Ann., t. V, 1878, p. 287-289.
(3) vried. t. II, 1877, p. 335-347.
(4) Po,qg. Ann., t. XCLX, 1817, p. ~6-75 ; ivied. Ann., t. ~V, ’1878, p. 20-!~~ ; Wiecl. Ann., t. IX, 1880, p. 513-552; Wied. Ann., t. X, 1880, p. 46-!~’~.
(~) Wied. Ann.,
t.1, ’187’ï ; Wied . t. III,
an.1878, p. 489-494;
t. VIII, 1879, p. 119-137; Ann. W ied., t. IX, 1880, p. 95-107.
(6) Wied. Ann., t. 1879, p. 553.
65 d’eau et d’alcool, dans trois expériences seulement de 31. Dorn (1 )
des solutions très étendues de sulfate de cuivre.
Les tubes à travers lesquels le liquide s’écoule sont
nus ouenduits
intérieurement de gomme laque, de paraffine, de soufre, de collodion et, dans quelques expériences de M. Clark, d’u ne mince couche
d’argent. Sauf les trois expériences signalées de M. Dorn
avec unesolution de sulfate de cuivre, les expériences ont été faites
avecdes liquides de grande résistance traversant des tubes de substances isolantes.
J’ai discuté, dans le journal l’Éclairage électrique, la définition des
liquides et des tubes employés, les méthodes d’expérience, la préci-
si-on des mesures ; je
mebornerai à énoncer les conclusions générales
de l’ensemble de recherches très nombreuses et faites
avec unsoin
extrême.
,I.
-L’écoulement de l’eau à travers des tubes de substance isolante
produit
uneforce électromotrice entre deux points du liquide.
II. -- Lorsque l’eau traverse des tubes de
verre secspréalablement
lavés
avecde la potasse et des acides pour enlever toute trace de matières étrangères, deux
cassont à distinguer :
1° Lorsque les tubes satisfont cc la loi a’e Poiseuille, la force
électromotrice correspondant cc l’écoulement de l’eau distillée
sûusla même pression, est indépendante de la longueur et de la section du
2° Lorsque les tubes
nesatisfont pas à la loi de Poiseuille,
aucuneloi générale
nepeut être énoncée.
Les expériences faites autorisent seulement l’énoncé suivants Avec des vitesses égales de l’eau, de 8 mètres par seconde, l’inten-
sité est à peu près proportionnelle
audiamètre, et, par suite, la force
électromotrice
estinversement proportionnelle
audiamètre des tubes
(les diamètres étaient compris entre Olllm,2321 et ~m1n,113t)). L’énoncé
est
uneloi empirique exacte seulement pour les diamètres et .les
vitesses indiqués, et
aucunfait n’en autorise la généralisation.
III.
-Il Le simple mouvement de l’eau n’est pas la
causede la force électromotrice qui existe l’eau s’écoule ci travers les tubes;
2° La paroi est nécessaire
audéveloppement des forces électr’o- motrices;
(1) Ann. de Pogg., t. CLX, 1877, p. 68-69.’
66
3° L’origine des forces éiectrolnotrices est
aucontact du liqui de et
de la paroi oÙ le développenîent est produ it par
unmécanis-,ne que
l’ex pé-rieJlce
nerévèle pas.
Le résultat des recherches expérimentales permet de répondre
aux
deux premières questions, la troisième n’est pas complètement
résolue; l’origine des forces électromotrices n’est pas rattachée
auxautres phénomènes électriques. L’invention d’un mécanism e hypo- thétique équivalent
aumécanisme réel
aété l’objet des théories.
La première théorie présentée par M. Edlund (~ ), basée
surdes
thèses que l’expérience n’a pas justifiées, n’a pas
eude partisans. La seconde, émise par Helmholtz (2 ), reprise
avecmodifications par M. Lainb (3), établie seulement dans le
casde liquides résistants
cou-lant à travers des tubes isolants qui satisfont à la loi de Poiseuille,
rend compte de la production des forces électromotrices, de la direc- tion des courants, de la loi des longueurs et de la loi des sections,
mais laisse
sansinterprétation quelques faits particuliers cités par M. Dorn ( ~).
La même théorie permet de prévoir le phénomène réciproque :
,
entraînement du liquide par
unedifférence de potentiel établie entre
les extrémités du tube, phénomène vérifié par M.
Les difficultés d’analyse jointes à la complication des lois d’écou- lement des liquides à travers des tubes larges
nepermettent pas le
développement de la théorie dans le
casde tubes qui
nesatisfont pas à la loi de Poiseuille.
Les incertitudes que laissent subsister les expériences anciennes
et la théorie autorisent les doutes émis et justifient les recherches entreprises
audébut de cette note.
(1) Ann. de Pogg. et de loc. cit.
(2) Wied. Ann., t. VII, 1819, p. 337-382.
(3) Philosoph. 5e série, t. XXV, 1888, p. 52 de Phys.,
2°série
t. VII, p. 258).
(4) Ann., loc. cit.
(~’) Ann., t. XLVH, 1892, p. 46.
’