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C. PULFRICH. — Ein neues Totalreflectometer (Un nouveau réfractomètre à réflexion totale); Wiedemann's Annalen, t. XXX, p. 193; 1887. — Das Krystallrefraktoscop, ein Demonstrationsinstrument (Le réfractomètre pour cristaux, appareil de démonstration ) ; i

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00238742

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238742

Submitted on 1 Jan 1887

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C. PULFRICH. - Ein neues Totalreflectometer (Un nouveau réfractomètre à réflexion totale); Wiedemann’s

Annalen, t. XXX, p. 193; 1887. - Das

Krystallrefraktoscop, ein Demonstrationsinstrument (Le réfractomètre pour cristaux, appareil de démonstration

) ; ibid., p. 317. - Das Totalreflectometer und seine Verwendbarheit für weisses Licht (Le réfractomètre à réflexion totale et son emploi avec la lumière blanche);

ibid., p. 487

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. C. PULFRICH. - Ein neues Totalreflectometer (Un nouveau réfractomètre à réflexion totale); Wiedemann’s Annalen, t. XXX, p. 193; 1887. - Das Krystallrefraktoscop, ein Demonstrationsinstrument (Le réfractomètre pour cristaux, appareil de démonstration ) ; ibid., p. 317.

- Das Totalreflectometer und seine Verwendbarheit für weisses Licht (Le réfractomètre à réflexion totale et son emploi avec la lumière blanche); ibid., p. 487. J. Phys. Theor. Appl., 1887, 6 (1), pp.343-345.

�10.1051/jphystap:018870060034301�. �jpa-00238742�

(2)

PULFRICH. - II~FRACTOl~IÈTRE. 343

C. PULFRICH. 2014 Ein

neues

Totalreflectometer (Un

nouveau

réfractomètre à réflexion totale); Wiedemann’s Annalen, t. XXX, p. 193; 1887.

2014

Das Krys- tallrefraktoscop, ein Demonstrationsinstrument (Le réfractomètre pour cris- taux, appareil de démonstration ) ; ibid., p. 317.

2014

Das Totalreflectometer und seine Verwendbarheit für weisses Licht (Le réfractomètre à réflexion totale et

son

emploi

avec

la lumière blanche); ibid., p. 487.

Ce réfractométre, complètement différent de celui de Kohl- rausch ( 1), dérive directement de l’appareil bien connu de VV 01- laston, par la substitution, au prisme ou au cube, d’un cylindre

droit à base circulaire, de flint très réfringent (ND

=

1, 7 15 1), dont

(1) Journal de Physique, [1], l. VII, p. 389; ~8;8.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018870060034301

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344

la surface latérale, ainsi que la base supérieure, ont été soigneuse-

ment polies. C’est sur cette dernière que repose, soit le liquide (contenu dans une auge sans fond cylindrique), soit le solide que l’on veut étudier. Dans ce dernier cas, on doit introduire entre la lame observée et le cylindre une goutte d’un liquide plus réfrin-

gent que la lame, qui n’a d’autre rôle, du reste, que de faire dispa-

raître la lame mince d’air interposée.

Deux modes d’ohservation peuvent être employés :

un

faisceau

de lumière homogène convergente est dirigé obliquement et de

bas en haut, à travers le cylindre,

y

sur la surface de contact. Si l’on

regarde dans la direction des rayons réfléchis, soit directement,

soit au moyen d’une lunette réglée pour l’infini, la limite de la

réflexion totale se manifeste, comme dans le réfractomètre de

Kohlrausch., sous la forme d’une ligne de démarcation entre deux

parties du champ très inégalement éclairées. L’au teur préfère

envoyer la lumière éclairante, un peu convergente, horizontalement

sur la surface de séparation, à travers la lame étudiée elle-même

(cette dernière doit, dans ce cas, être transparente et taillée sous la forme d’un cylindre). L’une des moitiés du champ est alors complètement sombre, et la ligne de démarcation plus Ilette que dans le cas précédent.

Dans l’un et l’autre cas, l’indice est donné par

N étant l’indice du cylindre, et i l’angle d’émergence correspon- dant à la limite de la réflexion totale.

Pour mesurer ce dernier, la lunette est mobile dans un plan

vertical et se déplace dans le plan d’un cercle gradué donnant la

minute. Pour la commodité de l’observation, la lunette est brisée à angle droit, de sorte que F axe optique de l’oculaire reste hori- zontal et normal au plan du limbe.

Cet appareil semble présenter sur celui de Kohirausch l’avan- tage de se prèter à une étude facile et rapide des lames biréfrin- gentes. Il suffit en effet, pour mesurer les vitesses 2013

iz

de propagation

de la lumière dans les diverses directions situées dans le plan de

la face inférieure de la lame cristalline, de faire tourner autour

d’un axe vertical, et d’angles mesurés au moyen d’un cercle gradué

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345

horizontal, l’ensemble du cylindre et de la lame qui repose sur lui. Dans le cas, par exemple, d’un quartz parallèle à l’axe, si l’on prend pour abscisses les lectures faites sur le limbe horizontal,

,

pour ordonnées les valeurs de z, on obtient deux courbes, l’une rectiligne (rayon ordinaire), parallèle à l’axe des abscisses ; l’autre (rayon extraordinaire), qui a la forme générale d’une sinussoïde

bi tan gen te à la première.

Des mesures comparatives effectuées sur des prismes dont les

indices avaient été mesurés par la méthode ordinaire montrent que l’erreur que l’on peut commettre ne dépasse pas une unité du

quatrième ordre décimal.

La substitution à l’oculaire d’un petit spectroscope à vision directe, dont la fente est dans le plan focal de l’objectif de la lunette, permet d’effectuer des mesures relatives

aux

radiations

simples du spectre. On sait que lkI. Ch. Soret est parvenu à mo- difier de même l’appareil de i~ohlrausch (1).

Les phénomènes relatifs aux lames cristallines se prêtent à d’in-

téressantes expériences de projection. Les rayons solaires sont à

cet effet renvoyés de haut en bas par un premier miroir, puis

tombent sur un miroir tronco-conique (angle 45°) placé autour et

à la hauteur de la lame cristalline, qui les renvoie horizontalement

et dans toutes les directions sur cette dernière. Si l’on reçoit sur

un écran la lumière qui sort du cylindre, on voit s’y dessiner deux courbes colorées sur leurs bords, qui sont constituées, dans le cas

du spath d’Islande parallèle à l’axe, par une circonférence et un

ovale bitange~ts. J. MACÉ

DE

LÉPINAY.

HALLWACHS. 2014 Potentialverstärker für Messungen ( Reproducteur de potentiel);

Wied. Ann., t. XXIX, p. 300; 1886.

Pour mesurer le potentiel d’une source électrique à faible tension, mettons d’abord cette source en relation avec le collecteur d’un condensateur; puis, ayant rompu la communication, éloi-

gnons le condensateur : le potentiel du collecteur se trouvera

- - _ ---~--

(’ ) Journal de Physique, [ 2 ], t. II, p. 138; rSR3.

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